La terre des promesses de Merice Briffa
( The white hare)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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sublime histoire
Quatrième de couverture :
Et aussi la possibilité de faire le deuil de sa soeur, qu'un amour impossible a brisée. C'est justement ce drame qui pousse sa famille à traverser les océans et à s'installer à Burra, où se trouve une gigantesque exploitation minière. Tandis que les Collins travaillent tous à la mine, Meggan est engagée pour s'occuper des enfants de riches agriculteurs. Accueillie à bras ouverts, elle va enfin réaliser son rêve : chanter. Car Meggan possède une voix enchanteresse, un don qui pourrait bien lui ouvrir les portes de la gloire... Cette saga romanesque portée par un personnage féminin d'exception est un véritable hymne à l'Australie et à ses grands espaces, un hommage à tous les pionniers partis tenter leur chance sur cette terre des promesses.
Mon avis :
Une belle histoire où sont relatées : La beauté de la Cornouailles avec ses falaises et ses landes, l'Australie et sa terre rouge. La lutte entre classes : les mineurs et les patrons. La fièvre de l'or. Le racisme contre les aborigènes. La souffrance qu'entourent le deuil d'un enfant, le viol... Sans jamais en faire trop, sans jamais tomber dans le misérabilisme.
Une sublime histoire qui se lit facilement. On aimerait connaître l'héroïne, l'entendre chanter.
Les éditions
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La terre des promesses [Texte imprimé] Merice Briffa traduit de l'anglais (Australie) par Carole Delporte
de Briffa, Merice Delporte, Carole (Traducteur)
Presses de la Cité
ISBN : 9782258076679 ; 15,26 € ; 20/05/2009 ; 404 p. ; Broché
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Sous Guy des Cars
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 4 octobre 2022
« La terre des promesses » est un roman sentimental comme on en écrivait au XIXᵉ siècle avec son lot d’amours contrariés, d’enfants bâtards, d’unions improbables, de préjugés de classe, de bergères n’épousant pas de jolis princes, de femmes trompant leurs maris, de charmants prétendants couchant avec la sœur de la promise, pimenté par un viol pour faire bonne mesure. On reste dans le registre du roman de gare, niveau « Guy des Cars » moins quelque chose. Le lecteur aurait pu s’attendre à en apprendre un peu sur la vie des mineurs en Cornouailles ou en Australie, sur la colonisation de ces nouveaux territoires, la création de villes nouvelles dans le bush, la ruée vers l’or australien ou la dépossession des autochtones. Il restera sur sa faim. Il y a un public pour ce genre de littérature. Désolé de ne pas en faire partie…
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