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J’aime bien les critiques de Bolcho, ce sont celles que je lis en priorité. Et cette dernière ne m’a pas laissée indifférente. Il se préoccupe de sexe.. Comme quoi un révolutionnaire doué d’acuité se préoccupe d’autre chose que de la dictature du prolétariat, du programme suranné de la défunte ligue révolutionnaire des travailleurs, de l’ex-eurocommunisme de Berlinguer et de Santiago Carillo, de la trahison de la classe ouvrière devenue réactionnaire depuis que l’altermondialisation et les écologistes ont pris le relais..
Non, nous ne sommes pas uniquement sur un site de littéraires purs et durs qui ne parlent que de l’âme humaine. Il y a simplement beaucoup de pudeur parmi tous les critiqueurs que nous sommes. Et la plupart des gens évitent de parler de certains sujets qui touchent aux relations intimes pour ne pas s’exposer ou pour éviter d’effleurer un domaine qui risque de les faire souffrir..
Parait même que les étudiants de Harvard préfèrent construire leur vie autour d’un CV plutôt que d’une romance.. Ils ne sont pas très friands de « désir incontrôlé ». Parait même que cette méfiance vis-à-vis de la fièvre passionnelle amène des psychothérapeutes à affirmer qu’ils reçoivent de nombreux « anorexiques de l’amour ».
Et bien oui, la femelle humaine est (presque la seule, puisque tu le dis Bolcho) à connaître la ménopause.. cela pour assurer la survie de leur patrimoine génétique, pour élever les enfants produits par leur descendance, pour céder la place à leurs enfants qui produiront à leur tour des enfants, voilà le rôle de la mère et de la grand-mère. Tandis que l’homme est programmé pour assurer les risques et protéger la famille du danger.
Et les phéromones, ces agents biochimiques qui produisent une attirance entre des êtres dont le système immunitaire est différent du leur, ils existent pour perpétuer l’espèce..
Merci Bolcho pour le choix de ce livre, pour nous avoir donné l’envie de le lire, pour nous permettre de connaître un peu plus l’âme humaine qui est aussi pétrie d’autre chose (à mon humble avis !) que de spiritualité..
Non, nous ne sommes pas uniquement sur un site de littéraires purs et durs qui ne parlent que de l’âme humaine. Il y a simplement beaucoup de pudeur parmi tous les critiqueurs que nous sommes. Et la plupart des gens évitent de parler de certains sujets qui touchent aux relations intimes pour ne pas s’exposer ou pour éviter d’effleurer un domaine qui risque de les faire souffrir..
Parait même que les étudiants de Harvard préfèrent construire leur vie autour d’un CV plutôt que d’une romance.. Ils ne sont pas très friands de « désir incontrôlé ». Parait même que cette méfiance vis-à-vis de la fièvre passionnelle amène des psychothérapeutes à affirmer qu’ils reçoivent de nombreux « anorexiques de l’amour ».
Et bien oui, la femelle humaine est (presque la seule, puisque tu le dis Bolcho) à connaître la ménopause.. cela pour assurer la survie de leur patrimoine génétique, pour élever les enfants produits par leur descendance, pour céder la place à leurs enfants qui produiront à leur tour des enfants, voilà le rôle de la mère et de la grand-mère. Tandis que l’homme est programmé pour assurer les risques et protéger la famille du danger.
Et les phéromones, ces agents biochimiques qui produisent une attirance entre des êtres dont le système immunitaire est différent du leur, ils existent pour perpétuer l’espèce..
Merci Bolcho pour le choix de ce livre, pour nous avoir donné l’envie de le lire, pour nous permettre de connaître un peu plus l’âme humaine qui est aussi pétrie d’autre chose (à mon humble avis !) que de spiritualité..
... et merci à Darius pour ces pelletées de vraies gentillesses qu'elle m'envoie à la figure. C'est vrai que lorsque les perspectives sociales sont aussi bouchées qu'aujourd'hui, on se laisse aller au plaisir de scruter les moeurs politiques ou amoureuses des bonobos avec un rien d'envie...
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