Le deuxième tome du « Chemin des larmes »

« La belle de Boston » est nettement moins bon que « Princesse Cherokee » mais j’aime tellement le style de Janet Dailey qu’elle est capable de me faire lire n’importe quoi.

Vingt ans ont passés depuis la fin de « Princesse Cherokee » qui avait vu la déportation des Indiens de Géorgie. Ils ont prospérés depuis mais les haines familiales demeurent tout comme la fissure entre ceux qui avaient acceptés les nouvelles terres en Arkansas et ceux qui voulaient à tout prix rester en Géorgie. Dans la famille Gordon, il en va de même. La guerre de Sécession qui s’annonce amène la réouverture des conflits, entre les uns prenant position pour le Nord et les autre pour le Sud.

Les enfants sont moins intéressants que les parents, ils n’ont pas leur épaisseur. Les évènements sont aussi moins passionnants. Janet Dailey s’éparpille entre trop de personnages. Mais il y a des idées intéressantes, comme Ike, le fils de Deu et de Phoebe, ne supportant plus sa condition d’esclave, ce que ses parents ne comprennent pas.

Sur le plant historique, c’est toujours aussi riche. Mais la lecture de ce second tome n’est pas indispensable.

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  La belle de Boston [Texte imprimé] Janet Dailey trad. de l'américain par Francine Siety

  de Dailey, Janet Siéty, Francine (Traducteur)
  J'ai lu / J'ai lu.
  ISBN : 9782290049341 ; 1,80 € ; 04/01/1999 ; 381 p. p. ; Poche

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