admettons que l'on puisse effectivement dire "c'est à chier" ou un tel a "des goûts de merde" le un tel en question peut alors répliquer en affirmant que la première personne a elle aussi des goûts de merde et ainsi de suite.Dans ce cas là,nous avons tous des goûts de merde finallement?tout le monde est d'accord?
Tout depend de ce que tu appelle gout, ce que tu met dans la notion de qualité, si tu mets ou pas une echelle de valeur entre les choses, la quantité d'absolu que tu authorise a ton esprit, ta notion du bon/pas bon, du bien/mal, de plein de choses pas si evidentes que ça...
tout le monde n'a pas des gouts de merde, parce que la qualité d'une oeuvre est mesurable, qu'elle nous touche ou pas, le probléme vennant du fait qu'il est impossible de démontrer la justesse d'une telle mesure, puisque le vrai et le faux sont des idées qui s'évaporent au contact d'idées abstraites.
tout le monde n'a pas des gouts de merde, parce que la qualité d'une oeuvre est mesurable, qu'elle nous touche ou pas, le probléme vennant du fait qu'il est impossible de démontrer la justesse d'une telle mesure, puisque le vrai et le faux sont des idées qui s'évaporent au contact d'idées abstraites.
Il n'y a pas d'absence de valeurs chez Nietzsche (pourquoi l'invoquer lui dans ce débat et pas Freud ou Jung?!).
Il existe des valeurs différentes selon les classes sociales et le fait que l'on appartienne à ce que Nietzsche nomme l'élite (ceux qui se fichent de la morale car au-dessus du lot) ou à la "masse du bas" (ceux qui gobent tout précepte moral comme ligne de conduite et avalent donc n'importe quoi).
De là à penser que des écrivains dits "de masse" comme Beigbeder ou Sollers sont destinés à des gens qui gobent tout, c'est un pas que je ne franchirai pas, même si le parallèle est aisément traçable entre le comportement (parcours) de ces gens et celui de ces classes dites supérieures qui guident la masse populaire dans leur seul intérêt et pour leur profit personnel.
Il existe des valeurs différentes selon les classes sociales et le fait que l'on appartienne à ce que Nietzsche nomme l'élite (ceux qui se fichent de la morale car au-dessus du lot) ou à la "masse du bas" (ceux qui gobent tout précepte moral comme ligne de conduite et avalent donc n'importe quoi).
De là à penser que des écrivains dits "de masse" comme Beigbeder ou Sollers sont destinés à des gens qui gobent tout, c'est un pas que je ne franchirai pas, même si le parallèle est aisément traçable entre le comportement (parcours) de ces gens et celui de ces classes dites supérieures qui guident la masse populaire dans leur seul intérêt et pour leur profit personnel.
Je ne saurai que trop vous conseiller la lecture des pamphlets de Naulleau et Jourde dans le domaine de la culture littéraire de masse (en gardant à l'esprit qu'il s'agit avant tout d'un règlement de comptes à rallonge), mais également de "Professeurs du désespoir" de Nancy Huston, qui fait couler beaucoup d'encre pour les propos violents qu'il contient au sujet de quelques écrivains, dont la nobelisée Jelinek, que j'aime beaucoup.
Eh bien, tout un week-end sur Mylène et sur "Les goûts et les couleurs"... Chapeau!
Heureusement, ça finit par une diatribe... :)))))))
Heureusement, ça finit par une diatribe... :)))))))
Bonsoir Benoit, t'es content alors quand il y a du bazar!
salut Ben
Bonsoir Benoïé
Benoit a perdu le fil
Mo est là, je le crois pas
Prouve que tu es Mo
Prouve que tu es Mo
Le fil à soi(e)
Bonsoir à tous !
hé mo file pas
Mo est là, je le crois pasProuver ? Comment ? Pose-moi une colle
Prouve que tu es Mo
Oli vi héla
Boeuf noix pas
Mo est là, je le crois pasProuver ? Comment ? Pose-moi une colle
Prouve que tu es Mo
Parle nous en arabe ou en allemand par exemple, ou plonge dans la piscine.
Mo est là, je le crois pasProuver ? Comment ? Pose-moi une colle
Prouve que tu es Mo
fais un poème en deux minutes
Top chrono Mo
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