Voici encore un livre de Mr Kennedy qui m’a vraiment donné du plaisir à lire. La littérature a des aspects très divers et chaque type de livre a certainement un intérêt pour les uns ou pour les autres mais pour moi la prose de cet auteur américain est un petit délice de lecture -disons qu’elle a un certain charme discret !
Dans ce roman, il est bien entendu question de vie conjugale : celle d’un couple issu de la bourgeoisie américaine. A travers les yeux de Hannah, l’héroïne, nous voyons avec délectation les découvertes, les joies, les déconvenues puis les affrontements et bien entendu les tromperies des protagonistes. La première partie du roman est pleine d’humour. La superbe écriture de DK joue à merveille. Nous voyons Hannah sortir de la zone d’influence de ses parents, pleine d’illusion et de naïveté. Elle semble heureuse, un enfant nait de cette union mais les choses vont rapidement évoluer … dans l’état du Maine où elle suit son mari médecin. D’autres personnages gravitent autour d’elle : son père, sa mère, sa sœur, son amie de New-York, un « joli cœur » que lui envoie son père … Je n’en dis pas plus : on aime ! La 2e partie est plus grave, l’heure de la désillusion sonne pour notre héroïne, elle rentre dan le rang, elle devient la mère de ses enfants en plus d’être la femme de son mari. Des choses graves apparaissent puis éclatent comme des bâtons de dynamite … Douglas Kennedy nous amène à cet éclatement avec raffinement, humour et élégance puis nous tient par la main pour rebondir avec de nouvelles trouvailles scénaristiques et de nouveaux rebondissements. Un auteur qui ne m‘a jamais déçu !

La vie d'Hannah.
Comme quoi une petite erreur de jeunesse poursuivra Hannah toute sa vie.
Excellent roman (encore une fois) de Kennedy.
Je recommande cette petite saga bien sympa.

Dans l'ombre de son père, professeur engagé, Hannah recherche une vie sécurisante. Elle renonce aux charmes d'une année d'études à Paris pour épouser un jeune interne, qui l'entraîne dans une toute petite ville du Maine.
Prisonnière des convenances, et de son nouveau rôle de mère, peu d'occasions lui sont offertes de s'évader.
Trente ans plus tard, rôdée à son statut d'épouse de médecin et mère de deux enfants, le souvenir de ces premières années menace de faire basculer cette stabilité chèrement acquise, et pourtant si fragile.
On suit avec beaucoup d'intérêt cette femme qui paraît dans un premier temps s'enterrer vivante au fin fond du Maine, avant de révéler sa combativité lorsqu'il s'agit de protéger son foyer.
Les personnages sont justes, et leurs sentiments brossés avec soin. L'atmosphère lourde et pesante de la première partie prépare l'accélération de la seconde. Quand tout s'effondre, que reste-t-il ?

Ce n'est pas le premier Douglas Kennedy que je lis . J'ai lu quitter le monde , la femme du Ve et une relation dangereuse .

Mais je trouve que celui-ci est plus recherché et abouti . Bien sûr c'est toujours le même thème des individus qui se sentent piégés dans leur existence ( je n'ai pu m'empêcher de remarquer une similitude entre Hannah et l'héroïne de Quitter le monde ) .

Au delà de l'histoire qui est bien écrite et qui tient en haleine , je trouve que c'est une sociologie de la société américaine ( le problème du Vietnam ) et des relations ( la relation mère fille , poussée à son paroxysme lorsqu'elle lui dit " je savais que tu allais me demander pardon , après sa tentative de suicide ) , la relation père fille avec une brouille où c'est la mère qui essaie d'arranger les choses, la relation conjugale ( c'est ton premier mensonge ca ne sera pas le dernier ); la relation avec Maggie et les relations d'Hannah et de ses propres enfants , avoir des enfants qu'on ne reconnait plus. Quant à la fin je la trouve pleine d'espoir ; elle a enfin le courage de vivre son rêve .

A lire , on passe un agréable moment

Personnellement, ayant lu plusieurs livres de Kennedy, je trouve tout ça un peu répétitif. Les histoires sont toujours intéressantes et originales, mais la construction du roman est toujours la même. Je m'explique : Ça commence avec une très longue mise en place, puis une explosion où tout est bouleversé, et enfin une fin où le personnage principal a, à chaque fois tiré leçon de tout ça et se retrouve souvent seul, mais heureux.
A cause de tout ça je ne lis plus de livres de Kennedy, car je sais déjà à quoi m'attendre.

J'ai préféré A LA POURSUITE DU BONHEUR mais là encore tous les ingrédients d'un bon Kennedy sont réunis. Quelle écriture envoutante, servie par le traducteur Bernard Cohen, qui à mon avis n'est pas étranger au succès des livres de Kennedy en France.
J'ai dévoré les 600 pages de la version poche, avec, après chaque pause le plaisir renouvelé de plonger à nouveau dans cette histoire.
Avec Kennedy les personnages sont assez modestes et pris dans le vivier des gens presque ordinaires, nous suivons leur vie routinière avec leur problèmes quotidiens, familiaux. Pourtant c'est presque pour moi des amis que je rencontre avec plaisir, les regardant vivre et comparant mes propres expériences aux leurs. De bonnes réflexions et de pensées plus subtiles qu'on ne le pense sont développées par l'auteur, et à chaque fois je m'arrête quelques instant pour y réfléchir.
Dans LES CHARMES DISCRETS DE LA VIE CONJUGALE l'Amérique sous W Bush y est décrite sans concession, de même que la période rétrograde attenante.
Pour mon compte je vais continuer de lire kennedy, car jusqu'à présent...
Lisez le...

livre sans prétention,une histoire banale d'une femme trompant son mari. Elle devra en subir les conséquences. agréable à lire malgré tout. L'Amérique des années soixante, en fond les contestations estudiantines. Personnellement j'ai aimé retrouvé le livre lorsque je l'avais abandonné.

C’est le premier livre de Douglas Kennedy que j’ai lu et je l’ai vraiment trouvé captivant. Je n’ai pas eu la moindre difficulté à entrer dans l’histoire dès les premières pages. Et je pense que c’est entre autres à cela que l’on reconnaît un grand auteur. Pendant la lecture je ne me suis pas du tout ennuyée, bien au contraire, l’histoire m’a tenue en haleine du début à la fin. Il faut dire aussi que le personnage principal, Hannah, est très attachant. C’est un des bouquins dont j’ai eu bien du mal à me détacher même une fois celui-ci terminé.
Ce livre m’a vraiment donné envie de lire toutes les œuvres de Douglas Kennedy.

Douglas Kennedy écrit sur la vie, le genre humain et ses mille facettes. C'est au départ un livre d'ambiance qui nous permet de cerner le caractère de chacun des personnages, leurs désirs, leurs faiblesses, leurs regrets, leurs compromis avec la vie. Puis il y a un énorme saut dans le temps et les événements qui font "boule de neige". Comme d'habitude le personnage principal se retrouve seul pour affronter la mesquinerie, la bêtise et la douleur et comme d'habitude j'ai adoré le livre même si ce n'est pas mon préféré mais ce que j'aime avant tout c'est de voir des personnages "vrais" qui, à un moment donné, décident de changer leur destin, de se prendre en main et de croire en eux. Quelque part, on n'est pas très loin du conte mais dans la mesure où l'auteur ne s'adresse pas aux enfants on n'est pas non plus dans la "happy end"

C'est la deuxième tentative que je fais !!
Lire et apprécier un roman de Douglas Kennedy....

La première fois, j'ai réussi à finir mais BOF ! BOF !
Cette fois, j'ai assez rapidement abandonné ce roman !
Je ne sais pas pourquoi mais je n'arrive pas à entrer dans cette histoire...

J'aime pourtant lire mais cet auteur ne semble pas fait pour moi !

En refermant ce livre, je me suis dit que l’histoire était tout de même plutôt banale, ou un peu comparable à ces «faits vécus» qu’on nous passe tard le soir à la télé… Et pourtant, j’ai dévoré ces 600 pages en quelques jours à peine, reprenant mon livre dès que j’avais un moment de libre et captivée chaque fois par ses développements inattendus.

Mais en dehors de l’histoire en tant que telle, il y a aussi tous ces personnages qui ont apparemment tout mais qui ne sont tout à fait heureux, toutes ces réflexions sur la vie de couple lorsque la routine est installée, sur la facilité de rester ensemble malgré le manque plaisir et de complicité, mais aussi sur le bonheur que procure un foyer stable et uni. Bref, l’histoire porte très bien son titre et c’est un aspect du roman que j’ai aussi beaucoup aimé. C’est exactement mon genre de lecture et je suis déjà plongée dans un autre livre de Douglas Kennedy!

Hannah Buchan, mariée très jeune avec un étudiant en médecine, s’installe dans une petite ville du Maine où elle pense mener la vie de famille simple et sans histoire de la ménagère de classe moyenne. Elle vient d’avoir un premier enfant et donne des cours dans un lycée quand ressurgit dans sa vie un ancien étudiant qu’elle a vaguement connu autrefois et qui s’est surtout signalé à la faculté par ses engagements révolutionnaires. Elle cède à ses avances et facilite sa fuite à l’étranger alors qu’il est lui-même complice d’un attentat criminel. L’épisode terminé, elle refoule le tout, ne raconte rien à personne et reprend son traintrain quotidien jusqu’à ce que son passé ressurgisse trente années plus tard.
Un livre qui pose le problème de la fidélité aussi bien conjugale que sociale voire idéologique. Fille de parents de gauche, Hannah est plutôt conservatrice et son fils sera même carrément réactionnaire. Sur une intrigue somme toute banale, Kennedy délaye sur 526 pages cette histoire plus intéressante par la description de l’acharnement médiatique que par celle de toute la palette de sentiments qui agite l’héroïne. Un livre décevant au bout du compte. Depuis le génial « Cul de Sac », retraduit et rebaptisé « Piège nuptial », jamais l’auteur n’est parvenu à retrouver ce niveau d’inspiration, d’humour et de qualité narrative…

J'ai eu du mal, comme pour la plupart des livres de Douglas Kennedy, les 40-50 premières pages. Mais une fois dans l'histoire, impossible de refermer le bouquin.
L'auteur écrit à la première personne et se plonge ainsi dans la peau d'une femme.
J'ai adoré.

Un des cinq meilleurs de Douglas Kennedy. C'est bien lui, c'est prenant, attachant et rempli de beaux sentiments, très américain (l'ambiance est bien retranscrite) et le suspense est bien retranscrit. J'ai quand même préféré "la poursuite du bonheur" et "une relation dangereuse", ses deux meilleurs romans à mon humble avis.

Je partage l'opinion de mes "collègues", dommage que la critique de "Mary.nana" soit aussi développée, on n'a plus rien à découvrir, il faudrait demander à Critiques Libres de la modifier un peu, ça gâche tout !

Douglas Kennedy sait merveilleusement bien nous transporter dans la vie d'Hannah, à laquelle on s'identifie très facilement, et on vit avec elle tous les bonheurs et malheurs que comporte la vie conjugale.
Malgré une intrigue un peu longue à démarrer pour ceux qui aiment l'action, la mise en situation et la description de la vie Américaine dans les années 70 est très prenante. Et on ne peut pas lâcher le livre avant de l'avoir terminé.
Certaines situations me semblent un peu trop caricaturées mais l'intrigue est originale et le livre, très bien écrit.
C'était pour ma part le premier livre de Douglas Kennedy que je lisais, mais certainement pas le dernier.

La première partie du livre est très lente. Cela permet certes à l'auteur de développer à fond les personnalités des différents protagonistes mais quand même, le vif du sujet ce fait un peu désirer. La seconde partie, 20 ans plus tard, est beaucoup plus enlevée. Là, le suspens vous prend réellement.

En plus de l'intrigue policière, ce bouquin est une excellente étude des moeurs de la bonne société américaine.

Bref, une lecture très intéressante malgré quelques longueurs

J'ai adoré ce livre qui est très différent du premier Douglas Kennedy que j'avais lu ("Cul de sac") .
J'ai apprécié l'histoire bien sur de cette femme dont on découvre toute la vie et le destin tragique plein de rebondissements , mais j'ai aussi beaucoup aimé sa façon d'écrire qui nous projette en plein dans le décor et nous permet de comprendre les sentiments et les réactions des différents personnages.
La deuxième partie en particulier est à couper le souffle , et quand on commence à lire on ne peut plus s'arrêter!

Mon favori juste derrière La poursuite du bonheur. Et honnêtement, je ne m'attendais pas à être aussi agréablement surprise. Je me suis attachée à Hannah, j'ai aimée suivre sa vie. Tous les romans de Douglas Kennedy se lisent d'une traite et celui-ci ne fait pas exception.

Je n'avais jamais lu de livre de Douglas Kennedy, mais j'avais beaucoup entendu parlé de celui-ci, je me suis donc lancé dans sa lecture. J'ai eu beaucoup de mal à le finir, j'ai trouvé qu'il était long, pénible et trop ennuyeux. Je pensais trouver dans ce livre une sorte de saga de famille à l'américaine, et finalement je me suis retrouvé avec les mémoires d'une femme en mal d'amour. Je n'ai pas trouvé ce livre extraordinaire et je ne sais pas si je lirais d'autres oeuvres de cet auteur.

Ce dernier roman de Douglas Kennedy est un bon cru, malgré quelques longueurs, offrant deux parties distinctes qui sont dans l’idée et dans le rythme proches à la fois d’A la poursuite du bonheur et de l’homme qui voulait vivre sa vie (précédents titres de l'auteur).
1ère partie donc : C’est le récit de la vie d’Hannah Buchan, étudiante qui choisit de se marier jeune et d’épouser très vite une vie de famille sage et rangée, au fin fond du Maine. C’est une déception pour ses parents, en particulier sa mère, mégère et tête de mule assez insupportable. L’auteur se met dans la peau d’une femme, et ma foi c’est plutôt réussi, pour nous narrer le mariage et la vie d’épouse d’Hannah, de 1966 à 1974. La jeune femme ne tarde pas à s’ennuyer malgré son bébé, et un soir de solitude, s’offre une passade avec une connaissance hébergée sur la recommandation de son père. C’est un piège qui lui coûtera cher : l’homme la contraint à l’aider à s’enfuir au Canada, pour échapper au FBI.
Hannah s’empresse d’oublier tout cela et de retrouver calme et sérénité dans sa petite vie bien rangée de provinciale et son emploi de bibliothécaire, en attendant mieux.
2ème partie : Là, grand hiatus, bond en avant de 30 ans, l’auteur nous propulse en 2003, Hannah a maintenant la cinquantaine passée. Active, elle est redevenue enseignante, toujours mariée à Dan, et entourée d’amies fidèles. Les 30 ans passés sous silence se dévoilent peu à peu, mais ce qui va occuper cette seconde partie, c’est l’enquête policière : sa fille Lizzie, abandonnée par son amant marié, a disparu. Suicide ? Meurtre ? Il faut la retrouver. Sans compter que c’est le moment choisi par l’amant fuyard de passage 30 ans auparavant pour refaire surface sous forme d’un livre pas tout à fait honnête. L’héroïne va en vivre, des heures de stress et de combat, mais c’est une battante !
Il y a des propos intéressants dans ce roman, comme la toute-puissance des médias pour laver son linge sale en public, une critique ouverte de l’Amérique de Georges W. Bush, des oppositions certes un peu trop caricaturales entre progressistes et néo-conservateurs, et des éléments plus énervants, romanesques, un peu trop parfois. Mais il ne faut pas bouder son plaisir non plus, une bonne saga ne fait pas de mal de temps en temps, j’espère simplement que Douglas Kennedy ne basculera pas trop vite dans le Marc Lévy.
J’ai particulièrement aimé la première partie, trouvant la seconde alourdie par un scénario que je trouve inutile : tout le personnage de Lizzie et l’affaire qui tourne autour aurait pu être élaguée, voire disparaître tout simplement. Le roman ne reprend réellement son souffle que dans l’affaire juridique qui oppose Hannah à son ex amant. L’histoire de sa fille disparue me semble un « pathos » un peu trop gros, d’autant que lorsque l’affaire bascule dans la chasse aux sorcières (la lutte contre ce vilain amant resurgi du passé), la recherche de la fille est complètement occultée. Du coup ça ne sonne plus très vraisemblable.
Quelques défauts donc, mais un bon pavé quand même, pour la plage … ou pas !

Le style Kennedy pourrait être lassant puisque tous ses livres dérivent du même procédé narratif relativement simple, mais terriblement efficace. Personnellement, j'y succombe à tous les coups.

L'auteur aime s'emparer d'un personnage assez banal dans une situation quotidienne dépourvue de toute tension dramatique dont il fait un portrait narratif plutôt linéaire mais qui accroche tout de même. Mais tout à coup, au milieu du livre, tout se déglingue soudain, rien ne va plus… un autre livre commence, généralement un suspense implacable.

C'est encore le cas cette fois ci.

Hannah, la narratrice, est la fille d’un couple un peu marginal. Son père est un universitaire connu pour ses opinions gauchistes, notamment contre la guerre au Vietnam. Sa mère est peintre et ce n’est pas quelqu’un de très maternel. Probablement en réaction contre eux, elle est très sage, épouse son premier petit ami, Dan, un jeune médecin, et se retrouve à 23 ans mère d’un enfant et coincée dans une petite ville du Maine. Et c’est là que, par ennui, elle se trouve mêlée à un évènement dont il ne faut rien dire…
Ce roman est un vrai « page-turner », comme disent les Anglo-Saxons. Quand on a commencé, on tourne fébrilement les pages.
Mais au-delà d’une intrigue originale, Douglas Kennedy, comme il le fait souvent, nous décrit une bourgeoisie américaine épouvantablement hypocrite, puritaine pour la façade, dure lorsqu’une brebis se trouve égarée. Il nous montre également la curée des média, lorsqu’ils peuvent vendre du papier (ceci arrive chez nous également !).
Si le personnage d’Hannah ne m’a pas enthousiasmée (Kennedy en a volontairement fait une femme plutôt soumise), j’ai beaucoup aimé les personnages de son père et de sa meilleure amie, Margy, totalement non-conformiste, toujours prête à l’écouter dans les mauvais moments. Et Dieu sait qu’Hannah va en vivre dans la deuxième partie du roman.
Un bon Douglas Kennedy, malgré quelques longueurs.
Recommandation : évitez de lire la critique de Mary.nana qui dévoile toute l’intrigue !
Titre original : « State of the Union ».

Une critique n'est pas un résumé de livre. Si je suis ravie, Mary.nana, que tu ais aimé ce roman, je ne le suis pas pour ceux qui souhaitent le découvrir, tu as tout dit, tu en as surtout TROP dit...

Pour en revenir au livre, bien sûr, certains diront que c'est toujours un peu la même histoire, les mêmes effets de style, ben oui, mais il se trouve qu'on adore ça non !!
la 1ère partie de ce roman nous renvoi à une Amérique profonde extrêmement bien décrite par l'auteur (les clichés ironiques made in D. Kennedy sont toujours aussi savoureux). Son côté féminin, une fois de plus, étonne tant il arrive à se mettre dans la peau de Hannah. La 2ème partie est une plongée en enfer, on souffre pour la protagoniste et on se demande où Douglas K. va encore chercher tout ça !! bref, un roman à lire sans modération.

Et une fois de plus, par pitié, pour tous les "fans" de Monsieur Kennedy, lisez son 1er roman "Cul de Sac", le meilleur et le plus incroyable de tous !!