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Il est un adjectif, un être qui se meurt.
Il aime à être impératif, sombre douceur.
Il est visible, beau captivant, insaisissable.
De ses yeux, de ses lèvres, il raconte la fable.
Se conjugue au verbe être; n'est jamais possessif.
Inconnues sont les lettres, bel indécisif.
Il attend à en vivre, il subit l'imparfait.
Son regard dessine un livre, ouvrage incomplet.
Il est l'encre de la plume, sobre infortune.
Si seulement nous le lûmes. Décris-moi sur ta dune !
Cet inconsidéré, cet acte de damné.
Idéalisé, générale vérité.
Il est le défaut de la perfection, tâché.
Il est l'inexistence du 'serons', imbibé.
Il est le futur conditionnel, impuissant.
Il est la puissance de l'irréel, existant.
Nuit, il se fera d'autant plus éclairé jour.
Ici, il illuminera l'âtre de l'amour.
Béni, son visage de pâquerettes incomplet.
Lui, l'idolâtre épithète : je conjuguerai.
Il aime à être impératif, sombre douceur.
Il est visible, beau captivant, insaisissable.
De ses yeux, de ses lèvres, il raconte la fable.
Se conjugue au verbe être; n'est jamais possessif.
Inconnues sont les lettres, bel indécisif.
Il attend à en vivre, il subit l'imparfait.
Son regard dessine un livre, ouvrage incomplet.
Il est l'encre de la plume, sobre infortune.
Si seulement nous le lûmes. Décris-moi sur ta dune !
Cet inconsidéré, cet acte de damné.
Idéalisé, générale vérité.
Il est le défaut de la perfection, tâché.
Il est l'inexistence du 'serons', imbibé.
Il est le futur conditionnel, impuissant.
Il est la puissance de l'irréel, existant.
Nuit, il se fera d'autant plus éclairé jour.
Ici, il illuminera l'âtre de l'amour.
Béni, son visage de pâquerettes incomplet.
Lui, l'idolâtre épithète : je conjuguerai.
Attends R.Knight, il faut que je révise l'épithète pour comprendre les subtilités de ton poème!:-)))
Haha, je ne crois pas que sa profondeur soit à la hauteur de ce que tu laisses entendre !
Petit délire grammatical ?
Ebauche d'alexandrins ? (attention aux césures !)
Je crois comprendre que tu as voulu présenter l'épitèthe sous tous ses aspects et emplois, mais j'ai un peu de mal à relier l'ensemble.
Ebauche d'alexandrins ? (attention aux césures !)
Je crois comprendre que tu as voulu présenter l'épitèthe sous tous ses aspects et emplois, mais j'ai un peu de mal à relier l'ensemble.
Je trouve ton petit poème très chouette même si il me faudrait plus de concentration pour l'apprécier dans toutes ses subtilités ! :)
C'est ensorcelant mais j'ai beau me creuser, le relire, je ne parviens pas à trouver une issue. Y en a-t-il une ?
Epithète, épithète ? Le conjuguer ?
Non, c'est beau, ça sonne bien mais passablement hermétique ...
Epithète, épithète ? Le conjuguer ?
Non, c'est beau, ça sonne bien mais passablement hermétique ...
Haha, Ce n'était qu'une métaphore filée du début jusqu'à la fin. :P. Je vois qu'apparemment je n'étais pas assez claire, mais j'aime tellement la subtilité, le sens caché ! Je devrais faire attention à ne pas trop l'utiliser...
Non cet épithète, c'est l'Idole, celui qui nous inspire 'L'encre de la plume', 'Il subit l'imparfait', que l'on retrouve dans nos écrits. Celui qui nous fait vivre, qui est ensorcelant, qui, sans rien faire, en étant simplement 'conjugué' par sa propre existence, arrive à raconter une 'fable' qui est l'histoire de sa vie et donc de la notre.
Je pensais que le 'Ici, il illuminera l'âtre de l'amour' serait assez clair pour dévoiler le sens véritable du poème. Mais bon, tant pis, une fois de plus, je suis trop métaphorique ! Je prends note !
Merci de vos lectures et remarques :).
Non cet épithète, c'est l'Idole, celui qui nous inspire 'L'encre de la plume', 'Il subit l'imparfait', que l'on retrouve dans nos écrits. Celui qui nous fait vivre, qui est ensorcelant, qui, sans rien faire, en étant simplement 'conjugué' par sa propre existence, arrive à raconter une 'fable' qui est l'histoire de sa vie et donc de la notre.
Je pensais que le 'Ici, il illuminera l'âtre de l'amour' serait assez clair pour dévoiler le sens véritable du poème. Mais bon, tant pis, une fois de plus, je suis trop métaphorique ! Je prends note !
Merci de vos lectures et remarques :).
Alors là, c'est trop pour ma petite tête. Et dans la tienne, ça bouillonne, on dirait? Tant de métaphores, tant que cela en devient lourd, c'est comme un beau et bon gâteau trop garni qu'il devient écoeurant.
Je me creuse la tête et j'ai encore du mal à trouver du sens à ton poème, c'est très obscur pour moi (je dois être nulle en français). Même avec ton explication, je n'arrive toujours pas à saisir les subtilités, bon, doit se faire tard peut être que demain, après décantation, je comprendrais mieux.
En tout ças, ça fait réfléchir (comme d'habitude)et cette fois pour moi, c'est trop et j'avoue avoir du mal.
Peut être qu'après relecture,...
Je me creuse la tête et j'ai encore du mal à trouver du sens à ton poème, c'est très obscur pour moi (je dois être nulle en français). Même avec ton explication, je n'arrive toujours pas à saisir les subtilités, bon, doit se faire tard peut être que demain, après décantation, je comprendrais mieux.
En tout ças, ça fait réfléchir (comme d'habitude)et cette fois pour moi, c'est trop et j'avoue avoir du mal.
Peut être qu'après relecture,...
Je l'ai lu à mon petit frère qui est encore en train de soupire "oh la vachevache c'est trop beau" c'est vrai que je n'ai pas le niveau de français pour savoir ce Quest même l'épithète^^ mais ça reste très beau le rythme est fantastique
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