D'accord avec ta critique mon cher Florian. Ce livre est d'une incommensurable platitude, on devrait le qualifier de huis-clos merdique et non nordique. Quelle daube et cependant j'ai été douce dans ma critique mais quand j'y repense...
??? C'est la même Dirlandaise qui a mis 3* ????
Manifestement Florian n'est pas entré dans "La délégation norvégienne". Ce sont des choses qui arrivent ...
Manifestement Florian n'est pas entré dans "La délégation norvégienne". Ce sont des choses qui arrivent ...
De l'incroyable mais réelle propension qu'ont certains à créer un forum pour n'avoir rien d'argumenté ni de constructif à dire...
D'accord avec ta critique mon cher Florian. Ce livre est d'une incommensurable platitude, on devrait le qualifier de huis-clos merdique et non nordique. Quelle daube et cependant j'ai été douce dans ma critique mais quand j'y repense...
De l'incroyable mais réelle propension qu'ont certains à créer un forum pour n'avoir rien d'argumenté ni de constructif à dire...
La schizophrénie de notre "amie" fait de très grands progrès !...
J'ai l'impression que le "coup" du massicotage n'a pas été compris par tout le monde !!! (cf dernière critique éclair de Maria Rosa)
Moi j'ai énormément apprécié ce livre et les critiques de Shelton, Tistou, Débézed. J'ai l'impression qu'on est en train d'utilser le mot "daube" à toutes les sauces...:-(((
J'ai l'impression que le "coup" du massicotage n'a pas été compris par tout le monde !!! (cf dernière critique éclair de Maria Rosa)
Tu as sans doute raison, je n'ai probablement rien, mais alors là rien compris du tout. Mais alors c'est que je me suis trompée de "produit" parce que je n'appelle plus cela un livre mais un "produit".
Je crois qu'on est là vraiment dans le cadre du "ressenti" (voir fil "le lecteur a toujours raison"). Je trouve ça en fait extrêmement interessant qu'il puisse y avoir des opinions aussi contraires !Là pour le coup certains lecteurs ne se sont pas approprié l'oeuvre mais l'on rejetée...
J'aime bien quand il y a un véritable clivage sur un livre et sa lecture. Après, il faut se respecter et argumenter. Au moins, un vrai débat littéraire et non politique ou religieux...
Par contre, le titre du fuseau n'est pas très respectueux de la lecture de ceux qui ont aimé...
Par contre, le titre du fuseau n'est pas très respectueux de la lecture de ceux qui ont aimé...
J'ai l'impression que le "coup" du massicotage n'a pas été compris par tout le monde !!! (cf dernière critique éclair de Maria Rosa)
Tu as sans doute raison, je n'ai probablement rien, mais alors là rien compris du tout. Mais alors c'est que je me suis trompée de "produit" parce que je n'appelle plus cela un livre mais un "produit".
Mais, Maria Rosa, pour aller plus loin, qu'as-tu compris, toi, du coup du massicotage ?
J'aime bien quand il y a un véritable clivage sur un livre et sa lecture. Après, il faut se respecter et argumenter. Au moins, un vrai débat littéraire et non politique ou religieux...
Par contre, le titre du fuseau n'est pas très respectueux de la lecture de ceux qui ont aimé...
Bien d'accord avec toi Shelton, avant de dire "un huis clos merdique", il me semble qu'il faut d'abord se dire : Qu'est-ce que, moi, je n'ai pas compris si ça fait autant l'unanimité ? Surtout que parmi les critiqueurs, il y a plein de gens que j'apprécie.
@ Tistou :
Le massicotage je l'ai d'abord vu comme une intention ludique de la part de l'auteur, afin de créer le suspense. J'ai pensé naïvement (et même bêtement si l'on veut) que j'allais y trouver la clé du livre...
Ensuite, je me suis dit qu'il s'agissait de faire "sortir" les personnages du livre et ainsi devenir acteur de ce que l'on lit...
Je ne sais pas si je me fais comprendre.
En réalité, j'ai été particulièrement déçue et c'est ça que je veux dire dans tout ce qui peut apparaître négatif dans mon avis. J'en attendais tellement. Je me demande même pourquoi j'en attendais autant. C'est un peu puéril.
Moi je dirais plutôt faire intervenir le lecteur dans le déroulé du roman ... C'est dommage, je n'ai pas le bouquin sous la main, sinon je t'aurais détaillé davantage cela ... Il faut que je mette la main sur un exemplaire ! Peut-être vendredi ou samedi, je fais ma tournée des Médiathèques !
C'est super gentil ça, Tistou !
Je crois que certaines critiques très élogieuses peuvent parfois devenir défavorables au roman. Les lecteurs en attendent beaucoup et l'effet de surprise ne peut avoir lieu et dans ce roman je trouve que cet effet est essentiel. Moi je l'ai découvert par hasard et j'ai particulièrement apprécié les critiques qui correspondaient complètement à ce que j'avais ressenti. Mais en aurait-il été de même si je l'avais découvert après les critiques ?....
Tout à fait d'accord avec Pieronnelle, je pense avoir d'autant plus apprécié ce roman que je l'ai découvert au hasard, sans que personne ne me le conseille, ni ne me le déconseille d'ailleurs...
Pour ce qui est des pages non-massicotées, je peux comprendre que, si certains s'attendaient à y trouver une fin rebondissante, ou encore un terrible secret croustillant à la Da Vinci Code, ils aient été déçus.
J'ai pour ma part éprouvé un certain vertige au moment de la décision finale : je déchire ou pas ?
Très belle tentative de l'auteur qui permet à chacun de se retrouver face au lecteur qu'il est, et qu'il n'a finalement pas souvent l'occasion de rencontrer.
Et puis quoi, le reste du roman est quand même vachement prenant, faut pas pousser...
Apprécier un livre, ça ne se fait pas en bouffant les pages du milieu pour atteindre vite vite la fin et l'incroyable époustouflant dénouement qu'on nous a promis.
Pour ce qui est des pages non-massicotées, je peux comprendre que, si certains s'attendaient à y trouver une fin rebondissante, ou encore un terrible secret croustillant à la Da Vinci Code, ils aient été déçus.
J'ai pour ma part éprouvé un certain vertige au moment de la décision finale : je déchire ou pas ?
Très belle tentative de l'auteur qui permet à chacun de se retrouver face au lecteur qu'il est, et qu'il n'a finalement pas souvent l'occasion de rencontrer.
Et puis quoi, le reste du roman est quand même vachement prenant, faut pas pousser...
Apprécier un livre, ça ne se fait pas en bouffant les pages du milieu pour atteindre vite vite la fin et l'incroyable époustouflant dénouement qu'on nous a promis.
Le coup des pages de massicotées, je n'ai pas compris du tout (comme je le dis dans ma critique). Et j'ai vraiment trouvé la fin ratée, car comme Maria-Rosa, j'en attendais beaucoup. Si j'en attendais beaucoup, c'est parce que le début m'avait beaucoup plu, surtout l'atmosphère de chasse et de huis-clos dans la nature.
Cette réflexion m'est venue hier soir très tard en lisant la critique de ce pauvre jeune homme qui a acheté le livre plein d'espoir en s'appuyant sur les critiques dithyrambiques qu'il a récoltées et je me suis mise à réfléchir sur la mienne et je me suis souvenu de mon état d'esprit en la rédigeant à savoir que je me suis creusé la cervelle afin de trouver du positif à tout prix. Pourquoi ai-je fait cela ? Je ne sais trop... tout comme Maria-Rosa, j'ai probablement eu peur de me démarquer face à tous ces éloges et je me suis dit que je n'avais pas bien saisi le propos et l'intention de l'auteur et tout ce blabla quand on trouve un livre m........ et qu'on ne veut pas se l'avouer à soi-même car on ne se fait pas assez confiance et on laisse la majorité nous guider et nous influencer indûment. En psychanalyse, il serait intéressant d'étudier le phénomène mais enfin, j'ai regretté mon absence d'honnêteté face à moi-même sur ce coup-là et j'ai seulement tenu à rectifier mon avis tout simplement et la phrase est sortie spontanément et je l'ai écrite tout aussi spontanément mais du coup, j'ai encore une fois regretté de l'avoir fait et j'ai eu peur des conséquences.
"Apprécier un livre, ça ne se fait pas en bouffant les pages du milieu pour atteindre vite vite la fin et l'incroyable époustouflant dénouement qu'on nous a promis."
Il est vrai qu'apprécier un livre, ce n'est pas toujours cela mais tout dépend du style de livre. Pour apprécier un livre lentement, page par page, il faut tout de même y trouver une certaine qualité littéraire et artistique ou philosophique. Il faut que les idées exprimées dans le livre nous touchent et soient profondes et belles. Voilà un livre qui se déguste petit à petit. Mais quand on lit un livre de ce niveau, on s'attend à y trouver une intrigue un tant soit peu palpitante puisque le reste est absent mais ici, rien de tel. Donc, je comprends la déception du jeune homme et son impression d'avoir été floué et du coup, j'ai regretté ma critique trop douce et complaisante.
Jeune homme, tournez-vous vers de meilleurs livres et laissez ce genre de nullité... oups pardon... ce genre de style littéraire plat et sans saveur à ceux qui l'apprécient et en font leur miel. Vous valez certainement mieux que cela.
"Apprécier un livre, ça ne se fait pas en bouffant les pages du milieu pour atteindre vite vite la fin et l'incroyable époustouflant dénouement qu'on nous a promis."
Il est vrai qu'apprécier un livre, ce n'est pas toujours cela mais tout dépend du style de livre. Pour apprécier un livre lentement, page par page, il faut tout de même y trouver une certaine qualité littéraire et artistique ou philosophique. Il faut que les idées exprimées dans le livre nous touchent et soient profondes et belles. Voilà un livre qui se déguste petit à petit. Mais quand on lit un livre de ce niveau, on s'attend à y trouver une intrigue un tant soit peu palpitante puisque le reste est absent mais ici, rien de tel. Donc, je comprends la déception du jeune homme et son impression d'avoir été floué et du coup, j'ai regretté ma critique trop douce et complaisante.
Jeune homme, tournez-vous vers de meilleurs livres et laissez ce genre de nullité... oups pardon... ce genre de style littéraire plat et sans saveur à ceux qui l'apprécient et en font leur miel. Vous valez certainement mieux que cela.
Cette réflexion m'est venue hier soir très tard en lisant la critique de ce pauvre jeune homme qui a acheté le livre plein d'espoir en s'appuyant sur les critiques dithyrambiques qu'il a récoltées et je me suis mise à réfléchir sur la mienne et je me suis souvenu de mon état d'esprit en la rédigeant à savoir que je me suis creusé la cervelle afin de trouver du positif à tout prix. Pourquoi ai-je fait cela ? Je ne sais trop... tout comme Maria-Rosa, j'ai probablement eu peur de me démarquer face à tous ces éloges et je me suis dit que je n'avais pas bien saisi le propos et l'intention de l'auteur et tout ce blabla quand on trouve un livre m........ et qu'on ne veut pas se l'avouer à soi-même car on ne se fait pas assez confiance et on laisse la majorité nous guider et nous influencer indûment. En psychanalyse, il serait intéressant d'étudier le phénomène mais enfin, j'ai regretté mon absence d'honnêteté face à moi-même sur ce coup-là et j'ai seulement tenu à rectifier mon avis tout simplement et la phrase est sortie spontanément et je l'ai écrite tout aussi spontanément mais du coup, j'ai encore une fois regretté de l'avoir fait et j'ai eu peur des conséquences.
"Apprécier un livre, ça ne se fait pas en bouffant les pages du milieu pour atteindre vite vite la fin et l'incroyable époustouflant dénouement qu'on nous a promis."
Il est vrai qu'apprécier un livre, ce n'est pas toujours cela mais tout dépend du style de livre. Pour apprécier un livre lentement, page par page, il faut tout de même y trouver une certaine qualité littéraire et artistique ou philosophique. Il faut que les idées exprimées dans le livre nous touchent et soient profondes et belles. Voilà un livre qui se déguste petit à petit. Mais quand on lit un livre de ce niveau, on s'attend à y trouver une intrigue un tant soit peu palpitante puisque le reste est absent mais ici, rien de tel. Donc, je comprends la déception du jeune homme et son impression d'avoir été floué et du coup, j'ai regretté ma critique trop douce et complaisante.
Jeune homme, tournez-vous vers de meilleurs livres et laissez ce genre de nullité... oups pardon... ce genre de style littéraire plat et sans saveur à ceux qui l'apprécient et en font leur miel. Vous valez certainement mieux que cela.
"Apprécier un livre, ça ne se fait pas en bouffant les pages du milieu pour atteindre vite vite la fin et l'incroyable époustouflant dénouement qu'on nous a promis."
Il est vrai qu'apprécier un livre, ce n'est pas toujours cela mais tout dépend du style de livre. Pour apprécier un livre lentement, page par page, il faut tout de même y trouver une certaine qualité littéraire et artistique ou philosophique. Il faut que les idées exprimées dans le livre nous touchent et soient profondes et belles. Voilà un livre qui se déguste petit à petit. Mais quand on lit un livre de ce niveau, on s'attend à y trouver une intrigue un tant soit peu palpitante puisque le reste est absent mais ici, rien de tel. Donc, je comprends la déception du jeune homme et son impression d'avoir été floué et du coup, j'ai regretté ma critique trop douce et complaisante.
Jeune homme, tournez-vous vers de meilleurs livres et laissez ce genre de nullité... oups pardon... ce genre de style littéraire plat et sans saveur à ceux qui l'apprécient et en font leur miel. Vous valez certainement mieux que cela.
Tout le monde ne peut pas aimer le même livre, ce serait d'une tristesse...
L'important c'est le respect du choix des autres.
Pour l'explication du massicotage, j'ai trouvé un article qui exprimait bien mon ressenti.
"Hugo Boris en choisissant une narration « culpabilisante » a probablement parié sur le fait que, rien qu’en la lisant, seul le lecteur allait commettre ou pas le crime de cette Délégation norvégienne. Armez-vous donc d’une arme blanche, ne serait-ce que d’un coupe-papier, pour connaître le dénouement en démassicotant les dernières pages, car en prenant la décision de vous arrêter ou pas à la 265ème page, vous commettrez ou pas un crime."
http://calounet.pagesperso-orange.fr/resumes_livre…
L'important c'est le respect du choix des autres.
Pour l'explication du massicotage, j'ai trouvé un article qui exprimait bien mon ressenti.
"Hugo Boris en choisissant une narration « culpabilisante » a probablement parié sur le fait que, rien qu’en la lisant, seul le lecteur allait commettre ou pas le crime de cette Délégation norvégienne. Armez-vous donc d’une arme blanche, ne serait-ce que d’un coupe-papier, pour connaître le dénouement en démassicotant les dernières pages, car en prenant la décision de vous arrêter ou pas à la 265ème page, vous commettrez ou pas un crime."
http://calounet.pagesperso-orange.fr/resumes_livre…
Tout le monde ne peut pas aimer le même livre, ce serait d'une tristesse...
L'important c'est le respect du choix des autres.
Pour l'explication du massicotage, j'ai trouvé un article qui exprimait bien mon ressenti.
"Hugo Boris en choisissant une narration « culpabilisante » a probablement parié sur le fait que, rien qu’en la lisant, seul le lecteur allait commettre ou pas le crime de cette Délégation norvégienne. Armez-vous donc d’une arme blanche, ne serait-ce que d’un coupe-papier, pour connaître le dénouement en démassicotant les dernières pages, car en prenant la décision de vous arrêter ou pas à la 265ème page, vous commettrez ou pas un crime."
http://calounet.pagesperso-orange.fr/resumes_livre…
Là, c'est déjà un peu plus clair.
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