Rue des boutiques obscures de Patrick Modiano
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Le meilleur Modiano ?
bref extrait du résumé :"Qui pousse un certain Guy Roland, employé d'une agence de police privée que dirige un baron balte, à partir à la recherche d'un inconnu, disparu depuis longtemps ? Le besoin de se retrouver lui-même après des années d'amnésie ?. Au cours de sa recherche, il recueille des bribes de la vie de cet homme qui était peut-être lui et à qui, de toute façon, il finit par s'identifier."
Ce roman est pour moi le meilleur Modiano. Evidemment, on retrouve pas mal des thèmes récurrents de son oeuvre, évidemment, on peut dire que pas mal de ses romans se ressemblent et finissent par se confondre dans notre mémoire.
Pourtant, s'il fallait n'en retenir qu'un seul d'entre eux, je choisirais celui-ci. Il contient tout ce que j'aime chez Modiano, cette ambiance si particulière ...
Ce roman, c'est l'amnésie, la quête d'identité, l'errance, la nostalgie, le souvenir qui s'efface et dont on ne sait plus s'il est réel , la lenteur rêveuse, une place de quartier dans une ville inconnue en automne, le vent dans les branches des arbres nus, des inconnus qui passent, la liberté d'errer sans se soucier du temps...
Ce roman, c'est un rêve éveillé, un rêve pas toujours rose mais un bien beau rêve tout de même.
Les éditions
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Rue des boutiques obscures [Texte imprimé] Patrick Modiano
de Modiano, Patrick
Gallimard / Collection Folio
ISBN : 9782070373581 ; 6,90 € ; 04/03/1982 ; 250 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (27)
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A la recherche d'un passé obscur
Critique de Millepages (Bruxelles, Inscrit le 26 mai 2010, 65 ans) - 28 novembre 2023
Ce n’est en tout cas pas l’option choisie par le narrateur. Et on peut le comprendre : même dans un contexte normal, on passe généralement une bonne partie de sa vie à essayer de découvrir sa propre identité. Alors forcément, quand on en est dépourvu…..
Une fois le patron de l’agence privé qui l’emploie parti à la retraite, Guy Roland – puisqu’il lui fallait bien un nom - pense que c’est le bon moment pour reconstituer ce qui a été son existence avant qu’un quelconque événement vienne tout effacer il y a sans doute très longtemps.
Au départ d’un nom retrouvé sur un morceau de papier, Guy Roland va rencontrer un employé de bar que ce passé lointain n’intéresse plus tellement, au point de lui céder une boîte d’anciennes photos. Sur l’une d’elle, un groupe de personnes parmi lesquelles le narrateur pense se reconnaître. Avec le nom d’une de ces personnes figurant au dos d’une autre photo de la même série, un tout début de piste se dégage.
Notre homme avance à tâtons dans sa propre reconstitution, espérant et craignant à la fois constamment d’être reconnu par quelqu’un que lui-même ne reconnaîtrait pas. Il n’est même pas complètement certain de n’avoir rien fait de répréhensible, qui sait, quelque méfait qui lui vaudrait des ennuis s’il était identifié. Il découvre s’être appelé Pedro. Et même Pedro Mc Evoy. Mais rien n’est simple, ce patronyme s’avère être d’emprunt. Pour cacher quoi ?
Des fois, un lieu bien précis lui inspire un sentiment de déjà vu ; il s’y poste alors pendant des heures dans l’espoir de reconnaître une odeur, un son, une impression visuelle. De fil en aiguille, de personne interrogée en lieu scruté, la mémoire lui revient par bribes confuses. Et c’est là le tour de force de l’écrivain entretemps nobelisé : nous emmener tout le long du tunnel obscur que traverse notre Monsieur « Personne » au bout duquel il espère que la lumière du jour, en apparence inaccessible, viendra éclairer le passé du « Quelqu’un » qu’il était.
Atmosphère
Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 48 ans) - 30 mars 2023
Mon premier Modiano
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 8 août 2021
Après, c'est bien écrit. Mais c'est un peu fouillis, non ?
Ombre.
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 2 mai 2017
Guy Roland devra arpenter bien des lieux pour suivre ses propres traces.
Ce titre est un des plus célèbre de celui qu'on ne présente plus. Par moment on se croirait dans un Maigret de Simenon ; il fait souvent nuit, gris et l'acteur principal est si froid, presque distant avec lui même. Tout est ombre, reflet.
Je ne pense pas que nous soyons face au meilleur de l'auteur mais ce titre mérite largement d'être lu ou relu.
Allez vous balader rue des boutiques obscures
Critique de Tintamarre (, Inscrit le 15 juillet 2015, 39 ans) - 15 juillet 2015
J'achète donc ce livre et je le dévore littéralement en quelques heures. C'est encore sous le choc que j'écris cette critique.
En lisant celles déjà publiées sur le site, j'observe que beaucoup de lecteurs sont déçus par le côté fragmenté, incomplet ou flou des personnages et de l'intrigue. Je les rejoins sur le constat, mais pour moi cet aspect est l'essence même de ce livre et il est réalisé avec brio.
L'objet en effet n'est pas de proposer une intrigue crédible et aboutie mais au contraire de naviguer dans le brouillard des souvenirs du narrateur, réduit au rôle de spectateur passif de sa propre existence. Au cours de ce jeu de piste, on entre-aperçoit quelques destins brisés, des existences qui se croisent pour se perdre à tout jamais et les témoins si fragiles de tout cela: un numéro de téléphone, quelques photos, une fiche de police.
Ce morcellement donne toute sa puissance au propos de l'auteur qui explore ici les méandres de la mémoire: la puissance mais aussi la fragilité des souvenirs, souvent partiels et incertains, et surtout leur importance dans la construction de l'identité d'un être. La conclusion du récit, ou plutôt l'absence de conclusion, parachève le propos en laissant entendre que notre soif de vérité et de certitudes se brisera toujours sur la faillibilité de notre mémoire et le passage du temps.
Enfin, la fragmentation sert également le récit puisqu'elle maintient en haleine le lecteur qui se prête volontiers au jeu de piste et attend avec impatience le prochain indice. Le style très épuré et parfois elliptique de l'auteur est d'ailleurs merveilleusement adapté à l’œuvre.
La fragmentation colle également parfaitement aux faits, qui ont lieu pendant l'occupation, époque taboue et mal-connue qu'on aperçoit par bribes et dont l'ambiance anxieuse et oppressante ressort progressivement.
Un grand livre indéniablement.
Peut-on donner 6/10 à un prix Nobel ?
Critique de Minoritaire (Schaerbeek, Inscrit le 28 janvier 2012, 64 ans) - 16 juin 2015
La première moitié du roman m’avait semblé « terriblement fabriquée », Maria-rosa m’avait dit alors que c’était « juste la petite musique de Modiano ». Mouais. À ce moment-là, je trouvais dans le roman des relents de Simenon et du « Troisième homme », mais la musique du « Troisième homme » est quand même plus entêtante que celle de ces Boutiques obscures. Et ce procédé par lequel, après chaque rencontre-piste possible, le héros reçoit des souvenirs sous diverses formes, me semblait vraiment… un procédé. Heureusement, lorsque j’ai commencé à m’en exaspérer, il a changé de tactique.
La deuxième moitié a acquis un peu en densité, mais m’a paru vaine. Ce type qui n’a pas de présent (en huit ans, il semble n’avoir pas construit d’autre relation que professionnelle) est extrêmement peu crédible, peu intentionné dans son désir. En survolant les critiques précédentes, j’ai relevé plusieurs fois l’adjectif « flou ». Oui. Les personnages sont flous, le récit est flou, l’intention est floue. Où Modiano veut-il en venir ? On se dit que, puisqu’il est nobélisé et que l’œuvre elle-même est goncourtisée, il y a quelque chose à trouver. Mais comme on ne trouve rien, on se dit alors que c’est là qu’on devait aller : il n’y a rien à vouloir se connaître ou à connaitre les gens. Merci.
Au moins aurai-je appris que « postuler » était transitif direct.
Trop trop trop
Critique de Tetef (Tarare, Inscrit le 24 février 2013, 51 ans) - 3 juin 2015
L'auteur écrit indéniablement très bien alors j'essayerai un autre de ses livres dans quelque temps.
pourquoi je suis
Critique de Yeaker (Blace (69), Inscrit le 10 mars 2010, 51 ans) - 8 janvier 2015
Obscur roman
Critique de Laugo2 (Paris, Inscrit le 30 octobre 2014, 58 ans) - 11 novembre 2014
Sans raconter le roman car ce serait redondant et rébarbatif, c'est l'histoire d'un homme à la recherche de son passé. Ayant été frappé d'amnésie, cet homme, devenu détective privé et à qui on a attribué une nouvelle identité, cherche à découvrir qui il était auparavant. Il rencontre alors une multitude de personnes qui lui font imaginer qui il a pu être. Et c'est souvent par l'intermédiaire de photos ou bien grâce à quelques témoignages que Guy Roland (le héros) recueille des informations.
Ce roman n'est donc qu'une recherche évasive, une accumulation de rencontres qui font imaginer au héros qui il a pu être. A trop passer de scènes en scènes, de possibilités en interrogations sur une vie passée, on finit par se lasser. Aucune avancée réelle, tout est flou, flouté, dans un brouillard vaporeux d'irréalité. Et tout cela m'a laissé bien loin de l'émotion éventuelle et d'une envie de savoir. Trop de froideur et de dépersonnalisation. C'est sans doute dommage car l'entame était plutôt intéressante.
Ce roman, auréolé du prix Goncourt 1978 - qui pourtant est un gage de qualité-, m'a vraiment laissé sur ma faim. En lisant des critiques par ailleurs, j'ai été un peu rassuré car il semble que je ne sois pas le seul qui n'encense pas ce roman. Et apparemment, toute l'oeuvre de Modiano est un peu de la même veine, peu de chance donc que je revienne vers le prix Nobel 2014, il ne faudrait pas qu'une chance devienne un risque...
L'oubli
Critique de Pucksimberg (Toulon, Inscrit le 14 août 2011, 44 ans) - 30 octobre 2014
On pourrait se dire que ce roman ne repose pas véritablement sur un sujet révolutionnaire, c'est vrai et pourtant la magie opère. L'on est bercé par le rythme du récit, par ces personnages, par les dialogues emplis de naturel ... L'on s'interroge sur notre identité, sur le temps qui passe et sur les traces que nous laissons sur Terre, autant dire pas grand-chose. Ce personnage assez banal au début du roman semble avoir eu une vie assez romanesque et semble enfouir ou refouler certains épisodes douloureux en lien avec la guerre. On sent que cet événement a laissé une trace indélébile et a modifié son rapport au réel.
L'écriture n'est pas si simple que cela. Patrick Modiano joue avec le nom de ses personnages, fait quelques pointes d'humour pour des lecteurs attentifs, construit un récit qui n'est pas toujours linéaire, ancre ses personnages dans un cadre géographique précis comme s'il était nécessaire d'avoir une telle précision pour pallier le flou des souvenirs. Certaines scènes sont frappantes comme celle où les personnages ont un contrôle de leurs papiers dans le train. Patrick Modiano parvient à charmer ses lecteurs par sa manière de construire un roman et d'interroger l'homme sur l'existence et le temps.
Obscure impasse
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 29 septembre 2014
Son style est très bon, mais le lecteur n’est malheureusement pas systématiquement happé par ce récit. En effet, les liens entre les différents témoins du passé du héros et les flashbacks restent parfois difficiles à suivre.
Comme l’écrit déjà Killing 79, vu son style, Patrick Modiano mérite sans doute d’être jugé après la lecture d’autres de ses ouvrages car celui-ci m’a laissé sur ma faim.
Premier modiano
Critique de Killing79 (Chamalieres, Inscrit le 28 octobre 2010, 45 ans) - 28 décembre 2012
L'histoire trouve son originalité dans les variations des modes de narration qui permettent de dévoiler de différentes manières les éléments de l'identité du narrateur. Chaque point de vue, chaque pièce d'identité apporte une pièce supplémentaire à Guy Roland pour compléter le puzzle de sa vie.
Seulement ce personnage manque d'une certaine âme et on a du mal à être en empathie avec lui. Sa quête d'identité perd donc de son intérêt et on n'est guère impatient de connaître le fin mot de l'histoire. Le tableau définitif se dessine au fil des pages mais à la fin il reste une amertume, comme un goût de "tout ça pour ça!".
Le style est bon sans être transcendant. Un autre roman de ce grand écrivain me sera donc nécessaire pour donner mon verdict personnel final.
"Je" est mort
Critique de Avada (, Inscrite le 26 avril 2007, - ans) - 17 septembre 2012
C'est pour répondre à ces questions que le narrateur amnésique de Rue des boutiques obscures mène l'enquête. Il multiplie les rencontres et collecte des indices qui construisent le récit de son identité. L'être qui s'esquisse peu à peu est flou, fuyant, multiple.
Ce roman soulève des questions intéressantes et son mode de narration est très habile. Mais la dépersonnalisation délibérée des personnages et le ton volontairement détaché du narrateur ne facilitent pas l'adhésion du lecteur au récit. Le texte se lit comme un roman à thèse dont l'univers factice aurait la saveur un peu fade de pâles souvenirs.
Un roman construit comme un polar
Critique de Ichampas (Saint-Gille, Inscrite le 4 mars 2005, 60 ans) - 20 février 2012
Que reste-t-il de mon passé ?
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 46 ans) - 30 juillet 2011
Ce cadre lui permet de dépeindre des rencontres surprenantes, des échanges incongrus, parfois proches du quiproquo, alors qu'il les devance, dans sa quête de lui-même.
Je pense également qu'il s'agit de mon préféré des romans que j'ai lus de lui. J'ai bien fait de laisser de côté pour la fin. En sera-t-il de même avec Instruments des ténèbres, de Nancy Huston, dont j'ai également entamé une série de lecture, presque simultanément ?
A chacun ses goûts
Critique de Bernard2 (DAX, Inscrit le 13 mai 2004, 75 ans) - 9 janvier 2011
En aurais-je trop attendu, attiré par le fait que l'ouvrage avait obtenu le Goncourt ? Peut-être. Bien que l'on sache que ce n'est pas nécessairement une référence.
Mais cette quête d'identité m'a paru très ennuyeuse. Ne m'en veuillez pas, et je continue à respecter l'auteur. Simplement, si vous bâillez en tournant les pages, sachez que vous n'êtes pas le (la) seule(e)....
Un long rêve
Critique de Bastien N. (, Inscrit le 28 septembre 2009, 34 ans) - 29 décembre 2009
... Mais tout est subtil dans "Rue des boutiques obscures". Les métaphores sont peu nombreuses, mais poétiques et bien placées. Modiano ne cherche jamais à définir ouvertement ses personnages: leur attitude se trahit dans leur gestes et leur paroles. Par exemple, si un personnage est mélancolique, il ne sera jamais écrit "il était mélancolique", pourtant on ressent très nettement la mélancolie du personnage, encore une fois grâce à l'écriture subtile de Modiano, qui arrive à nous faire ressentir toute une pléiade d'émotions avec une économie de moyens et un style incroyables.
" Rue des boutiques obscures" m'a littéralement scotché, je n'ai pas pu laisser le roman de côté et j'ai lu ses 250 pages d'une traite. Je ne serai expliquer la très forte impression que m'a laissé ce livre. Je ressens sûrement la même chose que le personnage: une sensation de long rêve brumeux.
Pour ressentir cette émotion dont il est question, l'idéal serait que vous lisiez ce livre, qui est ma première rencontre avec Modiano, et certainement pas la dernière.
Avis mitigé
Critique de Shelovesyou (, Inscrite le 2 mars 2009, 36 ans) - 2 mars 2009
Un prof de la fac nous a recommandé Modiano car il trouve que ses livres sont très bien écrits. Ma curiosité m'a d'abord amené à lire "Dimanches d'août", que j'ai trouvé plutôt agréable à lire mais sans grand intérêt au fond. Pas découragée, je me dis que je n'ai pas choisi le meilleur alors j'attaque ensuite "Rue des boutiques obscures". Mais... c'est pire.
Je ne dis pas que c'est mauvais, j'aime assez le style (d'ailleurs, dans ses différents livres, on retrouve exactement les mêmes expressions parfois), on s'attache au personnage, mais pour une intrigue aussi simple (un homme a la quête de son identité), ça s'éparpille un peu. C'est trop long, si bien qu'à un moment donné, on n'a même plus envie de savoir qui il est car la frustration a pris le pas sur la curiosité.
Certains chapitres sont uniquement constitués de descriptions (type fiche d'identité), sur des personnages qui ont peu d'intérêt pour le dénouement. A quoi cela sert-il au lecteur ?
Le doux ensevelissement du passé
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 27 octobre 2007
C’est très prenant comme lecture et plus je tournais les pages, plus j’étais captivée et voulais absolument savoir qui était qui et quel rôle il avait joué dans la vie de cet énigmatique Pedro. L'histoire de Pedro et Denise m'a émue ainsi que celle de tous les autres personnages. J’admire chez Modiano l’écriture bien sûr belle, douce et émouvante, mais ce que j’aime par-dessus tout de cet écrivain c’est son regard compatissant sur l’être humain et le côté éphémère de sa vie. En effet, tout ce qui est important dans la vie d’un homme ou d’une femme finit pas se diluer avec le temps et presque totalement disparaître pour ne laisser que quelques traces dans la mémoire de ceux ou celles qui l’ont connu, traces qui finiront elles aussi par se perdre définitivement dans le doux ensevelissement du passé. Très beau ! J’aimerais tant en dire plus mais je m’arrête ici, critique éclair oblige…
« Je la regardais, et de nouveau un pressentiment m’a pincé le cœur. J’ai voulu ouvrir la portière et lui demander de descendre. Nous serions partis tous les deux. Mais je me suis dit que j’avais un naturel très méfiant et que je me faisais des idées. De la main, elle m’a envoyé un baiser. »
Souvenirs confus
Critique de Dalania (Dijon, Inscrite le 25 octobre 2006, 38 ans) - 27 octobre 2006
Une sensation indéfinissable
Critique de Maria-rosa (Liège, Inscrite le 18 mai 2004, 69 ans) - 4 mai 2005
Examen de maturité
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 4 mai 2005
Plus de 20 ans après je n'ai aucun souvenir de ce livre. Ce qui confirme bien ce que Jules nous en dit.
Un Modiano...
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 4 mai 2005
Tonalité obscure.
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 4 mai 2005
Obsessions habituelles de Modiano, petite musique habituelle de Modiano. On aime ou n'aime pas, moi, j'aime.
Amnésie. Quête de son identité. Peur de savoir. Pas d'esbrouffe. Du quotidien avec soucis à hauteur du quotidien.
Et une bien belle écriture. Simple.
En quête d'identité
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 19 février 2005
J'ai beaucoup aimé même si j'ai été un peu déroutée par la chute qui m'a, je ne sais pas expliquer pourquoi, laissé un bref sentiment d'inachevé.
Que reste-t-il de nos amours?
Critique de Lucien (, Inscrit le 13 mars 2001, 69 ans) - 4 mars 2002
Mon préféré également
Critique de Gueststar (Marseille, Inscrit le 4 mars 2002, 64 ans) - 4 mars 2002
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