Maman, ma soeur, Hermann et moi de Matthew Kneale
( When we were Romans)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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Il faut le lire pour le croire
Le résumé m'avait plu, que c'est un enfant de 9 ans (bien qu'en fait ce soit tragique de perdre si tôt son enfance, la plus belle partie de la vie normalement) qui soit obligé de prendre en main sa petite famille, maman, sa soeur et son petit animal, parce que la vie est dure, la vie peut-être moche... mais là vraiment l'écriture est tellement affreuse, épouvantable (faute de goût de l'auteur ou du traducteur) que c'est tout simplement impossible à lire. On ne compte plus les fautes d'orthographe (même dans la bouche d'un enfant c'est inacceptable), les tournures mal dites, c'est fade, c'est faux.. bref j'ai tenu 100 pages si éprouvantes que je ne sais même plus de quoi ça parle. Je n'ai pas pu savourer la lecture, trop détournée à en surmonter les désagréments.
A éviter absolument surtout au prix de l'or en lingot. 0/20.. et remboursez!
Les éditions
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Maman, ma soeur, Hermann et moi [Texte imprimé] Matthew Kneale traduit de l'anglais par Dominique Mainard
de Kneale, Matthew Mainard, Dominique (Traducteur)
Belfond / Littératures étrangères (Paris)
ISBN : 9782714444240 ; 2,97 € ; 05/03/2009 ; 233 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (2)
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Si tu m'crois pas, tare ta gueule à la récré...
Critique de Patman (Paris, Inscrit le 5 septembre 2001, 62 ans) - 13 septembre 2012
Kneale parle ici avec la bouche du gamin, petit bout d'homme qui tente tant bien que mal de maintenir à flot un vaisseau familial qui prend eau de toutes part... On rit, on pleure, on frémit... un très bon livre de Matthew Kneale quoi qu'en dise Tameine !
Folie à deux
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 9 novembre 2009
L’exubérance du jeune narrateur est contagieuse dès le début. La prose comporte des fautes « d’ortografe » et des réflexions naïves afin de maintenir l’authenticité du récit en tout temps. Bien sur, on devine rapidement que quelque chose cloche à travers les observations de Lawrence. Les sautes d’humeur de sa mère et ses manies obsessives cachent un problème plus profond.
L’intérêt provient de cette distance entre le lecteur et l’enfant. Sa capacité d’adaptation aux situations difficiles est remarquable, mais on ne peut s’empêcher de se ronger les sangs en lisant cette chute libre, sachant que le petit héros sera incapable d’en dévier le cours.
Une histoire touchante et simple, qui aurait été plus forte sous la forme d’une nouvelle. Si vous n’aimez pas les enfants, évidemment c’est à éviter.
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