Le temps de mettre le chat dehors et moi, je suis dedans...
Bonne nuit.
Bonne nuit.
t'expliquerai des trucs de bonne femme demain par mail, plus en état...
t'expliquerai des trucs de bonne femme demain par mail, plus en état...
Est-ce un « bonne femme » machiste ou féministe, Mo ?
Autant que j'apprenne d'un coup :-)
Je rêve
d'une princesse arabe
perdue dans les sables
d'une princesse arabe
perdue dans les sables
Mince! Me voilà intelligent et délicat parce que je cède... J'aime bien ça, mon ego est tout émoustillé.
Mince! Me voilà intelligent et délicat parce que je cède... J'aime bien ça, mon ego est tout émoustillé.Ma position est passée aux antipodes à cause de ton avis incongru et inique sur Johnny...
Je préfère ça, j'aime pas trop être placé sur un piédestal, la chute en est plus dure. Au moins, où je suis maintenant, je peux patauger dans la boue tant que je veux, personne ne saura étonner.
T'as "du mal avec", Yali a "un problème avec".
C'est vous qui avez un problème, pas lui.
Dieu et ses anges en soient loués sans option d'achat !
C'est vous qui avez un problème, pas lui.
Dieu et ses anges en soient loués sans option d'achat !
Voici le seul Jojo qui trouve grâce à mes oreilles :
Jojo, de Jacques Brel
Jojo,
Voici donc quelques rires
Quelques vins quelques blondes
J'ai plaisir à te dire
Que la nuit sera longue
A devenir demain
Jojo,
Moi je t'entends rugir
Quelques chansons marines
Où des Bretons devinent
Que Saint-Cast doit dormir
Tout au fond du brouillard
Six pieds sous terre Jojo tu chantes encore
Six pieds sous terre tu n'es pas mort
Jojo,
Ce soir comme chaque soir
Nous refaisons nos guerres
Tu reprends Saint-Nazaire
Je refais l'Olympia
Au fond du cimetière Jojo,
Nous parlons en silence
D'une jeunesse vieille
Nous savons tous les deux
Que le monde sommeille
Par manque d'imprudence
Six pieds sous terre Jojo tu espères encore
Six pieds sous terre tu n'es pas mort
Jojo,
Tu me donnes en riant
Des nouvelles d'en bas
Je te dis mort aux cons
Bien plus cons que toi
Mais qui sont mieux portants
Jojo,
Tu sais le nom des fleurs
Tu vois que mes mains tremblent
Et je te sais qui pleure
Pour noyer de pudeur
Mes pauvres lieux communs
Six pieds sous terre Jojo tu frères encore
Six pieds sous terre tu n'es pas mort
Jojo.
Je te quitte au matin
Pour de vagues besognes
Parmi quelques ivrognes
Des amputés du cœur
Qui ont trop ouvert les mains
Jojo,
Je ne rentre plus nulle part
Je m'habille de nos rêves
Orphelin jusqu'aux lèvres
Mais heureux de savoir
Que je te viens déjà
Six pieds sous terre Jojo tu n'es pas mort
Six pieds sous terre Jojo je t'aime encore.
Jojo, de Jacques Brel
Jojo,
Voici donc quelques rires
Quelques vins quelques blondes
J'ai plaisir à te dire
Que la nuit sera longue
A devenir demain
Jojo,
Moi je t'entends rugir
Quelques chansons marines
Où des Bretons devinent
Que Saint-Cast doit dormir
Tout au fond du brouillard
Six pieds sous terre Jojo tu chantes encore
Six pieds sous terre tu n'es pas mort
Jojo,
Ce soir comme chaque soir
Nous refaisons nos guerres
Tu reprends Saint-Nazaire
Je refais l'Olympia
Au fond du cimetière Jojo,
Nous parlons en silence
D'une jeunesse vieille
Nous savons tous les deux
Que le monde sommeille
Par manque d'imprudence
Six pieds sous terre Jojo tu espères encore
Six pieds sous terre tu n'es pas mort
Jojo,
Tu me donnes en riant
Des nouvelles d'en bas
Je te dis mort aux cons
Bien plus cons que toi
Mais qui sont mieux portants
Jojo,
Tu sais le nom des fleurs
Tu vois que mes mains tremblent
Et je te sais qui pleure
Pour noyer de pudeur
Mes pauvres lieux communs
Six pieds sous terre Jojo tu frères encore
Six pieds sous terre tu n'es pas mort
Jojo.
Je te quitte au matin
Pour de vagues besognes
Parmi quelques ivrognes
Des amputés du cœur
Qui ont trop ouvert les mains
Jojo,
Je ne rentre plus nulle part
Je m'habille de nos rêves
Orphelin jusqu'aux lèvres
Mais heureux de savoir
Que je te viens déjà
Six pieds sous terre Jojo tu n'es pas mort
Six pieds sous terre Jojo je t'aime encore.
Hé, Mo! T'as jeté l'éponge pour le dialogue divin? Je pensais que t'en avais déjà écrit une tartine... Pourquoi cet abandon (si c'est pas trop indiscret)?
Hé, Mo! T'as jeté l'éponge pour le dialogue divin? Pourquoi cet abandon (si c'est pas trop indiscret)?Pas douée du tout pour les dialogues, et j'ai viré vers la philo pas drôle, mais alors pas drôle... Je vais faire un mini-polar, tout mini... C'est toi qui aimes ça ?
Mais le but, ce n'était pas de faire un texte drôle (même si un dialogue entre Dieu et un ange sérieux, ça risque de provoquer quelques baîllements, il est vrai). Quant aux dialogues, je vous crois que c'est la partie la plus difficile. A force d'essayer, ça viendra peut-être naturellement...
Quant au polar, je reste planter devant mon ordi et j'attends avec impatience les prochaines livraisons.
Quant au polar, je reste planter devant mon ordi et j'attends avec impatience les prochaines livraisons.
Mais le but, ce n'était pas de faire un texte drôle (même si un dialogue entre Dieu et un ange sérieux, ça risque de provoquer quelques baîllements, il est vrai)Va lire le texte de Yali, j'éructe de jalousie !!
Va lire le texte de Yali, j'éructe de jalousie !!
Pardon, c'était pour le plaisir de le relire. Ça c'est un gros compliment! Merci Mo.
Pardon, c'était pour le plaisir de le relire. Ça c'est un gros compliment! Merci Mo.
Pour le plaisir de Yali et le mien :
Orly, de Jacques Brel
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés
Semble-t-il l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire: je t'aime
Elle doit lui dire: je t'aime
Je crois qu'ils sont en train
De ne rien se promettre
C'est deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement ils pleurent
Ils pleurent à gros bouillons
Tout entourésqu'ils sont
D'adipeux en sueur
Et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L'exploir de les juger
Mais la vie ne fait pas de cadeau!
Et nom de dieu!
C'est triste Orly le dimanche
Avec ou sans Bécaud
Et maintenant ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui
Lorsque je disais il
Tout encastrés qu'ils sont
Ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment lentement ces deux corps
Se séparent et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis en reculant
Comme la mer se retire
Ils consomment l'adieu
Ils bavent quelques mots
Agitent une vague main
Et brusquement ils fuient
Fuient sans se retourner
Et puis il disparaît
Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau!
Et nom de dieu!
C'est triste Orly le dimanche
Avec ou sans Bécaud
Et puis il disparaît
Bouffé par l'escalier
Et elle elle reste là
Cœur en croix bouche ouverte
Sans un cri sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'a terre
Ça y est elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra ses projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là je le suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
C'est une des chansons de Brel que je préfère. Peut-être à cause du début (les deux premières lignes) ou la tristesse qui s'en dégage.
Orly, de Jacques Brel
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés
Semble-t-il l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire: je t'aime
Elle doit lui dire: je t'aime
Je crois qu'ils sont en train
De ne rien se promettre
C'est deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement ils pleurent
Ils pleurent à gros bouillons
Tout entourésqu'ils sont
D'adipeux en sueur
Et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L'exploir de les juger
Mais la vie ne fait pas de cadeau!
Et nom de dieu!
C'est triste Orly le dimanche
Avec ou sans Bécaud
Et maintenant ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui
Lorsque je disais il
Tout encastrés qu'ils sont
Ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment lentement ces deux corps
Se séparent et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis en reculant
Comme la mer se retire
Ils consomment l'adieu
Ils bavent quelques mots
Agitent une vague main
Et brusquement ils fuient
Fuient sans se retourner
Et puis il disparaît
Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau!
Et nom de dieu!
C'est triste Orly le dimanche
Avec ou sans Bécaud
Et puis il disparaît
Bouffé par l'escalier
Et elle elle reste là
Cœur en croix bouche ouverte
Sans un cri sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'a terre
Ça y est elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra ses projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là je le suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
C'est une des chansons de Brel que je préfère. Peut-être à cause du début (les deux premières lignes) ou la tristesse qui s'en dégage.
Et ça :
Dire que Fernand est mort
Dire qu'il est mort Fernand
Dire que je suis seul derrière
Dire qu'il est seul devant
Lui dans sa dernière bière
Moi dans mon brouillard
Lui dans son corbillard
Moi dans mon désert
Devant y a qu'un cheval blanc
Derrière y a que moi qui pleure
Dire qu' a même pas de vent
Pour agiter mes fleurs
Moi si j'étais l'Bon Dieu
Je crois qu'j'aurais des remords
Dire que maintenant il pleut
Dire que Fernand est mort
Dire qu'on traverse Paris
Dans le tout p'tit matin
Dire qu'on traverse paris
Et qu'on dirait Berlin
Toi, toi, toi tu sais pas
Tu dors mais c'est triste à mourir
D'être obligé d'partir
Quand Paris dort encore
Moi je crève d'envie
De réveiller des gens
J't'inventerai une famille
Juste pour ton enterrement
Et puis si j'étais l'Bon Dieu
Je crois que je ne serais pas fier
Je sais on fait ce qu'on peut
Mais il y a la manière
Tu sais je reviendrai
Je reviendrai souvent
Dans ce putain de champ
Où tu dois te reposer
L'été je ferai de l'ombre
On boira du silence
À la santé d'Constance
Qui se fout bien d'ton ombre
Et puis les adultes sont tellement cons
Qu'ils nous feront bien une guerre
Alors je viendrai pour de bon
Dormir dans ton cimetière
Et maintenant bon Dieu
Tu as bien rigolé
Et maintenant bon Dieu
Et maintenant j'vais pleurer
Celui-là il te bouffe les tripes !
Dire que Fernand est mort
Dire qu'il est mort Fernand
Dire que je suis seul derrière
Dire qu'il est seul devant
Lui dans sa dernière bière
Moi dans mon brouillard
Lui dans son corbillard
Moi dans mon désert
Devant y a qu'un cheval blanc
Derrière y a que moi qui pleure
Dire qu' a même pas de vent
Pour agiter mes fleurs
Moi si j'étais l'Bon Dieu
Je crois qu'j'aurais des remords
Dire que maintenant il pleut
Dire que Fernand est mort
Dire qu'on traverse Paris
Dans le tout p'tit matin
Dire qu'on traverse paris
Et qu'on dirait Berlin
Toi, toi, toi tu sais pas
Tu dors mais c'est triste à mourir
D'être obligé d'partir
Quand Paris dort encore
Moi je crève d'envie
De réveiller des gens
J't'inventerai une famille
Juste pour ton enterrement
Et puis si j'étais l'Bon Dieu
Je crois que je ne serais pas fier
Je sais on fait ce qu'on peut
Mais il y a la manière
Tu sais je reviendrai
Je reviendrai souvent
Dans ce putain de champ
Où tu dois te reposer
L'été je ferai de l'ombre
On boira du silence
À la santé d'Constance
Qui se fout bien d'ton ombre
Et puis les adultes sont tellement cons
Qu'ils nous feront bien une guerre
Alors je viendrai pour de bon
Dormir dans ton cimetière
Et maintenant bon Dieu
Tu as bien rigolé
Et maintenant bon Dieu
Et maintenant j'vais pleurer
Celui-là il te bouffe les tripes !
Benou@t, connais-tu la version salsa de "Ne me quittes pas" par Yuri Buenaventura ? Ça vaut le détour !
je suis preneuse... en wma...
Le temps d'une tite recherche, et Tom Wait's, au fait?
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