Cette "critique" d'un "livre" qui ne sent pas bon ne sert que les intentions de ceux qui luttent contre la liberté et l'égalité et ne parlons pas de la fraternité qu'ils ne conçoivent que comme une bourrade sur l'épaule avant de casser... l'autre.
Combien de brulots nauséeux polluent l'édition? de nombreux, la démocratie "oblige" à les laisser déverser leurs flots de bile mais ils ne sont pas assez habiles dans l'art du camouflage, nous avons les deux yeux sur eux et ne les perdrons jamais de vue tant que perdurera leurs discours de haine.

Ma alter ego "le rat des champs" a reçu une réponse de Didier Daeninckx. Il me demande de la poster ici, puisqu'il a déjà fait une critique éclair de ce "livre".
Voilà :
Mon alter ego a envoyé un message à Didier Daeninckx pour lui signaler cette critique du sieur Enzo.

Voici sa réponse :
Merci de m'avoir signalé ce lien.
Ce livre est une réédition d'un livre de Besson paru à l'époque où cet écrivain fréquentait assidûment les allées du pouvoir Grand Serbe, et livrait des récits admiratifs sur ses amis Karadzic et Mladic.
J'avais eu l'occasion d'écrire quelques analyses sur cette dérive d'une partie du monde littéraire français. Vous pouvez par exemple vous reportez à "Engagés pour le pire" sur le site amnistia.
Le livre de Besson constituait sa réponse : éviter de parler de son engagement pour les criminels contre l'humanité et dévier sur une sorte de paranoïa de ma part.
Il a bien sûr fait paraître son livre sous couvert de fiction, laisser passer trois mois légaux où les poursuites étaient possibles, puis déclarer dans toutes les gazettes complaisantes de l'extrême-droite que c'était un roman à clef.
Le chroniqueur sous pseudo tente de prolonger le procédé. Le site s'y prête au nom de la liberté d'expression. On est dans la saloperie ambiante coutumière, la lâcheté du moment, voilà tout.
Cordialement

DD