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Dans cette « dictée « magistrale de Georges Simenon, j’ai relevé un passage qui pourrait susciter – peut-être – quelques commentaires de la part de certains d’entre nous, principalement ceux fréquentent le forum « vos écrits « . :
« Nous étions un après-midi sur les Grands Boulevards avec Henri Duvernois et il me disait, la main sur mon épaule, car il était beaucoup plus grand que moi : - Il y a un moment dans la vie, Sim, où on ne peut plus faire l’amour ! Et bien, à ce moment-là, on ne trouve plus en soi matière à écrire. On le fait quand même, à cause de l’habitude, des besoins d’argent, d’une certaine gloriole. Mais je peux t’avouer que, depuis trois ans , je fais du faux Duvernois, autrement dit, je me plagie. «
« Nous étions un après-midi sur les Grands Boulevards avec Henri Duvernois et il me disait, la main sur mon épaule, car il était beaucoup plus grand que moi : - Il y a un moment dans la vie, Sim, où on ne peut plus faire l’amour ! Et bien, à ce moment-là, on ne trouve plus en soi matière à écrire. On le fait quand même, à cause de l’habitude, des besoins d’argent, d’une certaine gloriole. Mais je peux t’avouer que, depuis trois ans , je fais du faux Duvernois, autrement dit, je me plagie. «
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