Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson
(Hundraåringen som klev ut genom fönstret och försvann)
(Hundraåringen som klev ut genom fönstret och försvann)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone
Critiqué par Amnezik, le 13 septembre 2011
(Noumea, Inscrit le 26 décembre 2006, 56 ans)
Critiqué par Amnezik, le 13 septembre 2011
(Noumea, Inscrit le 26 décembre 2006, 56 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 46 avis)
Cote pondérée : (727ème position).
Visites : 20 352
Moyenne des notes :
(basée sur 46 avis)
Cote pondérée :
(727ème position).
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Un bol d'air frais et de bonne humeur
Quatrième de couverture :
Le jour de ses cent ans, alors que tous les notables de la ville l'attendent pour célébrer l'événement, Allan Karlsson s'échappe par la fenêtre de sa maison de retraite quelques minutes avant le début de la fête organisée en son honneur. Ses plus belles charentaises aux pieds, le vieillard se rend à la gare routière, où il dérobe une valise dans l'espoir qu'elle contienne une paire de chaussures. Mais le bagage recèle un bien plus précieux chargement, et voilà comment Allan se retrouve poursuivi par la police et par une bande de malfrats… Commence alors son incroyable cavale à travers la Suède, mais aussi, pour le lecteur, un étonnant voyage au coeur du XXe siècle, au fil des événements majeurs auxquels le centenaire Allan Karlsson, génie des explosifs, a été mêlé par une succession de hasards souvent indépendants de sa volonté.
Ma critique :
Vous avez aimé le personnage de Forrest Gump ? Vous adorerez Allan Karlsson ! L'auteur nous entraine dans une intrigue totalement burlesque menée par des personnages hauts en couleur et où l'Histoire et l'histoire se croisent à plusieurs reprises de façon totalement invraisemblables...
C'est un pur régal à lire ! L'auteur nous restitue à merveille cet univers complétement déjanté, difficile de rester insensible à ses charmes. Et impossible de ne pas rire à la lecture de ce roman.
Un chef d'oeuvre d'humour, rien que ça !!!
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Les éditions
-
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire [Texte imprimé], roman Jonas Jonasson traduit du suédois par Caroline Berg
de Jonasson, Jonas Berg, Caroline (Traducteur)
Presses de la Cité
ISBN : 9782258086449 ; 21,30 € ; 10/03/2011 ; 454 p. ; Broché -
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire [Texte imprimé] Jonas Jonasson traduit du suédois par Caroline Berg
de Jonasson, Jonas Berg, Caroline (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris)
ISBN : 9782266218528 ; 8,40 € ; 01/03/2012 ; 506 p. ; Broché -
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire [Texte imprimé] Jonas Jonasson traduit du suédois par Caroline Berg
de Jonasson, Jonas Berg, Caroline (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris)
ISBN : 9782266238601 ; 5,72 € ; 06/06/2013 ; 506 p. ; Poche -
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire [Enregistrement sonore] Jonas Jonasson, aut. trad. du suédois par Caroline Berg texte intégral lu par Philippe Résimont
de Jonasson, Jonas Berg, Caroline (Traducteur)
Audiolib / Littérature
ISBN : 9782356415974 ; 22,00 € ; 03/07/2013 ; 768 p. ; CD -
Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
de Jonasson, Jonas Berg, Caroline (Traducteur)
Presses de la Cité
ISBN : 9782258086579 ; 03/03/2011 ; 454 p. ; Format Kindle -
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire [Texte imprimé], roman Jonas Jonasson traduit du suédois par Caroline Berg
de Jonasson, Jonas Berg, Caroline (Traducteur)
Éditions Libra diffusio
ISBN : 9782844925060 ; 24,50 € ; 26/01/2012 ; 1 vol. (514 p.) p. ; Broché
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Cent ans et un mental de gamin !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 18 juillet 2024
Jonas Jonasson (1961 - ) est un écrivain et journaliste suédois.
Son premier roman" Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" (2009) a été vendu à plus de 700 000 exemplaires en Suède.
Allan Karsson s'ennuie ferme dans sa maison de retraite.
Lui qui a mené une vie trépidante, croisant la route de Openheimer, Roosevelt, Truman, Mao, Kim Sun Il... et autres dignitaires fréquentables ou non, ne s'imagine pas une seconde se coucher à 20h00 et prendre son petit déjeuner à 7h30.
Alors, à l'aube de son centième anniversaire, il prend la tangente et se laisse porter par les rencontres fortuites.
Un roman foutraque où l'humour, le second degré, les rencontres guignolesques croisent la grande Histoire (le déroulé de la vie d'Allan)
J'avoue avoir apprécié les 100 premières pages et puis... la magie ne prend plus. Je me suis lassé car tout est décousu, invraisemblable. Un road movie qui s'essouffle rapidement même si le personnage d'Allan est attachant.
A lire avec beaucoup de recul !
Son premier roman" Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" (2009) a été vendu à plus de 700 000 exemplaires en Suède.
Allan Karsson s'ennuie ferme dans sa maison de retraite.
Lui qui a mené une vie trépidante, croisant la route de Openheimer, Roosevelt, Truman, Mao, Kim Sun Il... et autres dignitaires fréquentables ou non, ne s'imagine pas une seconde se coucher à 20h00 et prendre son petit déjeuner à 7h30.
Alors, à l'aube de son centième anniversaire, il prend la tangente et se laisse porter par les rencontres fortuites.
Un roman foutraque où l'humour, le second degré, les rencontres guignolesques croisent la grande Histoire (le déroulé de la vie d'Allan)
J'avoue avoir apprécié les 100 premières pages et puis... la magie ne prend plus. Je me suis lassé car tout est décousu, invraisemblable. Un road movie qui s'essouffle rapidement même si le personnage d'Allan est attachant.
A lire avec beaucoup de recul !
Complètement barré!!
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 25 mai 2017
Je vois ce livre en librairie depuis longtemps, j'en entends énormément parler, mais ça ne me disait rien.
Jusqu'à ce qu'un de mes clients me le conseille! C'est un homme cultivé, plein d'humour...je me laisse tenter (par le livre, pas par le client^^)
Et j'ai bien fait! C'est exactement ce qu'il me fallait en cette période de fatigue mentale et de stress. C'est désopilant, tout en nous donnant une petit piqûre de rappel sur l'Histoire de ces 100 dernières années (en gros hein, c'est très caricaturé, mais dit avec beaucoup d'humour!)
C'est loufoque, parfois grotesque, mais on se marre, et c'est bien tout ce que je cherchais!
Jusqu'à ce qu'un de mes clients me le conseille! C'est un homme cultivé, plein d'humour...je me laisse tenter (par le livre, pas par le client^^)
Et j'ai bien fait! C'est exactement ce qu'il me fallait en cette période de fatigue mentale et de stress. C'est désopilant, tout en nous donnant une petit piqûre de rappel sur l'Histoire de ces 100 dernières années (en gros hein, c'est très caricaturé, mais dit avec beaucoup d'humour!)
C'est loufoque, parfois grotesque, mais on se marre, et c'est bien tout ce que je cherchais!
Me voici à mon tour...
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 20 décembre 2016
Sur les traces de cet aïeul farfelu et improbable, après en avoir tant entendu parler.
Difficile de classifier ce roman suédois tant il est polymorphe. Outre l'histoire contemporaine liée à la fugue de ce vieillard, c'est une véritable épopée historique que nous suivons, sur fond d'embrouillaminis et de situations toutes les plus rocambolesques les unes que les autres. Les plus grands dictateurs de ce monde tournés en dérision est un pur délice.
Un roman qui transmet de la bonne humeur et des sourires. Une histoire complètement barrée et pourtant crédible. Tels sont les ingrédients de ce cocktail détonant que nous concocte Jonas Jonasson.
Le style est simple, fluide et rythmé. Avec un humour acidulé, l'auteur nous retrace les escapades surprenantes, cocasses et captivantes de ce centenaire et de sa joyeuse bande haute en couleurs.
Chaque fin de chapitre nous amène à vouloir avidement connaître la suite. C'est jubilatoire et frais. On peut déplorer toutefois certaines introspections qui traînent en longueur et une "happy end" moins convaincante. Mais on ne peut que saluer l'imagination débordante de l'auteur qui fait de ce roman un road movie à la sauce Forrest Gump. Et plus c'est gros, plus cela fonctionne !
Au final, cet ouvrage est une petite pépite de la littérature scandinave. Une lecture fort distrayante.
Difficile de classifier ce roman suédois tant il est polymorphe. Outre l'histoire contemporaine liée à la fugue de ce vieillard, c'est une véritable épopée historique que nous suivons, sur fond d'embrouillaminis et de situations toutes les plus rocambolesques les unes que les autres. Les plus grands dictateurs de ce monde tournés en dérision est un pur délice.
Un roman qui transmet de la bonne humeur et des sourires. Une histoire complètement barrée et pourtant crédible. Tels sont les ingrédients de ce cocktail détonant que nous concocte Jonas Jonasson.
Le style est simple, fluide et rythmé. Avec un humour acidulé, l'auteur nous retrace les escapades surprenantes, cocasses et captivantes de ce centenaire et de sa joyeuse bande haute en couleurs.
Chaque fin de chapitre nous amène à vouloir avidement connaître la suite. C'est jubilatoire et frais. On peut déplorer toutefois certaines introspections qui traînent en longueur et une "happy end" moins convaincante. Mais on ne peut que saluer l'imagination débordante de l'auteur qui fait de ce roman un road movie à la sauce Forrest Gump. Et plus c'est gros, plus cela fonctionne !
Au final, cet ouvrage est une petite pépite de la littérature scandinave. Une lecture fort distrayante.
Abracadabrantesque …
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 20 décembre 2016
Les Suédois sont féconds en auteurs capables de nous décrire les réalités suédoises, sous couvert de polars (ou non) avec Henning Mankell ou par le biais de romans déjantés (cf aussi « L’analphabète qui savait compter ») du même Jonas Jonasson.
Jonas Jonasson ne lésine pas. Invraisemblances bienvenues. Empathies, aussi. Beaucoup de tendresse et de compréhension pour ses personnages foldingues.
Le premier d’entre eux, le « héros », n’est autre qu’Allan Karlsson. Oui. Et alors me direz-vous ? He bien, c’est qu’Allan Karlsson doit fêter ses cent ans dans la maison de retraite où il a été … placé (j’allais écrire « enfermé » !) et où il ne se sent pas bien. Il doit fêter ses cent ans mais il décide de s’enfuir par une fenêtre. Il s’enfuit, se réfugie près de la gare routière locale et là – Jonas Jonasson n’y allant pas avec le dos de la cuillère – trouve le moyen de monter dans un car pour s’éloigner de la ville en chapardant une valise dans l’espoir d’y trouver chaussures et vêtements (il est parti tel qu’il était, avec ses charentaises au pied !).
Dans la valise pas de vêtements mais des billets de banque, que des billets de banque mais beaucoup de billets de banque ! Des millions de couronnes ! Il se doute une fois ouverte la valise que celui qui l’a perdue va tenir à la retrouver. Banco !
Commence une cavale, des rencontres, des moyens de défense vis-à-vis des malfrats qui le poursuivent. Et Jonas Jonasson saisit l’occasion pour nous brosser une histoire accélérée du XXème siècle puisque Allan Karlsson en profite pour raconter sa vie à ses compagnons de fortune et – je l’ai déjà dit – comme Jonas Jonasson n’y va pas avec le dos de la cuillère, il se trouve qu’Allan Karlsson a connu Franco, Truman, Staline, Mao, Churchill, … n’en jetez plus ! Il fut aussi pendant la guerre spécialiste en explosifs et cette connaissance, ça ne s’oublie pas ! Bref Allan Karlsson a fait feu de tout bois dans sa vie et continue, au propre comme au figuré. Il y a de l’avenir pour les centenaires apparemment à en croire l’auteur !
Il faut bien sûr aimer ce genre de littérature, plus proche du reportage romancé que de la pure littérature. Je rapprocherais la démarche de Jonas Jonasson à celle d’un Vikas Swarup, l’indien, ou d’un Carl Hiaasen, le gars de Floride, qui traitent aussi de la culture de leur société ainsi que des travers de leurs propres sociétés sous biais drolatiques.
Jonas Jonasson ne lésine pas. Invraisemblances bienvenues. Empathies, aussi. Beaucoup de tendresse et de compréhension pour ses personnages foldingues.
Le premier d’entre eux, le « héros », n’est autre qu’Allan Karlsson. Oui. Et alors me direz-vous ? He bien, c’est qu’Allan Karlsson doit fêter ses cent ans dans la maison de retraite où il a été … placé (j’allais écrire « enfermé » !) et où il ne se sent pas bien. Il doit fêter ses cent ans mais il décide de s’enfuir par une fenêtre. Il s’enfuit, se réfugie près de la gare routière locale et là – Jonas Jonasson n’y allant pas avec le dos de la cuillère – trouve le moyen de monter dans un car pour s’éloigner de la ville en chapardant une valise dans l’espoir d’y trouver chaussures et vêtements (il est parti tel qu’il était, avec ses charentaises au pied !).
Dans la valise pas de vêtements mais des billets de banque, que des billets de banque mais beaucoup de billets de banque ! Des millions de couronnes ! Il se doute une fois ouverte la valise que celui qui l’a perdue va tenir à la retrouver. Banco !
Commence une cavale, des rencontres, des moyens de défense vis-à-vis des malfrats qui le poursuivent. Et Jonas Jonasson saisit l’occasion pour nous brosser une histoire accélérée du XXème siècle puisque Allan Karlsson en profite pour raconter sa vie à ses compagnons de fortune et – je l’ai déjà dit – comme Jonas Jonasson n’y va pas avec le dos de la cuillère, il se trouve qu’Allan Karlsson a connu Franco, Truman, Staline, Mao, Churchill, … n’en jetez plus ! Il fut aussi pendant la guerre spécialiste en explosifs et cette connaissance, ça ne s’oublie pas ! Bref Allan Karlsson a fait feu de tout bois dans sa vie et continue, au propre comme au figuré. Il y a de l’avenir pour les centenaires apparemment à en croire l’auteur !
Il faut bien sûr aimer ce genre de littérature, plus proche du reportage romancé que de la pure littérature. Je rapprocherais la démarche de Jonas Jonasson à celle d’un Vikas Swarup, l’indien, ou d’un Carl Hiaasen, le gars de Floride, qui traitent aussi de la culture de leur société ainsi que des travers de leurs propres sociétés sous biais drolatiques.
Un air de Paasilinna.
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 15 mars 2015
Une lecture amusante. C'est bourré de gags succulents (et d'incohérences aussi), mais il suffit de se laisser prendre au piège et tout se digère avec bonheur.
Décalé et déjanté. Aventures extravagantes, rencontres improbables, situations invraisemblables
Critique de Cristina21 (, Inscrite le 7 décembre 2014, 50 ans) - 25 janvier 2015
Ce livre a eu et a toujours du succès. Pourtant, à sa sortie, l'histoire ne n'avait pas attirée. Et voilà qu'une amie me l'offre pour mon anniversaire... Me voici obligée de le lire ! Oui, je lis les livres que l'on m'offre, même ceux que je n'aurais pas achetés et je les termine même si dès le début je n'accroche pas.
Parcourant le monde et rencontrant de grands dirigeants, Allan a eu une longue vie bien remplie pour quelqu'un de zen, naïf et franc qui n'aspirait qu'à vivre simplement sa vie ; sa devise étant "les choses sont ce qu'elles sont et seront ce qu'elles seront".
Aventures extravagantes, rencontres improbables, situations invraisemblables et quiproquos, c'est ainsi qu'Allan traverse la planète et les époques... Plus on avance dans le livre, plus on se dit que ce n'est pas possible, mais si vous lisez un roman de science-fiction là aussi les choses sont impossibles. Alors, pourquoi pas ?
Bien que les chapitres soient longs, ce livre reste facile à lire. Je regrette que les chapitres relatifs à son passé soient nombreux en comparaison avec ceux relatifs à sa fugue puis à sa cavale qui pour moi est la partie du livre que je trouve la plus amusante.
C'est un livre totalement déjanté, avec un humour noir et décalé. On ne peut qu'adorer ce papy centenaire qui a encore une certaine forme et surtout toute sa tête et toute sa mémoire malgré son grand âge. On s'attache aux personnages, surtout à son groupe d'acolytes qui s'agrandit durant sa cavale.
Ce livre ne fera pas partie de ceux que j'ai appréciés ou que je recommanderai, mais sa lecture ne m'a pas déplu.
Parcourant le monde et rencontrant de grands dirigeants, Allan a eu une longue vie bien remplie pour quelqu'un de zen, naïf et franc qui n'aspirait qu'à vivre simplement sa vie ; sa devise étant "les choses sont ce qu'elles sont et seront ce qu'elles seront".
Aventures extravagantes, rencontres improbables, situations invraisemblables et quiproquos, c'est ainsi qu'Allan traverse la planète et les époques... Plus on avance dans le livre, plus on se dit que ce n'est pas possible, mais si vous lisez un roman de science-fiction là aussi les choses sont impossibles. Alors, pourquoi pas ?
Bien que les chapitres soient longs, ce livre reste facile à lire. Je regrette que les chapitres relatifs à son passé soient nombreux en comparaison avec ceux relatifs à sa fugue puis à sa cavale qui pour moi est la partie du livre que je trouve la plus amusante.
C'est un livre totalement déjanté, avec un humour noir et décalé. On ne peut qu'adorer ce papy centenaire qui a encore une certaine forme et surtout toute sa tête et toute sa mémoire malgré son grand âge. On s'attache aux personnages, surtout à son groupe d'acolytes qui s'agrandit durant sa cavale.
Ce livre ne fera pas partie de ceux que j'ai appréciés ou que je recommanderai, mais sa lecture ne m'a pas déplu.
Une histoire et des histoires dans l'Histoire !
Critique de AmaranthMimo (, Inscrite le 25 mai 2013, 33 ans) - 4 octobre 2014
Je comprends tout à fait le succès de ce libre qui dépasse le titre accrocheur et le visuel attirant.
J'ai pris le livre en format audio et j'ai vraiment accroché au personnage d'Allan ainsi qu'à ses multiples connaissances. J'ai également fortement apprécié les passages quelques peu loufoques traitant de ses 99 années de vie bien mouvementées ! Grâce à ce livre j'ai traversé les époques et me suis souvent demandé : Albert Einstein avait-il vraiment un demi-frère ? Staline est-il mort d'une crise cardiaque ? Bref, ça m'a permis de faire des recherches sur internet pour démêler le vrai du faux ainsi que de me cultiver !
J'ai pris le livre en format audio et j'ai vraiment accroché au personnage d'Allan ainsi qu'à ses multiples connaissances. J'ai également fortement apprécié les passages quelques peu loufoques traitant de ses 99 années de vie bien mouvementées ! Grâce à ce livre j'ai traversé les époques et me suis souvent demandé : Albert Einstein avait-il vraiment un demi-frère ? Staline est-il mort d'une crise cardiaque ? Bref, ça m'a permis de faire des recherches sur internet pour démêler le vrai du faux ainsi que de me cultiver !
Une épopée, un Road-life-movie séculaire
Critique de Mcchipie (, Inscrite le 16 mai 2007, 47 ans) - 3 octobre 2014
Une lecture foldingue! On a vraiment la sensation de lire de nouvelles aventures de Forest Gump. Allan Karlsson a vécu une vie incroyable, spécialiste des explosifs, il suivra une route qui le mènera sur un chemin où il croisera Harry Truman, Staline, Franco, Mao Tsé-toung, Kim Jung Li, De Gaulle, Johnson, Churchill. Cette route souvent périlleuse le mènera malgré tout à avoir 100 ans. Pour cet anniversaire, il s'enfuira de la maison de retraite et vivra une aventure tout aussi folle que le restant de sa vie. Très drôle, pas du tout plausible, mais agréable à lire.
comment la bombe vint à la Russie ?
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 49 ans) - 19 avril 2014
Il n'y a pas qu'à l'adolescence qu'on a envie de fuguer. Allan, presque centenaire, décide de finir sa vie hors de la maison de retraite dans laquelle il végète et qui lui a préparé une fête d'anniversaire avec tout le gratin de la ville. En charentaises sur les quais de la gare routière, il monte dans le premier bus en partance, en compagnie d'une valise qu'un jeune délinquant lui avait demandé de gardé le temps d'aller aux toilettes. C'est ainsi qu'Allan se retrouve avec un paquet de billets de banque et des gens pas très recommandables à ses trousses. Pas de quoi l'affoler. Il se rappelle que quand il était jeune, il avait fait sauter une maison et son voisin pour moins que ça !
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire est une histoire abracadabrante pleine de rebondissements et sans temps mort. A prendre au deuxième ou au troisième degré, le récit alterne les aventures d'Allan et de sa valise, et son passé. C'est sympathique à lire, le ton et les mésaventures d'Allan et de sa clique font sourire, mais j'avoue que je me suis un peu lassée sur la fin.
J'avoue également avoir été surprise et pas qu'un peu au début de l'ouvrage. Je prenais en pitié ce pauvre vieux monsieur en charentaises qui me semblait bien maladroit. Mais les premiers chapitres donnent le ton, et rapidement ce vieux monsieur ne nous parait plus si démuni face à la vie. A vingt ans comme à cent, il se laisse porter par la vie, par les opportunités. Le temps pour nous de découvrir un récit plein d'humour et de revisiter l'histoire : parce que, croyez-moi, si la bombe vint à la Russie, c'est parce qu'Allan faisait le ménage. Puisque je vous le dis !
Allan se dit que les grands de ce monde avaient au point un point commun : chaque fois qu'ils étaient contents pour une raison ou pour une autre, ils vous invitaient à déjeuner. Il garda ses pensées pour lui, remercia le vice-président pour son invitation et lui emboita le pas.
Allan félicita Herbert d'avoir si bien joué son rôle et celui-ci rougit sous le compliment tout en minimisant son mérite. Il dit avec modestie qu'il n'était pas difficile de se faire passer pour un idiot quand on l'était réellement. Allan n'était pas d'accord avec son ami, parce que tous les imbéciles qu'il avait rencontrés dans sa vie essayaient de se faire passer pour le contraire.
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire est une histoire abracadabrante pleine de rebondissements et sans temps mort. A prendre au deuxième ou au troisième degré, le récit alterne les aventures d'Allan et de sa valise, et son passé. C'est sympathique à lire, le ton et les mésaventures d'Allan et de sa clique font sourire, mais j'avoue que je me suis un peu lassée sur la fin.
J'avoue également avoir été surprise et pas qu'un peu au début de l'ouvrage. Je prenais en pitié ce pauvre vieux monsieur en charentaises qui me semblait bien maladroit. Mais les premiers chapitres donnent le ton, et rapidement ce vieux monsieur ne nous parait plus si démuni face à la vie. A vingt ans comme à cent, il se laisse porter par la vie, par les opportunités. Le temps pour nous de découvrir un récit plein d'humour et de revisiter l'histoire : parce que, croyez-moi, si la bombe vint à la Russie, c'est parce qu'Allan faisait le ménage. Puisque je vous le dis !
Allan se dit que les grands de ce monde avaient au point un point commun : chaque fois qu'ils étaient contents pour une raison ou pour une autre, ils vous invitaient à déjeuner. Il garda ses pensées pour lui, remercia le vice-président pour son invitation et lui emboita le pas.
Allan félicita Herbert d'avoir si bien joué son rôle et celui-ci rougit sous le compliment tout en minimisant son mérite. Il dit avec modestie qu'il n'était pas difficile de se faire passer pour un idiot quand on l'était réellement. Allan n'était pas d'accord avec son ami, parce que tous les imbéciles qu'il avait rencontrés dans sa vie essayaient de se faire passer pour le contraire.
Picaresque
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 21 mars 2014
C'est la fête dans cette maison de retraite suédoise. Les pensionnaires, le personnel et les autorités locales s'apprêtent à célébrer l'anniversaire d'Allan Karlsson qui vient d'avoir cent ans. Mais celui-ci ne tient pas du tout à participer aux agapes. En robe de chambre et charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et file à la gare routière. Il y rencontre un jeune voyou qui lui demande de garder sa valise le temps qu'il aille aux toilettes. Mais voilà que l'autocar arrive. Allan monte à bord avec l'énorme bagage. Il part à l'aventure en demandant au chauffeur un billet équivalent à une somme de cinquante couronnes, autant dire qu'il va se retrouver au milieu de nulle part avec les voyous, la police et la justice aux trousses...
« Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » est à la fois une sorte de conte philosophique et un roman d'aventures aussi picaresques que déjantées rempli de personnages hauts en couleurs et de situations aussi cocasses qu'improbables. En parallèle et en repartant de 1929, l'auteur raconte la vie extraordinaire de ce centenaire qui fit deux fois le tour du monde, réchappa toujours par miracle dans des circonstances dramatiques et croisa la route de Franco, Truman, Staline, Mao Tsé Toung et Churchill. Grand spécialiste des explosifs, il fit sauter la ville de Vladivostok pour échapper au Goulag et donna la formule de la bombe atomique aux soviétiques. Cela est tellement énorme et tellement invraisemblable que l'on marche à fond et que l'on gobe tout, à la condition d'être bon public et de laisser tout esprit critique et tout cartésianisme au vestiaire. Il faut dire que l'humour et l'esprit déjanté sont tellement présents qu'ils emportent tout sur leur passage pour le plus grand plaisir du lecteur. Un bouquin tonique et revigorant véritable antidote à la morosité ambiante. Il devrait être remboursé par la Sécurité Sociale.
« Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » est à la fois une sorte de conte philosophique et un roman d'aventures aussi picaresques que déjantées rempli de personnages hauts en couleurs et de situations aussi cocasses qu'improbables. En parallèle et en repartant de 1929, l'auteur raconte la vie extraordinaire de ce centenaire qui fit deux fois le tour du monde, réchappa toujours par miracle dans des circonstances dramatiques et croisa la route de Franco, Truman, Staline, Mao Tsé Toung et Churchill. Grand spécialiste des explosifs, il fit sauter la ville de Vladivostok pour échapper au Goulag et donna la formule de la bombe atomique aux soviétiques. Cela est tellement énorme et tellement invraisemblable que l'on marche à fond et que l'on gobe tout, à la condition d'être bon public et de laisser tout esprit critique et tout cartésianisme au vestiaire. Il faut dire que l'humour et l'esprit déjanté sont tellement présents qu'ils emportent tout sur leur passage pour le plus grand plaisir du lecteur. Un bouquin tonique et revigorant véritable antidote à la morosité ambiante. Il devrait être remboursé par la Sécurité Sociale.
Intéressant, hilarant, décapant, explosif !
Critique de Litté (, Inscrit le 8 mars 2014, 61 ans) - 11 mars 2014
Allan Karlsson doit fêter son centième anniversaire. Autant dire qu’il y aura du monde à la maison de retraite, du beau monde même. Mais Allan Karlsson n’est pas comme tout le monde. Allan Karlsson n’a jamais été comme tout le monde. Expert en explosif, il a traversé le siècle en chamboulant le cours de l’histoire, en côtoyant les grands de ce monde, et en n'en faisant toujours qu’à sa tête. Il n’y avait aucune raison pour que cela changeât le jour de son anniversaire.
Hilarant
Critique de MEloVi (, Inscrite le 6 juillet 2011, 40 ans) - 17 décembre 2013
Ce roman est hilarant, nous fait passer un excellent moment et nous fait une petite piqure de rappel de certains faits historiques majeurs du XXème siècle.
Bref, on ne boude pas son plaisir!
A conseiller à tous et toutes!
Bref, on ne boude pas son plaisir!
A conseiller à tous et toutes!
Sympathique mais trop descriptif
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 8 décembre 2013
out d'abord, j'ai bien aimé l'idée de départ. L'histoire de ce centenaire qui s'échappe de sa maison de retraite pour ne pas fêter son anniversaire avec les autres m'a bien plu. C'était drôle et bien pensé. Tout au long de l'aventure, j'ai découvert des événements un peu "loufoques" qui prêtent à sourire et ça j'ai apprécié.
Ensuite, les personnages sont assez excentriques. Que ce soit Allan avec son caractère bien trempé ou encore Julius, Mabelle et les autres, ils sont tous très sympathiques et ont une petite note d'originalité qui donne du piment au récit. Ce petit groupe est exceptionnel. J'ai aussi beaucoup apprécié l'éléphante Sonja et le chien Buster. Ils sont géniaux et provoquent des situations bien rocambolesques par moment surtout Sonja.
Enfin, malgré tous ces points positifs, je suis déçue par ce livre parce qu'il y a trop de longueurs. C'est bien de revenir par moments dans le passé d'Allan mais tout le temps, ça m'a un peu pesée. Surtout qu'on parle beaucoup d'événements historiques. Pour moi, la lecture en est devenue plus difficile car je n'avais pas l'impression d'avancer. Je m'attendais à ce que l'on reste plus dans le présent et qu'on suive le déroulement de la cavale d'Allan. C'est le cas certes, mais pas assez à mon goût. C'est dommage parce que j'aimais vraiment bien le concept de l'histoire.
Ensuite, les personnages sont assez excentriques. Que ce soit Allan avec son caractère bien trempé ou encore Julius, Mabelle et les autres, ils sont tous très sympathiques et ont une petite note d'originalité qui donne du piment au récit. Ce petit groupe est exceptionnel. J'ai aussi beaucoup apprécié l'éléphante Sonja et le chien Buster. Ils sont géniaux et provoquent des situations bien rocambolesques par moment surtout Sonja.
Enfin, malgré tous ces points positifs, je suis déçue par ce livre parce qu'il y a trop de longueurs. C'est bien de revenir par moments dans le passé d'Allan mais tout le temps, ça m'a un peu pesée. Surtout qu'on parle beaucoup d'événements historiques. Pour moi, la lecture en est devenue plus difficile car je n'avais pas l'impression d'avancer. Je m'attendais à ce que l'on reste plus dans le présent et qu'on suive le déroulement de la cavale d'Allan. C'est le cas certes, mais pas assez à mon goût. C'est dommage parce que j'aimais vraiment bien le concept de l'histoire.
Il est rare de lire un livre drôle...
Critique de Odile93 (Epinay sur Seine, Inscrite le 20 décembre 2004, 70 ans) - 5 décembre 2013
... et justement ce livre est plein d'humour, fantaisiste à souhait et même ... explosif!
Ce petit vieux, pauvre pépé, qui se sauve de sa maison de retraite, qui pique en passant une grosse valise, la valise d'un monsieur enfermé dans les toilettes, et voici l'histoire qui commence, une histoire folle qui n'a pas de lien avec la réalité, qu'il faut juste prendre pour ce qu'elle est, une grosse farce.
Et qui est le plus fort des bandits, de la police ou de la bande au petit vieux???? Devinez!
Puisse ce vieillard contrer les préjugés relatifs à l'âge ! (même si l'histoire est abracadabrantesque)
Enfin, j'ai bien ri et je l'apprécie!
Ce petit vieux, pauvre pépé, qui se sauve de sa maison de retraite, qui pique en passant une grosse valise, la valise d'un monsieur enfermé dans les toilettes, et voici l'histoire qui commence, une histoire folle qui n'a pas de lien avec la réalité, qu'il faut juste prendre pour ce qu'elle est, une grosse farce.
Et qui est le plus fort des bandits, de la police ou de la bande au petit vieux???? Devinez!
Puisse ce vieillard contrer les préjugés relatifs à l'âge ! (même si l'histoire est abracadabrantesque)
Enfin, j'ai bien ri et je l'apprécie!
Un pétard mouillé
Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 48 ans) - 5 septembre 2013
J'ai trouvé la mise en route un peu poussive et l'ensemble manquant de rythme. Sans compter les personnages qui sont un peu trop caricaturaux et invraisemblables à mon goût. Il y a un élan et une fraîcheur dans Forrest Gump (avec lequel certains font la comparaison) que je n'ai pas trouvé ici (bon d'accord Allan a 100 ans donc question élan et fraîcheur...). J'avais soif de divertissement, j'y ai à peine posé les lèvres...
papi birthday
Critique de Numanuma (Tours, Inscrit le 21 mars 2005, 51 ans) - 25 juillet 2013
Comme tout le monde, ou presque, j’ai fait la comparaison avec Forrest Gump pour le côté réaliste de scènes qui pourraient être historiques mais qui ne sont que pure fiction. La différence est qu’Allan Emmanuel Karlsson n’est pas légèrement retardé. Au contraire, il a l’esprit vif même si ses centres d’intérêts semblent limités aux explosifs et à la picole. Par contre, les deux personnages partagent une sorte d’éternel optimisme et la chance d’être au bon endroit au bon moment. Même s’il est difficile de voir en quoi se retrouver au goulag est une bonne chose.
Sur sa structure, nous dirons que le roman utilise une méthode éprouvée : un chapitre consacré à l’action en cours, un autre sur la vie passée du héros, les uns éclairant plus ou moins les autres.
Sur l’intrigue, on peut faire simple car le titre pourrait être l’incipit du roman. Le « vieux » en question, Allan Karlsson, ne veut pas fêter ses 100 ans dans la maison de retraite où il est contre son gré. A partir de là s’enchainent divers rebondissements et péripéties plus ou moins farfelus et amusants.
Dans sa fuite de la maison de retraite, Allan se retrouve propriétaire d’une valise contenant des millions de Couronnes qui vont faire l’objet de bien des convoitises de la part des malfrats qui en sont les propriétaires et des policiers bras cassés chargés de retrouver le centenaire.
Comme je l’ai lu, on pourrait s’arrêter ici puisque les divers épisodes de la vie d’Allan n’influencent pas l’intrigue principale. De plus, l’accumulation d’épisodes loufoques (Allan prend le jeune Kim Jong Il sur ses genoux pour le consoler…) peut rapidement devenir étouffante.
Cependant, le côté délirant de l’ensemble garde au roman un équilibre précaire qui flirte dangereusement entre le n’importe quoi organisé et l’enquête comique tant les forces de police sont inefficaces. On peut ajouter que les personnages secondaires sont peu développés tout en gardant à chaque fois un rôle comique particulier.
Les amateurs de romans policiers resteront sur leur faim, c’est entendu. Les fans de romans élaborés également. Les autres, qui seront capables de passer par-dessus le côté abracadabrantesque du roman y trouveront 500 pages de plaisir sans prétention malgré un chapitre 25 particulièrement lourd et long, le vrai point faible du roman.
Sur sa structure, nous dirons que le roman utilise une méthode éprouvée : un chapitre consacré à l’action en cours, un autre sur la vie passée du héros, les uns éclairant plus ou moins les autres.
Sur l’intrigue, on peut faire simple car le titre pourrait être l’incipit du roman. Le « vieux » en question, Allan Karlsson, ne veut pas fêter ses 100 ans dans la maison de retraite où il est contre son gré. A partir de là s’enchainent divers rebondissements et péripéties plus ou moins farfelus et amusants.
Dans sa fuite de la maison de retraite, Allan se retrouve propriétaire d’une valise contenant des millions de Couronnes qui vont faire l’objet de bien des convoitises de la part des malfrats qui en sont les propriétaires et des policiers bras cassés chargés de retrouver le centenaire.
Comme je l’ai lu, on pourrait s’arrêter ici puisque les divers épisodes de la vie d’Allan n’influencent pas l’intrigue principale. De plus, l’accumulation d’épisodes loufoques (Allan prend le jeune Kim Jong Il sur ses genoux pour le consoler…) peut rapidement devenir étouffante.
Cependant, le côté délirant de l’ensemble garde au roman un équilibre précaire qui flirte dangereusement entre le n’importe quoi organisé et l’enquête comique tant les forces de police sont inefficaces. On peut ajouter que les personnages secondaires sont peu développés tout en gardant à chaque fois un rôle comique particulier.
Les amateurs de romans policiers resteront sur leur faim, c’est entendu. Les fans de romans élaborés également. Les autres, qui seront capables de passer par-dessus le côté abracadabrantesque du roman y trouveront 500 pages de plaisir sans prétention malgré un chapitre 25 particulièrement lourd et long, le vrai point faible du roman.
happy birthday
Critique de Fanou03 (*, Inscrit le 13 mars 2011, 49 ans) - 18 juin 2013
Je suis globalement mitigé sur ce roman. Certains passages sont vraiment très drôles, les personnages sont déjantés et savoureux. En particulier, les bras cassés qui essaient de mettre la main sur le centenaire m’ont fait beaucoup rire. Les chapitres montrant Allan côtoyant les grands de ce monde sont très réjouissants également. Mais ces rencontres finissent par devenir presque ridicules et lassantes. Plus grave, elles prennent le dessus sur le récit principal, qui du coup baisse dangereusement de rythme. La fin s’éternise, en particulier le mensonge des protagonistes au procureur, partie que j’ai trouvé inutilement longue et pas très inspirée.
Drôle, farfelu, original : j’en redemande !
Critique de Bigoodi (, Inscrite le 8 février 2009, 57 ans) - 23 mars 2013
On rigole du début à la fin !!!!
Si vous aimez les road movies, vous apprécierez sans doute cette espèce de ‘road book’ scandinave, plein de personnages plus loufoques les uns que les autres.
Bon, c’est sûr, il ne faut pas être trop attaché à la vérité historique... Mais y en t’il une de toutes façons ?
Je ne suis pas franchement branchée policiers, mais cette fois, je me suis franchement régalée !
Si vous aimez les road movies, vous apprécierez sans doute cette espèce de ‘road book’ scandinave, plein de personnages plus loufoques les uns que les autres.
Bon, c’est sûr, il ne faut pas être trop attaché à la vérité historique... Mais y en t’il une de toutes façons ?
Je ne suis pas franchement branchée policiers, mais cette fois, je me suis franchement régalée !
Du temps perdu...
Critique de Yotoga (, Inscrite le 14 mai 2012, - ans) - 14 février 2013
Ce livre est un roman policier avec trois meurtres à résoudre pour les policiers qui cherchent parallèlement le centenaire, sans voir de liens entre les crimes et sa disparition. Cette histoire correspond quantitativement à 90% du récit. Et l'auteur aurait pu s’arrêter là parce que cette partie est presque drôle.
Ce livre est aussi un roman sur certains faits historiques du siècle dernier : on passe de la Suède à la guerre en Espagne, la course à la bombe atomique aux USA, on passe par la Russie communiste au goulag, la Chine et le Tibet, pour se retrouver à Paris en mai 68... Le centenaire est ami avec les plus grands de ce monde, les liens sont tirés par les cheveux et l'histoire est simple au possible.... Finalement, une histoire d'agent secret pour en remettre une couche... non franchement...
Le style n'est pas critiquable puisque c'est une traduction.
Le fond est nul.
Ce livre est aussi un roman sur certains faits historiques du siècle dernier : on passe de la Suède à la guerre en Espagne, la course à la bombe atomique aux USA, on passe par la Russie communiste au goulag, la Chine et le Tibet, pour se retrouver à Paris en mai 68... Le centenaire est ami avec les plus grands de ce monde, les liens sont tirés par les cheveux et l'histoire est simple au possible.... Finalement, une histoire d'agent secret pour en remettre une couche... non franchement...
Le style n'est pas critiquable puisque c'est une traduction.
Le fond est nul.
Jouissif !
Critique de Pierraf (Paimpol, Inscrit le 14 août 2012, 67 ans) - 19 janvier 2013
quel plaisir que ce livre sans prétention. C'est plein d'humour, ça se prend pas la tête, ça se lit comme on boit un bon vin. C'est très imaginatif, l'histoire de cette équipe de "délinquants" jouisseurs de la vie qui se constitue au fil des pages est vraiment originale. Et les aventures de Allan à travers les grands évènements du XXième siècle sont carrément délirantes.
Blops !
Critique de Catinus (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans) - 17 janvier 2013
Hélas, et je n’en cerne pas vraiment les raisons, je ne suis jamais rentré dans le roman que je me réjouissais de lire à la lecture de critiques élogieuses de certains d'entre vous. J’ai même décidé d’abandonner la lecture à la moitié de l’histoire (ce qui est assez rare).
Tant pis ! Passons à autres choses. >>>>
Road movie scandinave
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 4 janvier 2013
Adepte d’une littérature scandinave décalée et de son maître incontesté Arto Paasilinna, ce roman m’avait été recommandé. Comme l’auteur y fait référence et semble donc l’autoriser, son humour et le récit est fort semblable à ce qu’on peut retrouver dans les meilleurs romans de l’œuvre du Finlandais. Je me suis même surpris à attraper un fou rire à la fin du livre lorsque le héros et sa bande de joyeux drilles relatent leur version arrangée des faits au représentant de la justice. Un point négatif tout de même est que ce road movie est sans arrêt interrompu par le flashback découpé de la vie du héros de sa naissance jusqu’à son entrée en maison de retraite. Ce style littéraire casse le rythme de l’histoire et n’apporte pas suffisamment d’éléments pour considérer qu’il s’agissait de la bonne option littéraire. Il s’agit donc d’un bon bouquin sans prétention mais qui aurait pu être plus court.
Forest Gump a la vieux ! Terrible !
Critique de Portax (, Inscrit le 14 décembre 2012, 33 ans) - 17 décembre 2012
J'avais pris ce livre car je le voyais pas mal de fois dans chaque magasin au plus haut des classements et j'ai compris pourquoi en le lisant !
C'est décalé, disjoncté, jouissif avec de l'humour noir comme on aime sans trop l'être mais ça dépend dans quelles scène aussi. Ça m'a fait rappeler Forest Gump, le fait de se retrouver dans un endroit à l'autre sans prendre conscience de ses choix "je le fais parce qu'on me l'a demandé", vraiment des personnages plus simples qu'eux ça n'existe pas.
L'histoire joue à la fois sur le présent et son passé, bien interagit, on découvre sa personnalité et les personnalités importantes qu'il rencontre (comme dans Forest Gump) puis rajouter cela un cocktail explosif car le vieux en est un !
Enfin je m'exprime mal certainement mais je vous le conseille vivement pour ceux qui veulent pas se prendre la tête et se laisser conduire dans cette histoire délirante du premier roman de cet auteur que j'espère continuera à nous faire lire des chef d'œuvres comme ce bon vieux Allan... Joyeux anniversaire !
C'est décalé, disjoncté, jouissif avec de l'humour noir comme on aime sans trop l'être mais ça dépend dans quelles scène aussi. Ça m'a fait rappeler Forest Gump, le fait de se retrouver dans un endroit à l'autre sans prendre conscience de ses choix "je le fais parce qu'on me l'a demandé", vraiment des personnages plus simples qu'eux ça n'existe pas.
L'histoire joue à la fois sur le présent et son passé, bien interagit, on découvre sa personnalité et les personnalités importantes qu'il rencontre (comme dans Forest Gump) puis rajouter cela un cocktail explosif car le vieux en est un !
Enfin je m'exprime mal certainement mais je vous le conseille vivement pour ceux qui veulent pas se prendre la tête et se laisser conduire dans cette histoire délirante du premier roman de cet auteur que j'espère continuera à nous faire lire des chef d'œuvres comme ce bon vieux Allan... Joyeux anniversaire !
De l'énergie et de la bonne humeur
Critique de Olivierbionic83 (, Inscrit le 15 décembre 2012, 60 ans) - 15 décembre 2012
Histoire totalement burlesque faisant penser à Dustin Hoffman dans Little Big Man. Une aventure totalement sidérante et tellement amusante qui débute par une grande lucidité sur le but réel de la vie. Incroyable ce vieux ! Et merci à l'auteur pour la fraicheur du ton maintenue tout au long de ce livre réellement haletant. A lire sans chichis, pour un excellent moment dans un après-midi d'hiver...
Décalé
Critique de Ndeprez (, Inscrit le 22 décembre 2011, 48 ans) - 11 novembre 2012
La 4eme de couverture fait référence au Monthy Python et la comparaison , bien qu'à mes yeux la bande de comiques britanniques est bien supérieure, est plutôt bien vue.
Des situations cocasses , légères plein de loufoqueries sont distillées au gré des pages de ce livre qui , si vous êtes sensible à l'humour décalé, vous donnera pleine satisfaction.
On s'attache très vite à ce centenaire à la morale pourtant plus que douteuse, légèrement alcoolique qui au fil de sa vie sera amené à rencontrer les grands dirigeants (Truman , Mao , Churchill, Franco et Staline) et à ses acolytes qui ont tous des personnalités quelque peu singulières.
Des situations cocasses , légères plein de loufoqueries sont distillées au gré des pages de ce livre qui , si vous êtes sensible à l'humour décalé, vous donnera pleine satisfaction.
On s'attache très vite à ce centenaire à la morale pourtant plus que douteuse, légèrement alcoolique qui au fil de sa vie sera amené à rencontrer les grands dirigeants (Truman , Mao , Churchill, Franco et Staline) et à ses acolytes qui ont tous des personnalités quelque peu singulières.
Un vieux qui dynamite. Explosif!
Critique de Hamilcar (PARIS, Inscrit le 1 septembre 2010, 69 ans) - 8 novembre 2012
Allan Karlsson, centenaire échappé de son asile, restera pour moi une sorte de super héros qui a tout pour rivaliser avec les fantastiques échappés de Marvel. On l'imagine en pyjama et pantoufles affronter le monde, du haut de son siècle consommé, enrichi de ses rencontres avec les plus illustres dirigeants de la planète. Allan Karlsson super star! Enfin un personnage qui embarque, déjanté certes, mais ce siècle ne l'était-il pas? Pour qui aime l'humour décalé, noir et réjouissant, Allan Karlsson vous fera fuguer de votre asile personnel. Un régal. Vivement une suite, quand Allan ne voudra pas fêter son bicentenaire!
Déjanté et farfelu ! J'adore !
Critique de Nola Tagada (Paris, Inscrite le 22 octobre 2012, 39 ans) - 22 octobre 2012
J’avoue ce qui m’a fait choisir ce livre c’est son titre que je trouve complètement farfelu et qui m’a tout de suite accroché, la couverture du bouquin qui s’accorde parfaitement avec le titre et puis le fait que l’auteur soit suédois car j’aime bien les auteurs suédois en général.
Résultat : un cocktail de récits plus dingues les uns que les autres, c’est farfelu, improbable, rigolo, quelle imagination de la part de l’auteur ! C’est une lecture qui mettra du baume au coeur !
Allan Karlsson fête ses 100 ans lorsqu’il décide sur un coup de tête de s’échapper de sa maison de retraite. Pour l’événement, la presse locale et la télévision sont là. Lorsque Soeur Alice découvre qu’Allan a disparu, cela provoque rapidement un véritable tollé médiatique bientôt suivi par toute la Suède. Où est passé notre vieillard centenaire alors simplement équipé de ses charentaises ?
Sa petite balade se transforme en véritable cavale lorsqu’il emporte presque par “inadvertance” une valise remplie de millions de couronnes. Poursuivi par les propriétaires de cette valise, il va alors se constituer une petite troupe, ma foi fort sympathique, avec laquelle il va décider de finir ses vieux jours et d’en finir avec ses poursuivants…
Le livre alterne entre les épisodes de la vie d’Allan et sa cavale. On perçoit mieux l’animal et on a droit à un portrait accéléré sympatoche du XXème siècle.
J’ai aimé l’histoire complètement déjantée, improbable, loufoque et rigolote de cet homme : Allan Karlsson. J’ai aimé sa personnalité simple, détachée de la réalité qui se laisse porter par la vie et ses événements : “Les choses sont ce qu’elles sont et doivent se passer comme elles se passent. ”. J’ai aimé comment il vole une valise pleine de millions de couronnes sans se soucier des conséquences et sa cavale complètement dingue et tirée par les cheveux. J’ai aimé tous les personnages qui ont fait partie de cette histoire parce qu’ils sont tous totalement barrés et que ça change de ce qu’on lit d’habitude. Big up à Sonja l’éléphante !! Je salue tout particulièrement l’imagination débordante de Jonas Jonasson, avec qui on ne doit pas s’ennuyer !!
Seul point noir : j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs. Les introspections dans la vie d’Allan Karlsson sont trop longues et disproportionnées par rapport au récit de la cavale. Le fait que tout soit complètement loufoque devient un peu fatigant à la longue.
Pour conclure je dirais que le positif l’emporte, au moins pour l’imagination hallucinante de Jonas Jonasson. Même si rien n’est vraiment plausible, ce n’est pas très grave, on rit et on s’étonne de chaque nouvelle invention de notre personnage et de ses collègues improbables !
Résultat : un cocktail de récits plus dingues les uns que les autres, c’est farfelu, improbable, rigolo, quelle imagination de la part de l’auteur ! C’est une lecture qui mettra du baume au coeur !
Allan Karlsson fête ses 100 ans lorsqu’il décide sur un coup de tête de s’échapper de sa maison de retraite. Pour l’événement, la presse locale et la télévision sont là. Lorsque Soeur Alice découvre qu’Allan a disparu, cela provoque rapidement un véritable tollé médiatique bientôt suivi par toute la Suède. Où est passé notre vieillard centenaire alors simplement équipé de ses charentaises ?
Sa petite balade se transforme en véritable cavale lorsqu’il emporte presque par “inadvertance” une valise remplie de millions de couronnes. Poursuivi par les propriétaires de cette valise, il va alors se constituer une petite troupe, ma foi fort sympathique, avec laquelle il va décider de finir ses vieux jours et d’en finir avec ses poursuivants…
Le livre alterne entre les épisodes de la vie d’Allan et sa cavale. On perçoit mieux l’animal et on a droit à un portrait accéléré sympatoche du XXème siècle.
J’ai aimé l’histoire complètement déjantée, improbable, loufoque et rigolote de cet homme : Allan Karlsson. J’ai aimé sa personnalité simple, détachée de la réalité qui se laisse porter par la vie et ses événements : “Les choses sont ce qu’elles sont et doivent se passer comme elles se passent. ”. J’ai aimé comment il vole une valise pleine de millions de couronnes sans se soucier des conséquences et sa cavale complètement dingue et tirée par les cheveux. J’ai aimé tous les personnages qui ont fait partie de cette histoire parce qu’ils sont tous totalement barrés et que ça change de ce qu’on lit d’habitude. Big up à Sonja l’éléphante !! Je salue tout particulièrement l’imagination débordante de Jonas Jonasson, avec qui on ne doit pas s’ennuyer !!
Seul point noir : j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs. Les introspections dans la vie d’Allan Karlsson sont trop longues et disproportionnées par rapport au récit de la cavale. Le fait que tout soit complètement loufoque devient un peu fatigant à la longue.
Pour conclure je dirais que le positif l’emporte, au moins pour l’imagination hallucinante de Jonas Jonasson. Même si rien n’est vraiment plausible, ce n’est pas très grave, on rit et on s’étonne de chaque nouvelle invention de notre personnage et de ses collègues improbables !
Très hilarante fantaisie burlesque !
Critique de Ori (Kraainem, Inscrit le 27 décembre 2004, 88 ans) - 20 octobre 2012
Même si je ne prise pas particulièrement la loufoquerie en matière de roman, je me dois de reconnaître un génie certain dans le déroulement de cet ouvrage dont le héros, à quelques minutes d’être fêté pour ses 100 ans par les pensionnaires de sa résidence, décide de ‘se faire la belle’ !
Tout au long de sa fuite, notre homme, extraordinairement dynamique, rencontrera des personnages divers, louches ou paumés, et qui tous ensemble finiront par s’agréger en un groupe d’inséparables amis, faisant face à l’adversité mais aussi … à la Justice, à cause d’une valise bourrée d’argent sale, trouvée sur leur chemin !
A intervalles réguliers, ce récit est interrompu par des retours en arrière, racontant la vie mouvementée de notre héros, lequel, parcourant le monde, s’était trouvé en contact avec quelques services secrets et chefs d’Etat divers, dont Truman, Staline et Mao, du fait de son expertise en … matière nucléaire !
A noter que ce roman farfelu, fort bien traduit, et aussi délirant que sympathique, a été écrit par un suédois à l’humour … infiniment british !
Tout au long de sa fuite, notre homme, extraordinairement dynamique, rencontrera des personnages divers, louches ou paumés, et qui tous ensemble finiront par s’agréger en un groupe d’inséparables amis, faisant face à l’adversité mais aussi … à la Justice, à cause d’une valise bourrée d’argent sale, trouvée sur leur chemin !
A intervalles réguliers, ce récit est interrompu par des retours en arrière, racontant la vie mouvementée de notre héros, lequel, parcourant le monde, s’était trouvé en contact avec quelques services secrets et chefs d’Etat divers, dont Truman, Staline et Mao, du fait de son expertise en … matière nucléaire !
A noter que ce roman farfelu, fort bien traduit, et aussi délirant que sympathique, a été écrit par un suédois à l’humour … infiniment british !
Un peu niais quand même !
Critique de Elle291 (, Inscrite le 26 septembre 2011, 32 ans) - 17 septembre 2012
Alan Karsson, fraîchement centenaire, s'échappe de sa maison de retraite pour une énième aventure burlesque, rocambolesque, rafraîchissante... : on est séduit par l'entreprise, cette cavale improbable qui se déroule sous nos yeux.
Pourtant cette légèreté du récit, l'empilement de situations de plus en plus naïves et tarabiscotées, finit immanquablement par lasser. L'écriture est tout aussi niaise et le simplisme ambiant qui transpire de ce livre ne charme qu'un temps.
On devient alors pressé de tourner les dernières pages et d'achever la lecture d'un livre d'abord plaisant, puis lassant et enfin franchement niais !
Pourtant cette légèreté du récit, l'empilement de situations de plus en plus naïves et tarabiscotées, finit immanquablement par lasser. L'écriture est tout aussi niaise et le simplisme ambiant qui transpire de ce livre ne charme qu'un temps.
On devient alors pressé de tourner les dernières pages et d'achever la lecture d'un livre d'abord plaisant, puis lassant et enfin franchement niais !
Drôle, tout simplement
Critique de Didou7 (, Inscrit le 13 septembre 2012, 58 ans) - 13 septembre 2012
C'est sûr, il faut se laisser transporter par les situations invraisemblables dans lesquelles se retrouve ce centenaire. Mais si on y arrive, alors on passe de bons moments. Le final où ce bon vieux Allan explique son histoire au procureur Ranelid, le rendant à moitié fou, est excellent.
Un air léger
Critique de GiLau (Annecy, Inscrite le 18 septembre 2010, 61 ans) - 1 septembre 2012
Des éclats de rire au coeur d'une histoire rocambolesque.
Si vous avez aimé Forest Gump, alors ce livre est fait pour vous sans hésitation !
Je n'apprécie pas ce genre d'histoire et n'ai donc pas été emportée.
Si vous avez aimé Forest Gump, alors ce livre est fait pour vous sans hésitation !
Je n'apprécie pas ce genre d'histoire et n'ai donc pas été emportée.
Paasilina a trouvé un rival
Critique de Florian1981 (, Inscrit le 22 octobre 2010, 43 ans) - 18 juillet 2012
C'est l'histoire d'un presque centenaire qui s'échappe de sa maison de retraite et qui pique une valise bourrée de billets à un gangster qui va tout faire pour le rattraper! Chemin faisant, notre ancêtre va s'acoquiner avec des acolytes tous plus improbables les uns que les autres et se débarrasser des nuisibles, sans vraiment le faire exprès, un peu à la manière de La Douce Empoisonneuse de Paasilina.
Si sa vie présente est trépidante, on suit également toute son histoire passée dans laquelle il a rencontré Truman, Mao Zedong, Staline, De Gaulle et j'en passe! Ca a l'air tiré par les cheveux, ça l'est d'ailleurs un peu, mais c'est bien amené donc ça se digère pas trop mal!
On passe un bon moment avec notre vaillant centenaire qui nous arrache bien des sourires, mais plus on avance dans le livre, plus ça devient exagéré et "too much" on finit par ne plus vouloir y croire malgré la meilleure volonté! Un peu dommage! Malgré tout, une bonne surprise et un livre bien rafraichissant! Comme quoi il faut toujours se méfier des vieux :p
Si sa vie présente est trépidante, on suit également toute son histoire passée dans laquelle il a rencontré Truman, Mao Zedong, Staline, De Gaulle et j'en passe! Ca a l'air tiré par les cheveux, ça l'est d'ailleurs un peu, mais c'est bien amené donc ça se digère pas trop mal!
On passe un bon moment avec notre vaillant centenaire qui nous arrache bien des sourires, mais plus on avance dans le livre, plus ça devient exagéré et "too much" on finit par ne plus vouloir y croire malgré la meilleure volonté! Un peu dommage! Malgré tout, une bonne surprise et un livre bien rafraichissant! Comme quoi il faut toujours se méfier des vieux :p
sacré allan !
Critique de Gardigor (callian, Inscrit le 27 avril 2011, 47 ans) - 4 juillet 2012
ça part vite et bien, ça sent l'originalité nordique mais ça s'essouffle malheureusement aussi vite.
certes on voyage beaucoup tout au long du XXème siècle et les rencontres sont parfois longues mais intéressantes mais du coup l'histoire de base est oubliée et la succession d'histoires ne permet pas à ce livre d'avoir sa propre histoire.
j'ai ri au début mais j'avais surtout hâte de tourner les dernières pages faute d'avoir une histoire crédible et intéressante.
certes on voyage beaucoup tout au long du XXème siècle et les rencontres sont parfois longues mais intéressantes mais du coup l'histoire de base est oubliée et la succession d'histoires ne permet pas à ce livre d'avoir sa propre histoire.
j'ai ri au début mais j'avais surtout hâte de tourner les dernières pages faute d'avoir une histoire crédible et intéressante.
déboussolé
Critique de Gg de coat canton (, Inscrit le 30 septembre 2009, 84 ans) - 20 juin 2012
Un début plus qu'amusant puis des situations trop énormes si bien qu'on se lasse et on a le sentiment de perdre son temps.
Du pur bonheur !
Critique de DE GOUGE (Nantes, Inscrite le 30 septembre 2011, 68 ans) - 26 mai 2012
Du déjanté complet qui nous fait revisiter, gauloisement, les grands personnages du XXème à travers un héros hors norme ! De l'humour, qui ne se prend pas au sérieux, à chaque page ! La rencontre improbable de personnages "à côté de leurs pompes" !
Bref, du vrai plaisir ! Faut-il en dire plus ?
Pour ceux qui aiment rire et ne se prennent pas au sérieux, pour ceux qui sont prêts à se lancer dans une aventure sans crédibilité mais, à la fois fraîche et "réchauffée" !
Décidément, cette littérature nordique est stupéfiante et combien, heureuse !
Bref, du vrai plaisir ! Faut-il en dire plus ?
Pour ceux qui aiment rire et ne se prennent pas au sérieux, pour ceux qui sont prêts à se lancer dans une aventure sans crédibilité mais, à la fois fraîche et "réchauffée" !
Décidément, cette littérature nordique est stupéfiante et combien, heureuse !
Bébête mais divertissant
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 21 mai 2012
Ma première pensée va à Paasilinna, franchement ce roman est digne de l'auteur finlandais, l'humour scandinave, le côté naïf, les personnages très originaux, la trame un peu grossière, j'ai vraiment cru lire un opus du célèbre auteur du "lièvre de Vatanen".
Cependant je ne sais pas, peut être est-ce l'approche de la trentaine (?!), mais j'adhère de moins en moins à ce genre d'ouvrages. Le livre est divertissant, parfois marrant mais les ficelles sont vraiment trop grosses et certains traits des personnages vraiment trop caricaturaux, je pense notamment à Amanda et Herbert Einstein. Évidemment lorsque l'on entame un roman de ce genre on ne s'attend pas à de la grande littérature donc pas de déception de ce point de vue là, mais je ne sais comment l'expliquer, j'ai eu l'impression de perdre mon temps à lire ce livre, fort divertissant et agréable à lire au demeurant.
En tout cas pour les lecteurs recherchant une lecture récréative et originale, ce livre est tout indiqué, mais pour ma part je n’en ferais pas tout un plat.
Cependant je ne sais pas, peut être est-ce l'approche de la trentaine (?!), mais j'adhère de moins en moins à ce genre d'ouvrages. Le livre est divertissant, parfois marrant mais les ficelles sont vraiment trop grosses et certains traits des personnages vraiment trop caricaturaux, je pense notamment à Amanda et Herbert Einstein. Évidemment lorsque l'on entame un roman de ce genre on ne s'attend pas à de la grande littérature donc pas de déception de ce point de vue là, mais je ne sais comment l'expliquer, j'ai eu l'impression de perdre mon temps à lire ce livre, fort divertissant et agréable à lire au demeurant.
En tout cas pour les lecteurs recherchant une lecture récréative et originale, ce livre est tout indiqué, mais pour ma part je n’en ferais pas tout un plat.
Sympathique
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 5 mai 2012
Ce livre est plein d'humour, et l'on passe un agréable moment à le lire. J'ai beaucoup apprécié les chapitres qui racontent la vie d'Allan : un bon moyen de rappeler les grands événement du XXème siècle de manière ludique. J'ai par contre moins aimé les parties se passant de nos jours, juste après la fuite d'Allan de la maison de retraite. Tout, que ce soit dans les scènes du passé ou du présent, est très exagéré, mais il suffit de se prendre au jeu et d'entrer dans l'univers de l'auteur, pour que ce soit drôle et sympathique.
Humour, clin d'oeil et fantaisie
Critique de CHALOT (Vaux le Pénil, Inscrit le 5 novembre 2009, 76 ans) - 5 avril 2012
L'histoire de l'humanité est revisitée, pour le plaisir du lecteur...C'est abracadabrant, amusant, parfois explosif et jamais ennuyeux.
C'est ainsi que le lecteur incrédule mais conquis va apprendre comment un quidam quelque peu déjanté mais fort sympathique a pu fréquenter les plus grands de ce monde ...Truman, Staline, Mao et beaucoup d'autres ont ainsi pu rencontrer le héros de notre histoire.
Il est vrai qu'Allan Karlsson, presque centenaire de son état au début de l'histoire a eu une vie très remplie et très longue....
Mais attendez un peu, tout d'abord Allan en a assez de la maison de retraite où les petites joies et escapades sont interdites, il ne laissera pas la cérémonie de son anniversaire avoir lieu en présence de tous les officiels présents.
Il se fait la belle et en chemin récupère une valise pleine ce couronnes suédoises...
En cavale, poursuivi par des malfaiteurs qui veulent récupérer leur magot et par la police lancée à sa recherche, il va se constituer une petite collection de complices, pour le meilleur et très peu pour le pire.
A 100 ans la vie ne prend pas fin, elle continue et prend même un nouveau départ. Je suis sûr de votre incrédulité.... Vous me croyez pas ? Eh bien venez accompagner la nouvelle bande constituée.
Vous décrouvirez un vendeur de saucisses plus que surdiplômé et même une éléphante....
Histoire désopilante...Tenez bien votre livre . D'ailleurs vous ne le lâcherez pas facilement.
Jean-François Chalot
Idéal pour décompresser
Critique de Seb (, Inscrit le 24 août 2010, 47 ans) - 3 avril 2012
Si vous avez aimé Forrest Gump, vous adorerez ce roman. Les personnages sont attachants, le scénario est fluide et la lecture se fait assez rapidement. Les flash-back passent plutôt bien et le happy-end est au rendez-vous.
Alors certes on peut penser que certaines situations sont des plus abracadabrantesques mais la naïveté du personnage et le sentiment de sympathie qu'il inspire nous aident à faire passer les imbroglios historiques. je recommande cette lecture pour celles et ceux qui souhaitent passer du bon temps sur une plage de sable blanc à siroter un cocktail coloré avec ou sans parasol.. c'est selon...
Alors certes on peut penser que certaines situations sont des plus abracadabrantesques mais la naïveté du personnage et le sentiment de sympathie qu'il inspire nous aident à faire passer les imbroglios historiques. je recommande cette lecture pour celles et ceux qui souhaitent passer du bon temps sur une plage de sable blanc à siroter un cocktail coloré avec ou sans parasol.. c'est selon...
« Je n'ai pas toujours eu cent ans... »
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 25 mars 2012
… c'est même assez récent. »
C'est donc dans une drôle de cavale que nous emmène l'auteur à travers la Suède.
Se sauver de la maison de retraite n'était peut-être pas une mauvaise idée, mais partir avec une valise remplie de l'argent issu d'un trafic de drogue l'était assurément. Allan Karlsson, sans jamais rien préméditer, va de rencontre en rencontre, l'argent lui permettant de faire changer le cours de certaines vies humaines et animales sans malheureusement pouvoir éviter quelques cadavres.
Mais un homme de cent ans a forcément vécu de nombreux événements que nous suivrons en alternance avec son curieux périple.
Nous y apprendrons les responsabilités de ce pauvre artificier dans le cours de l'histoire mondiale; tutoyant tour à tour les plus grands de ce monde: de Harry Truman au général Franco, de Tchang Kaï-Chek à Staline, de Kim- Jong-Il à De Gaulle et bien d'autres encore...
Un roman jubilatoire et déjanté, dont le ton ne peut que nous rappeler l'univers si particulier de Paasilinna.
Des passages hilarants (un meurtre par éléphant interposé, la confession de Karlsson auprès du procureur... ) quelques leçons de savoir-vivre longtemps ou plutôt l'art d'éviter la politique (« La politique est l'art de faire attention où on met les pieds. ») font de la lecture de ce roman un moment très plaisant.
Cependant la multiplicité des personnages et la lecture de leur curriculum vitae complet m'ont quelquefois fait regretter que le héros ait une vie aussi longue.
C'est donc dans une drôle de cavale que nous emmène l'auteur à travers la Suède.
Se sauver de la maison de retraite n'était peut-être pas une mauvaise idée, mais partir avec une valise remplie de l'argent issu d'un trafic de drogue l'était assurément. Allan Karlsson, sans jamais rien préméditer, va de rencontre en rencontre, l'argent lui permettant de faire changer le cours de certaines vies humaines et animales sans malheureusement pouvoir éviter quelques cadavres.
Mais un homme de cent ans a forcément vécu de nombreux événements que nous suivrons en alternance avec son curieux périple.
Nous y apprendrons les responsabilités de ce pauvre artificier dans le cours de l'histoire mondiale; tutoyant tour à tour les plus grands de ce monde: de Harry Truman au général Franco, de Tchang Kaï-Chek à Staline, de Kim- Jong-Il à De Gaulle et bien d'autres encore...
Un roman jubilatoire et déjanté, dont le ton ne peut que nous rappeler l'univers si particulier de Paasilinna.
Des passages hilarants (un meurtre par éléphant interposé, la confession de Karlsson auprès du procureur... ) quelques leçons de savoir-vivre longtemps ou plutôt l'art d'éviter la politique (« La politique est l'art de faire attention où on met les pieds. ») font de la lecture de ce roman un moment très plaisant.
Cependant la multiplicité des personnages et la lecture de leur curriculum vitae complet m'ont quelquefois fait regretter que le héros ait une vie aussi longue.
Super !
Critique de Cecezi (Bourg-en-Bresse, Inscrit le 3 mars 2010, 44 ans) - 22 février 2012
Et quand on pense que c’est à cause d’Allan Karlsonn, notre fringant centenaire, que Staline est mort d’une crise cardiaque… Il faut dire qu’après lui avoir conseillé de raser sa moustache et avoir détruit Vladivostok… C’est même aussi à cause de lui que le scandale du Watergate a mis à mal Nixon…
L’histoire du XXè siècle revisitée façon Jonasson vaut la peine d’être traversée. C’est un roman souriant, positif et même instructif. On suit avec bonheur le périple d’Allan et de ses amis de fortune et d’infortune. Les événements s’enchainent dans un vrai tourbillon, avec des conséquences parfois… inattendues.
Un roman vivement conseillé !
L’histoire du XXè siècle revisitée façon Jonasson vaut la peine d’être traversée. C’est un roman souriant, positif et même instructif. On suit avec bonheur le périple d’Allan et de ses amis de fortune et d’infortune. Les événements s’enchainent dans un vrai tourbillon, avec des conséquences parfois… inattendues.
Un roman vivement conseillé !
la dérision
Critique de Emilien (, Inscrit le 7 janvier 2012, 42 ans) - 7 janvier 2012
quelle œuvre ! oui quelle œuvre !
l'un des rares livres à m'avoir fait rire toute les deux/trois pages.
l'histoire d'un centenaire qui ne voulait pas fêter son anniversaire à la maison de retraite, prétexte à une rétrospective loufoque, "historique" et véritablement hilarante.
à lire sans hésitation, c'est un véritable chef d'œuvre
l'un des rares livres à m'avoir fait rire toute les deux/trois pages.
l'histoire d'un centenaire qui ne voulait pas fêter son anniversaire à la maison de retraite, prétexte à une rétrospective loufoque, "historique" et véritablement hilarante.
à lire sans hésitation, c'est un véritable chef d'œuvre
Voyage déjanté à travers l’Histoire contemporaine
Critique de Isad (, Inscrite le 3 avril 2011, - ans) - 15 octobre 2011
Le récit alterne entre la vie d’Allan, centenaire apolitique et manipulateur d’explosif qui a donné le coup de pouce pour réaliser la bombe atomique et a connu par hasard beaucoup de chefs d’État et sa fuite rocambolesque de la maison de retraite où il réside depuis peu. Sans réfléchir, il s’empare d’une valise à la gare routière, sera poursuivi par des malfrats qui veulent la récupérer mais se fera de nombreux amis atypiques en partageant l’argent qu’elle contient.
J’ai été parfois un peu agacée par l’inconscience de certains protagonistes dont les traits sont grossis de façon outrancière. Mais les personnages deviennent souvent sympathiques du fait de leur naïveté et leur naturel amoral qui fait à la fois sourire et grincer des dents.
Ce livre est un objet insolite qui montre aussi que les grandes stratégies politiques ou les impulsions peuvent avoir les mêmes résultats désastreux. L’histoire est aussi une sorte d’hymne au fait de se satisfaire de prendre la vie comme elle vient.
IF-1011-3792
J’ai été parfois un peu agacée par l’inconscience de certains protagonistes dont les traits sont grossis de façon outrancière. Mais les personnages deviennent souvent sympathiques du fait de leur naïveté et leur naturel amoral qui fait à la fois sourire et grincer des dents.
Ce livre est un objet insolite qui montre aussi que les grandes stratégies politiques ou les impulsions peuvent avoir les mêmes résultats désastreux. L’histoire est aussi une sorte d’hymne au fait de se satisfaire de prendre la vie comme elle vient.
IF-1011-3792
moins enthousiaste
Critique de Mayfair (Distroff, Inscrite le 30 mars 2007, 51 ans) - 10 octobre 2011
Le livre est plaisant, le personnage sympathique. Il est vrai qu'il lui arrive plein d'aventures. En même temps, en cent ans, c'est un peu normal...
Cependant j'ai trouvé un peu exagéré que le centenaire ait rencontré et/ou se soit lié d'amitié avec la plupart des grands pontes du XXe siècle, de De Gaulle à Mao en passant par Franco, Lénine, Churchill, Truman etc.
De plus j'avoue ne pas apprécier particulièrement les romans où on fait sans cesse des retours en arrière et des bonds en avant...
Cependant j'ai trouvé un peu exagéré que le centenaire ait rencontré et/ou se soit lié d'amitié avec la plupart des grands pontes du XXe siècle, de De Gaulle à Mao en passant par Franco, Lénine, Churchill, Truman etc.
De plus j'avoue ne pas apprécier particulièrement les romans où on fait sans cesse des retours en arrière et des bonds en avant...
Jubilatoire!
Critique de Petiteka (, Inscrite le 5 novembre 2009, 47 ans) - 23 septembre 2011
J'ai passé un excellent moment en compagnie d'Allan Karlsson, centenaire au destin si hors du commun! Comme le dit si bien Amnesik, il y a du Forest Gump dans ce personnage! Histoire bien écrite, beaucoup d'humour, clins d'oeil divers par rapport à l'Histoire... Jonas Jonasson réussit à nous divertir et nous faire rire, un vrai régal.
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