Rebecca de Daphne Du Maurier
(Rebecca)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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La force d’une ombre
Une jeune demoiselle de compagnie, timide et réservée, fait la connaissance de Maxim de Winter. Au grand étonnement de tous, ils se marient quelques temps plus tard.
C’est que la seconde Madame de Winter est loin de ressembler à la première, Rebecca, épouse parfaite, adorée de tous et tragiquement disparue en mer un an plus tôt.
De retour à Manderley, le manoir familial, l’ombre de Rebecca plane encore et toujours. Sa présence est palpable dans toutes les pièces. La jeune femme souffre terriblement de la comparaison qu'elle sent dans le regard des domestiques et particulièrement dans celui de la gouvernante, Mrs Danvers. Maxim fait-il lui aussi la comparaison, aime-t-il toujours Rebecca ? Ces questions lancinantes trouveront peut-être leur réponse le jour où...
Daphné du Maurier a signé avec « Rebecca » son oeuvre la plus magistrale. L’écriture superbe fait naître graduellement le malaise, l'angoisse, la stupeur. Les personnages avancent vers leur destinée et le lecteur les accompagne, bien plus qu’en simple spectateur. Les peurs de la narratrice sont communicatives et ses doutes deviennent nos doutes, ses espoirs, nos espoirs. Ses efforts pour s'affirmer et s'imposer reçoivent tout notre soutien même si l’on sent que le destin, implacable, la rattrapera d’une façon ou d'une autre.
Daphné du Maurier était un écrivain prolifique, qui ne s’est pas cantonné à un genre littéraire. Elle a écrit des romans historiques, des sagas familiales, de l’anticipation, tout cela avec un bonheur quasi constant. Mais pour moi, c'est dans l’angoisse qu’elle atteint son plus haut niveau, et avec « Rebecca », sa plus grand maîtrise.
Les éditions
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Rebecca [Texte imprimé] Daphné Du Maurier
de Du Maurier, Daphne
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253006732 ; 1,50 € ; 06/04/1971 ; 409 p. ; Poche -
Rebecca [Texte imprimé], roman Daphné du Maurier traduit de l'anglais par Anouk Neuhoff
de Du Maurier, Daphne Neuhoff, Anouk (Traducteur)
Albin Michel / Les Grandes traductions
ISBN : 9782226314772 ; 25,00 € ; 25/02/2015 ; 534 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (22)
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Psychologique et fascinant
Critique de Dervla3012 (, Inscrite le 7 décembre 2019, 18 ans) - 15 août 2021
Au service de Mme Van Hopper, une dame riche et arrogante, l’héroïne de ce livre s’ennuie. Jeune et timide, avec très peu d’argent, elle se voit obligée de suivre sa patronne dans toutes ses vacances et ses déplacements. Cette fois-ci, elles sont parties à Monte Carlo dans le Sud de la France.
Mme Van Hopper aimant médire des gens et répandre des commérages, chaque fois qu’elle aperçoit un client différent à l’hôtel, elle ne peut s’empêcher d’aller lui parler, de l’inviter à manger…
Alors un jour, lorsque un nouvel arrivant se présente à la salle à manger, la vieille femme saute sur lui comme un loup sur une brebis. Mais cet homme-là ne se laisse pas faire, il refuse les invitations et s’en va.
Intriguée, notre jeune héroïne se renseigne sur lui ; il s’appelle Maxime de Winter et a perdu sa femme quelques mois plus tôt. Encore plus stupéfiant, il prend pitié de la jeune femme que personne ne remarque en temps normal et qui ennuie tout le monde. Il l’invite d’abord à déjeuner… puis à faire une balade… Peu à peu, celle-ci tombe amoureuse de cet homme d’au moins dix ans son aîné et avec un passé trouble. Tout semble moins morne avec lui.
Puis un jour, Mme Van Hopper décide de partir précipitamment et la jeune femme est désespérée, elle ne reverra plus jamais l’homme qu’elle aime. Elle se résigne à lui faire ses adieux mais celui-ci lui annonce alors qu’il veut l’épouser et la ramener dans son manoir avec lui.
Folle de joie, elle accepte et tout va très vite. En moins de deux semaines, ils organisent un petit mariage, partent en lune de miel puis reviennent au domaine. Malgré son bonheur, la jeune femme est morte de peur à l’idée de cette grande demeure et de toutes les personnes qu’elles devra rencontrer. Ses débuts sont en effet un peu difficiles mais elle finit par s’y accoutumer… enfin à part avec Mme Danvers la gouvernante, qui semble la détester. La jeune femme finit par découvrir que cette dernière adorait Rebecca, la défunte épouse de Maxime.
D’ailleurs notre jeune héroïne s’aperçoit bien vite que chaque habitant du manoir, chaque pièce, chaque couloir et même son cher Maxime semblent hanté par le souvenir de Rebecca…
Mon avis :
J’ai beaucoup aimé ce roman qui, bien que long, n’est pas du tout difficile à lire. Au contraire, une fois le livre refermé, on a juste envie de le rouvrir. Rempli de mystères et de chemins tortueux, il manipule votre esprit comme de la pâte à modeler pour vous mener sur de fausses pistes. Les personnages sont timides ou repoussants, attendrissants ou vicieux. Même lorsqu’on croit que tout est fini, cela recommence ! Ce livre est psychologique et fascinant !!!
Suspense du début à la fin
Critique de Bebern (, Inscrite le 20 juin 2016, 65 ans) - 22 juillet 2016
Rebecca, personnage étrange est décédée depuis un an ...
Le maître du Domaine de Manderley ramène sa jeune épouse au château.
Dans les pas de Rebecca, notre héroïne se trouve de plus en plus à l'étroit, voire écartée peu à peu de son couple.
Mais Rebecca était-elle si parfaite qu'elle ne puisse enfin trouver sa place ?
Laissez-vous emporter dans le magnifique Domaine de Manderley, ses paysages fantastiques de bord de mer, ses jardins merveilleux, son château de rêve !
Vivez les doutes et les angoisses de la jeune épouse !
Haletez jusqu'au dénouement final naturellement grandiose !
Atmosphère envoûtante
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 10 décembre 2015
« Elle avait la beauté qui dure et un sourire qu'on n'oubliait pas. Sa voix continuait à flotter quelque part et le souvenir de ses paroles. Il y avait des lieux qu'elle avait visités et des choses qu'elle avait touchées. Peut-être des placards contenaient-ils encore des vêtements qu'elle avait portés, retenant son parfum.
Dans ma chambre, sous mon oreiller, j'avais un livre qu'elle avait tenu dans ses mains et je la voyais l'ouvrant à cette première page blanche, souriant tout en écrivant et secouant son stylo. "A Max, Rebecca". »
J'ADORE l'écriture et je suis une grande admiratrice de l'auteure, mais plus j'avançais dans l'histoire et moins j'étais du côté de la protagoniste et de Maxim après les révélations. On se met vraiment dans la peau de l'héroïne, obsédée par l'ex femme de son mari, mais j'ai décroché dans le dernier tiers du livre.
L'adaptation d'Hitchcock (en 1940, avec Laurence Olivier et Joan Fontaine) avait justement changé certains aspects, mais ça pouvait être à cause des exigences des codes de l'époque. Le téléfilm (de 1997, avec Charles Dance et Emilia Fox) est plus fidèle de ce côté-là et la performance des acteurs m'avaient plus gagné à la cause.
Un roman que je vais certainement relire.
Rebecca, Manderley, la mer
Critique de Ddh (Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans) - 20 juin 2015
La narratrice, dame de compagnie, rencontre à Monte Carlo Maxim de Winter, veuf, de la haute société anglaise. Celui-ci la demande en mariage, voyage de noces en Italie et retour à Manderley, le domaine en Cornouaille britannique. Mais là, rien n’est simple : le fantôme de Rebecca, la première femme de Maxim, hante la propriété. Mrs. Danvers règne sur toute la domesticité, sur tout le domaine. Elle vit dans le souvenir de Rebecca et régente tout comme l’aurait fait Rebecca. La narratrice reste dans l’anonymat, toute la population du coin semble mépriser la nouvelle Mme de Winter. Mais un événement extérieur va tout chambouler.
Daphné du Maurier relance l’action à chaque fin de chapitre. Une belle dose d’imagination éclaire ce roman.
Quelques expressions sont mal traduites, genre : manger pour se rogner les ongles, cadeau de noce pour cadeau de mariage.
Lecture assez plaisante mais ne fera pas partie de mes préférés
Critique de Cristina21 (, Inscrite le 7 décembre 2014, 50 ans) - 18 avril 2015
Quant à l’histoire, elle se déroule assez lentement. Pauvre nouvelle Mme de Winter. D’ailleurs, comment s’appelle-t-elle ? Jamais son prénom n’est mentionné, c’est dire à quel point son personnage est peu signifiant durant une bonne partie du livre… Elle est sans cesse confrontée au souvenir de Rebecca et ne se sent pas à sa place : elle est trop jeune, n’est pas du même monde, elle n’a pas sa classe et sa beauté, et ne sait en rien diriger une telle demeure. D’autant que les employés et les proches admiraient tant l’épouse disparue. L’attitude de Mme Danvers, la gouvernante, n’arrange en rien son mal-être…
J’ai surtout apprécié le dernier tiers du livre où le rythme s’accélère après la révélation de Maxim à sa nouvelle épouse et à la découverte du corps de Rebecca. Là, il y a un peu de suspense et une petite intrigue qui se dévoile. La nouvelle Mme de Winter prend de l’assurance et devient plus présente. Quant à M. de Winter, il s’en sort bien de cette affaire. Par contre, je n’ai pas aimé la toute dernière scène du livre, ce qu’il se passe… quel dommage.
Ce livre ne fera pas partie de mes préférés, pourtant sa lecture ne m’a pas déplu.
Un fantôme erre sur la lande.
Critique de Hexagone (, Inscrit le 22 juillet 2006, 53 ans) - 1 novembre 2013
Flânerie sur les boulevards de Paris, une échoppe propose des livres d'occasion et mon regard tombe sur ce titre, cet auteur que je m'étais promis de lire.
Dès les premières lignes l'ambiance est installée.
J'ai cru au départ qu'il s'agissait d'un roman fortement inspiré par le gothique, la lande, la brume, les morts et puis soudain la riviera qui vient éclater au cœur de pages, la mer, le soleil, la légèreté et l'amour nimbé de mystère.
Retour à Manderley avec sa côté marine, les embruns, la roseraie, la crique et la pluie.
L'apprentissage de la vie de châtelaine, les domestiques, les mondanités et Rebecca, fantôme insaisissable qui d'outre-tombe régente la vie de Manderley.
Il fallait bien que le mystère s'épaississe, que la morte remonte à la surface des eaux pour une bonne fois pour toute régler la question.
Rendre sa dignité, briser le sortilège.
C'est là où Du Maurier m'a mené en bateau, j'avais envisagé une autre fin, habile romancière qui prend le lecteur à contre pied.
Un très bon roman d'éléments, l'eau, l'air, la terre et le feu sont présents à chaque instant, malgré l'enfouissement des secrets, malgré le travestissement de la vérité, il semblerait que Rebecca ne puisse jamais disparaître même si la fin du roman laisse penser à la purification et à une renaissance le mystère reste entier.
Hitchcock a dû bondir sur le livre car c'est un livre très hitchcockien, très psychologique, une ambiance pesante, quelques longueurs il faut le dire.
Ce n'est pas un page-turner, il faut prendre son temps, savourer, se délecter de ce style qui pourrait rebuter les lecteurs contemporains.
Je suis à ce titre surpris de constater que cela fait plus de de trois ans qu'aucune critique n'a été faite sur ce livre qui serait le plus représentatif de l'auteur !
Daphne du Maurier mérite vraiment d'être lue.
Je ne mets que 4.5 car au deux tiers du livre j'ai ressenti une petite baisse d'intérêt qui s'est vite effacée, tant la fin précipite les événements.
Un roman très riche, qui mériterait une meilleure critique mais il y a tant à dire.
Roman agréable (...)
Critique de JEyre (Paris, Inscrite le 17 juillet 2010, 43 ans) - 4 septembre 2010
Le jeu des noms
Critique de Granada (Bruxelles, Inscrit le 26 avril 2008, 60 ans) - 20 septembre 2009
Je trouve surtout très intéressant le jeu avec les noms des personnages principaux.
Le premier rôle est en fait une morte et elle donne son nom au livre, Rebecca, personnage biblique.
Le second rôle, la narratrice, quant à elle n'a tout simplement pas de prénom et son nom est celui de son mari, ce qui accentue le poids de Rebecca sur ses frêles épaules et la fait même passer pour une usurpatrice...
Et ce dernier s'appelle Maxim De Winter, ce qui signifie quelque chose comme grand hiver.
Avec les personnages secondaires, le jeu avec les noms est constant. La "patronne" de la narratrice au début s'appelle Van Hopper, c'est-à-dire sauterelle. La terrible gouvernante du château se nomme Danvers, ce qui ne veut rien dire à moins d'y trouver une allusion à la ville d'Anvers.
Reste à découvrir le sens de Manderley, le nom du domaine.
Manderley dans la brume
Critique de Pourpre (, Inscrite le 13 janvier 2009, 44 ans) - 6 avril 2009
La plume est agréable, et bien que le récit soit un peu lent et la fin un peu bizarre à mon goût (j'ai trouvé le tout dernier paragraphe un peu raté personnellement), il faut avouer que l'intrigue est prenante: Hitchcock en a fait d'ailleurs un film.
Dommage que ce soit un peu mou, l'histoire est très originale.
Je ne vais pas m'arrêter là et je pense lire bientôt d'autres ouvrages de Daphné du Maurier.
Rebecca
Critique de Alouette (Seine Saint Denis, Inscrite le 8 mai 2008, 39 ans) - 18 janvier 2009
Je l'ai trouvé vraiment bien écrit, parfois limite angoissant (je pense surtout au personnage de Mrs Danvers).
Le titre est vraiment bien choisi. Ce personnage est physiquement absente mais exerce la plus forte emprise sur les autres personnages du livre. Nous faisons sa connaissance à travers les récits de Mrs Danvers mais aussi à travers Manderley lui-même (les habitudes de la maison, les décors des pièces).
Le récit est à la première personne donc totalement subjectif. La nouvelle Mme de Winter (dont on ne connaît pas le prénom, si vous l'avez vu faites-moi signe !) raconte comment elle ressent les choses avec une candeur parfois ridicule. Heureusement, elle a quand même quelques moment de lucidité. Le point fort du livre reste son évolution.
Le texte est bien sûr conventionnel mais le petit retournement de situation final montre que rien n'est acquis (on le voit plus dans le livre que dans le film).
J'avais lu ce livre dans ma jeunesse...
Critique de Odile93 (Epinay sur Seine, Inscrite le 20 décembre 2004, 70 ans) - 5 juillet 2008
Autant, j'étais charmée du haut de mes 15-18 ans, autant je me suis un peu ennuyée dans les longueurs de ce livre que j'ai lu en diagonale.
J'ai trouvé que le schéma narratif du livre est assez classique et sans grande surprise: un mariage avec un homme riche mais au passé mystérieux, classes sociales différentes, difficultés de la jeune mariée à se faire accepter à Manderley, problèmes, situations de plus en plus oppressantes, on atteint un pic. Puis, tout s'éclaircit petit à petit.
Seule, la fin m'a ravie.
Ainsi, je me suis aperçue que mes goûts d'autrefois ont évolué. Je poursuis malgré tout ma re-lecture de mes livres d'antan: le prochain sera "la citadelle" de CRONIN.
Pénétrant et angoissant...
Critique de Manon (Paris, Inscrite le 31 juillet 2005, 35 ans) - 27 août 2005
Ainsi "Rebecca" est un roman pénétrant dont l'atmosphère étouffante ne nous laisse pas de marbre. On reste saisi par le style fluide et efficace de l'auteur. Rebecca, morte mais pourtant si vivante s'oppose tout le long du roman à la jeune narratrice effacée, sans nom ni personnalité. De plus, le renversement de situation à la fin du livre est épatant.
Du Maurier semble avoir été faite pour écrire des scénarios pour Hitchcock tellement elle manie le suspense, les ambiances avec aisance.
très spécial
Critique de Norway (Entre le Rhin, la Méditerranée et les Alpes !, Inscrite le 7 septembre 2004, 49 ans) - 24 juillet 2005
Envoûtant...
Critique de Poulain (St Ismier, Inscrite le 18 novembre 2004, 57 ans) - 14 janvier 2005
Et effectivement, le lecteur pénètre en compagnie de la nouvelle Mme de Winter dans le domaine de Manderley où se révèle chaque jour un peu plus le fantôme de Rebecca. L’ex-femme de Maxim, décédée par noyade, semble avoir marqué le domaine et les esprits.
Ce livre accroche le lecteur, qui vit les mêmes angoisses que la nouvelle mariée, se pose les mêmes questions et tente de comprendre qui était Rebecca.
Mme de Winter oscille entre la volonté de savoir en menant malgré tout son enquête et celle de se cacher la vérité par peur de se sentir encore plus rabaissée.
Autour d’elle, certains personnages ont tout de suite des positions très tranchées comme Mme Danvers (fidèle à Rebecca) ou Franck (dévoué à Maxim) et d’autres sont plus difficiles à cerner tel Maxim… mais le lecteur comprendra plus tard sa discrétion et son caractère changeant.
La partie consacrée à l’atmosphère pesante est assez longue mais nécessaire, les différentes scènes accablent un peu plus la jeune mariée qui, issue d’un milieu modeste, n’arrive pas à se faire une place à Manderley, jusqu’à la scène la plus dure, celle du bal costumé qui révèle encore plus le caractère odieux de Mme Danvers. Un sommet est atteint à ce moment-là et le lecteur est dans l’expectative de la suite…
Puis les évènements s’enchaînent rapidement – contraste total avec la partie précédente – et l’on découvre enfin la vérité, la personnalité de Rebecca et le rôle de Maxim. Je n’en dirais pas plus, ce serait dommage.
J'ai adoré ce livre et je ne l'ai pas lâché avant la dernière page. Trop de livres se terminent en queue de poisson dans leur dernier quart.
Tout au long de sa lecture, je me disais que ce roman ferait un excellent film…
Mortel !
Critique de Florence (Grenoble, Inscrite le 13 mai 2004, 49 ans) - 15 mai 2004
La première phrase...
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 15 mai 2004
Et il en existe encore beaucoup d'autres !...
Je ne peux donner un avis personnel sur Daphné du Maurier n'en ayant jamais lu un seul. Tout ce que je peux en dire me vient d'une opinion émise un jour par ma mère. Elle rendait ce type de littérature partiellement responsable de ses déceptions de femmes, ayant, me disait-elle, beaucoup trop lu ce type de littérature qui fausse les idées des jeunes filles sur la vraie vie. Dixit, ce n'est pas de moi.
Un de mes livres de référence
Critique de SOFIBI (, Inscrite le 1 mai 2004, 53 ans) - 15 mai 2004
Il est tout en subtilité!
Par exemple, on ne connaît pas le nom de la narratrice, la deuxième femme de Max de Winter: le prénom de Rébecca prend toute la place, la nie.. Je trouve ça très fort!!
Le climat, la description des atmosphères de la maison, des rapports entre les personnages laisse une impression très particulière et je suis donc d'accord avec vous pour dire que ce roman est un livre qui laisse une trace!
La nuit dernière...
Critique de Sorcius (Bruxelles, Inscrite le 16 novembre 2000, 54 ans) - 17 février 2004
Cette phrase est devenue mythique. C'est un des meilleurs débuts de livre qui soit.
Rebecca est un livre qui hante le lecteur comme Rebecca elle-même hante le roman.
Daphné du Maurier a réussi à créer une atmosphère d'angoisse unique, l'atmosphère "Rebecca". On ne ressort pas indemne de cette lecture.
Climat obsédant
Critique de Jasmine (Saint-Denis-les-Bourg, Inscrite le 15 février 2004, 61 ans) - 16 février 2004
Je pense que les auteurs d'autrefois faisaient beaucoup plus de descriptions, et d'analyse psychologique (surtout pour ce roman), c'est cela la magie des vieux livres.
la première MHClark
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 49 ans) - 29 juillet 2002
Romancières au pays des brumes
Critique de Renardeau (Louvain-la-Neuve, Inscrite le 6 avril 2001, 66 ans) - 18 décembre 2001
Tout comme toi...
Critique de Thémis (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 54 ans) - 16 décembre 2001
Forums: Rebecca
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Rebecca, le film | 4 | Maya | 16 janvier 2005 @ 14:40 | |
Flagrant délit pour Jules ! | 5 | Folfaerie | 18 mai 2004 @ 10:18 |