Quitter le monde de Douglas Kennedy
( Leaving the world)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 29 avis)
Cote pondérée : (1 006ème position).
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L'authentique Douglas Kennedy est de retour !
Un ouvrage somptueux, à la fois leçon de vie et roman d'aventures.
Nous y découvrons, parlant à la première personne, une attachante héroïne, Jane Howard, diplômée de Harvard, professeure de littérature, ses rencontres romanesques, son ascension à l'abri du besoin ...
Et puis le drame, un coup du sort dont personne n'est à l'abri et qui nous enseigne la fragilité du bonheur ...
Alors ? Quitter le monde ? Je ne dévoilerai pas ici le sens de ces trois-mots-solution que ce génial écrivain offre à son lecteur.
Un grand roman, captivant par la perspicacité de ses analyses psychologiques, et par la description des types humains que Jane rencontrera tout au long de cette tranche de vie que nous fait partager ce roman.
Merci au génial et si sympathique Doug' Kennedy !
Les éditions
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Quitter le monde [Texte imprimé] Douglas Kennedy traduit de l'américain par Bernard Cohen
de Kennedy, Douglas Cohen, Bernard (Traducteur)
Belfond
ISBN : 9782714442598 ; 4,41 € ; 07/05/2009 ; 498 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (28)
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Poisse de chez poisse
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 4 septembre 2017
Je ne sais pas ce que Jane Howard, notre héroïne, a fait à Douglas Kennedy, mais lui, il lui fait tout. Et plus encore. On a même par moments envie de lui crier « arrête, tu ne vois pas que tu fais encore une c… ?! »
C’est beaucoup quand même et ça donne à l’ouvrage un petit côté insupportable tant il parait surhumain de se relever, tel que Jane le fait avec difficultés mais constance, d’épreuves qui anéantiraient le commun des mortels. Heureusement, il reste l’habileté de Douglas Kennedy à mener des histoires, à les faire naître des limbes et à les élever en de belles choses. (Sauf que là l’héroïne est manifestement née sous une très mauvaise étoile et que les belles choses, ce n’est pas pour elle !)
Pourtant, diplômée de Harvard, on peut se dire qu’il y a plus mauvais départ ? Mais non, ça n’a pas dû trouver grâce aux yeux de Douglas Kennedy. Ni aux yeux de ses parents d’ailleurs qui, très tôt, ne favorisent pas leur fille. Couple mal assorti, ils se disputent et au bout du compte parviennent à faire se culpabiliser leur fille comme étant partie intégrante de leurs disputes.
Mais ça, ce n’est rien, les histoires qui suivent – et qui finalement pourraient être indépendantes les unes des autres – sont autrement plus gravissimes. La menant au désespoir le plus total (pertes de l’amour, d’un enfant, …), à la dépression, à la limite de la folie, mais rebondissant finalement, repartant de zéro. Balèze la Jane Howard !
Ca n’en fait pas mon Douglas Kennedy préféré. Ca reste néanmoins un Douglas Kennedy avec son art consommé de l’histoire racontée, mais là, pour le coup, il a concocté un mets trop salé ou trop épicé !
Que dire!!! 3.5/5
Critique de Tanios2007 (, Inscrite le 21 octobre 2013, 50 ans) - 22 octobre 2013
Je ne regrette pas de l'avoir lu parce que ça reste une histoire prenante qui procure diverses émotions de haine de colère d'amour .. (la séparation de ses parents, la mort de son amant secret, le rejet de sa mère, la trahison de son père, la mort de sa mère, la trahison de son compagnon, la mort de sa fille, enfin ça fait trop pour une seule personne mais ce personnage principal en l’occurrence Jane reste très attachante.
C'est certain que je relirai Douglas Kennedy à part Piège Nuptial que j'ai déjà lu et même adoré (particulier), mais je vais lire autre chose en attendant.
Jane
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 50 ans) - 23 août 2012
Elle rebondira plusieurs fois, pour vivre ailleurs, quitter le monde......
Magnifique roman, magnifique leçon de vie.
A lire.
Soyons indulgents c'est le premier livre de Kennedy moyen moyen...
Critique de Rock30 (Nimes, Inscrit le 6 juillet 2008, 61 ans) - 14 août 2012
Quand le destin s'acharne...
Critique de Guibest (, Inscrit le 20 mars 2011, 42 ans) - 10 mai 2012
L'appréciation de ce livre sera certainement différente en fonction de ce que vous avez déjà lu ou non de Douglas Kennedy, car beaucoup de thèmes chers à l'auteur réapparaissent dans ce livre au point de vous délivrer certainement une impression de déjà lu, mais bon pour dédouaner l'auteur je dirai que c'est sans nul doute cette touche personnelle et ses petits ingrédients fétiches qui nous font encore vivre d'agréables moments de lecture.
Très bon livre
Critique de Diddy (, Inscrite le 23 avril 2012, 41 ans) - 23 avril 2012
Very Very bad mood ….
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 2 janvier 2012
En fait je trouve qu’il y a beaucoup trop d’événements poissards pour l’héroïne qui enchaîne les déboires pendant 498 pages.
Une lecture bien pesante qui donnerait presque envie de « quitter le monde » de Douglas Kennedy …
Douglas s'essouffle ...
Critique de Francesca_1 (, Inscrite le 30 décembre 2011, 70 ans) - 30 décembre 2011
Je n'ai pas cru un seul instant au recrutement d'une universitaire littéraire comme trader ! L'enquête finale est presque grotesque !
Elle veut "quitter le monde" mais se rend rapidement compte qu'on ne peut plus vivre sans téléphone portable !! et finalement recrée une vie en changeant de lieu et de travail !
Le style m'a semblé parfois relâché à l'extrême et la syntaxe inexacte (la faute au traducteur ??). Les multiples citations de films cultes et d'oeuvres de musique font un peu 'j'étale ma culture' de la part de DK !
D'autre part il n'y a finalement aucun personnage vraiment sympathique dans ce roman même pas Jane !
Bref, j'étais bien loin du suspense et du plaisir de lecture de "piège nuptial" et du super "les charmes discrets de la vie conjugale" !
GRANDIOSE!!!!
Critique de Lilypitt (, Inscrite le 22 septembre 2011, 35 ans) - 22 septembre 2011
Je l'ai trouvé parfait!! Il arrive certes énormément de choses à cette héroïne qui arrive toujours à se relever.
Ca donne du courage pour notre vie personnelle, une très bonne morale.
C'est un superbe écrivain, je l'ai découvert avec ce bouquin donc je pense lire tous les autres.
Son écriture m'a transportée, il est difficile de s’arrêter de lire tellement mordue par l'histoire. Les émotions sont fortes, j'ai eu la sensation que c'était une femme qui avait écrit ce livre car il arrive parfaitement à définir avec des moments ce que nous pouvons ressentir.
La première fois pour moi que je pleure au cours d'une lecture.
Livre sensationnel!!!!!
Incrédule
Critique de Didoumelie (, Inscrite le 5 septembre 2008, 52 ans) - 19 août 2011
Non, même avec beaucoup d'efforts et d'acharnements, je ne suis pas parvenue au plaisir de lecture ; et cette fois c'est décidé, je quitte Douglas Kennedy pour de bon, que je range au même rayon que d'autres Guillaume Musso ou Marc Lévy !
Emouvant
Critique de Marie33 (Le Médoc, Inscrite le 1 octobre 2010, 58 ans) - 14 février 2011
Le parcours de Jane est étonnant, si attachant vous allez vivre avec elle une aventure hors du commun.
A acheter et lire
Quand rien ne va plus...
Critique de Martell (, Inscrit le 27 février 2004, 61 ans) - 14 janvier 2011
seule contre tous
Critique de Mirevol35 (mordelles, Inscrite le 4 décembre 2010, 74 ans) - 4 décembre 2010
Quand la vie s'acharne
Critique de Palin (, Inscrite le 22 septembre 2010, 43 ans) - 22 septembre 2010
Une vie tragique ...
Critique de Samba (, Inscrite le 3 mars 2010, 46 ans) - 21 septembre 2010
Une fois de plus, Douglas Kennedy ne m'a pas décu !
N'hésitez pas à lire ce roman, je vous le conseille.
Ne pas quitter ce roman...
Critique de Marsup (, Inscrit le 22 octobre 2009, 48 ans) - 23 août 2010
Seul (petit) bémol, les 100 dernières pages... je n'en dis pas plus...
Quitter le monde...j'ai quitté avant la fin du roman......
Critique de Monsieurgadjo (, Inscrite le 8 août 2010, 49 ans) - 8 août 2010
Un nouveau style accueillant
Critique de Joyesther (, Inscrite le 3 août 2010, 32 ans) - 3 août 2010
Au début c'est vrai je n'ai pas aimé cette histoire, sortie d'un Gossip Girl, j'attendais plus, mais toutes ces références littéraires, toutes cette culture m'a permis de garder le film les deux cents premières pages, on découvre cependant le monde universitaire, et un quotidien commun, dans lequel on pourrait se reconnaitre. Ce n'est pas une intrigue tirée par les cheveux, ce n'est pas un thriller psychologique qui n'est pas réel, non c'est l'histoire, d'une femme beaucoup trop raisonnable qui vit dans la crainte, dans les doutes, et qui se sous estime. Elle n'accepte pas son passé, mais ne peut le changer, elle essaye de vivre son présent, mais elle ne se sentira toujours pas libérée par ce poids de culpabilité, elle a peur du futur, parce qu'elle craint d'être déçue, car pour elle c'est ça, le bonheur ca ne dure pas, c'est éphémère. Et c'est ce que Kennedy veut nous faire comprendre, grâce a Jane.
Tout au long du livre, on espère avec elle, on se réjouit de ses relations amoureuses, on y croit à son bonheur avec David, et puis là toute notre euphorie flanche, parce qu'il y a cette saleté d'élément perturbateur qui flingue ce bonheur si court mais si intense. Et c'est cette leçon que l'on apprend, profiter du moment présent, parce que rien ne reste tout s'en va.
On peut penser au cliché de la pauvre fille à qui tout les malheurs du monde arrivent, mais non parce que avec elle on sourit, avec elle on se questionne, on sourit. Un personnage très bien construit, voulant jouer son jeu toute seule, n'ayant besoin que d'elle-même, ne criant pas au secours quand ça va mal, parce qu'elle a appris à ne compter que sur elle-même
Kennedy a réussi à transformer des choses compliquées en les exprimant facilement mais pas non plus en conte pour enfants. J'ai seulement 17 ans, et traverser le monde universitaire, de la littérature, des finances (même un court moment) m'a emportée.
Une femme qui ne demande que la rédemption depuis ses treize ans et qui s'autocritique depuis. Un simple déclic qui a tout entrainé, et j'avoue le déclic n'est pas original, mais on pourrait refaire le monde avec des "Si" et c'est ce que nous apprend aussi Kennedy avec finesse, la culpabilité et les remords (notamment la phase Adrienne Clugg) nous hantent par ces "si" qui auraient pu tout changer, tout faire basculer, et Jane est juste rongée par ceci.
Le drame s'accentue. Théo, son nouveau compagnon, la naissance de sa fille Là on sent le bonheur qui ne va pas durer, trop précipité, trop marginal ce bonhomme, intéressant mais trop marginal. Au fil de l'histoire, le bonheur (et oui ce terme revient souvent dans ma critique) s'effondre d'un coup en un jour. Et puis Jane se fatigue, est tombée dans la dépression , mais avec son déni elle s'enfonce encore plus intensément dans la dérision.
Kennedy a su peindre sa dépression, sa faiblesse psychologique ardente, avec une délicatesse, une réalité sans pareil. Le processus de tentative de suicide, l'asile, les émotions, les sentiments sortis.
Et puis là Kennedy en a eu marre de la dérision, il s'est dit et si je ne donnais pas cette image si désobligeante de la vie à mes lecteurs. On peut tout recommencer, n'importer et tout quitter ; "Quitter le monde" et se cacher dans une bulle, atteindre le vide spirituel, oublier qui on est, être inconnu, se refaire. Combien de gens rêvent de tout recommencer ? Devenir "Mr Nobody". Et bien Jane essaye de sortir de son désespoir avec le Canada, et on la suit dans sa lutte effrénée contre ce satané destin qui la bouffe depuis ce fameux treizième anniversaire.
Je ne donnerai pas le déclic de Jane dans ma critique, mais par celui-ci, on réalise qu'une seconde, un levé de tête, et tout bascule. Et Kennedy a bien sur joué sur ça, nous faire de petits signes comme " et je ne savais pas que cette scène allait tout changer", ces petites allusions qui nous intriguent nous passionnent.
Je ne suis sûrement pas aussi calée niveau écriture, mais moi ce livre je l'ai vécu à fond. Toute seule je pensais à Jane, je vivais l'histoire c'était moi, mes sentiments, mes aventures, mes problèmes, mes démons, j'étais elle et je voulais réussir pour elle. Kennedy en 670 pages m'a plongée dans un monde que j'ai été triste de quitter. J'ai été rongée par la passion, étant assez philosophe, toutes ces questions de destin, de doutes, de culpabilité, de raison, toutes ces qualités (oui qualités car après tout ça vous êtes forgés, endurcies, prêts à accepter les difficultés et les épreuves que l'on est forcé de rencontrer).
En bref, "Quitter le monde" m'a remuée. Je le conseille, mais je pense, qu'une critique ne vaut pas d'exister, même avec objectivité, un livre s'adapte à une personne, il y a le feeling ou pas, c'est comme une rencontre.
Maintenant je vous invite à tenter de faire un bref speed dating avec Quitter le monde, et de pas changer de table tout de suite, parce que oui, ca en vaut la peine.
PS : lisez la quatrième de couverture, car en partant déçue, on ne peut être que surpris
Un crescendo efficace
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 24 juillet 2010
Les deux premiers ne sont pas à la hauteur des titres que j'avais lus de cet écrivain.
Des univers stéréotypés, gris et mesquins pour les universitaires, déjantés et survoltés pour les gens de la finance avec un zeste du "Diable s'habille en Prada"
Un style grandiloquent: "Derrière le gémissement constant du vent, le fracas lourd et sourd des rouleaux se déroulaient à l'infini, un assaut féroce, primordial, d'une solennité biblique."
Des personnages caricaturaux: le personnage de la mère est à la limite du supportable.
Des aberrations comme le FBI qui ne s'est pas aperçu que Jane possédait un passeport canadien.
Bref, on trouve des ficelles un peu grossières, tant dans les personnages (les bons/les méchants;, les soumis/les manipulateurs) que dans les situations.
Ayant réservé ce livre il y a 6 mois, je me suis obligée à dépasser ces chapitres. Et je ne l'ai pas regretté.
Le roman , avec la naissance d'Emily, se densifie; le personnage de Jane devient consistant et très attachant. On ne parvient plus à le quitter et on ferme le livre à la 492° page, "chamboulé".
Un dernier conseil: NE LISEZ PAS la quatrième de couverture!!!
un peu beaucoup
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 28 avril 2010
Comme le disait un précédent commentaire : "c'est un peu beaucoup pour une seule femme"
Ceci étant dit... il en reste un roman de bonne facture, très bien écrit et qui procure beaucoup de plaisir.
Vivement le prochain!
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 17 janvier 2010
Survivre ou mourir?
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 4 janvier 2010
Trop de malheur pour une seule femme
Critique de Pascale Ew. (, Inscrite le 8 septembre 2006, 57 ans) - 7 décembre 2009
Ce livre est construit en cinq parties et de manière peu habituelle. En effet, chaque malheur qui clôt les quatre premières est laissé en suspens sans trouver de dénouement satisfaisant et le lecteur voudrait qu’on élucide certains points obscurs et pense qu’on y reviendra plus tard ... Mais non, à chaque fois, l’auteur nous fait quitter ces mondes et aller au-delà. C’est légèrement frustrant.
Autre frustration : Jane tente encore et toujours d’aller vers ses parents, qui ne l’ont jamais aimée et elle s’y brûle à chaque fois les ailes. Chaque tentative de renouer le contact de sa part lui vaut un revers. On voudrait pouvoir la soustraire à ces influences néfastes.
A part ça, ce livre est très agréable à lire et en vaut vraiment la peine !
Nuit blanche
Critique de Verosalie (, Inscrite le 15 novembre 2009, 46 ans) - 15 novembre 2009
Attachante Jane
Critique de Erve (Jalhay, Inscrit le 20 novembre 2004, 58 ans) - 13 octobre 2009
Un livre émouvant
Critique de Laurent63 (AMBERT, Inscrit le 15 avril 2005, 50 ans) - 13 octobre 2009
Un roman qui m'a bouleversé dans le bon sens du terme, qui capte le lecteur et qui sait l'émouvoir. Je vous invite à la découvrir, je pense que vous aimerez ce roman, qui est très bon...
Quitter Douglas Kennedy ?
Critique de Popaul (, Inscrit le 13 octobre 2008, 54 ans) - 6 octobre 2009
Autant ce livre me parait être une bonne étude psychologique des personnages qui vont côtoyer Jane Howard dans ses multiples fuites en avant, autant le côté "bavardage excessif" souligné par Tanneguy devient vite rébarbatif !
Douglas Kennedy surfe à nouveau sur le thème de la rupture et de la fuite, il est à mon sens proche d'avoir usé ce thème jusqu'à la trame.
Reconnaissons néanmoins que ce dernier opus est bien moins mauvais que "La femme du Ve" !
Des recettes éprouvées...
Critique de Tanneguy (Paris, Inscrit le 21 septembre 2006, 85 ans) - 5 octobre 2009
Tout compte fait, ne soyons pas trop sévère : on passe un bon moment à suivre les tribulations de cette pauvre fille accablée par tous les malheurs du monde. Plutôt que "génial", je qualifierais cet écrivain attachant de "bon professionnel".
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