Les oiseaux se cachent pour mourir de Colleen McCullough
( The Thorn birds)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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les oiseaux d'épines
Les Cleary sont un couple d’humbles travailleurs vivant en Nouvelle-Zélande avec leurs 8 enfants dont la jeune Meggie est la seule fille. Un jour, un évènement vient bouleverser leur quotidien. Mary Carson, la sœur du brave père de famille, qui a épousé un homme riche, mort maintenant, et qui se sent elle-même toute proche de le rejoindre, n’a d’autres héritiers que son frère et sa nombreuse famille. Elle vit en Australie sur un immense domaine, Drogheda. Elle fait une proposition à son frère : il devra s’occuper du domaine avec l’aide de toute sa famille pour en hériter lorsque sa mort viendrait. C’est une offre qu’il ne peut pas refuser et tous s’embarquent pour l’Australie.
Meggie n’a alors que 9 ans et c’est là-bas, à Drogheda, qu’elle va rencontrer celui qui changera sa vie à jamais : Ralph de Bricassart, un jeune prêtre de 27 ans, beau comme un prince, doux comme un frère… Il la protègera durant toute son enfance et sera son seul ami. Mais à l’adolescence de Meggie, inévitablement l’amour s’épanouira entre les 2 jeunes gens. Ralph, alors, s’éloignera. Il est ambitieux, veut devenir évêque puis cardinal. Dans le même temps, Mary s’en est allé et lui a laissé la gérance de son héritage. Il est un homme riche et plus rien désormais ne peut l’empêcher d’atteindre ses rêves. Il partira pour Rome accomplir son destin d’homme de Dieu. Meggie, brisée, ne veut pas se laisser abattre. Elle veut vivre et devenir mère. C’est alors qu’elle croise Luke O’Neill dont la ressemblance avec Ralph est frappante. Elle l’épousera pour son plus grand malheur… mais le meilleur n’est souvent atteint qu’aux dépens d’une grande douleur…
Un très beau roman que ces oiseaux qui se cachent pour mourir. Pas du tout à l’eau de rose malgré ce qu’on pourrait penser. C’est un livre rude, sans fioritures, brut. L’histoire d’un Amour impossible et passionné qui suit plusieurs générations de personnages (enfants de Meggie…) et qui ne tombe pas dans les stéréotypes. Une belle réussite pour Colleen McCullough qui signe là son chef-d’œuvre incontesté. Le livre vaut d’ailleurs beaucoup mieux que la série télé. A conseiller vivement à tous les amateurs du genre.
Les éditions
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Les Oiseaux se cachent pour mourir [Texte imprimé] Colleen Mc Cullough traduit de l'américain par Jacques Hall
de McCullough, Colleen Hall, Jacques (Autre)
Belfond / Grands Romans
ISBN : 9782714411501 ; 5,43 € ; 01/01/1996 ; 535 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (7)
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Divertissant !
Critique de Blue Shadow (, Inscrite le 15 novembre 2010, 30 ans) - 11 septembre 2011
L'histoire d'amour entre Meggie et Ralph est bien ciselée; pas d'épanchements sentimentaux gratuits. On pourrait comparer ce roman à du Danielle Steel, mais je préfère de loin le style de McCollough.
Un roman à lire absolument.
Magique
Critique de Annso87 (, Inscrite le 2 août 2010, 37 ans) - 2 août 2010
Je n'ose pas regardé le film de peur d'être déçue, mais c'est vraiment agréable de lire des livres qui nous transportent. J'ai trouvé quelques passages un peu longuets, que ce soit au tout début ou à la fin, mais ça n'enlève rien au charme fou de ce roman.
Mon premier "gros" roman
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 10 mai 2010
Je t'aime, moi non plus
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 28 juin 2009
Mais très beau à lire, une belle histoire d'un amour impossible! La complexité de l'amour dans toute sa splendeur! (et je me plains parce que mon chéri ronfle moi! lol)
Saga romanesque sur décor de plaines australiennes
Critique de Mieke Maaike (Bruxelles, Inscrite le 26 juillet 2005, 51 ans) - 1 mars 2006
Il ne s’agit pas de grande littérature, mais ce livre fait partie d’un genre littéraire qui contribue à donner le goût à la lecture aux adolescents (ici, peut-être plutôt aux adolescentes). La trame est classique, l’histoire se déroule de façon chronologique, les personnages sont typés et bien décrits, avec tout ce qu’il faut de psychologie sans pour autant être ennuyeux (c’est quand on a 30 ans qu’on apprécie Madame Bovary, pas quand on en a 15). De plus, il est très aisé, quand on est adolescente, de se projeter dans le personnage de Meggy, ce qui permet de savourer pleinement ce roman. Je préfère de loin voir un jeune choisir spontanément ce livre dans une bibliothèque et passer de nombreuses heures de plaisir à le dévorer page après page, plutôt que lui imposer de la « vraie » littérature qui risque de le dégoûter de la lecture pour le reste de sa vie.
romanesque
Critique de Zondine (, Inscrite le 24 septembre 2005, 57 ans) - 1 mars 2006
Très beau
Critique de PATTYBIS (, Inscrite le 28 février 2006, 59 ans) - 28 février 2006
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