Le souffle de l'ogre de Brigitte Aubert
Catégorie(s) : Littérature => Francophone , Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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au plaisir des contes...
Vous n'avez jamais eu peur en écoutant les contes de Perrault ou de Grimm lorsque vous aviez cinq ou six ans? Bravo, quel courage!!Alors lisez "Le souffle de l'Ogre" et osez dire encore que le pays des contes est un merveilleux paradis. Brigitte Aubert, qui a délaisse un instant le thriller pour le merveilleux (que les amateurs de SF appellent "heroic fantasy"), fait feu de tout bois en mêlant tous nos héros de la petite enfance, avec quelques réminiscences du marquis de Sade et de Lucrèce Borgia, dans une histoire hautement rocambolesque se situant dans un Moyen-Âge imaginaire. Sept, un enfant d'une dizaine d'années, accompagné de son frère Un et à la tête d'une petite troupe hétéroclite rassemblée au hasard de maintes péripéties, traverse le pays d'Avant, avec à ses basques une horde d'ennemis tous plus cruels les uns que les autres. On n'y croit pas un instant, mais c'est le genre qui veut ça et tout l'art de la conteuse est de nous faire partager les joies et les peurs de ses héros comme si tout cela était vrai. Et ça fonctionne! Tel un ogre assoiffé de chair fraîche, on dévore ce roman, et on garde sa faim pour le suivant...
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Les éditions
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Le souffle de l'ogre [Texte imprimé], roman Brigitte Aubert
de Aubert, Brigitte
Fayard / Fayard noir
ISBN : 9782213638539 ; 10,69 € ; 10/03/2010 ; 304 p. ; Broché -
Le souffle de l'ogre
de Aubert, Brigitte
Fayard / Fayard Noir
ISBN : 9782213659282 ; 10/03/2010 ; 297 p. ; Format Kindle
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Je n'ai pas pu...
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 21 août 2011
Très déroutée par les premières pages racontant l'histoire du Petit Poucet de façon très originale, je commençais à ressentir un malaise voire du dégoût à la lecture de cette histoire. J'ai définitivement arrêté au bout de 40 pages après le passage des enfants chez l'Ogre et une scène particulièrement pénible de sévices.
C'est très rare que j'arrête une lecture avant d'avoir au moins essayé d'aller jusqu'à la centième page, mais mon mari à qui je demandais de le lire à ma place, m'a confirmé que le reste était à l'avenant; je vais donc m'empresser de le rendre à la médiathèque.
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