Hygiène de l'assassin de Amélie Nothomb
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Joutes verbales à huis-clos
J'ai mis du temps à prendre un Amélie Nothomb... je l'avoue et je me dois même de rajouter après lecture que c'est à ma grande honte...
Ce livre est simplement épatant, je ne m'attendais absolument pas à succomber aussi vite. D'un point de vue littéraire, le style m'a un peu étonné au départ: introduction plus que réduite, description sommaire mais amplement suffisante, on entre à toute allure dans le vif du sujet. Si vous aimez les esprits vifs, la débauche d'intelligence, le duel je pense que ce livre vous attend.
Tant qu'à parler du sujet allons-y. Un prix Nobel de littérature, Pretextat Tach, va mourir dans un bref délai. C'est un homme gras, impotent et méchant qui jamais n'a accordé d'interview. Voilà donc une manne pour les journalistes lorsque les portes de sa demeure vont s'ouvrir à quelques-uns d'entre eux.
Tach est un manipulateur dans l'âme, une sorte de génie qui ne supporte pas les gens qui n'arrivent pas à sa hauteur (on se demande s'il ne supporte pas les gens tout simplement, mais mon opinion personnelle est qu'il est incapable d'une relation dans laquelle l'autre n'est pas dominant ou au moins son égal).
Tout est sujet à duel verbal et il parvient ainsi à rendre malades, dégouttés ou démoralisés les quatre premiers impudents qui viennent le trouver. Le cinquième, la cinquième pour plus d'exactitude, elle, a lu ses romans (indigestes semble-t-il) et a peut-être percé son secret... elle va tenter de vérifier sa thèse à coups d'insultes, de bluff, de manipulation, etc. La suite lisez-la sans délai...
Ce qui est époustoufflant, à mon sens, est la qualité des dialogues, la force qui se dégage des personnages, pas de description inutile, tout se trouve dans les mots. Un duel d'une intensité très particulière, mais le plus beau qui soit, un duel de cerveau, la manipulation en plein, le bluff, la vérité, tout est arme dans les mains de nos deux jouteurs.
Les éditions
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Hygiène de l'assassin [Texte imprimé], roman Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
Albin Michel
ISBN : 9782226059642 ; 15,20 € ; 28/08/1992 ; 199 p. ; Broché -
Hygiène de l'assassin [Texte imprimé], version manuscrite Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
Editions des Saints Pères
ISBN : 9782954268705 ; EUR 98,00 ; 10/09/2012 ; 1 vol. (299 p.) p. ; Relié -
Hygiène de l'assassin [Texte imprimé], roman Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253111184 ; 5,70 € ; 06/10/2004 ; 224 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (61)
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Exercice de style
Critique de Killing79 (Chamalieres, Inscrit le 28 octobre 2010, 45 ans) - 24 avril 2016
En général, j’apprécie assez peu les romans courts qui sont souvent au final superficiels ou incomplets. Pour qu’une histoire brève trouve grâce à mes yeux, il faut que le style ou le thème mérite la concision. Il faut qu’en peu de mots, le texte fasse mouche. Et pour « Hygiène de l’assassin », c’est le cas. Une interview de 200 pages, c’est original et avec ce style, c’est percutant !
Les deux protagonistes de ce dialogue sont des êtres particulièrement intelligents. Ils font tous les deux preuve d’une répartie verbale hors du commun, qui entraîne le débat à toute allure. Leurs échanges oraux sont d’une grande efficacité. J’ai été bousculé dans ce vif ping-pong d’idées et de phrases chocs. De plus, l’atmosphère qui règne dans la pièce est sombre, malsaine, méchante et le politiquement correct n’y a pas sa place. On est donc à la fois mal à l’aise face au fond de l’histoire et captivé par la forme.
Sur cet opus, je comprends l’engouement du public. Une forme surprenante, une histoire dérangeante et une plume affutée, un véritable exercice de style qui laisse une empreinte dans notre esprit. Malgré une fin bâclée, ce fut pour moi une bonne surprise. Après une première manche perdue, Amélie Nothomb remporte cette revanche haut la main. Il y a aura donc la belle…
un moment désagréable...
Critique de Cornille (Antalya, Inscrite le 7 octobre 2011, 45 ans) - 8 juillet 2015
Supprimons les femmes
Critique de Benson01 (, Inscrit le 26 mai 2012, 28 ans) - 28 juin 2014
Sérieusement, c'est un livre étrange. Il y a du mouvement. Plus j'avançais dans l'histoire, plus j'avais l'impression de tourner dans un dédale pour en chercher la sortie. L'auteur Prétextat Tach (le nom, en passant, est ignoble !) est alambiqué comme pas possible. Ce qu'il raconte peut sembler cohérent parfois et alors, comme les journalistes, on le trouve génial, et peu après, il y a vraiment un déclic et on se dit que ce Prétextat est complètement malsain et ne fait aucun effort pour... Aucun effort pour quoi, d'ailleurs ?
Il est tant alambiqué qu'on ne sait même plus quoi penser de lui. Peut-être qu'il s'emmerde ? Peut-être qu'il veut faire parler de lui ? Peut-être que c'est un aigri ? Peut-être qu'il est lucide ? Peut-être qu'il est cinglé ? Autant de questions que l'on peut se poser. Il dit combattre la mauvaise foi mais sa faculté à nous brouiller est en elle-même de la mauvaise foi.
Pour faire tomber ce personnage si étrange, pour essayer de le percer à jour, des journalistes vont tenter de l'interviewer. Les dialogues sont exceptionnels : on a l'impression d'un bras de fer (largement gagné par l'écrivain jusqu'à la moitié du roman). Ainsi, à la moitié du roman, les choses commencent à s'éclaircir, et on découvre enfin Tach de façon très intéressante. C'est très bien construit et franchement fascinant.
De plus, j'ai trouvé ce roman troublant. Il remet la lecture en cause. Enfin, il remet ma lecture en cause. Comment doit-on lire un livre . Avec les tripes ? Avec la tête ? Avec le cœur ? En prenant des notes ? En oubliant ? En sautant des pages ? En saisissant une pensée profonde ? Ce n'est peut-être qu'un détail du livre mais moi, ça me pose un problème.
Et Tach a plein de petites réflexions qui posent problème comme ça. Mais heureusement à la fin du roman on se sent enfin dans un roman. Finies les tirades théâtrales et philosophiques, nous voilà dans une chute invraisemblable et extraordinaire ; et je ne demande pas mieux !
Pour finir, une dernière question se pose : Amélie Nothomb a-t-elle quelque chose à se reprocher ?...
Prétextat Tach
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 15 mai 2014
J’ai tout particulièrement apprécié les traits d’esprit échangés entre les journalistes et l’odieux personnage central : Prétextat Tach. Celui-ci les humiliera avec grand plaisir jusqu’au moment de tomber sur un os. Au lecteur de le découvrir.
Une hygiène déplorable
Critique de Mr-Bnh (, Inscrit le 18 novembre 2013, 27 ans) - 18 novembre 2013
Malgré l'humour du héros, je ne l'appréciais pas car il tenait des propos que je ne partage pas. Par exemple, il trouve que la pire chose au monde est la femme. Il ne supporte pas ces créatures, aucune d'entre elles n'est assez bien. Néanmoins, il hait également les hommes. C'est pourquoi il reste seul.
Le vocabulaire est trop compliqué, le personnage principal dialogue avec les interviewers mais je ne comprenais pas. Les répliques sont trop longues. Les phrases en deviennent des tirades.
du Nothomb...
Critique de Junos2005 (, Inscrite le 12 mars 2013, 34 ans) - 12 mars 2013
L'histoire reste bonne aussi bien au niveau de l'intrigue principale (les journalistes) que secondaire (le secret de Tach). De plus on ne s'ennuie pas une seconde, cela se lit facilement. Il faut également accorder à Amélie la qualité d'écriture reconnaissable entre mille; quand on sait qu'elle écrivit ce roman jeune, on ne cherche même pas à juger ou à rivaliser!
Et pourtant... Qu'est-ce que c'est que ces fins qu'elle nous trouve à chaque ouvrage? Sérieusement on reste sur notre faim et on se dit: ou son histoire n'était pas bâtie jusqu'au bout et elle n'avait plus le temps et alors sortez-moi ce lapin du chapeau; ou sa fin est à son image ce qui est fort probable... Plus que loufoque, plus qu'inattendue, plus que disible, non vraiment je ne m'y ferai pas!
L'hygiène de l'assassin
Critique de Exarkun1979 (Montréal, Inscrit le 8 septembre 2008, 45 ans) - 8 décembre 2012
On a dans ce roman une succession de journalistes qui se font rabrouer par Pretextat Tach jusqu'à l'arrivée de Nina qui lui sert la même médecine qu'il a fait endurer aux autre.
Je n'ai pas vraiment été emporté par l'histoire. Il y a du bon, surtout lorsqu'on découvre le vrai passé de Tach. Sinon, le reste est plutôt ordinaire.
Amélie Nothomb a 20 ans
Critique de Saints Peres (, Inscrit le 8 septembre 2012, 43 ans) - 8 septembre 2012
Bof bof.
Critique de Coward (, Inscrite le 3 juin 2012, 29 ans) - 3 juin 2012
Et puis j'ai pas vraiment aimé la fin, pour ne pas dire que je l'ai détesté.
Mais bon, malgré une touche de déception, je vais sûrement lire d'autres Nothomb, en espérant être un peu plus charmée.
Une photographie
Critique de Mimi cra cra (, Inscrite le 26 avril 2012, 36 ans) - 26 avril 2012
La première partie nous gifle tandis que la seconde éveille en nous une espèce de fascination malsaine mêlée de répugnance pour le dément/odieux personnage de Pretextat Tach.
(je passe sur le résumé, d'autres l'ont fait avant moi)
Intense, voire suffoquant pour ceux qui arrivent à mettre un pied dans le salon de Tach, Hygiène de l'assassin est un condensé Amélien.
J'attends, cependant, qu'Amélie nous ponde un roman, un vrai et surtout, qui ferait plus de 180 pages.
Les indifférents n'y verront sans doute qu'une série de dialogues absurdes et vainement glauques, une "histoire" sans queue ni tête, sans même aucun intérêt.
Bref, c'est Amélie qu'on y cherche, si elle n'y est pas ou qu'on ne l'attend pas le livre perd son intérêt.
Oeuvre littéraire ou exercice de style
Critique de Bruno1953 (, Inscrit le 1 janvier 2012, 71 ans) - 1 janvier 2012
Je dois dire que, sans aucun doute, Amélie Nothomb est une surdouée de l'écriture.
Les dialogues sont vifs, riches, pétillants d'intelligence et provocateurs. Le tout dans un climat assez malsain (certainement dû à la volonté de provocation résolument affichée dès les premières pages)
J’éviterai de donner un jugement définitif sur les livres d’Amélie Nothomb vu qu’il s’agit du seul livre que j’ai lu d’elle, mais pour l’ouvrage en question, on dirait qu'il s'agit d'un exercice de style écrit avec une grande virtuosité mais assez vain et vide de sens. Exercice de plus rempli de dissertations soi-disant philosophiques, de mots très savants éparpillés par-ci par-là, de jugements littéraires sur des écrivains classiques (Hugo, Céline...).
En un mot, on dirait de l’esbroufe, certes très brillante mais néanmoins juste de l’esbroufe.
J’ai souvent eu la désagréable impression au cours de ma lecture que le mépris affiché par Prétextat Tach vis-à-vis de ses lecteurs était celui-là même qu’Amélie Nothomb exprimait par personne interposée (Rappel des lecteurs « scaphandriers qui traversent un livre sans en comprendre la moindre goutte », « les gens qui achètent des livres sans les lire » etc… ).
Surtout qu’il n’a échappé à personne que de nombreux traits de caractères prêtés à Prétextat Tach sont ceux de l’écrivaine.
Je dois quand même faire remarquer que devant ce premier roman écrit à 24 ans par l’intéressée, je reste tout à fait admiratif.
Je pense lire à l’avenir d’autres œuvres d’Amélie Nothomb mais si un lecteur pouvait avoir la gentillesse de me renseigner un livre de l’auteur d’une autre densité et d’une autre profondeur que celui-ci, j’en serais ravi.
Le seul et unique
Critique de Chrisland (, Inscrit le 27 septembre 2011, 64 ans) - 26 octobre 2011
C'est un exercice de style (dialogue de bout en bout), et c'est réussi. Bien que non exempt de faiblesses et de naïveté (soyons indulgent au regard de la jeunesse de l'auteur), ce court opuscule (déjà...) se lit avec plaisir.
C'est un jeu intellectuel pourvu d'un certain brio; il y a un peu trop de culture étalé gratuitement sur la tartine, mais c'est malin, intelligent, caustique et d'une méchanceté parfois réjouissante.
S'il n'y qu'un Nothomb à lire, c'est celui là.
Un Nothomb comme un autre
Critique de Fleur-de-lyss (, Inscrite le 12 juin 2011, 29 ans) - 5 octobre 2011
Ce roman est presque entièrement dialogué, mis bout à bout, les scènes narrées doivent avoisiner les quatre pages. Au cours de ses longues tirades, Amélie Nothomb s'amuse à nous montrer la richesse de son vocabulaire, sans doute pour nous convaincre qu'elle mérite le statut d'écrivain. Mais en réalité, ça devient vite ridicule. D'autant plus qu'elle a une certaine propension à utiliser les même mots; "strangulation" n'apparaît pas moins de six fois en deux pages!
Les personnages? Les quatre premiers journalistes sont simplement inutiles. D'ailleurs, on ne précise ni leur nom ni aucun trait de caractère. Nina, dont le nom est dévoilé une vingtaine de pages avant la fin, semble exister uniquement pour donner la réplique à Prétextat, sans davantage de cohérence que de prendre simplement le contre-pied de l'écrivain. Celui-ci est d'un caractère absurde et peu attachant; dans ces répliques, on voit qu'Amélie Nothomb s'en sent proches et ce sont ses propres opinions qui transparaissent. (Je n’invente pas, elle s'identifie au personnage, d'après plusieurs interviews)
Quand à sa jeunesse, on nous dit ce qu'il est advenu de Léopoldine à la page 129 et Nothomb a pourtant encore développé pendant 80 pages qui ne nous apprennent quasiment rien. La fin est risible. Moi en tout cas, cette histoire d'avatar m'a bien fait rire!
un des meilleurs Amélie Nothomb
Critique de Margaux-50 (, Inscrite le 12 août 2011, 29 ans) - 12 août 2011
Peu de saveur
Critique de MAGGUIL (, Inscrite le 22 février 2008, 44 ans) - 31 mai 2011
En général (pour ce que j'ai lu jusqu'à aujourd'hui en tout cas), les histoires d'Amélie Nothomb sont fantaisistes mais sont toujours comblées de phrases magiques. Elle possède l'art de l'écriture, l'art de raconter n'importe quoi mais d'une manière tellement prodigieuse que je ne regrette jamais mais là pour le coup je n'ai pas retrouvé ce style que j'apprécie tant.
Les dialogues cinglants se laissent apprécier mais lassent un peu.
Beaucoup de déception pour moi dans ce premier livre.
Déçu, Bof Bof, pas terrible quoi, Merde !
Critique de Keox (, Inscrit le 24 février 2010, 40 ans) - 18 avril 2011
Des dialogues se succèdent et construisent petit à petit le récit. On en apprend plus sur la personnalité et le passé sombre de Monsieur Pretextat Tach, imminent écrivain et prix Nobel de littérature. On apprend par exemple qu'il est obèse, grossier, mégalo, misogyne, machiste, homophobe, raciste, vieux, pervers, cancéreux et qu'il a aussi une idéologie particulièrement mystique etc... Il va rencontrer une journaliste féministe et déterminée maniant la rhétorique comme un katana japonais qui va littéralement lui faire perdre la boule... Autant le dire tout de suite : le vieux bougre en manque de sexe depuis plus d'un demi-siècle bande dur comme un bourricot pour cette femme qu'il considère ni plus ni moins comme une salope (retranscription verbatim du terme). On comprend vite que son désir ardent et brûlant va céder à la tentation. Le vieux pervers va ainsi dévoiler des éléments biographiques troublants sur son passé à la journaliste et va aussi lui cracher son venin à la figure comme une sorte d'énorme Anaconda, c'est-à-dire lui dire la vérité puisque de toute façon il va bientôt crever. Bref, on apprend ensuite que le vieux bougre serait impliqué dans une histoire de meurtre, un crime passionnel qu'il aurait transfiguré dans un de ses romans pas encore achevé et qu'il eut intitulé "Hygiène de l'assassin". La fin est rocambolesque. Pas terrible quoi...
Ce qui m'a fait chier : la langage sursophistiqué utilisé par l'auteur pour faire passer ses idées, le fait d'avoir l'impression de tourner en rond continuellement sans rien voir passer d'intéressant, l'intrigue trop plate sans véritable surprise et une fin pas très recherchée, pas terrible quoi...
Ce que j'ai aimé : le fait de n'avoir utilisé que des dialogues pour structurer le récit (c'est osé je l'avoue), certaines idées que l'auteur (A. Nothomb) tente de faire passer dans le dialogue de ses personnages. Par exemple, elle nous dit que pour devenir un bon écrivain, il faut avoir des grosses couilles, que Louis-Ferdinand Céline avait des grosses couilles bien solides lui, mais que Victor Hugo et Jean Paul Sartre n'en avaient pas eux parce qu'elles étaient toutes molles, que des femmes pouvaient aussi avoir des grosses couilles transplantées dans le monde de la littérature (oui, pour moi la reine du crime par exemple), et elle compare ainsi le travail de l'écriture à une sorte de grande masturbation intellectuelle dont la jouissance symbolique serait l'éjaculation de l'encre noire sur le papier blanc mais aussi le jaillissement de la semence substantielle de l'écrivain dans la face de ses putains de Lecteurs et Lectrices ! Et j'ai trouvé ce moment du récit marrant, le fait de se sentir comme violé par l'écriture d'un Autre qui lui jouirait de l'autre côté du miroir sur le papier blanc immaculé...
"Voilà je crois vraiment que c'est tout ce que j'avais à dire à propos de ça". Tom Hanks dans Forrest Gump, 1994.
Très déçue
Critique de RyMantys (, Inscrite le 15 septembre 2009, 45 ans) - 15 septembre 2009
Je me suis encore faite avoir par les opérations promo des éditeurs...
pourquoi pas!
Critique de Adrien34 (, Inscrit le 18 janvier 2009, 34 ans) - 22 août 2009
L'essentiel de ce roman se situe dans la joute verbale entre la journaliste nina et le très spécial écrivain Tach, malheureusement cet échange tourne rapidement en rond et on entre dans des délires cosmiques tout à fait inintéressants, j'en tiens pour preuve la fin de l'interview. Par chance, le roman est court et il nous reste dans les mains seulement 3 petites heures... pour au final aboutir à pas grand chose!
Du temps perdu
Critique de Lectgreg (toulouse, Inscrit le 27 mai 2009, 38 ans) - 27 mai 2009
je ne comprends d'autre part pas les critiques qui ne manquent pas de mentionner l'humour que recèlent les romans de Nothomb.
Mon sentiment après la lecture de hygiène de l'assassin est un sentiment rappelant le temps perdu que j'ai passé à lire les suivants; ce livre est son plus mauvais, si bien que si j'avais commencé par lire celui-ci en premier, jamais je n'aurai lu les autres.
Mais le succès de ce genre d'auteur n'étonne guère puisque nous sommes dans l'époque de la médiocrité où nul ne sait reconnaitre la littérature.
Dérangeant...et c'est tant mieux
Critique de Yesmine (, Inscrite le 1 mai 2008, 29 ans) - 3 janvier 2009
Amélie nothomb a un style insaisissable. Drôle, aussi bien dans le sens humouristique que bizarre. On est hypnotisée, on ne peut plus le lâcher. On est happé, on est happy.
Décevant...
Critique de Cruz (Punaauia, Inscrite le 16 novembre 2008, 33 ans) - 16 novembre 2008
Mais je pense que c'est ce qu'Amélie Nothomb a voulu nous faire partager et elle a réussi! Je n'aime pas. Mais, il faut du talent pour avoir ce style d'écriture!
Bravo Amélie!
Distrayant
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 11 septembre 2008
Le meilleur de la série
Critique de Tallulah (, Inscrite le 17 août 2008, 31 ans) - 22 août 2008
Ce duel entre un écrivain odieux, qui défend sa position avec conviction (le pire, c'est qu'il croit à ses horreurs !) et la journaliste lucide, acide et perspicace, qui n'a pas froid aux yeux, se savoure sans retenue et se relis avec plaisir.
La principale caractéristique d'un nothomb, c'est justement qu'il ne se décrit pas : lisez-le !!
Quatre étoiles et demi, parce que je réserve les 5 à quelques rares bouquins (l'excellence littéraire n'est pas à la portée de tout le monde, même quand on aime on est honnête)
Ah... Amélie!
Critique de Malinska (Liège, Inscrite le 6 décembre 2005, 34 ans) - 13 août 2008
J'ai lu de Nothomb: "Cosmétique de l'ennemi", "Antéchrista", "Attentat", "Peplum", "Mercure", "Biographie de la faim", "Métaphysique des tubes", "Les Catilinaires", "le sabotage amoureux", "les combustibles" et "Robert des noms propres"... Mais aucun ne vaut "Hygiène de l'assassin".
Ce livre est totalement dégueulasse, répugnant, donne des envies de vomir à certains moments... Mais est tellement bien écrit! Je l'ai lu très rapidement et c'est celui qui m'a donné envie de lire Amélie Nothomb. Cette histoire est très originale, très bien trouvée... Et la façon dont elle est écrite est aussi bien!
Sincèrement, c'est LE livre à lire (meme en aimant Amélie Nothomb)... Sauf bien sûr pour les très petites natures.
Quand j'ai lu ce livre, c'était des débats dans ma tête...
Début et dénouement décevants
Critique de Felicity11 (Bruxelles, Inscrite le 12 décembre 2007, 32 ans) - 19 janvier 2008
Celle-ci ne m'a pas déçue étant à la hauteur de la ruse et de l'intelligence de Tach. Leur entrevue est donc très agréable à lire et c'est clairement un duel basé sur la parole. La deuxième qualité de cette partie est le fait qu'on arrive, à travers les paroles, à imaginer parfaitement les personnages physiquements.
Mais le dénouement est décevant. Je trouve, comme d'autres, l'histoire de Lépoldine et Prétextat décevante bien que j'ai aimé la partie où il décrit son meurtre. Juste là, ca va, mais le fin mot de l'histoire ne m'a pas plu. Peut-on tué quelqu'un par exaspération ?...
Bref, à mes yeux, ce n'est pas le meilleur de Nothomb.
Le meilleur de tous??
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 25 septembre 2007
Et alors je me suis bien ennuyée... Au début avec les quatre journalistes éconduits, mais surtout avec l’histoire du roman inachevé. Je ne suis peut-être pas encore assez ouverte d’esprit pour ce type de récit étrange, mais il m’a semblé que la pseudo-tragédie entre le petit Prétextat et la petite Léopoldine qui refusent de vieillir était vraiment... n’importe quoi. L’histoire est sans surprise, et tout comme Prétaxtat Tach j’aurais bien aimé qu’à la fin il y ait un lien, une explication ou à tout le moins un détail qui m’aurait permis de comprendre quelque chose dans cette histoire insolite. Mais non, il n’y a absolument rien à comprendre, un peu comme si les belles phrases et le côté «romantique» de l’histoire devaient suffire à nous laisser pantois au terme de la lecture. Et quand j’ai lu la fin… Bref.
Quoi qu’il en soit, en lisant toutes ces critiques élogieuses, je ne peux m’empêcher de me demander si je ne serais pas passée complètement à côté… On dit bien que tous les goûts sont dans la nature !
Huis-clos intense
Critique de Matthias1992 (, Inscrit le 27 août 2007, 32 ans) - 8 septembre 2007
L'intrigue est relativement simple à comprendre: un grand écrivain, du nom de Prétextat Tach, lauréat du Prix Nobel de littérature, est sur le point de mourir. Viennent alors auprès de ce misanthrope obèse et dépourvu de morale plusieurs journalistes, désireux d'élucider les mystères qui tournent autour de la vie et de l'oeuvre de cet homme. Quatre d'entre eux sont pris à défaut et s'enfuient; l'un utilisant trop de clichés et de lieux communs, l'autre s'entêtant à connaître l'alimentation de M. Tach, et ainsi de suite. Mais le cinquième journaliste, une femme appelée Nina, aura raison de cet homme et de son secret, en usant de malice et d'intelligence.
Dans ce huis-clos profondément intense sont réunis tous les ingrédients qui feront le succès des futures oeuvres de Nothomb: un cynisme et une ironie inégalées, une autodérison astucieuse, un humour mordant, des dialogues d'une infinie richesse et des personnages principaux quasiment inoubliables.
On y trouve également des réflexions sur la vie, le bonheur et le métier d'écrivain, qui achèvent de faire d'"Hygiène de l'assassin un livre fortement recommandable.
On pourrait néanmoins regretter l'évolution de Tach par rapport à Nina pas assez subtilement introduite et la futilité de certains échanges.
Je déteste
Critique de Distraite (, Inscrite le 17 août 2007, 52 ans) - 21 août 2007
Je ne vois absolument pas ce qu'Amélie Nothomb a de génial, j'ai lu Hygiène d'un assassin et me suis forcée à arriver jusqu'au bout, tant ça me semblait sans intéret, dérisoire, absurde et ridicule. On dit que cette dame sait écrire? Oui, elle sème 36 mots nouveaux à chaque phrase...Pour qu'on se dise qu'elle a du vocabulaire? Pourquoi s'exprime-t-elle de manière aussi tordue?
Pourquoi ne pas écrire les choses simplement, mais en beauté, avec talent? Je pense à certains auteurs comme Henry Troyat qui n'a pas besoin d'en mettre plein la vue, lui...Lui, il sait décrire un personnage, un paysage, tenir le lecteur en haleine, donner envie de lire le bouquin...C'est un véritable écrivain, quoi!
De plus, que retient-on de mademoiselle Nothomb? Un grand chapeau noir, des lèvres trop rouges, une peau trop laiteuse et ses interview percutantes : "J'aime les fruits et légumes pourris". Ce que je veux dire, c'est qu'un véritable auteur ne se cache pas derrière son look pour se faire remarquer, être reconnaissable, un vrai auteur n'a pas besoin de ça...Son travail parle pour lui, ce sont ses livres qui font qu'on se souvient de lui...
Enfin, c'est mon opinion et je l'assume comme j'assumerai les critiques éventuelles...
Premier roman magistral
Critique de Bert4566 (, Inscrit le 18 juillet 2007, 37 ans) - 18 juillet 2007
A conseiller à tous....
Grotesque
Critique de Soili (, Inscrit le 28 mars 2005, 51 ans) - 21 janvier 2007
Sans préjuger des autres livres , j'avais par ailleurs bien apprécié peplum, j'ai trouvé l'histoire de l'histoire de ces interviews d'un écrivain sur le point de mourir sordide , non crédible et la fin grotesque.
Le fait est que je n'aime pas lire des histoires avec des personnages sordides de ce genre. Dans une histoire qui est sans surprises hormis peut être la fin dont j'ai dis précedemment ce que je pensais, je n'ai pas éprouvé de plaisir. Il faut aussi avouer que passer d'un grand classique à ce genre de bouquins , c'était peut être un trop grand écart.
Ceci étant , je relirais du Nothomb mais ce livre en particulier ne restera pas inoubliable
Joutes verbales
Critique de Ketchupy (Bourges, Inscrit le 29 avril 2006, 44 ans) - 29 décembre 2006
Le secret que dévoile alors Prétextat ne m’a, par contre, pas véritablement accroché. C’est pourquoi je suis plutôt mi figue mi raisin sur ce roman qui est, pour moi, moins passionnant que « Mercure » et « Stupeur et tremblements ».
Beau premier roman
Critique de Oxymore (Nantes, Inscrit le 25 mars 2005, 52 ans) - 30 octobre 2006
Amélie Nothomb a signé avec Hygiène de l'assassin un très bon premier roman qui ne sait pas démentit depuis.
Coup de Génie....
Critique de Guicard (, Inscrit le 26 avril 2006, 39 ans) - 3 septembre 2006
Maintenant que Mme Amélie publie un livre chaque année, on pourrait dire qu'elle s'essoufle, et elle n'en sort un vraiment bon que tous les 3/4 ans, les autres parraissant plus issu du contrat à honorer que d'une véritable volonté d'écriture, et Hygiène de l'assassin a, on le sent, été plus muri, plus travaillé que les autres...
Mais ce livre est toujours là pour nous rappeler que si Mme Nothomb est attendue à chaque rentrée, il y a bien une raison : c'est un génie démoniaque...
mon premier Nothomb
Critique de Franckyz (, Inscrit le 9 janvier 2006, 46 ans) - 1 septembre 2006
Je dois dire que je n'ai pas été déçu, le style dialogué rend la lecture très facile et attractive, le huis-clos entre les deux personnages est très intéressant.
La fin m'a par contre un peu déplu..
Une quasi-pièce à l'absurde chiné
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 46 ans) - 18 juillet 2006
Malheureusement, la suite m'a moins convaincu, moins convenu. L'absurde agressif, insolant et égocentrique vire, dans le troisième quart à l'absurde sadique et névrotique, qui met profondément mal à l'aise.
De plus, le titre fait présumer la trame de l'intrigue qu'on lit à coeur ouvert dans ce gros tas ventripotent. C'est quand même drôle comme cet auteur aime les obèses sadiques. J'ai lu hier Stupeur et tremblements, qu'elle a écrit après, et le patron au-dessus de sa chef correspond à ce calibre.
Après tout, que cette quasi-pièce comique se transforme en polar dont on connaît l'identité de l'assassin, ça nous rappelle un vieil épisode de notre chère série Colombo, à la différence près que, ici, les inspecteurs se succèdent pour arriver à le démasquer, la question étant "Comment ?", pour le mobile et le processus d'identification de l'enquêteur.
Le problème vient du fait qu'il se dégage quand même de malsain des névroses de taille, presque aussi lourdes que le protagonistes, qui sont assez malsaines, même à ce degré de fiction et d'absurde. Ca vire presque au n'importe-quoi.
Le dernier quart est mieux, bien que moins bien que la première moitié, truculente à souhait. Démasqué, le criminel se livre et devient sentimental à l'évocation de son passé douloureux, dont il n'a, au passage, aucune raison de s'inquiéter, pour deux raisons, la prescription pénale, le crime ayant été opéré il y a plusieurs décennies, donc d'une durée égale à plusieurs fois celui de l'extinction de toute poursuite possible, et du fait qu'on lui a découvert une maladie qui le condamne à très court terme.
Ce monstre devient presque touchant dans sa folie, et l'absurde connaît alors une teinte douce-amère, l'amer l'emportant néanmoins sur le doux.
Et on a droit, après des révélations attendues, à une issue surprenante, un rebondissement intrigant, d'autant plus qu'il semble en contradiction avec la personnalité de son auteur, et qu'il est presque gratuit, à cause d'une raison indiquée plus haut (lire le livre pour mieux comprendre). J'espère que les précautions d'usage ont été prises après, puisqu'un instrument était en marche pendant l'entretien (même remarque que dans la précédente incise entre parenthèses).
Je n'ai pas vu le film dont on m'a parlé avec Jean Yanne, qui dit être très bon dans le rôle dans ce film. Comme cette oeuvre, en raison de la grande proportion de dialogues, pourrait fort bien être interprétée au théâtre, Laurent Ruquier pourrait y coller sa bande, avec notamment Pierre Bénichou dans le rôle principal, et Isabelle Alonso, évidemment, dans celui de la journaliste de la seconde moitié. Les deux premiers journalistes sont des personnages assez effacés et peuvent être interprétés un peu par n'importe qui.
J'ai globalement passé un bon moment, sourtout dans la première partie.
Original pour un premier roman
Critique de Panty (Gaume, Inscrit le 17 avril 2005, 32 ans) - 19 avril 2006
Seulement voilà, Amélie-san nous ressort sans cesse les même ingrédients, et comme ce n'est pas mon premier livre de la concernée, je peux dire que l'histoire m'a paru nettement moins originale et je m'attendais beaucoup à ce dénouement.
Mais bon, comme c'est son premier livre, j'ai décidé de me mettre dans la peau d'un profane, et alors, dans ce cas, ce livre est excellent :)
Allez, Amélie-san... J'te cède un 4 étoiles!
Un "fast read" talentueux et un peu bancal, très branchouille
Critique de Philduch (Aix en Provence, Inscrit le 17 février 2006, 57 ans) - 25 février 2006
Genèse de l’écrivain
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 21 décembre 2005
En bref, j’ai adoré chaque réplique de cette joute intellectuelle. C’est un exercice littéraire, pas un récit, de part l’utilisation presque strictement de dialogues. Mais quelle réussite dans sa forme - tranchant – vif – drôle.
Sympathique!
Critique de Poupi (Montpellier, Inscrit le 11 août 2005, 34 ans) - 19 novembre 2005
Un grand bonheur de savourer toutes "joutes verbales" (le titre de la critique-mère est bien trouvé!) et de voir comment est ficelée la pensée de Pretextat Tach, cet écrivain ignoble et adulé...
Et une fin très..."space"!!
A lire, pour la curiosité, au moins ;-)
Interessant
Critique de Pierre666 (Strasbourg, Inscrit le 13 octobre 2005, 43 ans) - 6 novembre 2005
Le meilleur de tous
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 31 octobre 2005
Cinglant
Critique de Shayne (Sambreville, Inscrit le 2 octobre 2005, 41 ans) - 2 octobre 2005
Dommage que la fin soit un peu tirée par les cheveux, mais depuis ce roman Amélie Nothomb n'a pas fait mieux.
de beaux dialogues
Critique de Ungrimette (, Inscrite le 4 septembre 2005, 47 ans) - 7 septembre 2005
mes représentations se sont confirmées: Amelie Nothomb sait écrire et remarquablement pour des dialogues et des répliques sanglantes... mais pour le reste? l'histoire m'a semblé bien creuse, sans surprise, sans rebondissement et profondément ennuyeuse.
Amelie ne m'a donc pas convaincue...
j'aime Amélie Nothomb et je l'assume
Critique de Mieke Maaike (Bruxelles, Inscrite le 26 juillet 2005, 51 ans) - 16 août 2005
Je sais, il est de bon ton de snobber les livres que le commun des mortels dévore avec plaisir.
Je sais, comparé à Zola, Flaubert ou Hugo, Amélie Nothomb n'est pas grand chose et il est de bon ton de se gargariser en affirmant préférer la Grande Littérature.
N'empêche, moi, j'aime l'écriture d'Amélie Nothomb et je l'assume. Oui, j'éprouve un plaisir limite orgasmique à lire ses textes incisifs, ses dialogues aux réparties inimitables, ponctués de néologismes et de mots sortis d'un dictionnaire poussièreux. Oui, j'adore me plonger dans ses livres que je lis d'une traite le sourire aux lèvres et les yeux rivés sur des phrases dont je ne veux manquer aucun mot. Oui, j'aime la jouissance facile et immédiate que me procurent chacun de ses livres, et en particulier l'"Hygiène de l'assassin" que je considère comme un de ses meilleurs.
audacieux
Critique de Elmejeco (, Inscrit le 5 juillet 2005, 36 ans) - 7 juillet 2005
Aussi ce livre se lit d'un trait, la dérision et les traits d'esprit m'ont beaucoup amusé. Mais on se lasse un peu du personnage, et l'histoire n'est pas des plus intéressantes.
Enfin bon, l'originalité est quand même là et ce livre est vraiment à lire.
génial !
Critique de Ice-like-eyes (nantes, Inscrite le 26 mars 2005, 40 ans) - 3 juin 2005
Vous êtes durs...
Critique de Thomasdesmond (, Inscrit le 26 juillet 2004, 43 ans) - 23 mai 2005
Ce n'est pas parce que le marketting de la maison d'édition a bastonné dans les relays gare qu'on peut affirmer que c'est de la littérature... de gare...
J'ai pris un grand plaisir à lire ce livre, mon premier Amélie Nothomb, et j'en garde un très bon souvenir, beaucoup de dialogues, on ne s'ennuie pas...
Peut-être pas assez "littéraire" pour quelques "grands" lecteurs et autres âmes "hautes", mais une lecture agréable et rapide (rapide ne veut pas forcément dire sans contenu, ou prêt à consommer...)
Plouf!
Critique de Rcapdeco (Paris, Inscrit le 19 mai 2005, 46 ans) - 23 mai 2005
bof-bof
Critique de Kasahara (, Inscrite le 27 janvier 2005, 36 ans) - 27 janvier 2005
pas vraiment consistant,
s'oublie aussi vite qu'il est lu,
...bref, à consommer dans le train, ou dans la salle d'attente d'un généraliste...(toujours mieux que le "femme actuel" d'il y a 3 mois...)
Meilleur que Peplum
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 6 janvier 2005
Histoire très audacieuse, très intéressante malgré la pauvreté de lieux et de personnages. On lit d’un bout à l’autre sans vouloir en perdre une miette.
Mais je reste tout de même réservée sur la fin…
Féministe??? Euh... En tout cas, c'est le troisième que je préfère!!!
Critique de Elseline (, Inscrite le 10 septembre 2004, 37 ans) - 18 octobre 2004
En tout cas, je le kiffàdonf, celui-là. Il me tue! Je suis éblouie par l'audacité des répliques, les paroles vraiment crues "c'est un régal que ces croupions de poulet dont le gras jaune a acquis une consistance spongieuse...", la pureté extrême de Prétextat pour Léopoldine, et surtout la description du véritable écrivain qui m'a mis le feu aux poudres pour commencer les romans!!!
Bref, un chef-d'oeuvre. Il est absolument sans aucun défaut!
Du Nothomb pur
Critique de Le petit K.V.Q. (Paris, Inscrit le 8 juillet 2004, 31 ans) - 22 août 2004
Quatre imbéciles, un vieux grognon et une jeune ingénue
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 27 juin 2004
finalement, Cosmétique de l'ennemi c'était pas si mal! A voir vos critiques je me sens un peu mal, mais je n'ai pas aimé du tout. J'ai trouvé le squelette de l'histoire très ordinaire, voire mauvais. Je m'explique.... quatre totos se font remettre a leur place par un vieux grognon à la suite d'entrevues insipides et sans fond (les colères de Tach sont amusantes par contre). Et POUF! Nina apparaît et amène ce vieux "monstre" à s'excuser en dedans de deux pages??? J'achète juste pas. Si un homme avait écrit ce livre (4 imbéciles Vs UN jeune ingénu de carrière) on aurait crié au mysoginisme. Ca sent le féminisme mal placé à plein nez. J'aime juste pas...
Un style incisif
Critique de Fane (Nancy, Inscrite le 28 mai 2003, 46 ans) - 6 juin 2003
Un roman n'est-il pas "simplement" agréable à lire?
Critique de Zenith_ (Bruxelles, Inscrite le 28 janvier 2001, 43 ans) - 15 mars 2003
Pourquoi donc perdre son temps à écrire une critique éclair, pour ne dire en substance que du négatif? Ne peut-on pas lire un livre pour le simple et pur plaisir de lire, pour le pur et simple plaisir de partager cela avec l'auteur? Fut-ce un roman idiot ou la plus belle des oeuvres, le roman ne mérite-t-il pas tout simplement d'être lu avec plaisir? En ce qui concerne ce roman, je l'ai trouvé passionnant. Au point de ne pouvoir m'en détacher, et de le lire d'une traite. Et bien que ce si long dialogue soit effectivement dénué d'introduction (ce qui en soi, n'est vraiment pas un mal), et parfois, n'abordant certaines questions qu'en surface, il vaut grandement la peine d'être lu, apprécié, savouré. Comme tous les autres d'ailleurs.
un bel emballage
Critique de Bugman (Braine le Comte, Inscrit le 16 novembre 2002, 45 ans) - 16 novembre 2002
poudre aux yeux , à force de soigner l'emballage
l'auteur en a oublié de raconter une histoire J'ai vraiment l'impression que toute sa démarche littéraire n'a pour but que de briller dans les soirées mondaines.
brillant mais ...
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 20 décembre 2001
Il me semble que souvent les dialogues, si brillament écrits soient ils, ne débouchent pas sur grand chose de constructif. Un peu comme si l'auteur se satisfaisait de l'effet produit par ses tournures de phrases brillantes, ses réponses du "tac au tac", finallement la primauté de la forme sur le fond.
certes, on pourra toujours répliquer que certaines questions importantes sont abordées par le roman, néanmoins il me semble qu'elles sont assez peu nombreuses comparés aux 200 pages de dialogues que l'auteur nous propose.
un premier roman contient t'il les suivants?
Critique de Virgile (Spy, Inscrit le 12 février 2001, 45 ans) - 16 juillet 2001
Le meilleur...
Critique de Mgr (Braine, Inscrit(e) le 5 juin 2001, 51 ans) - 5 juin 2001
Encore un nouvel adepte d'Amélie
Critique de Chat pitre (Linkebeek, Inscrite le 23 février 2001, 53 ans) - 3 juin 2001
Un autre style
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 3 juin 2001
Forums: Hygiène de l'assassin
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Prétextat Tach | 38 | Fleur-de-lyss | 20 octobre 2011 @ 19:00 | |
Meilleur livre d'Amélie? | 4 | Malinska | 7 juin 2006 @ 22:31 |