Mille soleils splendides de Khaled Hosseini
Mille soleils splendides de Khaled Hosseini
( A thousand splendid suns)
( A thousand splendid suns)
Catégorie(s) : Littérature => Asiatique
Critiqué par Bonus1, le 13 décembre 2007
(ARRADON, Inscrite le 18 avril 2006, 65 ans)
Critiqué par Bonus1, le 13 décembre 2007
(ARRADON, Inscrite le 18 avril 2006, 65 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 27 avis)
Cote pondérée : (71ème position).
Discussion(s) : 1 (Voir »)
Visites : 19 084
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DECEVANT
Voilà une copie très pâle du premier livre / les cerfs-volants de Kaboul. l'histoire est agréable à lire bien qu'il y ait beaucoup de scènes d'horreur inutiles et surtout beaucoup d'évènements très improbables : cette jeune fille qui explose dans une bombe et qui est "récupérée" par des voisins alors qu'elle semble très atteinte, qui peut croire cela !
Heureusement je suis en train de lire un autre livre mythique : SHANTARAM de Grégory David Roberts : A NE PAS RATER !
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Les éditions
-
Mille soleils splendides [Texte imprimé] Khaled Hosseini traduit de l'américain par Valérie Bourgeois
de Hosseini, Khaled Bourgeois, Valérie (Traducteur)
Belfond / Littératures étrangères (Paris)
ISBN : 9782714443274 ; 21,00 € ; 18/10/2007 ; 405 p. ; Broché -
Mille soleils splendides [Texte imprimé] Khaled Hosseini traduit de l'américain par Valérie Bourgeois
de Hosseini, Khaled Bourgeois, Valérie (Traducteur)
10-18 / Domaine étranger
ISBN : 9782264049063 ; 8,80 € ; 08/01/2009 ; 411 p. ; Poche -
Mille soleils splendides
de Hosseini, Khaled Bourgeois, Valérie (Traducteur)
Belfond / Littérature étrangère
ISBN : 9782714460608 ; 19/02/2015 ; 405 p. ; Format Kindle -
Mille soleils splendides [Texte imprimé] Khaled Hosseini traduit de l'américain par Valérie Bourgeois
de Hosseini, Khaled Bourgeois, Valérie (Traducteur)
À vue d'oeil
ISBN : 9782846664219 ; 24,39 € ; 20/05/2008 ; 515 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (26)
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L'Afghanistan et le coeur des femmes
Critique de Jordanévie (, Inscrite le 27 septembre 2022, 49 ans) - 1 juillet 2024
La vie des femmes en Afghanistan n'est pas de tout repos...
S'élever contre des principes ancestraux façonnés par la main masculine est un long, difficile et dangereux combat quand on naît Femme en Afghanistan.
Que la Terre Afghane est belle et si bien retranscrite sous la plume de Khaled Hosseini !
Il nous décrit les bombes qui mettent en pièce Kaboul, la guerre entre les différentes ethnies et l'effroyable réalité du quotidien de la population.
S'élever contre des principes ancestraux façonnés par la main masculine est un long, difficile et dangereux combat quand on naît Femme en Afghanistan.
Que la Terre Afghane est belle et si bien retranscrite sous la plume de Khaled Hosseini !
Il nous décrit les bombes qui mettent en pièce Kaboul, la guerre entre les différentes ethnies et l'effroyable réalité du quotidien de la population.
Oui, splendide
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 29 juillet 2015
Je n'ai pas de mots pour dire à quel point ce roman m'a remuée. Coup de cœur total pour ce livre que j'ai dévoré d'un bout à l'autre et qui m'a émue, captivée, dégoûtée, dépaysée, profondément bouleversée. Je pensais que le sommet avait été atteint avec les Cerfs-volants de Kaboul, mais je m'étais trompée. Je suis complètement conquise par cet auteur.
Poignant!
Critique de Pneumatiquologue (, Inscrit le 23 avril 2014, 48 ans) - 23 avril 2014
Plus qu'un récit, un vrai compte de destins des deux femmes à travers l'histoire moderne de l'Afghanistan, le livre est très touchant, les personnages attachants et le style particulier de l'auteur est au rendez-vous.
splendide
Critique de Gardigor (callian, Inscrit le 27 avril 2011, 47 ans) - 11 mars 2013
j'avais laissé un peu de temps entre mes deux lectures "Hosseini" afin d'apprécier à sa juste valeur ce second ouvrage.
Il y a quelques passages déjà aperçus dans les cerfs volants de Kaboul sur l'histoire afghane et ses blessures durant ce 20éme siècle jusqu'aux blessures actuelles, mais comment y échapper...
Ce nouvel ouvrage propose une approche différente à travers ces femmes, leur combat. Cela laisse souvent sans voix.
Ce livre est tout aussi touchant que son premier. On ressort marqué par ce livre, marqué par la souffrance de ce peuple, marqué par le combat de ces femmes.
C'est un livre bouleversant mais qui reste incontournable.
Il y a quelques passages déjà aperçus dans les cerfs volants de Kaboul sur l'histoire afghane et ses blessures durant ce 20éme siècle jusqu'aux blessures actuelles, mais comment y échapper...
Ce nouvel ouvrage propose une approche différente à travers ces femmes, leur combat. Cela laisse souvent sans voix.
Ce livre est tout aussi touchant que son premier. On ressort marqué par ce livre, marqué par la souffrance de ce peuple, marqué par le combat de ces femmes.
C'est un livre bouleversant mais qui reste incontournable.
Un bon "best-seller". Mais ce n'est "que" un best-seller
Critique de Lucile (Stockholm, Inscrite le 20 septembre 2010, 36 ans) - 17 octobre 2012
Il est difficile de dire que le livre n'est pas intéressant, après l'avoir lu en moins de 10 jours en version originale (anglais). C'est "chouettement" écrit, prenant. Difficile de ne pas être plongé dans l'histoire.
Pour moi, c'est donc un bon best-seller, sans commune mesure avec les abrutissants Da Vinci Code ou Ensemble c'est tout.
Mais ce n'est "que" un best-seller, c'est à dire que sa qualité principale est d'être plaisant. L'écriture est agréable, plutôt facile, mais pas simplette. Mais je ne trouve pas que les personnages soient d'une profondeur haletante, ni que l'histoire ait un intérêt particulier. D'une façon générale, j'ai un peu du mal avec les histoires d'amour impossible, les adieux déchirants et les retrouvailles tire-larmes. Et puis je n'ai pas lu grand-chose sur l'histoire de l'Afghanistan que je ne savais déjà. Alors je reste un peu sur ma faim. Je suis d'accord avec la plupart des critiques : J'ai préféré Les cerfs-volants de Kaboul, plus original et plus profond.
Donc, comme je disais : intéressant et plaisant.
Note sur la version originale (anglais) : facile à lire pour un niveau moyen-bon.
Pour moi, c'est donc un bon best-seller, sans commune mesure avec les abrutissants Da Vinci Code ou Ensemble c'est tout.
Mais ce n'est "que" un best-seller, c'est à dire que sa qualité principale est d'être plaisant. L'écriture est agréable, plutôt facile, mais pas simplette. Mais je ne trouve pas que les personnages soient d'une profondeur haletante, ni que l'histoire ait un intérêt particulier. D'une façon générale, j'ai un peu du mal avec les histoires d'amour impossible, les adieux déchirants et les retrouvailles tire-larmes. Et puis je n'ai pas lu grand-chose sur l'histoire de l'Afghanistan que je ne savais déjà. Alors je reste un peu sur ma faim. Je suis d'accord avec la plupart des critiques : J'ai préféré Les cerfs-volants de Kaboul, plus original et plus profond.
Donc, comme je disais : intéressant et plaisant.
Note sur la version originale (anglais) : facile à lire pour un niveau moyen-bon.
le titre le dit: Splendide!
Critique de Mariefleur26 (Paris, Inscrite le 11 décembre 2011, 30 ans) - 11 septembre 2012
Cette histoire vient chercher les personnes, en particulier les occidentaux, là où ça fait mal. Elle remet en lumière les missions canadiennes et américaines en Afghanistan. Je ressens une grande gêne d'être citoyenne d'un pays qui a participé à la tuerie d'un plus grand nombre d'innocents que d'ennemis aux proche et moyen Orients.
L'histoire afghane des dernières décennies, avec toutes ses invasions et guerres, est très bien décrite mais ce qui me rentre le plus dedans, ce sont les personnages qui la subissent de plein fouet: Mariam, Laila, Tariq et leurs enfants. Tout est si bien dit à travers leurs mésaventures, le talent de l'auteur est incroyablement bien investi pour établir une connexion directe entre eux et le lecteur! Comment ne pas ressentir de la compassion?
Beaucoup de lecteurs peuvent être rejoint par ce roman. Chacun peut le lire avec sa propre paire de lunettes et en retirer des sentiments très forts. Soit vos lunettes mettront en lumière les rebondissements à travers l'histoire de l'Afghanistan, pour vous montrer combien les gens sont prêts à tout pour gagner en pouvoir, ou plutôt elles vous montreront les réactions des personnages emprisonnés dans la toile de la guerre, pour vous faire réaliser votre chance d'être en vie et de pouvoir en profiter.
Ceux qui le peuvent, lisez avec les deux paires de lunettes, ce sera optimal!
L'histoire afghane des dernières décennies, avec toutes ses invasions et guerres, est très bien décrite mais ce qui me rentre le plus dedans, ce sont les personnages qui la subissent de plein fouet: Mariam, Laila, Tariq et leurs enfants. Tout est si bien dit à travers leurs mésaventures, le talent de l'auteur est incroyablement bien investi pour établir une connexion directe entre eux et le lecteur! Comment ne pas ressentir de la compassion?
Beaucoup de lecteurs peuvent être rejoint par ce roman. Chacun peut le lire avec sa propre paire de lunettes et en retirer des sentiments très forts. Soit vos lunettes mettront en lumière les rebondissements à travers l'histoire de l'Afghanistan, pour vous montrer combien les gens sont prêts à tout pour gagner en pouvoir, ou plutôt elles vous montreront les réactions des personnages emprisonnés dans la toile de la guerre, pour vous faire réaliser votre chance d'être en vie et de pouvoir en profiter.
Ceux qui le peuvent, lisez avec les deux paires de lunettes, ce sera optimal!
Fascinant
Critique de Psychééé (, Inscrite le 16 avril 2012, 36 ans) - 23 août 2012
Cette histoire se déroule dans l’Afghanistan des années 1960 à 2001 et raconte le destin de deux femmes, Mariam et Laila, nées en 1959 et 1978, toutes deux mariées très jeunes à Rasheed, un homme très conservateur. D’abord rivales, les femmes comprennent rapidement qu’elles sont dans la même situation et deviennent alliées.
Rasheed les bat la plupart du temps et exige qu’elles restent à la maison et portent une burqa. A l’extérieur, elles n’existent qu’à travers lui et n’ont aucun droit. Elles ne peuvent ni sortir sans leur mari, ni montrer leur visage, ni regarder les gens dans les yeux, ni avoir droit à l’éducation… En un mot, elles n’ont aucun futur. Cette situation délivre franchement un message de désespoir. Aucun choix ne s’offre à elles hormis tenter de s’échapper, mais il est bien entendu qu’une femme seule à Kaboul est perçue comme très suspecte et immédiatement ramenée à son mari. Ainsi,on assiste à l’invasion des Soviétiques, la guerre civile et la mise en place du régime taliban ; les choses ne font donc qu’empirer.
Il est d'autant plus inquiétant qu’en 1996, à la veille du XXIème siècle, ce régime ait pu voir le jour, privant les femmes de tous leurs droits et tuant sur leur passage les personnes qui enfreignent les lois. Visiblement, ce pays, au lieu d’évoluer, a régressé. L’auteur, parce qu’il est un habitant de Kaboul, nous offre un excellent témoignage de cette période. Son écriture est tellement captivante qu’il m’a réellement donné envie de savoir ce qui s’était passé en Afghanistan et comment évolue la situation, notamment ce qu’il advient de ces femmes dont nous ressentons la détresse. Lisez ce livre et vous aurez une idée de combien il est difficile d’être une femme en Afghanistan. Heureusement qu’aujourd’hui des changements se produisent, mais cela nécessitera énormément de temps pour oublier ces années noires. C'est probablement l'un des meilleurs livres qu'il m'ait été donné de lire
Rasheed les bat la plupart du temps et exige qu’elles restent à la maison et portent une burqa. A l’extérieur, elles n’existent qu’à travers lui et n’ont aucun droit. Elles ne peuvent ni sortir sans leur mari, ni montrer leur visage, ni regarder les gens dans les yeux, ni avoir droit à l’éducation… En un mot, elles n’ont aucun futur. Cette situation délivre franchement un message de désespoir. Aucun choix ne s’offre à elles hormis tenter de s’échapper, mais il est bien entendu qu’une femme seule à Kaboul est perçue comme très suspecte et immédiatement ramenée à son mari. Ainsi,on assiste à l’invasion des Soviétiques, la guerre civile et la mise en place du régime taliban ; les choses ne font donc qu’empirer.
Il est d'autant plus inquiétant qu’en 1996, à la veille du XXIème siècle, ce régime ait pu voir le jour, privant les femmes de tous leurs droits et tuant sur leur passage les personnes qui enfreignent les lois. Visiblement, ce pays, au lieu d’évoluer, a régressé. L’auteur, parce qu’il est un habitant de Kaboul, nous offre un excellent témoignage de cette période. Son écriture est tellement captivante qu’il m’a réellement donné envie de savoir ce qui s’était passé en Afghanistan et comment évolue la situation, notamment ce qu’il advient de ces femmes dont nous ressentons la détresse. Lisez ce livre et vous aurez une idée de combien il est difficile d’être une femme en Afghanistan. Heureusement qu’aujourd’hui des changements se produisent, mais cela nécessitera énormément de temps pour oublier ces années noires. C'est probablement l'un des meilleurs livres qu'il m'ait été donné de lire
Mariam et Laïla resteront à jamais les 2 soleils splendides du ciel de Kaboul obscurci par les bombes
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 19 octobre 2011
A peine la lecture commencée, et me voilà déjà transportée en Afghanistan auprès de Mariam, une harami, une bâtarde, abandonnée par les siens. A 15 à peine, la voilà mariée de force à Rachid, un homme immonde de 30 ans son aîné, qui n’attend d’elle qu’une seule chose, avoir un fils. Mais très vite, Mariam se révèle incapable de porter un enfant. Les fausses couches s’enchaînent, les brimades et les mauvais traitements aussi.
Dans la deuxième partie du livre, nous faisons la connaissance de Laïla, qu’une série de drames conduiront 18 ans après Mariam à devenir la deuxième épouse de Rachid. Dans un premier temps rivales, les 2 femmes finiront par s’unir contre la violence et la misogynie de Rachid. Je les ai suivies avec un profond attachement, plongée moi aussi dans l’enfer de cette guerre sans fin, avec le bruit des bombes et des cris sifflants à mes oreilles.
Mariam et Laïla resteront à mes yeux deux héroïnes inoubliables, elles m’ont accompagnée pendant mes heures de lecture et même longtemps après le livre achevé. C’est un magnifique hommage pour ces femmes afghanes qui luttent coûte que coûte et qui se battent pour garder intacte leur dignité.
J’ai été transportée par les mots de Khaled Hosseini, magnifique conteur, et pourtant je l’avoue j’avais peur, peur d’être déçue après toute l’émotion procurée par son précédent livre Les Cerfs Volants de Kaboul. Mais après quelques pages seulement j’en ai eu la confirmation, ses Mille Soleils splendides ont su m’emporter dans un tourbillon d’émotions et parce qu'à défaut de pouvoir agir, il est important de ne pas ignorer. Quand le talent est à ce point au service de son histoire, il ne me reste qu’à m’incliner bien bas !!!
Dans la deuxième partie du livre, nous faisons la connaissance de Laïla, qu’une série de drames conduiront 18 ans après Mariam à devenir la deuxième épouse de Rachid. Dans un premier temps rivales, les 2 femmes finiront par s’unir contre la violence et la misogynie de Rachid. Je les ai suivies avec un profond attachement, plongée moi aussi dans l’enfer de cette guerre sans fin, avec le bruit des bombes et des cris sifflants à mes oreilles.
Mariam et Laïla resteront à mes yeux deux héroïnes inoubliables, elles m’ont accompagnée pendant mes heures de lecture et même longtemps après le livre achevé. C’est un magnifique hommage pour ces femmes afghanes qui luttent coûte que coûte et qui se battent pour garder intacte leur dignité.
J’ai été transportée par les mots de Khaled Hosseini, magnifique conteur, et pourtant je l’avoue j’avais peur, peur d’être déçue après toute l’émotion procurée par son précédent livre Les Cerfs Volants de Kaboul. Mais après quelques pages seulement j’en ai eu la confirmation, ses Mille Soleils splendides ont su m’emporter dans un tourbillon d’émotions et parce qu'à défaut de pouvoir agir, il est important de ne pas ignorer. Quand le talent est à ce point au service de son histoire, il ne me reste qu’à m’incliner bien bas !!!
Celles pour qui le soleil ne brille pas
Critique de Romur (Viroflay, Inscrit le 9 février 2008, 51 ans) - 4 septembre 2011
Mille soleils splendides est le deuxième roman de K Hosseini dont j’avais apprécié « Les cerfs-volants de Kaboul ».
Nouvelle plongée dans Kaboul, dans l’histoire et la société afghane, meurtrie par le communisme puis l’islamisme. Mais cette fois-ci l’accent est mis sur la place de la femme. C’est édifiant !
Le style de Hosseini rend la lecture fluide mais la violence morale et physique arrête le lecteur qui met subitement une réalité concrète sur les actualités que déversent les médias.
Par contre, j’ai trouvé le revirement psychologique de Mariam un peu trop rapide pour être réaliste et la trame globale un peu faible, un peu trop artificiellement construite pour arriver aux situations paroxystiques recherchées par l’auteur. Et il y a un happy end un peu artificiel avec le come back de l’amant... mais il est vrai que les américains, à qui est destinée l’édition originale, n’aiment pas les livres qui se terminent mal !
Néanmoins, c’est à lire absolument pour savoir ce qui se passe à quelques heures d’avion de chez nous, par solidarité avec toutes les femmes qui tentent de garder leur humanité malgré la violence et la misogynie dont elles souffrent dans certains pays musulmans.
Nouvelle plongée dans Kaboul, dans l’histoire et la société afghane, meurtrie par le communisme puis l’islamisme. Mais cette fois-ci l’accent est mis sur la place de la femme. C’est édifiant !
Le style de Hosseini rend la lecture fluide mais la violence morale et physique arrête le lecteur qui met subitement une réalité concrète sur les actualités que déversent les médias.
Par contre, j’ai trouvé le revirement psychologique de Mariam un peu trop rapide pour être réaliste et la trame globale un peu faible, un peu trop artificiellement construite pour arriver aux situations paroxystiques recherchées par l’auteur. Et il y a un happy end un peu artificiel avec le come back de l’amant... mais il est vrai que les américains, à qui est destinée l’édition originale, n’aiment pas les livres qui se terminent mal !
Néanmoins, c’est à lire absolument pour savoir ce qui se passe à quelques heures d’avion de chez nous, par solidarité avec toutes les femmes qui tentent de garder leur humanité malgré la violence et la misogynie dont elles souffrent dans certains pays musulmans.
soleils trompeurs
Critique de Jfp (La Selle en Hermoy (Loiret), Inscrit le 21 juin 2009, 76 ans) - 19 décembre 2010
Un choc! Malgré tout ce que vous avez pu lire ou entendre au sujet des guerres successives qui ont ravagé l'Afghanistan, ce n'est rien comparé au roman de Khaled Hosseini. A travers le destin de Mariam et de Laila, c'est toute l'horreur de la condition faite aux femmes afghanes qui est décrite, sans détours et pourtant sans aucune complaisance morbide. Il m'est arrivé à plusieurs reprises d'arrêter ma lecture tant j'étais ému au-delà du supportable par la violence, tant psychologique que physique, de certaines scènes. Depuis la chute du royaume d'Afghanistan, sous les coups de boutoir des partisans armés par les soviétiques, jusqu'à l'intervention américaine qui a chassé (provisoirement?) le régime des talibans, en passant par les luttes fratricides entre seigneurs de la guerre qui ont conduit le pays au chaos, la condition de la femme n'a cessé de connaitre des hauts et des bas en cette terre d'Islam au gré des clans divers qui ont dirigé le pays. Mariam et Laila n'ont pas eu de chance, la première parce que sa condition de "bâtarde" lui interdisait toute chance de réussir dans la vie, la seconde parce qu'un tir de roquette a mis brusquement fin à tous ses espoirs, alors que sa famille s'apprêtait à fuir Kaboul sous les bombes. Deux types de destins, l'un gravé dès la naissance, l'autre déterminé par les hasards de la guerre, vont les faire se rencontrer, pour le meilleur et pour le pire. la mort est au rendez-vous, mais également l'amour, qui imprègne tout le récit. Un grand, très grand moment d'émotion et un témoignage bouleversant. Puisse-t-il faire réfléchir...
L'espoir malgré tout
Critique de Oxymore (Nantes, Inscrit le 25 mars 2005, 52 ans) - 21 septembre 2010
Je ne reviendrai pas sur une énième explication du livre, il est superbe, poignant et m'a tiré les larmes des yeux.
Néanmoins, une chose capitale s'est imposée à moi en refermant cet ouvrage: j'ai enfin mis en forme et en "vie" ce qui m'échappais alors totalement avant la lecture de Mille soleils splendides. Je m'explique.
Accablé que j'étais par la masse d'informations reçues tous les jours au travers des médias, j'avais le sentiment (comme beaucoup d'entre nous je pense) que ces morts s'ajoutant à d'autres déjà n'étaient que des statistiques énoncées telles des litanies quotidiennes.
Bref la lecture de ce roman s'est imposée à moi afin d'abord de reprendre conscience de la réalité de ces tragédies qui nous entourent sur fond de guerres de territoires de religions et j'en passe. En revoyant les infos qui nous rappellent que huit civils sont morts à Kaboul et dix autres à Islamabad, les chiffres prennent enfin vie devant mes yeux. Ce constat est naïf, je le concède mais n'empêche.... pléthore d'informations et d'images tue la conscience du réel, noie la peine et l'horreur dans les méandres de la mémoire collective qui ne veut que retenir ce qui conforte nos petites vies quotidiennes.
Si ce livre avait ne serait-ce qu'un mérite, ce serait celui de nous rappeler que derrière des chiffres se cachent des vies brisées.
Merci donc à Khaled Hosseini de remettre les choses en ordre avec la pudeur qu'on lui connait.
Néanmoins, une chose capitale s'est imposée à moi en refermant cet ouvrage: j'ai enfin mis en forme et en "vie" ce qui m'échappais alors totalement avant la lecture de Mille soleils splendides. Je m'explique.
Accablé que j'étais par la masse d'informations reçues tous les jours au travers des médias, j'avais le sentiment (comme beaucoup d'entre nous je pense) que ces morts s'ajoutant à d'autres déjà n'étaient que des statistiques énoncées telles des litanies quotidiennes.
Bref la lecture de ce roman s'est imposée à moi afin d'abord de reprendre conscience de la réalité de ces tragédies qui nous entourent sur fond de guerres de territoires de religions et j'en passe. En revoyant les infos qui nous rappellent que huit civils sont morts à Kaboul et dix autres à Islamabad, les chiffres prennent enfin vie devant mes yeux. Ce constat est naïf, je le concède mais n'empêche.... pléthore d'informations et d'images tue la conscience du réel, noie la peine et l'horreur dans les méandres de la mémoire collective qui ne veut que retenir ce qui conforte nos petites vies quotidiennes.
Si ce livre avait ne serait-ce qu'un mérite, ce serait celui de nous rappeler que derrière des chiffres se cachent des vies brisées.
Merci donc à Khaled Hosseini de remettre les choses en ordre avec la pudeur qu'on lui connait.
Pendant féminin des cerfs-volants
Critique de Manumanu55 (Bruxelles, Inscrit le 17 février 2005, 45 ans) - 8 juin 2010
Ce roman est le pendant féminin des « Cerfs-volants de Kaboul ». Mais c’est aussi une version beaucoup plus dure (attention, les cerfs-volants sont déjà du costaud).
Enormément de violence (dans la maison comme dans le pays), peu de touches d’espoir… mais même rares, elles font du bien.
Livre marquant, fin splendide… A lire
Enormément de violence (dans la maison comme dans le pays), peu de touches d’espoir… mais même rares, elles font du bien.
Livre marquant, fin splendide… A lire
Un deuxième roman moins bon.
Critique de Rouchka1344 (, Inscrite le 31 août 2009, 34 ans) - 19 mai 2010
Comme beaucoup de personnes, j'avais énormément aimé "les cerfs volants de Kaboul", qui m'avait complètement bouleversé! Celui-ci "Mille soleils splendides" est en effet dans le même genre que le premier roman. Moins prenant, moins subtil, Hosseini utilise parfois les grosses ficelles pour rendre son roman plus palpitant.
Cependant j'ai enfin compris l'histoire de l'Afghanistan car grâce au livre qui retrace 40 ans de l'Histoire de ce pays qui est tombé sous la coupe des fanatiques, j'ai pu comprendre ce qui s'était passé et à cette lecture en tant qu'occidentale je n'était pas très fière.
Ce livre est aussi intéressant sur la condition de la femme en Afghanistan qui est réellement problématique et honteuse. On réalise combien on peut être chanceuse dans notre pays de ne pas être opprimée comme le sont ces femmes.
Un bon livre mais pas aussi bon que l'était le premier.
Cependant j'ai enfin compris l'histoire de l'Afghanistan car grâce au livre qui retrace 40 ans de l'Histoire de ce pays qui est tombé sous la coupe des fanatiques, j'ai pu comprendre ce qui s'était passé et à cette lecture en tant qu'occidentale je n'était pas très fière.
Ce livre est aussi intéressant sur la condition de la femme en Afghanistan qui est réellement problématique et honteuse. On réalise combien on peut être chanceuse dans notre pays de ne pas être opprimée comme le sont ces femmes.
Un bon livre mais pas aussi bon que l'était le premier.
A lire!!
Critique de Boitahel (Paris, Inscrite le 27 janvier 2010, 40 ans) - 27 janvier 2010
J'ai commencé la lecture de ce livre sans grande conviction...puis je l'ai littéralement dévoré!
On s'attache à Mariam et à Laila et plus on avance, plus on a envie de connaitre la suite.
Les trois premières parties du livre sont très dures (le plus affreux étant de penser que ces scènes de violence ne sont pas inventées et que certaines femmes endurent encore ces traitements aujourd'hui!).
La quatrième partie "fait du bien". Le livre se termine sur une note d'espoir et plus positive.
Ce livre m'a fait ressentir tout un panel de sensations et d'émotions...on ne reste pas insensible!
Un vrai témoignage de ce qu'est la vie à Kaboul et de la condition de la femme! Je le recommande!
On s'attache à Mariam et à Laila et plus on avance, plus on a envie de connaitre la suite.
Les trois premières parties du livre sont très dures (le plus affreux étant de penser que ces scènes de violence ne sont pas inventées et que certaines femmes endurent encore ces traitements aujourd'hui!).
La quatrième partie "fait du bien". Le livre se termine sur une note d'espoir et plus positive.
Ce livre m'a fait ressentir tout un panel de sensations et d'émotions...on ne reste pas insensible!
Un vrai témoignage de ce qu'est la vie à Kaboul et de la condition de la femme! Je le recommande!
L'oppression quotidienne des femmes afghanes
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 17 décembre 2009
Voici un roman poignant où nous est décrit un quotidien répressif et invivable de deux femme afghanes courageuses et attachantes .
Au travers de ces écrits l'auteur dénonce ouvertement les conditions de vie abominables des femmes afghanes sous le régime des Talibans, et plus particulièrement celles de Mariam et Laila mariées de force à Rachid, un homme bien plus âgé qu'elles et adepte de ces lois talibanes connues pour leur intransigeance et leur obscurantisme.
Et quel contraste entre cette répression perpétuelle, ces guerres intestines qui ravagent des villes au passé glorieux, et l'amour que porte l'auteur à son pays ! Il sait nous charmer et nous faire aimer ce coin du monde malheureusement dévasté par tant de conflits.
A la fois triste et plein d'espoir, on ne peut rester insensible à cette magnifique histoire.
Au travers de ces écrits l'auteur dénonce ouvertement les conditions de vie abominables des femmes afghanes sous le régime des Talibans, et plus particulièrement celles de Mariam et Laila mariées de force à Rachid, un homme bien plus âgé qu'elles et adepte de ces lois talibanes connues pour leur intransigeance et leur obscurantisme.
Et quel contraste entre cette répression perpétuelle, ces guerres intestines qui ravagent des villes au passé glorieux, et l'amour que porte l'auteur à son pays ! Il sait nous charmer et nous faire aimer ce coin du monde malheureusement dévasté par tant de conflits.
A la fois triste et plein d'espoir, on ne peut rester insensible à cette magnifique histoire.
Vies tourmentées
Critique de Saumar (Montréal, Inscrite le 15 août 2009, 91 ans) - 5 octobre 2009
Le début du roman m’apparaît long. J’ai pensé que ce deuxième livre « Mille soleils splendides » n’atteindra pas l’intérêt ressenti pour « Les Cerfs-volants de Kaboul ». J’ai changé d’avis, car à partir du moment où Rachid prend sa voisine Leila pour sa 2e femme (30 ans de moins), et vient demeurer dans la même maison que Mariam, le rythme de l’action dans l’histoire s’est accéléré au point de n’être plus capable d’arrêter de lire.
Pas facile la cohabitation de ces deux rivales, qui se sentent coupables. Mariam, de son illégitimité et de sa stérilité et Leila, pour laisser croire à Rachid que l’enfant qu’elle porte est de lui, alors qu’il est de son petit ami Tariq, parti à la guerre. Ce qui fait qu’elles se résignent aux mauvais traitements de ce mari tyrannique, jusqu’au jour où Mariam, s’attachant de plus en plus au bébé de Leila, choisit de s’en faire une alliée. Puis, elles décident de fuir, mais elles sont trahies, et elles sont ramenées chez le violent Rachid qui les enferme et les maltraite.
Lorsque Leila aperçoit Tariq, elle sait que Rachid lui a menti en disant qu’il était mort. Rachid essaie de tuer Leila en l’étranglant, parce qu’elle veut s’enfuir. Mariam, pour sauver Leila, tue Rachid à l’aide d’une pelle et implore Leila de s’enfuir avec les deux enfants et Tariq. Mariam sera condamnée à mort et sera exécutée en public, dix jours plus tard. Tariq et Leila vivront en exil dans un pays voisin, pour quelque temps, puis rentreront ensuite à Kaboul.
L’auteur nous livre bien la vie intérieure des deux héroïnes, et l’histoire semble d’un réalisme brutal et déchirant. Nous savons fort bien que dans la vraie vie, certaines Afghanes subissent l’horreur sous le joug de maris dominants. C’est la raison pour laquelle il y a tant d’émotion dans ce récit. Cependant, on quitte Leila sur une note d’espoir, puisqu’elle enseignera dans l’orphelinat où elle avait placé sa fille pour la protéger de Rachid, L’arrivée du deuxième enfant, un garçon, plaît tellement à Rachid qu’il ne s’occupait que de lui. Il le comblait d’attention et de cadeaux, comme pour déjà lui démontrer qu’étant supérieur aux filles, il était destiné à les dominer et à les commander.
Pas facile la cohabitation de ces deux rivales, qui se sentent coupables. Mariam, de son illégitimité et de sa stérilité et Leila, pour laisser croire à Rachid que l’enfant qu’elle porte est de lui, alors qu’il est de son petit ami Tariq, parti à la guerre. Ce qui fait qu’elles se résignent aux mauvais traitements de ce mari tyrannique, jusqu’au jour où Mariam, s’attachant de plus en plus au bébé de Leila, choisit de s’en faire une alliée. Puis, elles décident de fuir, mais elles sont trahies, et elles sont ramenées chez le violent Rachid qui les enferme et les maltraite.
Lorsque Leila aperçoit Tariq, elle sait que Rachid lui a menti en disant qu’il était mort. Rachid essaie de tuer Leila en l’étranglant, parce qu’elle veut s’enfuir. Mariam, pour sauver Leila, tue Rachid à l’aide d’une pelle et implore Leila de s’enfuir avec les deux enfants et Tariq. Mariam sera condamnée à mort et sera exécutée en public, dix jours plus tard. Tariq et Leila vivront en exil dans un pays voisin, pour quelque temps, puis rentreront ensuite à Kaboul.
L’auteur nous livre bien la vie intérieure des deux héroïnes, et l’histoire semble d’un réalisme brutal et déchirant. Nous savons fort bien que dans la vraie vie, certaines Afghanes subissent l’horreur sous le joug de maris dominants. C’est la raison pour laquelle il y a tant d’émotion dans ce récit. Cependant, on quitte Leila sur une note d’espoir, puisqu’elle enseignera dans l’orphelinat où elle avait placé sa fille pour la protéger de Rachid, L’arrivée du deuxième enfant, un garçon, plaît tellement à Rachid qu’il ne s’occupait que de lui. Il le comblait d’attention et de cadeaux, comme pour déjà lui démontrer qu’étant supérieur aux filles, il était destiné à les dominer et à les commander.
Prodigieux
Critique de Saradu39 (, Inscrite le 14 juillet 2009, 30 ans) - 14 juillet 2009
Tout d'abord je tenais à remercier l'auteur de ce chef-d'œuvre. Lire ce livre, a été pour moi un pur moment de plaisir. C'est le premier livre que je lis de cet auteur et je peux vous assurer que ça ne pourra certainement pas être le dernier. Grâce à ce livre, j'ai pu voyager, m'évader de mon quotidien. Certes, ce livre n'a pas été d'un bonheur immense. Bien au contraire. Cependant, la manière dont l'auteur raconte les événements du roman est en premier lieu fabuleuse mais tout aussi inopinée. Ce qui m'a touché par dessus tout dans cette histoire n'est pas tant les évènements déroulés. Mais le fait est que ce n'est pas simplement une fiction. De nombreuses jeunes filles sont mariées à l'âge de 14 ans et même avant contre leur gré -pour la plupart-. Ce n'est pas le seul fait réel de ce livre. Il retrace aussi 40 ans de l'histoire de ce pays qui est l'Afghanistan. 40 ans de souffrance, de malheur.
En bref, ce roman n'est pas seulement une histoire c'est aussi un livre qui peut nous faire ouvrir les yeux sur différentes sociétés qui nous entourent.
Comme le dit si bien dudule dans sa critique, nous passons par toutes les émotions excepté le rire. Je ne peux que vous inciter à lire ce prodige.
En bref, ce roman n'est pas seulement une histoire c'est aussi un livre qui peut nous faire ouvrir les yeux sur différentes sociétés qui nous entourent.
Comme le dit si bien dudule dans sa critique, nous passons par toutes les émotions excepté le rire. Je ne peux que vous inciter à lire ce prodige.
décevant
Critique de Resus (, Inscrit le 28 novembre 2008, 47 ans) - 22 avril 2009
Un peu déçu après cette fabuleuse histoire d'amitié qu'est "Les cerf volants de Kaboul". Le style est ici beaucoup moins travaillé. On a l'impression que l'auteur ne fait que vouloir réutiliser les mêmes ficelles qui ont marché dans le premier livre avec beaucoup moins d'imagination cependant.
Le livre est agréable à lire malgré tout mais sans plus.
Le livre est agréable à lire malgré tout mais sans plus.
Femmes afghanes....
Critique de Balkis (, Inscrite le 20 décembre 2004, 67 ans) - 20 avril 2009
Au début de ma lecture, j'ai été un peu déçue: j'avais adoré "les cervolants de Kaboul" et je ne retrouvais pas les mêmes émotions. Mais très vite j'ai été prise par l'histoire grâce au talent du conteur.
A travers les destinées de deux femmes, Khaled Hosseini nous fait découvrir la vie en Aghanistan durant les quarante dernières années: avant l'invasion russe, pendant la période communiste, au temps des Talibans, et après.
Dans ce récit poignant., il y a beaucoup de violence mais aussi de l'amour et surtout l'espoir d'une vie meilleure.
Un livre à conseiller.
A travers les destinées de deux femmes, Khaled Hosseini nous fait découvrir la vie en Aghanistan durant les quarante dernières années: avant l'invasion russe, pendant la période communiste, au temps des Talibans, et après.
Dans ce récit poignant., il y a beaucoup de violence mais aussi de l'amour et surtout l'espoir d'une vie meilleure.
Un livre à conseiller.
J'ai beaucoup aimé
Critique de Kikounette (Nîmes, Inscrite le 15 mai 2003, 52 ans) - 18 décembre 2008
C'est un livre magnifique et bouleversant. Terrible que la vie des femmes en l’Afghanistan.
La vie de Mariam a été terrible, heureusement, qu'elle a connu un peu de bonheur avec Laila, la seconde épouse de son mari, victime elle aussi.
La vie de Mariam a été terrible, heureusement, qu'elle a connu un peu de bonheur avec Laila, la seconde épouse de son mari, victime elle aussi.
BOULEVERSANT!
Critique de Nana31 (toulouse, Inscrite le 29 janvier 2006, 55 ans) - 27 octobre 2008
C'est un récit brulant de la tourmente afghane, qui s'étend sur quarante ans depuis le coup d'état jusqu'à l'arrivée des talibans avec le destin de deux femmes afghanes que tout oppose dans lequel elles endurent les affres de la dépendance à leur père,à leur mari,à leur fils. Il y a dans ce roman des scènes violentes mais malheureusement,je pense que l'auteur a montré la réalité de ce qui se passe dans ces pays.
Tout simplement magnifique
Critique de Campanule (Orp-Le-Grand, Inscrite le 10 octobre 2007, 62 ans) - 9 octobre 2008
Quelle belle histoire racontée avec tant d'amour,d'humilité et de tendresse.Ces 2 femmes que tout sépare et que l'horreur d'un homme va rapprocher au point d'entretenir un magnifique rapport mère/fille.L'une va se dévouer pour sauver l'autre et lui permettre de vivre enfin en liberté.A conseiller.
A lire
Critique de Choubibou69 (, Inscrite le 5 juin 2006, 49 ans) - 7 septembre 2008
Khaled hosseini a le don de transcender les êtres ordinaires pour en faire des héros.
Il leur offre ainsi la possibilité de laisser une empreinte et de donner un sens à la vie.
Il leur offre ainsi la possibilité de laisser une empreinte et de donner un sens à la vie.
Mille Soleils Splendides ded Khaled Hosseini
Critique de Magpie (, Inscrite le 14 juillet 2007, 89 ans) - 18 juillet 2008
Bien que décrivant les horreurs qu'a subi Afghanistan durant de nombreuses annéee et qu'il subit encore, Khaled Hosseini qui a un talent de conteur extraordinaire, nous livre une histoire que l'on ne pourra oublier et qui tient en haleine de la première à la dernière page.
Bravo - continuez Mr HOSSEINI:
Bernadette
Bravo - continuez Mr HOSSEINI:
Bernadette
Mille drames
Critique de Pascale Ew. (, Inscrite le 8 septembre 2006, 57 ans) - 24 janvier 2008
Mariam et Laila sont deux femmes afghanes que tout sépare et qui, à cause des guerres incessantes de leur pays, se retrouveront toutes deux les victimes prisonnières d’un même mari violent. Ce livre explique bien l’histoire afghane de ces dernières décennies et les répercussions sur les femmes de ce pays qui n’a pas connu de stabilité politique depuis bien longtemps.
Tant de malheurs sont décrits dans ce roman que le lecteur en vient un peu à l’écoeurement et le happy end quasi à l’eau de rose est malgré tout le bienvenu tant le reste est insoutenable ; d’autant plus qu’on sait qu’il est proche de la réalité vécue.
Cela reste un très bon livre, qui fait prendre conscience de la vie de tous les jours des Afghanes, au-delà de clichés.
Tant de malheurs sont décrits dans ce roman que le lecteur en vient un peu à l’écoeurement et le happy end quasi à l’eau de rose est malgré tout le bienvenu tant le reste est insoutenable ; d’autant plus qu’on sait qu’il est proche de la réalité vécue.
Cela reste un très bon livre, qui fait prendre conscience de la vie de tous les jours des Afghanes, au-delà de clichés.
La vie malgré tout !
Critique de Dudule (Orléans, Inscrite le 11 mars 2005, - ans) - 19 janvier 2008
Ce roman en quatre parties, retrace la vie de Mariam, une harami qui signifie une bâtarde.
Dans la première partie c’est la vie de Mariam auprès des siens, avec sa mère Nana elles vivent dans la kolka près d’Herat, là où son père Jalil vit auprès de sa famille légitime. Il y a aussi Bibi jo une amie de sa mère, le mollah Faizullah. L’auteur nous décrit sa vie au quotidien et surtout l’attente du jeudi, jour ou Jalil vient voir sa fille. Son départ pour Herat, son mariage avec Rachid, un cordonnier de Kaboul, son quotidien difficile, sa grossesse, etc.
Dans la seconde partie, c’est Laila que nous découvrons, auprès de sa famille, son père Babi ancien professeur, sa mère Fariba, désespérée depuis la mort de ses deux fils, ses amies, et surtout Tariq son ami d’enfance.
La troisième partie : Rachid a sorti des décombres Laila, Mariam la soigne, et on peut imaginer ce qui va suivre, Rachid prend Laila comme seconde épouse, Mariam a beaucoup de mal à l’accepter jusqu’au jour ou …
La quatrième partie je ne la dévoile pas.
Ce roman retrace 40 ans de l’histoire de l’Afghanistan, durant la dernière période de stabilité de ce pays sous le règne de Zaher Chah. Le coup d’état, l’invasion russe, la guerre civile entre moudjahidin, l’arrivée des talibans.
C’est un roman poignant, je suis passée par toutes les émotions, la rage, la colère, le dégoût, les larmes.mais pas le rire Ce livre ne laisse pas indifférent, même s’il y a beaucoup de scène de violence, mais n’était ce pas leur quotidien ? L’auteur nous entraîne dans le vrai Kaboul, sa culture, ses traditions. Une vraie leçon de vie, d’amour aussi, je vous conseille vivement ce livre.
Dans la première partie c’est la vie de Mariam auprès des siens, avec sa mère Nana elles vivent dans la kolka près d’Herat, là où son père Jalil vit auprès de sa famille légitime. Il y a aussi Bibi jo une amie de sa mère, le mollah Faizullah. L’auteur nous décrit sa vie au quotidien et surtout l’attente du jeudi, jour ou Jalil vient voir sa fille. Son départ pour Herat, son mariage avec Rachid, un cordonnier de Kaboul, son quotidien difficile, sa grossesse, etc.
Dans la seconde partie, c’est Laila que nous découvrons, auprès de sa famille, son père Babi ancien professeur, sa mère Fariba, désespérée depuis la mort de ses deux fils, ses amies, et surtout Tariq son ami d’enfance.
La troisième partie : Rachid a sorti des décombres Laila, Mariam la soigne, et on peut imaginer ce qui va suivre, Rachid prend Laila comme seconde épouse, Mariam a beaucoup de mal à l’accepter jusqu’au jour ou …
La quatrième partie je ne la dévoile pas.
Ce roman retrace 40 ans de l’histoire de l’Afghanistan, durant la dernière période de stabilité de ce pays sous le règne de Zaher Chah. Le coup d’état, l’invasion russe, la guerre civile entre moudjahidin, l’arrivée des talibans.
C’est un roman poignant, je suis passée par toutes les émotions, la rage, la colère, le dégoût, les larmes.mais pas le rire Ce livre ne laisse pas indifférent, même s’il y a beaucoup de scène de violence, mais n’était ce pas leur quotidien ? L’auteur nous entraîne dans le vrai Kaboul, sa culture, ses traditions. Une vraie leçon de vie, d’amour aussi, je vous conseille vivement ce livre.
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Mille Soleils Splendides | 1 | Magpie | 18 juillet 2008 @ 16:54 |