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Saule a raison : à remuer les "fonds de tiroirs" de critiques-libres on découvre des choses amusantes et aussi passionnantes.
L'excellente précision de Le Mont Carmel, par exemple, est venue bien à point.
La dernière fois qu'un Pape a usé de son infaillibilité c'était Pie XII, le 1er novembre 1950
…Y a pas abus !
Très amusante aussi, la description du rite dominical selon Bolcho…
Mais, heureux celui qui a perçu la divinité, lors d'une cérémonie sacrée, un samedi soir dans la pénombre d'une vieille église et qui a entendu son cœur chanté quand s'est élevé le Laudamus Te !
Après tout, Claudel n'est-il pas revenu à Dieu dans l'envoûtement d'un office à notre Dame de Paris ?…
Tiens, Bolcho, tu nous dit : un livre c'est sacré ! …Oui, c'est vrai pour la plupart, mais pas pour tous, quand-même !
Saule a raison : à remuer les "fonds de tiroirs" de critiques-libres on découvre des choses amusantes et aussi passionnantes.
L'excellente précision de Le Mont Carmel, par exemple, est venue bien à point.
La dernière fois qu'un Pape a usé de son infaillibilité c'était Pie XII, le 1er novembre 1950
…Y a pas abus !
Très amusante aussi, la description du rite dominical selon Bolcho…
Mais, heureux celui qui a perçu la divinité, lors d'une cérémonie sacrée, un samedi soir dans la pénombre d'une vieille église et qui a entendu son cœur chanté quand s'est élevé le Laudamus Te !
Après tout, Claudel n'est-il pas revenu à Dieu dans l'envoûtement d'un office à notre Dame de Paris ?…
Tiens, Bolcho, tu nous dit : un livre c'est sacré ! …Oui, c'est vrai pour la plupart, mais pas pour tous, quand-même !
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L'excellente précision de Le Mont Carmel, par exemple, est venue bien à point.
La dernière fois qu'un Pape a usé de son infaillibilité c'était Pie XII, le 1er novembre 1950
…Y a pas abus !
Très amusante aussi, la description du rite dominical selon Bolcho…
Mais, heureux celui qui a perçu la divinité, lors d'une cérémonie sacrée, un samedi soir dans la pénombre d'une vieille église et qui a entendu son cœur chanté quand s'est élevé le Laudamus Te !
Après tout, Claudel n'est-il pas revenu à Dieu dans l'envoûtement d'un office à notre Dame de Paris ?…
Tiens, Bolcho, tu nous dit : un livre c'est sacré ! …Oui, c'est vrai pour la plupart, mais pas pour tous, quand-même !
Saule a raison : à remuer les "fonds de tiroirs" de critiques-libres on découvre des choses amusantes et aussi passionnantes.
L'excellente précision de Le Mont Carmel, par exemple, est venue bien à point.
La dernière fois qu'un Pape a usé de son infaillibilité c'était Pie XII, le 1er novembre 1950
…Y a pas abus !
Très amusante aussi, la description du rite dominical selon Bolcho…
Mais, heureux celui qui a perçu la divinité, lors d'une cérémonie sacrée, un samedi soir dans la pénombre d'une vieille église et qui a entendu son cœur chanté quand s'est élevé le Laudamus Te !
Après tout, Claudel n'est-il pas revenu à Dieu dans l'envoûtement d'un office à notre Dame de Paris ?…
Tiens, Bolcho, tu nous dit : un livre c'est sacré ! …Oui, c'est vrai pour la plupart, mais pas pour tous, quand-même !
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Je partage l'avis de Saint Jean Baptiste en ce qui concerne Camus. l'Etranger, que Camus a écrit à 27 ans, est un livre capable de susciter le doute chez le croyant le plus convaincu. Dieu y est complètement absent. Par contre dans la Chute, même si l'existence de Dieu est niée on sent sa présence ou du moins un questionnement ardent quant à son existence. Je me suis fait la réflexion après avoir lu la Chute qu'il aurait été très intéressant de savoir ce que Camus aurait écrit à 70 ans.
Pascal disait qu'on ne se mettait pas à la recherche de Dieu si on ne l'avait pas déjà trouvé. C'est possible que Camus l'avait aussi trouvé, sans le savoir.
L'autre question soulevée, celle du dogme, est délicate, je ne me risque pas sur ce terrain...
NB: après les Mauriac, faudra-t-il se coller les Claudel ? La critique de Platonov sur l'Annonciation faite à Marie ne m'y incite pas... quelqu'un a-t-il un avis ou un conseil sur Claudel ?
Pascal disait qu'on ne se mettait pas à la recherche de Dieu si on ne l'avait pas déjà trouvé. C'est possible que Camus l'avait aussi trouvé, sans le savoir.
L'autre question soulevée, celle du dogme, est délicate, je ne me risque pas sur ce terrain...
NB: après les Mauriac, faudra-t-il se coller les Claudel ? La critique de Platonov sur l'Annonciation faite à Marie ne m'y incite pas... quelqu'un a-t-il un avis ou un conseil sur Claudel ?
Saule a raison : à remuer les "fonds de tiroirs" de critiques-libres on découvre des choses amusantes et aussi passionnantes.
L'excellente précision de Le Mont Carmel, par exemple, est venue bien à point.
La dernière fois qu'un Pape a usé de son infaillibilité c'était Pie XII, le 1er novembre 1950
…Y a pas abus !
Très amusante aussi, la description du rite dominical selon Bolcho…
Mais, heureux celui qui a perçu la divinité, lors d'une cérémonie sacrée, un samedi soir dans la pénombre d'une vieille église et qui a entendu son cœur chanté quand s'est élevé le Laudamus Te !
Après tout, Claudel n'est-il pas revenu à Dieu dans l'envoûtement d'un office à notre Dame de Paris ?…
Tiens, Bolcho, tu nous dit : un livre c'est sacré ! …Oui, c'est vrai pour la plupart, mais pas pour tous, quand-même !
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