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Je suis en train de déployer des efforts inattendus pour entrer dans ce foutu bouquin. Je suis un vieux et bienveillant lecteur d' Umberto Eco, mais là tout à coup panne d'enthousiasme.
J'avais abordé l'histoire des fameux Protocoles au travers de "l'Apocalypse de notre temps" d'Henri Rollin et je salivais à l'avance le traitement qu'en ferait l'auteur de la Guerre du Faux. Cependant, page 125, le livre ne cesse pas de me retomber des mains sans que je parvienne encore à comprendre pourquoi est-il ainsi truffé de recettes de cuisine ?
J'avais abordé l'histoire des fameux Protocoles au travers de "l'Apocalypse de notre temps" d'Henri Rollin et je salivais à l'avance le traitement qu'en ferait l'auteur de la Guerre du Faux. Cependant, page 125, le livre ne cesse pas de me retomber des mains sans que je parvienne encore à comprendre pourquoi est-il ainsi truffé de recettes de cuisine ?
Il nous arrive parfois, sans explication rationnelle, de ne pas pouvoir entrer dans un livre, même s'il est écrit par un auteur que l'on connait, que l'on aime... Pour "Le cimetière de Prague" je ne dis encore rien car je ne l'ai pas encore ouvert... une affaire à suivre et bon courage si tu t'y remets...
Il nous arrive parfois, sans explication rationnelle, de ne pas pouvoir entrer dans un livre, même s'il est écrit par un auteur que l'on connait, que l'on aime... Pour "Le cimetière de Prague" je ne dis encore rien car je ne l'ai pas encore ouvert... une affaire à suivre et bon courage si tu t'y remets...
Comme tu dis, la mayonnaise ne prends pas à tous les coups, moi, il m'arrive souvent de mettre un peu de temps à changer de livre !
Etrange...J'ai,de plus en plus souvent,ce même problème que vous..??
Est-ce une question d'âge??...
On pourrait le penser!
D'ailleurs,j'ai fini par abandonner romans et autres textes de "l'imaginaire"..sauf une "lecture" passionnée de poésie:pas,plus de correspondances depuis quelque temps avec le reste...
Alors,replongée dans mon genre préféré finalement-politico-économique et sociologique -et qui,j'avoue, me satisfait ++++.
Est-ce une question d'âge??...
On pourrait le penser!
D'ailleurs,j'ai fini par abandonner romans et autres textes de "l'imaginaire"..sauf une "lecture" passionnée de poésie:pas,plus de correspondances depuis quelque temps avec le reste...
Alors,replongée dans mon genre préféré finalement-politico-économique et sociologique -et qui,j'avoue, me satisfait ++++.
Pour Ecco,sans doute,Sept tiques,est-tu plus ou moins influencé par les nombreuses polémiques récentes autour de ce bouquin et des idées d'Ecco??..
J'ai un peu le même problème avec "Le Bruit et la fureur" de W.Faulkner. Ce sont des oeuvres qui demandent beaucoup d'implication de la part du lecteur. Il s'agit presque d'un processus d'initiation ou d'envoûtement.
Il faut être réceptif et actif. Sinon à reprendre plus tard!
Il faut être réceptif et actif. Sinon à reprendre plus tard!
Si mes souvenirs sont bons, dans son bouquin "Comme un roman", Pennac édicte une série de lois du lecteur, dont celles de sauter des pages.
Dans le cas présent, j'ai eu du mal à passer toutes les pages qui correspondent à la partie italienne du héros, tout ce qui concerne Garibaldi, par manque de connaissances historiques sur le sujet.
Un fois passé ce cap, le reste de l'histoire m'a passionné.
Cependant, l'écriture de Eco demande une attention soutenue car le vocabulaire est riche, on frise parfois la démonstration de culture, et les sous-intrigues nombreuses.
Les 500 pages sont finalement passées trop vite...
Dans le cas présent, j'ai eu du mal à passer toutes les pages qui correspondent à la partie italienne du héros, tout ce qui concerne Garibaldi, par manque de connaissances historiques sur le sujet.
Un fois passé ce cap, le reste de l'histoire m'a passionné.
Cependant, l'écriture de Eco demande une attention soutenue car le vocabulaire est riche, on frise parfois la démonstration de culture, et les sous-intrigues nombreuses.
Les 500 pages sont finalement passées trop vite...
J'ai un peu le même problème avec "Le Bruit et la fureur" de W.Faulkner. Ce sont des oeuvres qui demandent beaucoup d'implication de la part du lecteur. Il s'agit presque d'un processus d'initiation ou d'envoûtement.Je me demande si la 2e partie, celle de 1910, n'est pas un peu plus faible que le reste.
Il faut être réceptif et actif. Sinon à reprendre plus tard!
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