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Entièrement d'accord avec la critique de Dirlandaise sur cet album "Lendemains de cendres".
Précisons bien qu'il vient en quelque sorte à la suite de "L'eau et la terre" et que ce diptyque retrace les mésaventures dramatiques du Cambodge en donnant un regard humain et avec un graphisme à la limite de la perfection.
Effectivement du grand art et une bonne façon de comprendre l’inénarrable de ce drame humain !
D'autres ouvrages en bandes dessinées ont traité du Cambodge, je pense en particulier à "L'année du lièvre" de Tian qui était dans la sélection officielle d'Angoulême cette année et dont je vais revenir vous parler.
Quant à Séra, je l'ai rencontré une fois pour une interview et c'est quelqu'un de très sympathique et doux.
Précisons bien qu'il vient en quelque sorte à la suite de "L'eau et la terre" et que ce diptyque retrace les mésaventures dramatiques du Cambodge en donnant un regard humain et avec un graphisme à la limite de la perfection.
Effectivement du grand art et une bonne façon de comprendre l’inénarrable de ce drame humain !
D'autres ouvrages en bandes dessinées ont traité du Cambodge, je pense en particulier à "L'année du lièvre" de Tian qui était dans la sélection officielle d'Angoulême cette année et dont je vais revenir vous parler.
Quant à Séra, je l'ai rencontré une fois pour une interview et c'est quelqu'un de très sympathique et doux.
Ah Shelton, je t'envie d'avoir eu la chance de rencontrer Séra. Il m'a l'air tellement sympathique. Son visage est si agréable et ouvert.
J'ai aussi en main une autre bd de lui sur le Cambodge intitulée "Impasse et rouge" que j'ai terminée hier soir et dont je ferai la critique tantôt à moins que quelqu'un ne me devance... ;-)
En fait, j'aurais dû commencer par cette dernière car le récit débute lors de la prise de la capitale cambodgienne par les Khmers rouges. Les dessins sont plus violents et elle est moins poétique que la première.
J'ai aussi en main une autre bd de lui sur le Cambodge intitulée "Impasse et rouge" que j'ai terminée hier soir et dont je ferai la critique tantôt à moins que quelqu'un ne me devance... ;-)
En fait, j'aurais dû commencer par cette dernière car le récit débute lors de la prise de la capitale cambodgienne par les Khmers rouges. Les dessins sont plus violents et elle est moins poétique que la première.
Je ne connais pas d'ailleurs cet ouvrage édité chez Albin Michel...
Je ne connais pas d'ailleurs cet ouvrage édité chez Albin Michel...
Tu en connais déjà tant !
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