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Ce livre, à part la fin, plutôt malvenue, nous parle du "formatage" en fac, des futurs médecins ... et d'une expérience de "désintoxication" !
Ils démarrent pleins d'enthousiasme, d'envie d'être utile, d' idéal ... et on les retrouve arrogants, pleins de suffisance et de savoir !
Lors d'un épisode cancéreux, j'ai rencontré l'un de ces pontes suffisants, s'auto déifiant, ignoble devant moi avec sa secrétaire et sans respect aucun pour la conne que j'étais ....
Super bon professionnel quant à la gestion de la pathologie ! Mais une merde, sur le plan humain !
Je me suis insurgée et nos rapports ont été difficiles !
Comme mon cancer était rare et particulièrement dangereux et que je souhaitais, avant tout soin, prendre les vacances promises aux enfants(qui subissaient....), comme je ne l'attendais pas comme le Messie, mais un partenaire, comme je lui ai retorqué que le respect de sa secrétaire me paraissait fondamental, nous fumes ennemis ...jusqu'au bout.
A la fin du traitement, il a fini par me dire qu'il pensait que, pour lui, je n'étais pas consciente de la gravité de ma maladie, d'ou son agressivité, et une nouvelle algarade : au nom de quoi jugeait-il ma capacité à me situer ?
Je ne viens pas là raconter ma vie, mais donner mon point de vue sur le peu de respect qu'a le monde médical sur nos capacités à comprendre ce que nous sommes et ce que nous pouvons assumer !
Je ne raconte que l'épisode le plus marquant; il y en a eu d'autres ...
Et c'est le centre de ce livre " le choeur des femmes"
Ils démarrent pleins d'enthousiasme, d'envie d'être utile, d' idéal ... et on les retrouve arrogants, pleins de suffisance et de savoir !
Lors d'un épisode cancéreux, j'ai rencontré l'un de ces pontes suffisants, s'auto déifiant, ignoble devant moi avec sa secrétaire et sans respect aucun pour la conne que j'étais ....
Super bon professionnel quant à la gestion de la pathologie ! Mais une merde, sur le plan humain !
Je me suis insurgée et nos rapports ont été difficiles !
Comme mon cancer était rare et particulièrement dangereux et que je souhaitais, avant tout soin, prendre les vacances promises aux enfants(qui subissaient....), comme je ne l'attendais pas comme le Messie, mais un partenaire, comme je lui ai retorqué que le respect de sa secrétaire me paraissait fondamental, nous fumes ennemis ...jusqu'au bout.
A la fin du traitement, il a fini par me dire qu'il pensait que, pour lui, je n'étais pas consciente de la gravité de ma maladie, d'ou son agressivité, et une nouvelle algarade : au nom de quoi jugeait-il ma capacité à me situer ?
Je ne viens pas là raconter ma vie, mais donner mon point de vue sur le peu de respect qu'a le monde médical sur nos capacités à comprendre ce que nous sommes et ce que nous pouvons assumer !
Je ne raconte que l'épisode le plus marquant; il y en a eu d'autres ...
Et c'est le centre de ce livre " le choeur des femmes"
C'est parce que tu es une battante DE GOUGE que tu as gagné! Parce que tu as la capacité de te mettre en colère, de te rebeller contre l'autorité et la suffisance, contre la maladie et de prendre surtout ta vie en main!
Mais des pontes il en existe aussi des très humains, ceux qui ne se sont pas laisser emporter par le cynisme qui est souvent une manière de se protéger de toute cette souffrance en face d'eux.
Et quand ils sont humains quel bonheur!
Mais il ne faut pas hésiter à rentrer dans le lard de ceux qui ne le sont pas. Quelle que soit leur souffrance à cotoyer la souffrance elle ne sera jamais aussi forte que celle de ceux qui sont malades.
Guérir, soigner est un métier merveilleux et nous devons toute reconnaissance à ceux qui le pratique, mais quand on choisit cette voie on a un devoir d'humanité qui parfois soigne autant que toute médecine...
Bonne santé à toi et bon courage (mais tu n'en manques pas!:-))
Mais des pontes il en existe aussi des très humains, ceux qui ne se sont pas laisser emporter par le cynisme qui est souvent une manière de se protéger de toute cette souffrance en face d'eux.
Et quand ils sont humains quel bonheur!
Mais il ne faut pas hésiter à rentrer dans le lard de ceux qui ne le sont pas. Quelle que soit leur souffrance à cotoyer la souffrance elle ne sera jamais aussi forte que celle de ceux qui sont malades.
Guérir, soigner est un métier merveilleux et nous devons toute reconnaissance à ceux qui le pratique, mais quand on choisit cette voie on a un devoir d'humanité qui parfois soigne autant que toute médecine...
Bonne santé à toi et bon courage (mais tu n'en manques pas!:-))
Merci Pieronnelle !
Je suis guérie !
Mon propos allait plus vers la découverte de ce livre qui met en évidence la façon dont, en France, on apprend la médecine ....Et c'est triste !
J'ai l'intention d'en parler avec mon médecin traitant (quand je le verrais, j'évite d'y recourir), j'espérais que sur CL, se glissent quelques toubibs pour avoir leur version ...
Loin de moi l'idée de penser que tous les médecins sont des salauds, je suis seulement triste de découvrir, à travers ce livre et quelques enfants d'amis, que c'est môche ce qu'on fait de l'idéal médecin
Pauvre Hippocrate !
Je suis guérie !
Mon propos allait plus vers la découverte de ce livre qui met en évidence la façon dont, en France, on apprend la médecine ....Et c'est triste !
J'ai l'intention d'en parler avec mon médecin traitant (quand je le verrais, j'évite d'y recourir), j'espérais que sur CL, se glissent quelques toubibs pour avoir leur version ...
Loin de moi l'idée de penser que tous les médecins sont des salauds, je suis seulement triste de découvrir, à travers ce livre et quelques enfants d'amis, que c'est môche ce qu'on fait de l'idéal médecin
Pauvre Hippocrate !
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