Le sceau du secret de Charlotte Link
( Am Ende des Schweigens)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone
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Cote pondérée : (2 894ème position).
Visites : 6 435 (depuis Novembre 2007)
Intrigue bien ficelée
Traduit de l’allemand par Corinne Tresca
J’ai rarement lu une histoire qui tient en haleine aussi longtemps.
C’est pratiquement au tout dernier chapitre que le mystère est éclaircit.
Il s’agit ici d’un crime, ou plutôt, du massacre de plusieurs personnes partageant, le temps des vacances, dans une grande maison.
Trois couples, apparemment soudés, dont les trois hommes sont unis par un secret, donnent le change. Il ressort une impression d’entente idyllique et du tout va très bien…
Malheureusement, ces vacances de Pâques, vont tourner au cauchemar.
Comme il s’agit d’une histoire pleine de rebondissements, de non-dits, de non-assistance en personne
« mentalement » en danger… mon propos n’est pas de tout dévoiler !
Je qualifierai ce roman de « thriller », sans être véritablement une enquête policière. Inclassable.
Le quatrième de couverture et le court résumé incitent à la lecture de cette fiction.
Charlotte LINK y dévoile des facettes de l’être humain, incroyables, inadmissibles.
Folie passagère ou mal-être profond ! Bref une palette d’états d’âme !
Incroyable !! Pourtant des faits-divers de ce genre sont dans nos journaux chaque jour.
Les éditions
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Le sceau du secret [Texte imprimé], roman Charlotte Link traduit de l'allemand par Corinne Tresca
de Link, Charlotte Tresca, Corinne (Traducteur)
Presses de la Cité
ISBN : 9782258064959 ; 2,98 € ; 03/08/2005 ; 571 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (5)
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Thriller psychologique
Critique de Sonic (, Inscrite le 22 juillet 2022, 40 ans) - 22 juillet 2022
Le colonel moutarde, dans le salon avec la clé à molette
Critique de Pytheas (Pontoise - Marseille, Inscrit le 5 avril 2012, 59 ans) - 23 août 2012
je m'y suis pourtant plusieurs fois essayé, j'en veux pour preuve, que j'ai lu La bicyclette bleue, Rebecca, No et Moi, le voisin de la tombe d'à côté......
Mais allez savoir pourquoi, certainement mon côté misogyne ou un machisme mal à propos, j'ai toujours trouvé dans ces romans, un goût d'eau de rose teinté d'une sensiblerie qui ne me correspondait pas.
Après la lecture de ce Roman, qui n'est pas véritablement un polar, mais dont le suspense nous tient en haleine jusqu'à la toute fin, je retire tout ce que j'ai pu penser jusque là.
l'étude de caractère de chacun des protagonistes y est pertinente, fine et fouillée
l'impression d'étouffement, de spirale infernale, est omniprésente.
A chaque chapitre on distingue un peu mieux les relations brouillées qu'entretiennent les personnages entre eux et les sentiments qui habitent chacun.
leurs maux, leurs faiblesses, leurs habitudes, la force qu'ils retirent du groupe
au delà de l'étude de caractère, ce roman, pour ne rien gâcher, est bien écrit, sa lecture est fluide le style y est plaisant.
on passe aisément d'un personnage à l'autre sans perdre d'intérêt, chaque protagoniste apportant sa pierre à l'édifice.
ou bien retirant sa pierre de l'édifice suivant la perspective que l'on a.
car finalement cette vie de groupe si parfaitement harmonieuse n'était-elle pas qu'une vaste entreprise de démolition ?
Grâce à ce roman , je suis réconcilié avec les auteurs féminins au point de me demander si je ne vais pas m'offrir le dernier Katerine Pancol.
Une alliance germano-anglaise très réussie
Critique de Quinqualias (Bruxelles, Inscrite le 7 septembre 2009, 73 ans) - 2 août 2010
Des études psychologiques assez fines servent un suspense et une énigme très prenants.
Excellent mais commencez-le quand vous serez certain(e) de pouvoir le terminer!
Excellent roman plein de suspense
Critique de Mim (Onex Genève, Inscrite le 30 septembre 2006, 55 ans) - 12 octobre 2007
Les situations révélées sont inattendues et je me suis souvent trompée de piste... La fin est logique bien que surprenante.
La plus de Charlotte Link est agréable. Les mots coulent, les dialogues sont sensés. Bref, de quoi faire l'un de ses meilleurs romans.
LES JOIES DU YORKSHIRE
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 28 septembre 2007
Ce fait divers, plutôt sanglant, nous révèle plusieurs facettes de la nature humaine, tout en maintenant une pression constante, et ce, depuis le début. Celui-ci pourrait paraître un peu long, mais il n'en ai rien, car l'auteure nous emmène avec elle au plus profond de la psychologie de cette petite communauté.....qui se dit soudée, mais à bien y regarder, la réalité s'en trouve être radicalement différente.
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