Moi, Charlotte Simmons de Tom Wolfe
( I am Charlotte Simmons)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 16 avis)
Cote pondérée : (623ème position).
Visites : 11 357 (depuis Novembre 2007)
L'apprentissage du monde
Charlotte Simmons, une jeune lycéenne originaire de Sparta en Caroline du Nord, est reçue à l'Université prestigieuse de Dupont.
Après une période difficile passée à ignorer les quolibets de ses camarades, jaloux de son intelligence et de ses capacités, elle est impatiente de se retrouver enfin avec des gens comme elle, passionnés de lectures et de connaissances.
Sauf que Dupont est tout sauf ce à quoi elle s'attendait. Le niveau des cours n'y est pas plus haut qu'ailleurs, sa compagne de chambre est une bimbo anorexique bourrée de fric qui ne pense qu'à faire la fête et s'envoyer en l'air, de même que les trois-quarts des autres étudiants de Dupont.
Et puis un jour voilà que Jojo Johansson, la star du basket de Dupont, demande des conseils à Charlotte et s'intéresse à elle...
Une écriture fluide et acérée, un univers dépeint avec brio, ce livre nous emmène dans la haute société américaine et nous révèle ses contradictions et ses travers...
Les éditions
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Moi, Charlotte Simmons [Texte imprimé] Tom Wolfe traduit de l'anglais (États-Unis) par Bernard Cohen
de Wolfe, Tom Cohen, Bernard (Traducteur)
R. Laffont / Pavillons (Paris. 195?)
ISBN : 9788466619578 ; 5,17 € ; 23/03/2006 ; 656 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (15)
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CAMPUS
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 50 ans) - 6 septembre 2013
Malgré quelques longueurs, j'ai bien aimé.
Et un beau costume taillé sur mesure pour les universités américaines !
Critique de Nola Tagada (Paris, Inscrite le 22 octobre 2012, 39 ans) - 6 août 2013
Même si la description en devient presque caricaturale (si il n’y avait que des demeurés qui sortaient des prestigieuses universités américaines, je crois qu’on l’aurait déjà remarqué...), il n’y a pas de fumée sans feu.
Imaginez une jolie brochure qui vante la vie de l’esprit et qui se targue de former l’élite américaine de demain dans un cadre idyllique et formateur en présence des plus grands professeurs des États-Unis. Regardez la belle image qui illustre ce bla bla : des étudiants assis en cercle sur une pelouse verte (elle est synthétique ou quoi pour être aussi verte ?!), un jeune couple qui discute près d’un arbre, d’autres, livres à la main, qui se tiennent debout devant la magistrale statue de Charles Dupont, fervent symbole de leur future réussite professionnelle, un grand soleil et un magnifique campus dans l’une des plus belles oeuvres architecturales jamais construite par l’homme. Pas mal non ?!
Mais approchez vous, regardez de plus près : les jeunes sur la pelouse sont en réalité complètement ivres et en train de faire un jeu d’alcool, le jeune couple ou plutôt la jeune fille, appuyée sur l’arbre centenaire (il a dû en voir des vertes et des pas mûres celui-là !) semble exécuter des mouvements peu catholiques, quant au petit groupe devant la statue, il se fait gentiment passer un joint de main en main et les livres sérieux que l’on imaginait dans leurs bras ne sont autres que des Cosmopolitain, Grazia et autres presses creuses (mais idéales pour la plage et le train, je vous le confirme). Et que dire de la bâtisse ? Une fois entré à l’intérieur fini la belle pierre et le prestige qui y est associé et bonjour le lino troué, les relents d’alcool et la débauche quotidienne qui se joue là ! Vous grattez un peu la surface du tableau et bim vous ne voyez plus du tout la même chose ! Hé bien c’est exactement ce que va vivre Charlotte Simmons au cours de ces 1007 pages !
C’est à dire une belle déception en bonne et due forme qui va mettre un peu de plomb dans la cervelle de notre belle héroïne qui, sortie de ses livres, est à 1 millions de kilomètres de connaître les codes culturels et sociaux de ses pairs. Elle, le petit prodige, le génie des Montagnes bleues qui a intégré l’une des plus prestigieuses universités américaines ne sera pas au bout de ses peines dans cette jungle d’étudiants plus dépravés les uns que les autres. Ses principes et ses convictions rigoristes autant que catholiques (oui effectivement, ça fait beaucoup pour une seule personne !) vont être soumis à de sérieux tests de conformité !
Originaire de Sparta, Caroline du Nord, petit bled pauvre et perdu où il ne se passe pas grand chose, Charlotte va être confrontée aux hordes de fils à Papa et de fi-filles à Maman, d’étudiants sportifs aux passe-droits injustes et injustifiés, au sexe, à l’alcool, à la débauche, à un vocabulaire outrancier à base de fuck, fuck, fuck et à tout un tas d’éléments qu’elle n’aurait jamais pu imaginer, elle la petite fille pure et innocente des montagnes.
Va-t-elle céder à la pression du groupe ? Cette réponse vous l’aurez assez vite car la naïveté de Charlotte aura rapidement raison de ses principes. Tiraillée entre ses origines de petite américaine puritaine et sa volonté de s’intégrer à cette jeunesse américaine qui ne jure que par la popularité et l’argent, Tom Wolfe ne va rien lui épargner. Trouvera-t-elle son salut auprès du petit groupe d’étudiants qui se fait appeler les mutants du millénaire (qu’est ce que c’est ce que ce nom sans déconner ?!), les seuls qu’elle ait rencontrés et qui semblent être à Dupont pour apprendre et étudier ?
J’ai eu envie de la baffer autant que de la réconforter cette petite Charlotte. Véritable cliché ambulant de la provinciale coincée, paumée, complètement à la masse, elle est parfois fort agaçante et à la limite de la crédibilité, Tom Wolfe y est allé un peu fort mais c’est certainement pour accentuer les contrastes entre l’idée que l’on a de l’université américaine et la réalité. Les personnages qui gravitent autour de Charlotte sont également très travaillés bien que fortement caricaturés parfois. Il y a beaucoup de détails, le tout donne un bouquin vraiment sympa mais qui n’est toutefois pas à la portée de tout le monde de par sa longueur. Car oui, il faut l’admettre, on aurait pu faire plus court. Même si j’ai pris plaisir à lire chaque page, j’ai mis du temps à vraiment m’accrocher. Les 300 premières pages sont un peu longues, ce qui fait beaucoup pour les impatients, nous serons tous d’accord là dessus ! Quelques mièvreries sont également à dénoncer, mais elles sont étroitement liées au personnage de Charlotte.
Globalement je dirais que c’est un bon bouquin qui se lit très bien, surtout lorsqu’on pense au message qu’il est censé faire passer. La destruction d’un système éprouvé comme celui-là, ce n’est pas courant, autant vous dire que Tom Wolfe ne s’est pas fait que des amis. La société américaine est un puits d’inspiration sans fond pour notre auteur, il va chercher les informations à la source et c’est ce qui donne du cachet et de la matière à ses bouquins !
Est ce que je recommanderais ce livre ? Oui mais aux “initiés”. J’entends par initiés des gens qui apprécient une large variété de littératures, qui n’ont pas peur de se lancer dans des mastodontes, qui aiment l’opulence du détails et cet aspect docu roman si propre aux romans de Tom Wolfe. Tout ça m’a bien donné envie de me lancer dans Bloody Miami, le petit dernier !
"C'est que tu veux pas, ou que tu peux pas ?"
Critique de Antihuman (Paris, Inscrit le 5 octobre 2011, 41 ans) - 13 avril 2013
Bref, ça commence sur des chapeaux de roue, puis ça ralentit au 3/4 après un quasi-viol commis par un Bel Enfoiré® (Hoyt Thorpe): au lieu d'innover Tom Wolfe, ce grand auteur béni des médias, fait donc dans la fresque humaine à la Balzac, dénoncant l'injustice sociale parmi les élèves et l'inégalité de la culture; puis enfin passant à travers les étiquettes et préjugés mais cependant à l'écriture de teneur plutôt classique au final - il faut noter qu'on dirait presque, en somme, du BEE.
On se demandera donc finalement ou sont bien passés les Harlem Globe Trotters...
Public restreint
Critique de Shawna_paulynna (, Inscrite le 19 janvier 2013, 34 ans) - 22 janvier 2013
Beaucoup de "fuck" dans certaines phrases qui "on se le demande" servent à pas grand chose au final car les phrases ne prennent aucuns sens. C'est dommage.
Quant à l'originalité de l'histoire, c'est ce qui m'a attirée, une jeune fille de la montagne part faire ses études dans un grand campus. Elle se découvre. Mais ...
je suis restée sur ma faim ... oui, après "sa première fois" le personnage de Mr Thorpe est mis de côté. Adam Gellin est mis en avant mais pourquoi !!! J'ai perdu le fil ...
Bref, j'ai aimé le début le début mais la fin me déçoit.
Belle écriture tout de même.
Une peinture intéressante de ce qui se passe sur un campus américain
Critique de Isad (, Inscrite le 3 avril 2011, - ans) - 2 octobre 2011
Le vocabulaire « jeune » abonde, les descriptions pleines d’alcool et de moqueries foisonnent, le cynisme et la permissivité sont de rigueur.
Le tout se laisse lire car on est curieux de savoir comment vont évoluer les différents personnages en interaction dont la psychologie est assez finement décrite.
IF-0911-3788
Unique et universelle
Critique de Lu7 (Amiens, Inscrite le 29 janvier 2010, 38 ans) - 22 juin 2011
Et qui en cela se croit unique.
Mais elle finit par découvrir qu'au fond, ses besoins de reconnaissance ne se trouvent pas que dans le sourire complice d'un professeur d'université.
Montrer ses belles jambes, être regardée et désirée, ne pas être vue en présence d'un 'loser'...Se fondre dans la masse, pour mieux en ressortir, par le haut...
Ce roman est très très long; les 100 dernières pages m'ont été particulièrement difficiles.
Par contre je trouve la plongée dans le monde étudiant particulièrement réussie, et la psychologie du personnage de Charlotte très réaliste dans la jeunesse du personnage, la naïveté et la féminité.
Long, trop long, mais...
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 16 octobre 2010
Premier Tom Wolfe pour moi.
Critique de Rouchka1344 (, Inscrite le 31 août 2009, 34 ans) - 16 mai 2010
Ce que j'ai aimé aussi c'est le personnage de Charlotte qui n'est pas spécialement sympathique, en tout cas à mes yeux, très orgueilleuse et prétentieuse, la petite campagnarde déchante vite!
Bref un bon gros bouquin cynique et grinçant sur le prestige de ces fameuses universités qui en prend pour son grade! De quoi écorner l'image arrogante des universités américaines dont les Américains sont si fiers!
Universités américaines : grandeur et décadence?
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 26 mai 2008
Les personnages sont complexes et très bien construits par l’écrivain, qui, comme je l’ai souligné prend la peine de développer son intrigue ainsi que le contexte. Cependant, je n’ai pas pu m’identifier à aucun d’eux, ni comprendre la plupart de leurs attitudes et réactions. J’ai pourtant moi aussi connu la vie estudiantine, mais elle est trop éloignée de ce qui est décrit ici. La plupart sont plus arrogants les uns que les autres. Ils ont un égo démesuré, même Charlotte Simmons. Surtout elle, peut-être, c’est d’ailleurs ce qui fait le titre du roman. Tout au long du récit, elle ne cesse de se répéter sa supériorité : “Moi, Charlotte Simmons”, “je suis Charlotte Simmons”. Même si au fur et à mesure du temps qui passe, ces phrases finissent plus par lui servir à essayer de se convaincre …
Toutefois, comme Gabri, j’ai parfois été un peu gênée, surtout au début où le romancier en abuse, des grossièretés et des insultes. Il veut sans doute rendre le parlé “jeune”, mais retrouver trois ou quatre “fuck” dans une même phrase, surtout en français, j’ai trouvé ça un peu lourd. Heureusement, cela s’estompe par la suite même si ça ne disparaît vraiment jamais.
Je me demande si les universités américaines sont réellement telles que décrites par Tom Wolfe dans son roman. Il est assez effrayant de voir les avantages octroyés aux étudiants parce qu’ils sont bons en basket ou parce qu’ils sont issus d’une riche famille. Organiser un cours bidon uniquement pour qu’ils bénéficient d’une bonne note m’horrifie. En ce qui concerne les mœurs éthyliques et sexuelles, elles me paraissent quand même bien exagérées.
En conclusion, cela reste un bon roman qui dénonce les travers et les maux de la société américaine.
Moins bon mais très fort...
Critique de Thomasdesmond (, Inscrit le 26 juillet 2004, 43 ans) - 6 juin 2007
Attachante Charlotte
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 3 mars 2007
Ce livre est une satire cinglante de la vie des étudiants dans une faculté privée américaine de grande classe. On sent que Wolfe a visé Harvard, Yale, Princeton, Berkeley… et a cherché à montrer tous les travers, les inégalités, les faux-semblants et surtout la mentalité délétère des classes sociales privilégiées. Il nous propose un véritable travail de journaliste très informé des mœurs étranges de cette nouvelle aristocratie qui ne se veut que cool c'est-à-dire en perpétuel hédonisme et uniquement préoccupée de jouissance et de consommation. Il use de son habituel humour décalé et pas forcément très politiquement correct et démonte bien des perversions du système. En particulier, celle des fameux sportifs- étudiants (très sportifs et très peu étudiants) dont on trafique les résultats scolaires parce que le sport donne une belle image de la fac et également celle de ces fraternités huppées, sorte de sociétés secrètes dans lesquelles le top du top peut quasiment tout se permettre en attendant d’accéder aux postes clés de la société.
Tom Wolfe se révèle un véritable maître du roman social, une sorte d’ethnologue de notre époque. Malgré son épaisseur (650 pages), « Moi, Charlotte Simmons » est un livre qui se « dévore » tant les personnages sont attachants et l’intrigue passionnante. L’auteur me semble avoir encore progressé depuis « Acid Test » (sur la genèse du mouvement psychédélique dans les années 60), « Embuscade à Fort Braggs » (sur l’homosexualité et l’armée) et surtout depuis « Le bûcher des vanités » (sur les golden boys et le racisme) : plus aucune lourdeur, ni reprise, ni redite, un style fluide, ciselé, agréable, digne des grands classiques. Alors, Wolfe, nouveau Balzac ou nouveau Zola ?
Tiède et fade
Critique de BONNEAU Brice (Paris, Inscrit le 21 mars 2006, 40 ans) - 13 novembre 2006
Alors forcément, comment ne pas aimer un bouquin quand on s’identifie à l’héroïne, au point que même notre “première fois” n’avait rien de plus glorieuse l’une que l’autre. Mais je ne porte pas de robes, il est vrai.
Charlotte Simmons, c’est un gentil “teen-movie”, une comédie romantique américaine, avec une fille belle et intelligente, qui sort avec le capitaine de l’équipe de foot un joueur “star” de basket, qui croit qu’elle est coooool parce qu’elle se fait baiser par une demi-célébrité qui se fait passer pour le mec parfait, qui n’arrive pas à aimer l’intellectuel binoclard et chétif qui tuerait pour l’épouser, et qui, in fine, termine la course du lecteur dans une savante création littéraire, seule originalité de cette affaire : un sportif intelligent. Bah ouais, plutôt que de maintenir un suspens sans fin sur “lequel va-t-elle choisir”, Wolfe s’emmerde pas, il crée l’intermédiaire.
Et ça, c’est du 100% Charlotte Simmons. J’en sais quelque chose, c’est Moi, Charlotte Simmons !
Roman d'apprentissage
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 7 septembre 2006
Avec ce tout nouveau roman, Tom Wolfe nous emmène dans l'univers frivole de la jeune élite américaine, sur le campus d'une des universités les plus prestigieuses des État-Unis. Bien que je ne sois ni américaine ni encore moins millionnaire, j'ai trouvé que l'univers dépeint par Wolfe représentait bien une partie des jeunes de la génération actuelle. Toutefois, il s'agit d'une partie, alors que dans ce roman Charlotte semble le seul être doté d'une tête sur les épaules. Je crois que c'est dû au fait que mis à part elle, les personnages ne sont pas suffisamment développés et tombent quelques fois dans le piège des caricatures. Par exemple, il y a Adam l'intello qui ne manque pas une seule occasion de développer une nouvelle théorie ou d'exposer son savoir, Beverly la pimbêche qui regarde tout le monde de haut et qui ne rentre jamaaaais avant 3heures du matin, Hoyt le play boy imbu de lui-même qui n'a pas même une goutte de sensibilité, etc... Néanmoins, je pense que le personnage de Charlotte, de par ses torts et ses contradictions, est en est un suffisamment réaliste et attachant pour compenser les faiblesses des autres personnages.
Par ailleurs, je dois avouer qu'il y a eu un détail qui m'irritait un peu au commencement du roman; les fameux dialogues entre les jeunes. En effet, chacune des répliques contient, au minimum, un fuck ou un de ses dérivés; "Fuck qu'est-ce que t'es mec un fucking baobab ou quoi?" Sans compter les nombreuses expressions telles que "reum", "tepu", "oilpé", "ouf" et compagnie, venues directement de l'Europe j'imagine mais qui sonnent assez bizarrement ici au Québec... Toutefois, on s'y habitue rapidement et après quelques pages on ne s'y arrête plus.
Pour finir, je dois dire que ce roman est un excellent divertissement et sur le coup je me suis sentie déçue de l'avoir déjà terminé... Par contre, je ne crois pas qu'il laissera une grande trace dans ma mémoire comme d'autres romans l'ont déjà fait, d'où la raison du 4 étoiles... :)
Portraits à la craie
Critique de Léa001 (, Inscrite le 10 mai 2006, 45 ans) - 28 août 2006
Il en est de même pour les personnages, Charlotte nous ressemble certainement en bien des points et nous est à la fois totalement étrangère. Elle m’a irritée, énervée, j’avais envie de lui crier de bouger, de réagir, d’arrêter de se comporter comme une enfant. Et puis, parfois, je comprenais ses sentiments et j’avais de la rancœur contre Hoyt, cet idiot imbu de lui-même. Mais, son contraire en la personne d’Adam Gellin cet intellectuel complexé, m’était également déplaisant.
Bref, une galerie de portraits attachants et à la fois énervants, caricaturaux comme Jojo, le basketteur qui veut faire de la philosophie, Beverly, la pimbêche, Mimi, la moche, etc…
Sympathique
Critique de Muchado (Paris, Inscrite le 21 avril 2006, 43 ans) - 20 août 2006
Mais Charlotte est différente. Elle n'est pas comme toutes ces autres filles qui ne cherchent qu'à "coucher" et à "se faire" le plus de mecs possible.
L'écriture est fine, précise, et l'histoire est captivante. On voudrait prendre Charlotte dans nos bras pour la consoler. Elle est notre amie, grâce à Mister Wolfe.
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