Funérarium de Brigitte Aubert
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 4 avis)
Cote pondérée : (56 521ème position).
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Polar & humour noir
Brigitte AUBERT utilise toujours l'humour dans ses romans pour faire passer les situations les plus dramatiques. Ca lui permet d'aller loin dans la noirceur, sans que l'on prenne l'histoire au premier degré. C'est assez amusant de voir que le fil sur lequel elle avance est toujours fragile. Dans la mort des neiges elle montait au troisième ou quatrième degré ce qui en faisait un roman indigeste, dans celui-ci elle trouve le bon équilibre pour notre grand plaisir. Ici on est dans la famille bourgeoise type où ca dérape pas mal, avec comme personnage central un embaumeur détective malgré lui. C'est bien ficelé.
Les éditions
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Funérarium [Texte imprimé], roman Brigitte Aubert
de Aubert, Brigitte
Seuil / Points (Paris)
ISBN : 9782020606561 ; 2,90 € ; 20/06/2003 ; 432 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (3)
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un peu lourd
Critique de Eoliah (, Inscrite le 27 septembre 2010, 73 ans) - 24 mars 2022
On chemine donc dans un environnement morbide avec un embaumeur valorisé, des enfants morts, des actes de cruauté sur animaux, des relations humaines malsaines.... la totale.
Je ne dévoilerai pas la fin car ça se laisse lire, mais la réalité entre secret et actes manqués pour dévoiler l'inavouable n'est pas trop crédible
Bof !
Critique de Kikounette (Nîmes, Inscrite le 15 mai 2003, 52 ans) - 1 novembre 2011
Honte à l'éditeur
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 20 novembre 2009
L'histoire est complètement idiote, Léonard Moreno est taxidermiste et comme boulot d'appoint s'amuse à naturaliser des être humains. Déjà là, c'est très dur de l'aimer ou de prendre au sérieux ce protagoniste complètement farfelu. Et je vous épargne les circonstances grotesques qui l'ont amené à faire ce boulot.
Léonard est entraîné dans une histoire de famille saugrenue et mal construite dans laquelle il n'a rien a faire. Pendant tout le roman, la famille Andrieu aurait pu et aurait dû le foutre à la porte. VLAN! Fin du roman. Moreno est toujours superflu dans la situation et n'a jamais de raison d'enquêter... sinon celle d'être le héros d'un roman.
Je me dois aussi de mentionner l'écriture remplie de superlatifs et d'adjectifs obscurs qui n'ont pas leur place dans le style polar. Évitez, oubliez Brigitte Aubert... et lisez plutôt le dernier Patrick Senécal.
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