Bravo à Frunny pour sa folle cadence, et merci pour le bel élan d'enthousiasme que tu as insufflé à cette lecture commune! :-)
(Et merci à toi Nymphette évidemment).
Pas beaucoup avancé, ma lecture est hachée et saccadée.
Mais demain je m'octroie de grandes plages de lecture, et je viendrai régulièrement vous faire part de mes impressions.
(Et merci à toi Nymphette évidemment).
Pas beaucoup avancé, ma lecture est hachée et saccadée.
Mais demain je m'octroie de grandes plages de lecture, et je viendrai régulièrement vous faire part de mes impressions.
Sissi, à mon avis, la photo de couverture correspond à la description d'une photo prise à l'automne 1913 et décrite page 220.
La vérité de la photo de couverture est révélée vers la fin du livre .
Ah....merci, ça me tracassait.
p 243.
La partie "Combats" est assez fun. :-)
La partie "Combats" est assez fun. :-)
Frunny, je viens de me rendre compte que tu t'étais arrêté il y a deux jours en arrière à la même page que moi ce soir et que tu avais écrit "ça commence à me saouler sérieusement !"
Pour être honnête c'est ce que je ressens à ce stade de la lecture ! Mais vu ton enthousiasme actuel cela m'incite à continuer !
Oui , il faut continuer .
Je trouve que ça monte en puissance progressivement jusqu'à découvrir La Havane .
Sissi, à mon avis, la photo de couverture correspond à la description d'une photo prise à l'automne 1913 et décrite page 220.
La vérité de la photo de couverture est révélée vers la fin du livre .
Ah....merci, ça me tracassait.
Petit Quizz :
Essayez de deviner ce que tient à la main l'homme debout ( sur la photo ). Alors ?
page 314
Fini les parties "Combats" et « Demeures ».
J'ai beaucoup aimé le séjour à la Havane, beaucoup plus vivant et sensible, où l'auteur n'est pas seulement l'historien mais devient spectateur direct d'une jolie partie de l'histoire familiale.
Fini les parties "Combats" et « Demeures ».
J'ai beaucoup aimé le séjour à la Havane, beaucoup plus vivant et sensible, où l'auteur n'est pas seulement l'historien mais devient spectateur direct d'une jolie partie de l'histoire familiale.
Petit Quizz :
Essayez de deviner ce que tient à la main l'homme debout ( sur la photo ). Alors ?
Si je continue de croire que l'homme "tête nue" sur la photo est Botros, trouver ce qu'il tient dans sa main relèverait de suppositions hasardeuses: petit carnet, une certaine plaque d'argent, un livret retrouvé par l'auteur...
Il me reste moins de 200 pages pour le savoir ;-)
Si je continue de croire que l'homme "tête nue" sur la photo est Botros, trouver ce qu'il tient dans sa main relèverait de suppositions hasardeuses: petit carnet, une certaine plaque d'argent, un livret retrouvé par l'auteur...
Il me reste moins de 200 pages pour le savoir ;-)
Tu n'es pas si loin mais c'est plus " humain " ( tendre ) que ça et tellement inattendu...
Je te laisse parcourir les 200 pages qui t'en séparent.
Bonne lecture !
page 314
J'ai beaucoup aimé le séjour à la Havane, beaucoup plus vivant et sensible, où l'auteur n'est pas seulement l'historien mais devient spectateur direct d'une jolie partie de l'histoire familiale.
Pareil pour moi .
Le séjour de l'auteur à La Havane est mon passage favori du livre .
Historique et... émouvant .
page 314
Pareil pour moi .
Le séjour de l'auteur à La Havane est mon passage favori du livre .
Historique et... émouvant .
Bon bah... je vais donc continuer juste pour savoir ce qu'il tient dans la main ;-))
p.222 :
J'ai beaucoup aimé ces deux phrases de Botros :
"J'aurais dû avoir deux coeurs, le premier, insensible, le second, constamment amoureux.
J'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat, et avec l'autre j'aurais vécu heureux."
J'ai beaucoup aimé ces deux phrases de Botros :
"J'aurais dû avoir deux coeurs, le premier, insensible, le second, constamment amoureux.
J'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat, et avec l'autre j'aurais vécu heureux."
Contrairement aux autres lecteurs de ce fil, les 150 dernières pages me semblent un peu longues et reprennent des idées/ thématiques déjà largement développées par ailleurs.
Le voyage à Cuba est touchant et donne bien envie de découvrir cette île à l'histoire trouble!
"Ce que je vois en premier? Sur les murs de l'entrée, jusqu'à hauteur d'homme, des azulejos aux motifs orientaux comme une signature. La lointaine signature arabesque de mon grand-oncle sur un coin de patrie américaine. Si je n'ai traversé l'océan que pour poser mes yeux sur ça, je ne suis pas venu pour rien"
Le voyage à Cuba est touchant et donne bien envie de découvrir cette île à l'histoire trouble!
"Ce que je vois en premier? Sur les murs de l'entrée, jusqu'à hauteur d'homme, des azulejos aux motifs orientaux comme une signature. La lointaine signature arabesque de mon grand-oncle sur un coin de patrie américaine. Si je n'ai traversé l'océan que pour poser mes yeux sur ça, je ne suis pas venu pour rien"
Sissi, à mon avis, la photo de couverture correspond à la description d'une photo prise à l'automne 1913 et décrite page 220.
La vérité de la photo de couverture est révélée vers la fin du livre .
Ah....merci, ça me tracassait.
Petit Quizz :
Essayez de deviner ce que tient à la main l'homme debout ( sur la photo ). Alors ?
Aucune idée, on ne voit vraiment pas bien. Un verre? Un pinceau?
P 160 (pas lu tant que ça...), partie "Lumières", que je trouve quand même un peu fastidieuse à lire, j'aime bien sûr la dimension historique et elle est essentielle mais je n'arrive pas à être captivée pour autant....
Aucune idée, on ne voit vraiment pas bien. Un verre? Un pinceau?
Non.... mais j'avoue qu'il est presque impossible de le deviner .
Tu n'es pas si loin mais c'est plus " humain " ( tendre ) que ça et tellement inattendu...
Je te laisse parcourir les 200 pages qui t'en séparent.
Bonne lecture !
Effectivement, c'était complètement inattendu... et pratiquement introuvable!
Fini!
Quelles vies riches ces ancêtres! Pas de destin figé, tout leur semble possible mais aussi combien cette famille se trouve dispersée dans le monde!
Comment ne pas avoir un devoir de mémoire envers un homme qui défend toute sa vie des principes et des idéaux de laïcité et qui écrit de telles choses:
« Il ne sert à rien de regretter sa jeunesse,
Ni de maudire la vieillesse,
Ni d'avoir peur de la mort,
Ta vie, c'est la journée que tu es en train de vivre,
Rien d'autre. Alors, divertis-toi, sois heureux,
Et sois prêt à partir. »
Pour la première fois un passage un peu confus que j'ai relu plusieurs fois sans en comprendre le sens:
Page 337 (C'est l'auteur qui écrit) Tout cela, tout ce que j'ai glané ici, demeure fragmentaire, je le sais. Mais il serait illusoire de vouloir autre chose. Le passé est forcément fragmentaire, forcément reconstitué, forcément réinventé. On n'y récolte que les vérités d'aujourd'hui. Si notre présent est le fils du passé, notre passé est le fils du présent. Et l'avenir sera le moissonneur de nos bâtardises.
En tout cas, un grand merci à Nymphette!
J'ai trouvé cette première expérience passionnante; une lecture partagée de cette qualité... "c'est que du bonheur"!!
Quelles vies riches ces ancêtres! Pas de destin figé, tout leur semble possible mais aussi combien cette famille se trouve dispersée dans le monde!
Comment ne pas avoir un devoir de mémoire envers un homme qui défend toute sa vie des principes et des idéaux de laïcité et qui écrit de telles choses:
« Il ne sert à rien de regretter sa jeunesse,
Ni de maudire la vieillesse,
Ni d'avoir peur de la mort,
Ta vie, c'est la journée que tu es en train de vivre,
Rien d'autre. Alors, divertis-toi, sois heureux,
Et sois prêt à partir. »
Pour la première fois un passage un peu confus que j'ai relu plusieurs fois sans en comprendre le sens:
Page 337 (C'est l'auteur qui écrit) Tout cela, tout ce que j'ai glané ici, demeure fragmentaire, je le sais. Mais il serait illusoire de vouloir autre chose. Le passé est forcément fragmentaire, forcément reconstitué, forcément réinventé. On n'y récolte que les vérités d'aujourd'hui. Si notre présent est le fils du passé, notre passé est le fils du présent. Et l'avenir sera le moissonneur de nos bâtardises.
En tout cas, un grand merci à Nymphette!
J'ai trouvé cette première expérience passionnante; une lecture partagée de cette qualité... "c'est que du bonheur"!!
Pareil pour moi .
Le séjour de l'auteur à La Havane est mon passage favori du livre .
Historique et... émouvant .
Et il l'est resté!
Félicitations Marvic.... et merci pour ton " feed-back " sur cette lecture commune .
Comme toi , j'ai beaucoup aimé ( même si j'ai dévoré le livre ) et suis content de voir que " La Havane " semble retenir l'attention des lecteurs .
Ne dis rien pour " l'objet " tenu par l'homme de la photo....beaucoup de lecteurs semblent ne pas y être encore .
J'attends ta critique....
Comme toi , j'ai beaucoup aimé ( même si j'ai dévoré le livre ) et suis content de voir que " La Havane " semble retenir l'attention des lecteurs .
Ne dis rien pour " l'objet " tenu par l'homme de la photo....beaucoup de lecteurs semblent ne pas y être encore .
J'attends ta critique....
J'en suis à la page 356.
Un passage à retenir impérativement, p.268 :
"Il y a cent ans à peine, le schrétiens du Liban se disaient volontiers syriens, les Syruens se cherchaient un roi du côté de La mecque, les juifs de Terre sainte se proclamaient palestiniens... et Botros, mon grand-père, s evoulait citoyen ottoman. pas un seul des Etats de l'actuel Proche-Orient n'existait encore, et le nom même de cette région n'avait pas ét éinventé - on disait généralement "La Turquie d'Asie"...
Depuis, beaucoup de gens sont morts pour des patries prétendument éternelles; beaucoup d'autres mourront demain."
Comme je vous l'avais dit, je pars en vacances demain, et je ne partirai pas avec un livre quasiment achevé. Je vais essayer de le finir et de partager avec vous mes dernières impressions, mais si vous n'avez pas de nouvelles, pas d'inquiétudes non plus, je serai en partance vers le Sud... et vous livrerai mon avis général à mon retour le 28 Mai!
Un passage à retenir impérativement, p.268 :
"Il y a cent ans à peine, le schrétiens du Liban se disaient volontiers syriens, les Syruens se cherchaient un roi du côté de La mecque, les juifs de Terre sainte se proclamaient palestiniens... et Botros, mon grand-père, s evoulait citoyen ottoman. pas un seul des Etats de l'actuel Proche-Orient n'existait encore, et le nom même de cette région n'avait pas ét éinventé - on disait généralement "La Turquie d'Asie"...
Depuis, beaucoup de gens sont morts pour des patries prétendument éternelles; beaucoup d'autres mourront demain."
Comme je vous l'avais dit, je pars en vacances demain, et je ne partirai pas avec un livre quasiment achevé. Je vais essayer de le finir et de partager avec vous mes dernières impressions, mais si vous n'avez pas de nouvelles, pas d'inquiétudes non plus, je serai en partance vers le Sud... et vous livrerai mon avis général à mon retour le 28 Mai!
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