Mort aux cons de Carl Aderhold
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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absolument nul
Au début l’auteur peint le tableau d’un couple normal devant sa télévision où la chatte de la voisine vient se faire câliner. Christine va se coucher, l’homme reste à regarder une émission et se fait mordre par le petit animal. Il décide tout bonnement de la jeter par la fenêtre (4° étage). Elle meurt. Le lendemain, une solidarité se développe vis-à-vis de la maîtresse. Le personnage principal veut voir le retour de l’amitié, plus de contact, de solidarité…. Il extermine donc tous les animaux domestiques du voisinage. Au début sa technique marche mais très vite des clans se forment et se disputent. Il est sur le point de se faire démasquer par la concierge, il la tue donc. C’est à ce moment là que sa lutte contre les cons commence.
Il décide de trouver une théorie pour ne pas faire d’erreur mais il ne parvient pas à trouver quelque chose de stable.
Il extermine tous ceux qui l’ennuie, d’où il tue « pour un oui et un non » sans raison bien valable à part que la personne ne lui convient pas au niveau caractère. Il ne se prend pas pour un tueur jusqu’à ce qu’un flic vienne l’arrêter et c’est sa peur de la prison qui lui fait faire son geste. Par la suite il essaye de faire comprendre à l’opinion son combat et d’être légitimé.
Je n’apprécie pas du tout le style de l’auteur, même le but de son ouvrage est négatif. Les tueries sont toutes les fois très répétitives. Il nous peint un personnage peu tolérant, égoïste, qui veut être seul au monde … Heureusement qu'il n'existe personne avec un caractère aussi négatif, même un sérial killer me paraît plus sympathique. On ne retient rien de sa théorie sur les cons, il ne créait rien de bien nouveau. Je suis même choquée qu’un personnage aussi peu tolérant existe dans un roman en effectuant autant de meurtres aussi facilement.
Du coup, je n’ai absolument rien retiré de cet ouvrage (même peu de distraction), aucune théorie, aucune fable :rien . Peut-être n’ai-je pas compris mais j’en doute le sens réel de ce livre !!!!
Les éditions
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Mort aux cons [Texte imprimé] Carl Aderhold
de Aderhold, Carl
Hachette
ISBN : 9782012372726 ; 18,80 € ; 14/08/2007 ; 410 p. ; Broché -
Mort aux cons [Texte imprimé] Carl Aderhold
de Aderhold, Carl
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253124870 ; 8,40 € ; 04/02/2009 ; 416 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (17)
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Un petit bijou !
Critique de DE GOUGE (Nantes, Inscrite le 30 septembre 2011, 68 ans) - 28 septembre 2014
S'ensuit une étude extraordinaire des différents cons qui encombrent notre pays : celui qui porte l'uniforme, le bien-pensant, l'ami envahissant, l'administratif borné, le loubard, le 3ème âge donneur de leçon, l'intellectuel racorni, le chasseur, le concierge, le politique, l'expert ...bref, tout un pan d'humanité. Sans tomber dans l'amalgame d'un "tous pourris " le personnage tue les cas criants.
Deux épisodes sont particulièrement savoureux :
- un jeune politicien aux dents longues, qui souhaite karchériser à tout va et qui, en suivant un rythme forcené, ne cache pas ses ambitions de devenir Président de la République !
- un jeune philosophe, à la pensée brillante, à la vie mondaine éclatante, au physique de jeune premier qui est le seul à "comprendre" et le fait savoir !
S'ensuit de longues recherches pour une définition exacte du con ! Vaste programme !
Le livre est superbement écrit, un style nerveux, incisif , drôle, dommage que la fin ne soit pas à la mesure du reste de l'ouvrage ....
Un moment de plaisir garanti !
Pas con...
Critique de Bolcho (Bruxelles, Inscrit le 20 octobre 2001, 76 ans) - 23 août 2013
On va dire que c'est un roman qui se donne pour objet d'étudier les cons et qui va tenter d'en donner ne serait-ce qu'une sorte de définition. Dans le genre, la connerie « se situe (...) à mi-chemin entre la bêtise et la crapulerie » avec une précision : « On pourrait presque dire que la crapulerie est une sorte d'intelligence de la connerie ».
Vous n'êtes pas obligés de prendre cela au sérieux, d'autant que le bouquin verse très largement du côté de l'humour. N'empêche : c'est « pas con », ce qu'il dit.
Et il va chercher la connerie partout où elle se trouve. Exemple. « Je suis allergique à toute cette quincaillerie spirituelle, soit-disant made in Orient. M'insupporte ce mélange des genres qui établit un lien quasi mystique entre l'âme et le corps, ce dont la médecine européenne a mis deux mille ans à se défaire (...). Et je ne parle même pas de l'absence totale d'humour et de distance de tous ces praticiens bio qui semblent tous penser que la guérison dépend de leur air d'austérité monacale. »
Il y a le con sanguin, le con fraternel, le con disciple, le con vecteur (qui propage des rumeurs), le con casseur (dans les banlieues), etc, vous trouverez bien les autres vous-mêmes...
Un jour, le héros de cette histoire décide de prendre les choses à bras le corps : les cons constituant une engeance malfaisante, il décide de les éliminer physiquement, un par un, mais sans oublier de poursuivre le versant théorique de sa démarche.
C'est drôle, c'est intéressant aussi (un peu long sur la fin) et c'est à prendre avec la distance nécessaire pour ne pas ressembler à un praticien de médecine douce orientale...
Impossible de ne pas songer à la démarche de Noël Godin, le « Gloupier » qui « entarte » la tronche des cons sublimes à la une de nos actualités.
D'ailleurs, parmi les cons de notre livre, on trouvera des figures ressemblant étrangement à une victime du Gloupier, philosophe tout en platitudes consensuelles, mais très bien habillé...
Très con !
Critique de Sandswan (, Inscrite le 9 juin 2013, 49 ans) - 9 juin 2013
Si le but de votre lecture est de baigner dans le ténèbres du suspense et du meurtre , dirigez-vous vers du Grangé ( miserere, le passager ) .
Déçu
Critique de Addsc (, Inscrit le 12 juillet 2012, 42 ans) - 27 novembre 2012
aurait pu mieux faire
Critique de Soup34 (, Inscrit le 30 septembre 2007, 44 ans) - 6 septembre 2012
La lecture est sympathique, par moment même jouissive tellement on reconnaît dans une situation une personne que l'on a connu ou connaît encore mais plus on avance dans le bouquin moins cela est vrai et plus la méchanceté est gratuite.
Et puis évidemment l'histoire manque de crédibilité tant le narrateur n'est jamais inquiété par la police même si à la fin on a une explication mais ce n'est pas crédible.
En résumé le début m'a bien plu mais le livre est long au final.
Décalé
Critique de SidonieLasalle (, Inscrite le 18 mars 2012, 50 ans) - 1 août 2012
Le style ensuite : plutôt simpliste mais alerte, frais, abordable, qui sied bien aux propos énormes de ce joyeux drille.
C'est comme on s'apprête à déguster un bon bourguignon réchauffé de la veille que j'entamai ce livre (il y a quelques années).
Le rythme, dans la première partie du livre (au sens large), ne faiblit pas. On est dans le burlesque, le délicieusement absurde, le second degré du second degré, à peine teinté d'une réflexion sur la bêtise humaine, celle qu'on décèle, croit déceler, qu'on guette. Du bonheur!
Et puis... que s'est-il passé? Sur la fin, l'auteur quitte son univers pimenté de cynisme pour nous offrir une chute plate, convenue, sans fantaisie. Ma déception fut à la hauteur de mon engouement du début.
Un livre inégal et "oubliable", mais qui eut le mérite d'apporter une bouffée de fraicheur dans mes lectures de l'époque :)
lourd sur la fin
Critique de Kaokao (, Inscrit le 16 juin 2011, 47 ans) - 16 juin 2011
Sinon je dirais qu'il s'agit d'un livre défouloir où l'on prend plaisir à s'identifier à l'auteur.
miroir.
Critique de Samuel (, Inscrit le 27 mars 2011, 61 ans) - 27 mars 2011
En revanche, je me suis dit en lisant que chacun en prenait pour son grade, que chaque lecteur, au fil des pages, pourrait se reconnaitre comme un CON... et que les critiques ne manqueraient pas de descendre ce premier roman. J'avais vu juste. Ce livre qui est loin d'être un chef d'œuvre de la littérature se lit pourtant rapidement et sans déplaisir. C'est pourquoi je n'explique pas autrement la violence de certaines critiques. Je préfère attendre la suite et encourager l'auteur Carl Aderhold.
Et le chat ne retomba pas sur ses pattes ...
Critique de Tochinette (, Inscrite le 8 mai 2010, 30 ans) - 9 mai 2010
Les différentes théories et découvertes du personnage, nous amènent de déboires en surprises.
Il ne faut pas confondre ce livre avec un thriller, ce qui n'est absolument pas le cas; c'est un livre décalé, qui donne une vision plus ou moins précise du caractère des hommes, selon leur statut ou leur mode de vie.
Les principales réflexions apparaissent dans les dialogues entre le serial-killer et le policier, moments plutôt drôles je trouve.
Et puis le manifeste de la fin est un délice.
Con comme son nom l'indique.
Critique de Siham wh (Metz, Inscrite le 21 décembre 2009, 35 ans) - 22 décembre 2009
Les quelques premières pages, j’étais assez enthousiaste et je me disais qu’il est question d’amener le sujet. Puis j'ai commencé à jouer aux devinettes à défaut d'autre distraction : quel sera donc le sort de cette nouvelle connaissance ? ……………..….......la mort. Le gros suspense !
Apothéose, arrive le passage où le héros-killer rencontre le producteur de porno et là c’est l’overdose.
Ce livre aurait tout autant pu porter le titre de « Mort à mon prochain ou Misanthropie ».
A force d’avoir usé du mot « con » l’auteur en a oublié sa signification.
Du vrai excrément sur papier, aucune pudeur ni bienséance éthique ou artistique.
Un délice !
Critique de Tallula31 (toulouse, Inscrite le 6 mai 2008, 52 ans) - 15 novembre 2009
Qui n'a jamais osé penser à l'accident (sans pour autant souhaiter sa mort) à un con de chauffard contre un platane parce que oui justement il vous colle au train ou autre désagrément me jette la première pierre.
Il y a forcément une scène de ce bouquin que vous avez déjà vécue et du côté de notre attachant (et oui!) personnage plein d'humour et de mauvaise foi, susceptible et puéril, et du côté (et oui bis) d'un con.
Les réflexions sur notre société, nos comportements et les gens qui nous gouvernent sont réalistes.
Les clins d'oeil aux émissions de tv où chacun y va de sa confession.
Le tapage nocturne où la limite de notre tolérance en qualité de voisin est mise à rude épreuve.
La visite à la ferme de l'homme politique, etc....
Tout est retranscription de ce que le quotidien nous fait voir, entendre, ou subir, à force on déplore et on sature.
L'écriture est géniale aussi, pleine d'humour, de jeux de mots.
nul
Critique de Matheus (, Inscrit le 24 août 2008, 49 ans) - 9 juillet 2009
Comme dans une autre critique, un conseil de lecture sur ce thème de "mort aux cons", mais dans un meilleur style : Waiting period, de Selby (voir fiche critique http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/9802 ).
Nullissime
Critique de Yann35 (, Inscrit le 31 mai 2009, 48 ans) - 31 mai 2009
Si les cons avaient du tous mourir, l'auteur n'aurait pas survécu.
A fuir...
PS : Frédéric Dard a écrit un livre intitulé "Les Con" (l'oubli du "s" est volontaire, il faut le lire pour comprendre) avec son célèbre personnage San Antonio. Je conseille à l'auteur de s'y pencher pour voir ce qu'est la vraie littérature.
Original, drôle et politiquement très incorrect
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 43 ans) - 16 février 2009
A noter la scène mettant en scène un homme politique sarkosien est vraiment drôle.
SERIAL KILLERS… DE CONS!
Critique de Septularisen (, Inscrit le 7 août 2004, - ans) - 13 novembre 2008
En effet qui ne s’est jamais dit dans la vie : «Quel con celui-là…», et bien le héros du livre lui est passé à l’étape suivante… il s’en débarrasse de façon plus ou moins radicale et violente !
Et voici donc notre homme (à la fois juge et bourreau), tuant, dé zinguant, achevant, déglinguant, zigouillant, tous ceux qui de près ou de loin auront eu le malheur d’être classés par lui-même dans la catégorie des «cons»!
Un véritable «combat» sans fin, mieux une profession de foi!.. 140 meurtres et assassinats divers… un véritable seral killers de… cons!
Le livre est bien sûr à lire au second (si ce n’est au troisième) degré! Il ne faut surtout pas un instant croire un instant que l’histoire puisse être vraie!.. c’est même ce qui fait son charme! Il ne faut surtout pas y chercher un sens, une morale, une théorie, une explication… il n’y en a tout simplement pas!
On s’amuse, on rit beaucoup, bien que, comme déjà, dit on n’y crois pas un seul instant… l’écriture est simple directe et belle … elle n’est d’ailleurs pas sans rappeler par certains aspects celle du grand écrivain finlandais Aarto PAASILINNA, excusez du peu…
Seul bémol, la fin un peu bâclée et qu’on aurait voulu différente… l’explication de la lettre au rédacteur en chef de journal pour «revendiquer» et expliquer les différents meurtres étant une idée un peu banale, et qui tombe un peu à plat dans le déroulement de l’histoire… mais sinon, quelle verve ! On attend avec impatience le deuxième livre de cet écrivain!
décès revigorants
Critique de B1p (, Inscrit le 4 janvier 2004, 51 ans) - 22 juillet 2008
"Convaincu mais confus, contrit et content à la fois, confit un peu aussi, contrarié surtout... Encore aujourd'hui le contrecoup, le contre-choc devrais-je dire, de cette considérable constatation me consterne. Comment n'y avais-je pas songé plus tôt ?
Les cons !
Que de conjectures incongrues, que de contretemps contre-productifs et autres contrevérités malheureuses pour en arriver là ! Confondant ! Inconcevable ! [...] Je me consolais en pensant qu'on se confronte toujours au concret avant de comprendre le concept."
Carl Aderhold s'attaque ici à un sujet très improbable dans un style qui l'est tout autant. Faisant le grand écart entre roman et élaboration intellectuelle, il garde le cap de bout en bout, et écrit un roman ô combien immoral et politiquement incorrect. Et bon Dieu, qu'est-ce que ça fait du bien ! Qui n'a jamais eu des envies de meurtres à devoir supporter tous les pisse-vinaigre, tous les importuns, tous les gênants, pédants, emmerdants ou assommants ? Bref, tous ceux qui profitent de leur situation pour vous pourrir la vie au-delà de toutes les limites raisonnables ? Personne ! Du moins je suppose, à moins d'être maître zen ou ceinture noire de yoga ! Que le meurtre soit maquillé en accident ou que le "con" se retrouve ostensiblement avec une balle entre les deux yeux, le résultat est le même !
Halte aux adeptes des médecines douces qui vous enfourneraient leurs gélules par le derrière ou aux collectionneurs-fous de cadeaux publicitaires. Halte aux morveux qui vous pourrissent la vie au parc et à leurs parents permissifs ou démissionnaires. Halte aux connaissances qui essayent de vous convertir au Feng Shui ou vous vantent les mérites du bricolage dans leur pavillon de province. Halte aux contrôleurs vindicatifs, aux guichetiers récalcitrants et aux directeurs des ressources humaines appliquant des préceptes aussi laborieux qu'abscons. Et j'en passe... (forcément que j'en passe : s'il fallait résumer 132 meurtres...) Aderhold aligne une galerie de personnages que nous avons tous un jour ou l'autre rencontré et que nous avons tous maudits sans jamais aller plus loin. Aderhold ne fait que leur régler leur compte virtuellement, alors que nous en avons été réduits à les subir, et par là, on ne peut que lui dire un seul mot : "merci !"
"C'est fou comme très rapidement le statut de salarié entraîne de profondes transformations. L'entreprise est ce curieux mélange de l'armée et de la bureaucratie soviétique. Obéir est la première règle, mais cela ne suffit pas. Il faut aussi prier pour rester dans la ligne, car elle change sans même que l'on puisse s'en apercevoir. Le grand groupe n'a ni mémoire : personne n'est jamais au courant des dossiers et ceux qui les ont suivis ont disparu depuis longtemps; ni avenir : il s'agit de produire du chiffre, encore plus de chiffre, et chaque semestre amène son nouveau cortège d'indicateurs; ni présent : on est toujours en train de faire le bilan de l'exercice écoulé et de tirer des budgets sur la comète. Pire, une mauvaise année plonge dans la désolation : des têtes vont tomber; une bonne année, dans la crainte : on ne pourra pas faire aussi bien."
Mais je me rends compte que l'image donnée du bouquin pourrait à ce stade être sinistre. Attention : il n'en est rien !
Car le grand succès d'Aderhold est de rendre la quête du narrateur drôle et ludique : un français impeccable et d'une extrême fluidité, et surtout un humour omniprésent, remarquablement constant, et une maîtrise hors du commun de l'équilibre histoire / réflexion qui permet au récit et au héros d'être sympathique - et oui, les tueurs en série peuvent être sympathiques -, voire attachant et de stimuler en même temps les neurones.
Seul critique possible : le dénouement qui choisit de ne pas choisir et refuse la conclusion naturelle alors que, tout bien réfléchi, si l'on veut aller au bout de la définition définitive de la connerie, c'était bien celle qui s'imposait...
"Certes. Mais poussons le raisonnement plus loin. N'y aurait-il pas des... comment dire ? des faiseurs de cons, qui tels des virus propagent la connerie ? Pour l'instant nous ne parlons que des cons que nous croisons ou pouvons croiser, que nous subissons le plus souvent, mais ce ne sont pas eux les plus dangereux. Par exemple, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais aujourd'hui, quand un con pontifie, il parle comme à la télé. Le moindre type qu'on interroge pour un micro-trottoir a toujours l'air de réciter une leçon apprise dans les médias. Le problème des banlieues ? "Je pense - remarquez bien le "je pense", car moins cela vient d'eux, plus ils se l'approprient -, je pense que l'Etat ne doit pas démissionner". La laïcité ? "Je pense que la France a une tradition républicaine... Il faut avoir une démarche citoyenne..." On dirait un karaoké des meilleurs discours d'experts. Jusqu'au commentaire des matchs de foot, où l'on retrouve dans les analyses des gens au bistrot du coin des bribes du sabir prétentieux des journalistes sportifs. "Ils auraient dû tuer le match" Voilà pourquoi je dis : il y a pire que les cons, il y a les faiseurs de cons..."
Mort aux cons, un livre à lire de toute urgence!!!
Critique de Clement chatain (Bordeaux, Inscrit le 25 juin 2008, 38 ans) - 3 juillet 2008
Je remercie pour la réalisation de cette chronique Stéphanie qui a eu la gentillesse de la relire et de me conseiller des modifications.
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