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J'ai lu ce livre en version originale : je domine 95 % de cette langue, les 5% restants m'ont mise en difficulté, mais quelle émotion ! Une écriture minimaliste, comme celle de la vie des personnages (même s'ils sont d'une extraordinaire richesse), une approche pudiquement essentielle, des questions, de l'injustice, une mort terrible et un village : sera t'-il capable d'aller au bout de lui même en rendant hommage à cet HOMBRE, qui a refusé de se soumettre ?
Je ne puis révéler la fin de ce chef d’œuvre.
Lisez le, il vous marquera profondément !
Poésie sobre, personnages attachants, Histoire et histoires terrible, l'éternelle lutte pour se regarder en face.
Un grand moment de littérature !
Je ne puis révéler la fin de ce chef d’œuvre.
Lisez le, il vous marquera profondément !
Poésie sobre, personnages attachants, Histoire et histoires terrible, l'éternelle lutte pour se regarder en face.
Un grand moment de littérature !
Heureuse de partager effectivement ce grand moment de lecture! Avec tout ce qu'il véhicule...
Lisez le, il vous marquera profondément !
Encore un qui trône dans ma pile en V;O, attendant d'être enfin lu!
Il se lit vite Nymphette et se savoure...Dommage que je ne maîtrise pas l'espagnol car je suis bien persuadée comme le signale DE GOUGE qu'il doit être encore plus touchant. Malgré tout je pense que cette belle écriture a été bien traduite.
Je m'étais posée la question (enfin je l'avais posée à Zagreus) du problème de la traduction en poésie, en particulier celle de Pablo Néruda. Et il semble que les racines communes de ces deux langues permettent des traductions qui reflètent assez bien l'esprit des auteurs. Mais le chant des mots ne sera jamais le même...
Pour le "requiem" on peut aussi parler de poésie ou plutôt d'une sorte de litanie puisque le roman est ponctué souvent par le chant d'un enfant de coeur qui évoque la vie de Paco. Et on se demande si finalement le véritable requiem n'est pas dans le chant de cet enfant qui évoque le martyr du fusillé.
Je m'étais posée la question (enfin je l'avais posée à Zagreus) du problème de la traduction en poésie, en particulier celle de Pablo Néruda. Et il semble que les racines communes de ces deux langues permettent des traductions qui reflètent assez bien l'esprit des auteurs. Mais le chant des mots ne sera jamais le même...
Pour le "requiem" on peut aussi parler de poésie ou plutôt d'une sorte de litanie puisque le roman est ponctué souvent par le chant d'un enfant de coeur qui évoque la vie de Paco. Et on se demande si finalement le véritable requiem n'est pas dans le chant de cet enfant qui évoque le martyr du fusillé.
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