C'est pour ça que les étoiles sont mieux au ciel que sur CL.ça se discute : la majorité a presque toujours tort. Et puis une moyenne, ça n'est jamais qu'un avis mou.
... à moins de s'enquérir de savoir comment note le critique. Et c'est là que la moyenne me paraît plus parlante que le nombre d'étoiles émis par l'auteur de la critique principale. Elle devrait, d'ailleurs, y être substituée comme référence, à mon sens.
Et mettre des notes à des œuvres littéraires, franchement.
Le résultat est toujours discutable, je l'accorde, mais il est tout de même indéniable qu'il est plus parlant qu'une subjectivité individuelle.
Si la majorité a presque toujours tort, il en va de même, par nature, pardon pour la lapalissade, du plus grand nombre de ceux qui la composent.
Tout dépend, après, de la méthode d'interprétation, le critère-clé étant la caractéristique des lecteurs du site, comme pour les critiques de film dans Télérama, Première ou les Cahiers du cinéma. Il est évident qu'un chiffre, pris isolément, ne signifie jamais grand-chose. Ce n'est qu'un indicateur à contextualiser et analyser, et c'est bien là que le contenu des critiques y aide, comme le profil général des lecteurs et celui singulier de chaque critique.
Si la majorité a presque toujours tort, il en va de même, par nature, pardon pour la lapalissade, du plus grand nombre de ceux qui la composent.
Tout dépend, après, de la méthode d'interprétation, le critère-clé étant la caractéristique des lecteurs du site, comme pour les critiques de film dans Télérama, Première ou les Cahiers du cinéma. Il est évident qu'un chiffre, pris isolément, ne signifie jamais grand-chose. Ce n'est qu'un indicateur à contextualiser et analyser, et c'est bien là que le contenu des critiques y aide, comme le profil général des lecteurs et celui singulier de chaque critique.
Le résultat est toujours discutable, je l'accorde, mais il est tout de même indéniable qu'il est plus parlant qu'une subjectivité individuelle.Je ne suis pas d'accord, Ven ; concernant la littérature je ne crois qu'à la subjectivité individuelle. C'est pour ça que je considère les comités de lecture des maisons d'édition comme des machines à fabriquer du mou - d'ailleurs rien de bien n'est jamais sorti de l'édition sans l'engagement fort d'un individu.
En pratique, dans mes lectures, ça se traduit par ne suivre les recommandations que des lecteurs qui ont ma confiance, et me méfier des consensus : si un livre qui sort connaît un grand succès, il y a fort à parier que le livre est moyen.
Que la subjectivité l'emporte, je le conçois fort bien. Or, nous ne sommes pas un comité de lecture, et cette moyenne m'apparaît comme un amat de subjectivités individuelles, et elle est déjà plus parlante que la note mise par l'auteur de la critique initiale. Les appréciations quantitatives et chiffrées ont de fortes limites en matière artistique, et ce n'était pas tout à fait mon propos : je ne me faisais pas le défenseur absolu de la notion de moyenne, et il me semble bien avoir pris soin d'avoir relativisé mon propos, en évoquant la nécessaire interprétation de ces données chiffrées, mais peut-être ai-je mal exprimé le fond de ma pensée.
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