Le saviez-vous ? : Le petit Cavanna illustré de François Cavanna

Le saviez-vous ? : Le petit Cavanna illustré de François Cavanna

Catégorie(s) : Littérature => Francophone

Critiqué par Catinus, le 28 octobre 2005 (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans)
La note : 9 étoiles
Moyenne des notes : 9 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 6 étoiles (13 269ème position).
Visites : 5 660  (depuis Novembre 2007)

Pas pour toutes les oreilles ...

Un délicieux livre du vieux moustachu gallo-romain, Françwès de Cavanna.
Des aphorismes à la pelle qui vont des brèves de comptoirs au non-sense, sans oublier les réglements de compte avec les grands tabous : le fric, le sexe, Dieu, les écrivains, les célébrités de tous poils, la vie quotidienne, ...
Donc, pas pour toutes les oreilles ; vous connaissez l'Homme ...

Si par le plus pur des hasards vous tombez sur ce bouquin, même dans un piteux état, sautez dessus : il est quasiment introuvable.

Juste deux extraits :

- Les eaux de la Mer morte sont si lourdes que, si l'on y jette un fer à repasser, il vous rebondit en pleine gueule.

- Quand on souhaite la bonne année à son patron, si on lui crache en même temps dans l'oeil gauche on aura du bonheur toute l'année.

Le ton est donné.

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Petite encyclopédie "cavannesque"

9 étoiles

Critique de Lison (, Inscrite le 6 février 2014, 74 ans) - 22 février 2014

Je viens de l'ouvrir, ma "petite encyclopédie portative pour consoler les bons à rien". Quelle bonne surprise : c'est aussi drôle que dans mon souvenir ! Vraiment, c'est un dilemme de choisir deux "articles"... Allez, j'ouvre deux pages au hasard :

Avion

Dans un avion en vol, il suffit qu'un seul des passagers se mette brusquement à penser : "C'est pas possible ! Un gros machin comme ça ne PEUT PAS tenir en l'air ! Normalement, il doit tomber..." pour qu'aussitôt l'avion tombe comme une pierre. C'est dans le dessein d'empêcher les passagers de penser que les compagnies aériennes n'arrêtent pas de les bourrer de nourriture et de musique douce.

Guérison

Le 2 juin 1966, Adèle Viendonvoir, de Quatraquatre (Haute-Vienne), qui souffrait cruellement d'un ulcère à la jambe, prononça ces paroles : "Mon Dieu, faites que ma jambe guérisse." Dieu l'ayant exaucée sur-le-champ, elle en mourut de saisissement.

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