La femme du Ve de Douglas Kennedy
( The woman in the fifth)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 28 avis)
Cote pondérée : (41 473ème position).
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Une femme pas ordinaire
C'est la première fois que je lis un roman de Douglas Kennedy. Je sais que les lecteurs s'arrachent cet ouvrage dans les bibliothèques de prêt, mais je n'arrive pas à partager leur enthousiasme. Certes le récit est conduit de façon à tenir le lecteur en haleine et on a envie de connaître la suite et la fin. Mais le style n'est pas génial, les situations sont tirées par les cheveux et les caractères sont élémentaires et caricaturaux.
L'histoire commence par l'arrivée en France d'un américain, professeur d'université dont on comprend qu'il fuit son destin et se réfugie dans la solitude ; on apprendra plus tard ce qui lui est arrivé. Son installation à Paris est dramatique, il se retrouve dans des hotels minables, fréquente des gens épouvantables, et n'a aucun espoir de sortir du trou lorsqu'il fait la connaissance de "la femme du Vème". Qui est-elle vraiment ? On le saura à la fin du livre, mais tout est invraisemblable, à moins que l'auteur n'ait voulu suggérer une fable capable d'expliquer les comportements humains. Trop ambitieux dans ce cas !
Mais tout cela n'est pas nul et on poursuit la lecture sans déplaisir. Comme s'il s'agissait d'un banal roman policier (il y en a de bons !). On aura eu le sentiment usurpé d'avoir eu accès à de la "littérature"
Les éditions
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La femme du Ve [Texte imprimé] Douglas Kennedy traduit de l'américain par Bernard Cohen
de Kennedy, Douglas Cohen, Bernard (Traducteur)
Belfond / Littérature étrangère
ISBN : 9782714441904 ; 0,78 € ; 18/04/2007 ; 377 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (27)
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Technique sans émotions
Critique de Bafie (, Inscrite le 19 juillet 2004, 62 ans) - 24 janvier 2017
Par contre, lorsque l’auteur introduit un élément fantastique, certains éléments de l’intrigue sont tirés par les cheveux et ma lecture n’était plus aussi palpitante.
J’ai ressenti peu d’émotions, suis restée extérieure à l’histoire.
C’était ma deuxième lecture de Douglas Kennedy, la 1ère (Cet instant-là) m’avait enthousiasmée, celle-ci m’a distraite sans plus.
Un polar d'une délicieuse noirceur
Critique de Linbaba (, Inscrit le 25 juillet 2012, 40 ans) - 27 juin 2013
J'ai l'habitude de lire des polars du style Chattam, Thilliez etc. Donc avant de commencer la lecture j'avais un a priori et craignais d'être tombé sur un navet sentimental à la Marc Levy (surtout avec des titres du genre "la poursuite du bonheur", "cet instant là...).
Et ben non! J'ai été agréablement surpris par tant de noirceur et de rebondissements.
Ce livre est une tuerie au sens propre et au sens figuré.
À classer sans hésitation dans la catégorie roman noir.
J'ai adoré la psychologie du héros, et les descriptions des bas fonds sordides de Paris.
Et contrairement à certains , je trouve que le style d'écriture est excellent. On est transporté dans l'histoire tellement c'est bien écrit.
On dirait que pour certains une "bonne" écriture doit être obligatoirement des phrases soporifiques et incompréhensibles à rallonge.
Mais au contraire, un bon écrivain c'est quelqu'un qui arrive à nous prendre par la main avec une écriture simple et efficace: c'est l'imaginaire qui compte avant tout.
Vraiment surpris par la note de certaines personnes...
Paris à l’honneur
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 13 septembre 2012
Mais le monde, notamment parisien, n’est pas peuplé que de bons samaritains et les débuts parisiens d’Harry Ricks sont calamiteux. Son visa de touriste n’est valable que six mois et au rythme de ses premières dépenses, il ne tiendra, de toutes manières, pas si longtemps. Par rencontres, il est mis en contact avec le milieu turc, qui s’y connait en matière de contournement de la loi et grâce auquel il trouve un job glauque et bizarre, mais aux vertus alimentaires. Il est veilleur de nuit dans un bâtiment où il ne doit surtout pas chercher à comprendre ce qu’il s’y déroule …
Et puis, lors d’une soirée rassemblant la société américaine parisienne, il fait la connaissance de Margit, hongroise plus toute jeune, qui a échappé aux purges de 1956 à Budapest. Margit l’attire, Margit le fascine, mais à l’instar de son job, Harry Ricks ne doit pas chercher à creuser pourquoi il ne peut la rencontrer que dans son appartement à elle, des jours bien précis et à des créneaux horaires tout aussi précis. (Douglas Kennedy aurait-il une marotte avec ce genre d’exigences ?)
Et là le roman part en plein déjantage, fantastique, et c’est un peu difficile à accepter. C’est très accrocheur, Douglas Kennedy sait y faire, pas de doute. C’est peut-être trop dur d’adhérer à ce parti-pris de fantastique ?
Il reste une vision crédible d’un milieu interlope parisien, d’une problématique très actuelle sur les soucis du migrant dans un pays tel que la France, une ville telle que Paris …
SF
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 50 ans) - 23 août 2012
L'histoire est sympa.
Petit reproche, c'est bien sur la touche fantastique, on aurait préféré une tournure des événements plus recherchée.
Très décevant pour les amateurs de Kennedy …
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 2 décembre 2011
Pourtant les 100 premières pages du livre sont plutôt bonnes mais ensuite on n’a qu’une seule envie c’est de laisser croupir le héros Harry Ricks au fond de sa minable chambre Rue de Paradis … Je me suis tellement ennuyée que j’ai mis un temps fou à terminer ce roman. Je me suis presque fait violence pour le lire et le finir.
D’autre part, je trouve que Douglas Kennedy qui dit adorer Paris est bien loin de nous en donner une image positive … Sa vision de notre capitale est tout simplement consternante : entre les hôtels minables et tous les personnages qu’il y croise sont nuls …
Et la cerise sur le gâteau c’est cette histoire avec Margit qui vire très rapidement au RIDICULE et pourtant j’adore le surnaturel et le fantastique mais il est clair que malheureusement Douglas Kennedy est loin d’exceller dans cette catégorie … On frise le NAVET …
Kennedy : un attentat !!
Critique de Chrisland (, Inscrit le 27 septembre 2011, 64 ans) - 4 novembre 2011
J'ai franchement l'impression que Kennedy a voulu essayer "autre chose", en l'occurrence le Fantastique, mais sans en connaître les arcanes. C'est tout simplement mau-vais ! Et glauque. Et même bien mal écrit, ce qui est le comble...
Qu'arrive-t-il à Douglas Kennedy (voir son dernier opus) ? A trop vouloir tracer systématiquement le même sillon scénaristique ("une longue descente aux enfers du héros" avec en option une revanche dans le dernier tiers), il tourne au procédé.
Un conseil : mister Kennedy devrait prendre du temps. Quatre, cinq ans pour écrire son prochain roman ? Cela lui donnerait le temps de créer quelque chose de vraiment original, et de reprendre son manuscrit à plusieurs reprises avant de le confier à son éditeur.
Étonnement de ma part
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 4 mars 2011
Bof
Critique de Annesop91 (, Inscrite le 29 novembre 2007, 39 ans) - 13 février 2010
J'ai pas vraiment accroché. C'est le 2ème livre de Douglas Kennedy que je lis et je ne suis pas fan.
une femme irréelle
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 4 janvier 2010
Pas mal, mais un ton en dessous
Critique de Manumanu55 (Bruxelles, Inscrit le 17 février 2005, 45 ans) - 28 juillet 2009
Ca reste donc une bonne lecture, mais un niveau en dessous de d’habitude
Décevant ...
Critique de Bishop (, Inscrite le 13 avril 2005, 53 ans) - 19 juillet 2009
Un cru ambigu
Critique de Jefopera (Paris, Inscrit le 9 avril 2009, 60 ans) - 15 avril 2009
Un critique universitaire verrait peut-être dans le dénouement bizarre un clin d'oeil au mythe de Faust ; on peut aussi le voir comme une facilité, à laquelle l'auteur recourt quand il voit que son histoire se bloque ; c'est le Deus ex machina des spectacles baroques.....
Le style est clair, efficace, sans raffinement mais avec quelques saillies amusantes. Les réflexions "de fond" se font plus rares et il faut souvent aller chercher la moelle dans les descriptions, les personnages et les situations pour parvenir à quelque chose de plus profond : dans "La femme du Vème", c'est évidemment la vision de Paris que livre Kennedy.
Toute ceci est donc au total un peu ambigu, car le plaisir, toujours là, est quand même un peu perturbé par la crainte que notre cher Douglas commence à forcer son talent pour tirer encore de la matière d'une veine qui semble commencer à s'épuiser.
Horriblement mauvais !
Critique de Aria (Paris, Inscrite le 20 juin 2005, - ans) - 17 mars 2009
Or,"La femme du Vème" est pour moi un parfait navet, pour autant que l'on puisse utiliser ce mot pour un roman.
Rien n'est crédible ! On se demande parfois ce qu'il va encore inventer comme couleuvres à nous faire avaler. Il faudrait qu'il choisisse une bonne fois pour toutes entre la fiction et une forme de science-fiction nouvelle, dans laquelle on peut être mort en étant vivant et vice-versa.
Kennedy n'a rien fait de bien depuis longtemps. Ce qui est scandaleux, c'est que les critiques aient autant parlé de ce roman à sa sortie, sans qu'un seul en fasse une critique négative.
Un conseil à ceux qui veulent lire des histoires bien ficelées : prenez ses premiers romans !
J'ai beaucoup aimé "L'homme qui voulait vivre sa vie", par exemple
Il m'en faut plus
Critique de AntoineBXL (Bruxelles, Inscrit le 9 août 2008, 45 ans) - 16 mars 2009
Où la grosse ficelle du fantastique est utilisée !
Critique de Ori (Kraainem, Inscrit le 27 décembre 2004, 88 ans) - 31 décembre 2008
Que du fantastique un peu facile soit ajouté en seconde partie du roman le discrédite encore plus, hélas !
Merci à DK pour la leçon d'anglais.
Critique de Michel Horville (, Inscrit le 25 octobre 2008, 71 ans) - 25 octobre 2008
C'est Kennedy qu'on asssassine !
Critique de Jobelom (, Inscrit le 19 août 2008, 62 ans) - 19 août 2008
Faut-il que Douglas K. ait eu besoin de payer ses impôts ou quelque dette pour avoir commis une telle nullité !
Dire que j'en avais fait un de mes auteurs favoris... Où est l'auteur de Cul de sac, des désarrois de Ned Allen et de l'excellent à la recherche du bonheur ?
Est-il possible que Paris vu par un américain francophile puisse paraître aussi caricatural et faux ? Et que dire de l'absence de style qui frise l'indigence ?
Comment l'éditeur a-t-il pu laisser passer ce pavé inepte ?
Obligé de donner une note, je regrette qu'il n'y ait pas de Zéro pointé.
Intrigue légère et dénouement bien fade
Critique de Critique (Trets, Inscrite le 9 novembre 2004, 64 ans) - 3 août 2008
Çà commence bien, on rentre dans le vif du sujet comme d'habitude, on se laisse prendre au jeu et tout semble crédible. La rencontre avec cette femme étrange se conçoit mais quand on découvre le pourquoi du comment de leur relation... alors là ! On tombe de haut... ou très bas, au choix. Non, ce n'est pas vraiment une réussite.
En plus on est déçu car on connaît son style, on aime ses situations rocambolesques ou désespérées. En plus, il en ressort un côté glauque assez désagréable au fond...
Je pense que j'en aurais oublié l'histoire dans peu de temps. Aller... un autre Monsieur Douglas, s'il vous plaît !
Quelque chose m'échappe !
Critique de BigBen (, Inscrit le 18 avril 2008, 55 ans) - 18 avril 2008
Je n'ai lu qu'une centaine de pages (dont une trentaine en diagonale), je n'irai pas plus loin. Je suis complètement écœuré devant tant de médiocrité triomphante. Comment peut-on publier une telle nullité ?
Surréaliste
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 28 mars 2008
Moins fort et moins dépaysant que « Cul de sac », l’outback australien est moins familier pour nous que l’exotique Xème arrondissement, ce livre, après un démarrage un peu lent et en apparence assez banal, finit par basculer lentement dans l’horreur, l’étrange et le fantastique. Nous nous retrouvons dans l’univers si particulier de Kennedy avec ses côtés sombres, inquiétants et mystérieux. L’auteur mène son intrigue avec élégance et machiavélisme, ménageant un suspens constant et ne nous dévoilant qu’en toute fin un dénouement aussi inattendu que surréaliste. Le lecteur se retrouve bluffé et c’est à cela qu’on reconnaît le bon bouquin !
Un Américain à Paris
Critique de Laure256 (, Inscrite le 23 mai 2004, 52 ans) - 20 janvier 2008
La femme du V ème est un très bon roman, lecture facile mais néanmoins prenante, où l’on se retrouve embarqué dans des complots, des meurtres, des mystères, bref, on avance à une vitesse effarante dans le roman sans voir passer le temps. Du très très bon Kennedy, jusqu’aux trois quarts du livre. Non pas que la fin soit mauvaise, mais l’auteur a fait le choix du fantastique, surréaliste qui crée une rupture avec tout ce qui précède, et gâche un peu le plaisir. Solution facile ? Manque d’inspiration ? On attendait une réponse plus explosive à tous ces éléments jusque là bien menés, et la déception pointe. M. Kennedy peut faire mieux, il l’a déjà prouvé. Dommage.
Margit, la femme mystérieuse !
Critique de Gilou (Belgique, Inscrite le 1 juillet 2001, 76 ans) - 15 janvier 2008
L’intrigue est à la limite de la compréhension (je parle pour moi bien sûr !)
Je me suis accrochée pour essayer de comprendre l’univers dans lequel ce pauvre Harry s’est engouffré ; de son plein gré il faut bien le dire. A cause du sexe… évidemment !!! (il le reconnaît joyeusement !).
Les héros de Douglas Kennedy sont généralement des hommes en fuite… de leur propre vie.
Mais ici, je trouve que son héros ne sait pas se maîtriser… c’est un peu trop et cela n’embellit pas l’histoire.
Je donne les étoiles à DK pour sa connaissance très pointue de Paris, comme un vrai parisien !!!
L’écriture n’est pas la même que ses autres livres, beaucoup trop de « dialogues », un peu comme une pièce de théâtre ou un scénario !!!
Et aussi le dénouement de l’histoire me laisse sur ma faim, bâclée et sans trop d’explication.
C’est sûrement son but, ici, de laisser le lecteur(trice) sur son propre questionnement. Dommage.
....
Critique de Jo (Quelque part au coeur des Ardennes, Inscrite le 30 décembre 2003, 48 ans) - 31 décembre 2007
Du moins j'étais.
Profitant des vacances j'ai lu ce livre en une journée, au coin du feu... et ce moment dont je me faisais une joie s'est révélé plein d'ennui.
OUi, sa mécanique est bien huilée..
Oui on comprend que cette femme du V° est la clef de toute l'énigme..
Mais où sont passées les émotions qui m'assaillaient à la lecture de tous ses autres ouvrages?
Pas de fébrilité pour tourner les pages, pas de plans sur la comete, échaffaudés dans mon esprit pour trouver la clef de l'énigme...
Juste cette impression de lire un roman de gare...
Et quelle déception à la lecture de la clef du mystère.. Irréel, peu (ou mal) explicité, peu conséquent.... La déception fut rude.
Reste que, persuadée qu'il s'agit d'ici d'un "faux pas" j'irai chercher et lirai avec attention son prochain roman....
Un sacré flop
Critique de Philduch (Aix en Provence, Inscrit le 17 février 2006, 57 ans) - 17 décembre 2007
Un style passe partout, genre écrit au kilomètre, sans une once de poésie. Des dialogues d'une platitude totale. Un personnage principal sans envergure, lâche le plus souvent, et cette femme du cinquième dont on ne sait finalement rien, le tout dans un Paris caricaturalement glauque. Les méchants sont méchants ; presque tous les personnages sont des paumés ou des salauds: ça n'est même pas un bon polar, car dans un bon polar, l'humanité finit par transpirer, par percer une couche de noirceur qui n'est ici qu'artificielle, passée au rouleau sur le mur lézardé d'un récit à tiroirs. Quant à la trame surnaturelle de l'histoire, elle apparait après deux cents pages, mais ne gagne jamais en profondeur. Même la fin est ratée: on attend un ultime rebondissement qui ne vient jamais...
500 mots par jour... un rythme alimentaire sans doute.
L'archétype du best-seller porté par une campagne marketing, et qui se révèle une coquille vide.
Acheté pour faire un cadeau à quelqu'un qui le voulait. Lu par curiosité.
Pouah! Il y a tellement de jeunes auteurs qui valent mieux que ça et qui ne sont jamais publiés!
Douglas Kennedy tel que lui même
Critique de Bidoulet (, Inscrit le 18 octobre 2005, 56 ans) - 29 août 2007
Restent les invraisemblances, les circonstances rocambolesques, ce stéréotype de l'anti-héros Américain rebattu maintes fois par Douglas Kennedy dans ces romans successifs.… Et puis, on déduit assez vite que la mystérieuse femme du Vème est la clef de la fabuleuse mécanique destructrice. Dans le genre, mais préférence demeure encore à "L'Homme qui voulait vivre sa vie". N'empêche, je me précipiterai une fois de plus, et avec gourmandise, sur le prochain opus du plus parisien des auteurs de polars américains.
Déçevant
Critique de Mane (Bordeaux, Inscrite le 5 février 2007, 37 ans) - 27 août 2007
Etant une inconditionnelle de Kennedy (j'ai tous ses livres dans ma biblio), je suis vraiment déçue par ce roman. Le style d'écriture est toujours le même : agréable et simple. Mais alors... Qu'est ce que je me suis ennuyée!!! Il faut attendre la 300ème page (sur 375 en gros) pour qu'il se passe quelque chose.
Je n'ai pas compris le rôle de cette femme. Kennedy a voulu jouer sur le mystère, je trouve qu'il ne donne pas assez de réponses : pourquoi le voir tous les trois jours? pourquoi cette fin?
Dernier point : je ne me souviens pas avoir déjà lu, dans un Kennedy, un seul rapport sexuel détaillé comme ceux qu'il décrit dans "La Femme du Vème". C'était inutile - une description imagée aurait été tellement mieux - et cela me faisait penser aux bouquins cul-cul la praline pour quinquagénaires en mal d'amour (vous savez, ceux qu'on trouve à Intermarché : "Le donjon de la passion" ; "Amours interdites" ; "Un amour au-delà des frontières"). Sur le coup, j'avais une impression désagréable.
Grosse grosse déception :/
Il est génial ce livre
Critique de Steffie (, Inscrite le 7 janvier 2007, 49 ans) - 26 août 2007
J'ai dévoré ce livre en 3 jours et demi (faut mentionner que j'étais en vacances !)
J'ai adoré ce livre qui m'a diverti (je crois que c'est le but premier de la lecture) au plus haut point.
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