L'ultime secret de Bernard Werber
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Un auteur qui ne se prend pas au sérieux...
Bernard Werber, c'est comme beaucoup de choses, on adore ou on déteste. Personnellement, je suis séduit par son humour, sa verve, et une érudition qui ne verse jamais dans la cuistrerie ou la pédanterie.
Comme souvent chez l'auteur, l'histoire est à la limite du vraisemblable: un psychiatre champion d'échecs meurt de plaisir dans les bras d'un top-model international après avoir vaincu l'ordinateur le plus sophistiqué de la planète. Deux journalistes dont on a fait la connaissance dans d'autres livres de Werber, Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, enquêtent sur sa mort, qui est liée à des recherches sur le cerveau. Un personnage relié à un ordinateur revit les aventures d'Ulysse sans quitter son lit, Athéna étant un programme informatique qui le conseille en permanence. Certains passages montrent que l'auteur est fortement influencé par l'univers de la BD, comme celui où les journalistes sont sauvés in extremis par un milliardaire qui a affreté une mongolfière... C'est très drôle, ça fait penser à Tintin ou même à Bibi Fricotin dans leurs meilleurs moments. Une histoire amusante, une documentation scientifique en béton, une écriture souple et nerveuse sont les ingrédients habituels de la recette werberienne, et la mayonnaise prend toujours pour notre plus grand plaisir.
Les éditions
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L'Ultime Secret de Bernard Werber
de Werber, Bernard
Albin Michel
ISBN : 9782226127402 ; 4,90 € ; 02/11/2001 ; 418 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (36)
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L'énigme de trop
Critique de Lolo6666 (, Inscrit le 20 août 2009, 50 ans) - 28 février 2020
Je ne rajouterai rien sur la tendance de l'auteur à « sur » illustrer des passages explicites : « Trois ans ont passé. Elle avait vingt-cinq ans lors de leur dernière enquête, à présent elle doit donc en avoir vingt-huit. » Hum... c'est mathématique effectivement. Ou bien à utiliser des anecdotes éculées (quelle est la couleur de ce mur ? Blanc. Quelle est la couleur de cette feuille de papier ? Blanche. Que boit la vache ? Du lait. Mais non de l'eau !). Rien ne sert d'amplifier les différentes critiques qui le soulignent déjà suffisamment. Car, personnellement, ces détails de forme n'ont pas gâché le fond de cette fiction intéressante.
Je m'attarderai plus sur le dénouement de l'histoire. Mais d'où sors-tu cet épilogue Bernard ? Une enquête de 340 pages qui se joue sur ...une énigme ? Pourquoi pas une charade ou une devinette ? Je dois avouer qu'à cet instant, j'ai un peu abandonné l'idée d'assister à un final mémorable. La suite m'a malheureusement donné raison. 40 pages de trop !
Au final, pas de regret néanmoins. J'ai globalement passé un bon moment. J'ai suivi cette enquête avec plaisir et j'ai bien accroché au côté scientifique de la découverte.
Distrayant, instructif mais finalement fade
Critique de Vinmont (, Inscrit le 12 août 2014, 50 ans) - 30 août 2019
Ce qu'il fait moins bien - et c'est le cas ici en l'occurrence - c'est développer et rendre le volet romanesque vraiment intéressant.
Dans certains de ses romans, cela conduit à ce que l'ensemble fasse "pschiiit".
Ici c'est le cas (même si le summum est réservé à "Le père de nos pères") et c'est dommage.
L'ensemble reste intéressant et distrayant mais il demeure à la fin un vrai goût d'inachevé.
Captivant
Critique de Archange (, Inscrite le 11 janvier 2016, 56 ans) - 11 janvier 2016
Gros potentiel, mais au final inégal, superficiel et mêlant peu habilement enquête scientifique et questionnements philosophiques.
Critique de Logrelitteraire (, Inscrit le 21 novembre 2015, 38 ans) - 21 novembre 2015
Comme bien souvent avec Bernard Werber, l’Ultime Secret est rempli de savoir et pose les bases de réflexions intéressantes. Quelle est la vraie motivation de nos actions ? Jusqu’où nos instincts primaires peuvent-ils nous conduire ? En quelles mesures les nouvelles technologies seront-elles capables d’influencer notre esprit ? Ou encore de modifier notre perception de la réalité ? Ces questions, essentielles à la compréhension de notre monde et de celui qui se profile devant nous, donnent des perspectives alléchantes et un gros potentiel à cette histoire.
Hélas, tout cela n’est qu’une amorce, rien de plus. Car Werber se contente simplement d’effleurer ces sujets, préférant multiplier les interrogations que tenter d’esquisser le moindre embryon de réponse. Chose dérangeante, les deux héros soi-disant « journalistes scientifiques » abordent leur enquête en laissant toute démarche scientifique au placard. D’une observation ponctuelle ultra-simplifiée sur le comportement d’un individu, ils en tirent des conclusions générales sur l’humanité, nous résumant tous autant que nous sommes à seulement quelques clichés comportementaux. Clou du spectacle, la fameuse révélation tant attendue – survendue en quatrième de couverture – éclate comme un pétard mouillé, le fameux « Ultime Secret » faisant totalement fi de toutes les réflexions initiées au cours de l’histoire et se révélant d’une simplicité presque déconcertante.
Le tout est, de plus, servi par un style simpliste et enfantin – chose déjà observée dans d’autres livres de Werber mais sensiblement plus marquée ici – qui conte une histoire qui se révèle au final peu captivante et qui, dès le milieu du livre, semble tourner en rond. Divisée en deux trames finissant par se rejoindre, l’intrigue est de plus inégale, les passages sur Fincher et son patient étant bien plus prenant que ceux impliquant Lucrèce et Isidore.
Pour finir, les personnages sont quant à eux bien trop décalés et se révèlent peu crédibles. Il ressort de certaines scènes un côté loufoque qui ne correspond pas du tout au thème exploré dans le livre et les clichés sont légion. Aucun des personnages n’est dans la demi-mesure : des fous (des vrais), des épicuriens, une top model « ultime » et pour finir, deux héros semblant sortit tout droit d’un roman du 18ème siècle. Bref, un univers incompréhensible.
Peu captivant
Critique de Mleveteau (, Inscrit le 20 juin 2010, 35 ans) - 31 décembre 2011
Pour autant, le style est toujours aussi plaisant et le livre est dévoré rapidement. Mais il y a un peu de lassitude.
L'ultime secret
Critique de Exarkun1979 (Montréal, Inscrit le 8 septembre 2008, 45 ans) - 29 août 2011
L'ultime Secret livre m'a un peu déçu. J'aime bien le côté vulgarisation de la science. Ce que j'ai moins aimé c'est l'ultime secret lui-même. J'ai eu l'impression que l'auteur n'a pas cherché longtemps pour cette conclusion. J'ai aussi moins aimé l'intrigue qui était tellement facile à deviner. La seule chose qui m'a aidé à tenir jusqu'à la fin c'était pour savoir comment s'est produit le meurtre.
Pour moi, ce roman est en dessous de la moyenne que je donne généralement à l'auteur. Au moins, il n'est pas aussi pire que le père de nos pères.
Vulgarisation scientifique et distraction
Critique de Cyrille75 (, Inscrit le 27 août 2011, 32 ans) - 28 août 2011
Sinon pour ce qui est des idées que fait passer Werber et les techniques de vulgarisation scientifique, je mettrais 5 étoiles!
mieux que le père de nos pères
Critique de Soup34 (, Inscrit le 30 septembre 2007, 44 ans) - 11 mars 2011
Peut-être pas le meilleur Werber mais en tout cas il est très sympa à lire.
Très prenant !
Critique de Spix (, Inscrit le 23 juillet 2008, 33 ans) - 30 août 2010
Werber pose toujours des questions intéressantes qui accrochent. Samuel Fincher meurt d'exatse apres avoir fait une grande découverte, deux journalistes vont enqueter sur sa mort. Ca a été une très bonne surprise pour moi, je n'avais pas l'habitude de lire Werber.
Ni pire, ni meilleur que le précédent
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 10 avril 2010
Un roman plein de rebondissements, avec une belle écriture fluide... c’est plus sur l’histoire et les personnages que j’accroche moins encore.
Un troisième livre du cycle des « Aventuriers de la Science » est annoncé pour prochainement, mais à moins que les thèmes dans ce livre me captent, je ne vais pas le lire, ou ça ne va pas être une priorité.
Incroyable à lire
Critique de Bicha (, Inscrit le 29 octobre 2009, 31 ans) - 29 octobre 2009
Werber instruit ses élèves
Critique de Tommyvercetti (Clermont-Ferrand, Inscrit le 18 décembre 2006, 36 ans) - 11 octobre 2009
Et ça, ça me reste en travers. A chaque fois que Werber écrit maintenant, j'ai le sentiment d'être un ignorant qui lit quelqu'un d'instruit en train de lui enseigner les choses de la vie. Je suis sûr que chez certain ça marche, c'est vrai, après tout l'esprit humain n'est pas le sujet d'étude du premier venu (même si ça le devrait), mais là c'était trop.
L'histoire sinon est intéressante, conditionnement opérant, renforcement positif qui incite à dépasser ses capacités pour l'obtenir ; l'ultime récompense de tout conditionnement l'ultime plaisir. Mais Werber passe vraiment trop de temps, il insiste trop sur le caractère instructif du livre, ça en devient vexant.
De plus, ses héros semblent de super-hommes, toujours très intelligents et très... français, dans leur création. Oui c'est ça, c'est comme les films français. Y'a une foutue différence avec la littérature américaine, quoi qu'on en dise.
2 et demi donc pour Werber, désolé, même si j'ai beaucoup aimé le cycle des anges/dieux.
Une fiction ?
Critique de Patsy80 (, Inscrite le 20 août 2009, 49 ans) - 21 août 2009
Il s'agit d'une grande vulgarisation des recherches en neuropsycho mais très bien documentée et bien construite. Ce que j'ai vraiment adoré dans ce livre, c'est le parallèle entre les deux histoires car pendant longtemps on se demande comment elles vont bien pouvoir se réunir. Et puis les pensées d'un homme prisonnier de son corps, ça laisse aussi des traces indélébiles.
Mon cerveau n'a pas bougé
Critique de Hexagone (, Inscrit le 22 juillet 2006, 53 ans) - 23 juillet 2006
En effet, abasourdi par les critiques plus que favorables sur l'auteur, je me suis laissé convaincre de lire l'ultime secret. Autant dire que ma déception fût grande. A aucun moment le récit ne m'a envoûté ou ne serait-ce que captivé. Une intrigue très légère, des rebondissements sortis du chapeau de l'auteur pour permettre la continuation.
Des révélations qui n'en sont pas. J'ai dû me motiver pour terminer le livre, accordant à l'auteur l'indulgence d'une baisse de régime sur certains chapitres, mais non rien à faire.
Dommage, la dimension psychologique de l'emmuré vivant aurait pu être plus développée. Les personnages sont des clichés du genre.
N'étant pas rancunier, je me laisserai peut être prendre au piège de l'encyclopédie du savoir relatif et absolu.
bien, mais... sec
Critique de Jeq (, Inscrit le 23 mars 2006, 59 ans) - 7 avril 2006
L’Ultime Secret est ajusté au micron près, prêt à prêter une réponse à l’Amour humain. C’est du papier millimétré, un régal de lecture. On est pris en main, conduit, l’affaire est rondement menée.
Mais au final, que reste-t-il ? Comment fait-on pour titiller sa glande pituitaire ?
Dans l’île, il y a des allées qui sentent le pipi de chat avec les eucalyptus (superbes), des marches de goémons laiteux et doux sous les pieds, des symboles burinés sur les calcaires du fort, des lignes tragiques avec d’autres points remarquables du continent.
Pas de magie poétique des mots. Ce qui manque à Mister Werber, c’est la verve illuminée d’un Eco, pour passer son œuvre du stade werber au stade balise humaine. Et ce qui me navre, c’est que ses derniers écrits n’en prennent pas la direction...
Un fait scientifique existant.
Critique de Elyria (, Inscrite le 25 mars 2006, 33 ans) - 1 avril 2006
J'en redemande
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 10 octobre 2005
Bref, très très bon moment en compagnie de Lucrèce et Isidore, à la recherche de la cause de la mort du médecin Samuel Fincher, qui va les entraîner dans les tréfonds du cerveau humain (et pas que).
Tiré en longeur !
Critique de Usdyc (Bruxelles, Inscrit le 27 août 2004, 68 ans) - 17 août 2005
Surprenant
Critique de Alice3 (Nîmes, Inscrite le 11 avril 2005, 36 ans) - 11 avril 2005
Allez, Bernard, presque 5 étoiles!
Critique de Maudichon (, Inscrite le 16 janvier 2004, 46 ans) - 22 octobre 2004
Moi, j'aime
Critique de Marz (Aulnay sous bois, Inscrite le 1 juin 2004, 41 ans) - 17 août 2004
Pour moi, L'ultime secret est un bon roman drôle et qui se lit très bien. Certes tout n'est pas crédible, mais c'est agréable à lire et je ne pense pas qu'on puisse demander à un roman d'être toujours absolument vraisemblable (après tout c'est de la fiction!).
Je crois que je fais partie des gens qui aiment Werber mais je ne prétend pas convaincre ceux qui n'accrochent pas à ses livres.
Alors si vous aimez Werber lisez L'ultime secret, dans le cas contraire absetenez vous.
Inclassable
Critique de Jasmine (Saint-Denis-les-Bourg, Inscrite le 15 février 2004, 61 ans) - 16 février 2004
Ce livre a éveillé ma curiosité malgré des passages qui me paraissent invraisemblables mais il y a une chose que je peux dire, c'est que je ne me suis pas du tout attachée aux personnages.
Ce que je retiendrais de ce livre, c'est qu'on encore beaucoup de choses à apprendre sur le cerveau humain.
Werber reprendrait-il du poil de la bête?
Critique de Niddle (Le Raincy, Inscrit le 13 janvier 2004, 45 ans) - 14 janvier 2004
sous le divertissement la réflexion
Critique de Virgile (Spy, Inscrit le 12 février 2001, 45 ans) - 5 septembre 2002
Malgré ou à cause de tout cela, ce livre m'a bien plu. On peut se laisser entraîner dans la lecture grâce à la technique de l'auteur qui est efficace même si les ficelles sont parfois très visibles.
J'ai préféré ce livre au "père de nos pères", mais je n'ai rien de particulier à en dire. Je le recommande pour la réflexion qu'il peut faire naître sur certains sujets (même si ce n'est pas évident pour tous le monde) et pour le moment de détente qu'il peut procurer.
à lire
Critique de Carpe-diem (Fondettes, Inscrite le 11 mars 2001, 40 ans) - 18 avril 2002
Aïe Aïe Aïe !
Critique de Patman (Paris, Inscrit le 5 septembre 2001, 62 ans) - 28 janvier 2002
Bienvenue au Bateleur
Critique de Lucien (, Inscrit le 13 mars 2001, 69 ans) - 27 janvier 2002
Bravo Le Bateleur...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 27 janvier 2002
Werber l'oeil sur l'audimat ?
Critique de Le Bateleur (Tronville, Inscrit le 27 janvier 2002, 69 ans) - 27 janvier 2002
(au fil de ses livres que j'ai tous apprécié decrescendo, il me semble que le style, le rythme, l'histoire, tout dans la production de l'auteur, vise à atteindre un nombre plus important de lecteurs au détriment du reste ...)
Une seule condition pour lire cette baclure, être capable de concevoir un championnat du monde d'échecs au cours duquel la victoire finale après une partie très indécise se jouerait sur un seul coup décisif (mat en un coup). Il est évident que cette condition exclut pratiquement toute personne qui a joué quelques véritables parties et qui sait donc que même à des niveaux très bas dans la hiérarchie échiquéenne, les joueurs prévoient au moins deux ou trois coups d'avance. J'ai menti, une autre condition est nécessaire, ne pas être sensible aux procédés littéraires (qualifiés ainsi pour faire gentil) utilisés à forte dose.
Il faut préciser que le lecteur aura très souvent l'impression (au début cela peut être drôle, mais Werber nous sert cela depuis quelques années) de lire des passages entiers copiés collés d'une revue scientifique jouant le rôle de périphrase remplaçant un mot du vocabulaire courant (par exemple oreille) et permettant à l'auteur d'atteindre le nombre minimum de pages qu'il s'était fixé (en accord avec son éditeur ?) Parlons tout de même un peu de l'intrigue, une énigme à propos d'une disparition brutale, un ultime (?) secret annoncé dans le titre et qui est l'occasion de développer ce que l'auteur a pu glaner comme anecdotes fortes en rapport avec les recherches sur le cerveau. C'est un peu léger, surtout au niveau de la narration elle-même, il faudra beaucoup de bonne volonté au lecteur pour se passionner de ses péripéties soigneusement dosées (cf scénario de téléfilm à suspens pour chaîne thématique.) Dernier reproche à l'auteur, on a du mal à croire qu'il aime ses personnages, et un créateur qui n'a pas de sympathie pour ses créatures, c'est comme une hôtesse d'accueil qui fait la gueule, même au téléphone ça fait mauvais effet et ça vous coupe un peu votre allant. Allez lire l'ultime alliance, (Pierre Billon) on y parle également des mystères du cerveau humain, mais là, il y a du souffle, de la densité et l'auteur ne copie colle que ce qui vient du fond de lui-même (voir cette rubrique).
Le bateleur
à Pendragon
Critique de Zoom (Bruxelles, Inscrite le 18 juillet 2001, 70 ans) - 11 janvier 2002
Pour Zoom
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 11 janvier 2002
à propos d’alllain
Critique de Zoom (Bruxelles, Inscrite le 18 juillet 2001, 70 ans) - 10 janvier 2002
Y a-t-il un éclaireur dans la troupe ? Autre chose : critiques libres est vraiment vache en janvier avec les âges .
Un nouveau roman réussi
Critique de Alllain (Limbourg, Inscrit le 10 janvier 2002, 59 ans) - 10 janvier 2002
Les deux limiers que l'on avait découvert dans "le Père de nos Pères", Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, nous entrainent cette fois à la découverte du cerveau et de ses secrets. Même si on a parfois l'impression d'évoluer en pleine science-fiction, l'histoire tient bien la route et on n'a qu'une envie, continuer la lecture pour connaitre la fin de l'enquête.
Je recommande chaudement cet ouvrage tant pour la construction réussie de l'intrigue que pour son aspect scientifique.
Vivement le prochain ...
En effet !
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 10 janvier 2002
Les fourmis sont bien loin, non ?
Critique de Bolcho (Bruxelles, Inscrit le 20 octobre 2001, 76 ans) - 9 janvier 2002
la mayonnaise n'a pas bien pris
Critique de Zoom (Bruxelles, Inscrite le 18 juillet 2001, 70 ans) - 9 janvier 2002
Et je me demande toujours comment font ceux qui se laissent embobiner dans ces histoires. Moi je n'y arrive pas : ça me paraît faux, tordu, outrepassant le bon sens. Ce type qui se fait ouvrir le cerveau, qui entend la scie lui découper la boîte crânienne (faudrait quand même pas croire qu'on l’ait endormi), brrrrrrrr, trop c’est trop. L’idylle, aussi : pas très convaincante... Sans parler de la salle des nymphomanes : psychotiques enfermées dans un asile psychiatrique qu'on valorise en leur donnant du boulot : tourner des films porno . Il va où , lui ? ? ? Bon je n'ai sans doute pas son style d'humour. Mais il y a du bon : le parallèle avec Ulysse, quelques passages à méditer ,... Il paraît qu’il est bien documenté et reste, comme dit Leura, à la limite du possible.
Je reste sceptique mais de toutes façons on me dit qu'il faut lire Werber au second degré . Je suis restée calée au premier.
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