Power play de Joseph Finder
( Power play)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : (55 600ème position).
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Qu'est-il arrivé à Finder?
La haute direction d'une entreprise participe à un séminaire au Canada dans un chalet de luxe, isolé en forêt, lieu de villégiature hors du commun. Les participants seront pris en otage et une rançon pharamineuse est demandée.
Alors que Joseph Finder, l'auteur, est le spécialiste du thriller d'entreprise, j'avais lu ses 3 premiers romans qui m'ont délecté à chaque fois par leur originalité et le point de vue différent du suspense: il se démarquait nettement.
Ici, le roman prend la moitié du livre à lever. Des questions restent en suspens. Des invraisemblances non expliquées (les ravisseurs connaissent le nom des otages, sans que ceux-ci ne remarquent la chose plus que ça). Il s'agit ici d'une banale histoire de prise d'otages, comme on en a lu des meilleures. C'est banal et cliché. Bon, les motifs de cet enlèvement ne sont peut-être pas usuels, mais cela ne suffit pas à faire de ce roman une lecture de la qualité des précédents.
Je n'aurais pas du me fier à Harlan Coben qui dit en quatrième de couverture, que c'est le meilleur roman de Finder. Ou plutôt, oui, j'aurais dû m'y fier, connaissant Coben et son goût pour l'action de série B...
Les éditions
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Power play [Texte imprimé], roman Joseph Finder traduit de l'américain par Marina Boraso
de Finder, Joseph Boraso, Marina (Traducteur)
Albin Michel
ISBN : 9782226188564 ; 21,80 € ; 08/10/2008 ; 416 p. ; Broché
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Critique power play
Critique de Samuel.Viens (, Inscrit le 29 septembre 2010, 32 ans) - 30 septembre 2010
Personnages (3.1/5) : Personnellement, je n’ai pas du tout aimé le personnage au début, bien que je me sois habitué à son caractère au fil de ces 400 pages. Pourquoi je ne l’ai pas aimé? Tout simplement parce que j’ai trouvé son caractère beaucoup trop artificiel. Par contre, grâce aux sauts dans le passé, on peut tout de même comprendre davantage les motifs qui portent le personnage principal à avoir un tel comportement.
Style d’écriture (4.7/5) : J’ai bien aimé le style d’écriture de l’auteur : pour commencer, il écrit dans un langage que tout le monde peut comprendre, sans toutefois prendre ses lecteurs pour des ânes. Aussi, j’ai apprécié le fait que l’auteur ne se perde pas dans de longues descriptions inutiles, brisant le rythme du roman et créant une ambiance très lourde et pénible pour le lecteur.
Originalité de l’Histoire (3.7/5) : bonne histoire en général, j’ai cependant trouvé dommage que l’auteur ne laisse pas vraiment la chance aux lecteurs de trouver le coupable avant que celui-ci ne soit dévoilé, les preuves étant quasi-inexistantes. Mais il n’en demeure pas moins que le tout était bien pensé bien qu’il aurait été possible de mieux faire parvenir les différentes informations aux lecteurs.
Appréciation générale (3.2/5) très bon livre en général bien que loin de la perfection. J’ai entre autre trouvé plutôt déplorable que l’action ne débute qu’après environ 200 pages durant lesquelles on a l’impression que rien ne se passera tout au long du roman. Maintenant, quant à savoir si Joseph Finder doit ou non être surnommé le maître du Business Thriller, je n’ose pas m’affirmer pour le moment puisque je ne peux malheureusement pas me vanter d’être un expert du business Thriller, mais il n’en demeure pas moins un très bon auteur.
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