Le chat qui jouait au postier de Lilian Jackson Braun
( The cat who played Postoffice)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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On veut la peau de Qwill!
Daisy Mull était employée au service de Fanny Klingenschoen, la tante milliardaire de Qwilleran dont il est l'héritier. Une jeune femme mystérieusement disparue et dont il cherche la trace, suite à quelques comportements étrange du chat Koko qui lui donnent l'impression que quelque chose ne tourne pas rond à propos de cette personne. L'enquête commence et dès que Qwill approche d'un peu trop près quelqu'un ayant côtoyé cette jeune femme et pouvant lui apporter des renseignements, la mort arrive. Qwill lui-même pourrait y laisser sa peau...
Ce récit est l'occasion de découvrir plus en détails certains habitants haut placés de Pickax au passé peu reluisant. Pas l'enquête la plus forte et la plus aboutie de la série, même si elle permet de cerner davantage la personnalité de Qwill.
Cela n'empêche cependant pas le récit d'être agréable à lire et d'apporter une bouffée de fraîcheur et de détente qui fait du bien. Du polar léger sans être niais, bien écrit, avec humour et un décalage certain qui en fait toute l'originalité.
Les éditions
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Le chat qui jouait au postier [Texte imprimé] Lilian Jackson Braun trad. de l'anglais par Marie-Louise Navarro
de Braun, Lilian Jackson Navarro, Marie-Louise (Traducteur)
Christian Bourgois / 10-18
ISBN : 9782264017000 ; 2,98 € ; 13/11/1998 ; 253 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (2)
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Un félin amateur de lettres
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 27 septembre 2015
Un petit peu déçu donc par cette enquête qui n'en est pas vraiment une, les facéties de Koko et la galerie haute en couleurs des habitants du comté de Mooseville font tout de même sourire je le reconnais mais l'intrigue est prévisible et ne m'a pas particulièrement passionné.
Arnaques, crimes et félidés
Critique de Bleizmor (Bretagne, Inscrit le 3 janvier 2009, 54 ans) - 19 juin 2009
L'intérêt des romans de L. J. Braun tient surtout dans l'atmosphère champêtre du comté et le flegme très British du protagoniste, Qwilleran. Rajoutez une vision très réaliste de la gente féline, ainsi qu'un style littéraire très agréable, et vous n'aurez de cesse que vous puissiez repartir dans le monde bucolique de L.J. Braun.
Quelques petites citations de cet ouvrage :
- Les chats ont un sixième sens.
- Sixième ? Koko en possède au moins seize !
- Si seulement il pouvait communiquer ce qu'il sait.
- Il communique parfaitement. Le problème est que je ne suis pas toujours assez réceptif pour le comprendre.
- Qwilleran les installa avec ses bagages dans la voiture et partit à la vitesse de 60 miaulements à l'heure pour la résidence Klingenschoen
- Comment pouvez-vous vivre à 600 kilomètres de la civilisation ?
-Avez-vous vraiment l'impression que les habitants des grandes villes soient civilisés ?
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