Admets quand même que tu Tamtam au TomTom, il y a eu un vrai progrès.. :o)Non bien sûr ! Car sinon vous seriez arrivé(e) à destination bien avant la fin des calculs ! Nos amis les mathématiciens ont développé pour vous (et d’autres utilisateurs de nouvelles technologies) des méthodes de recherche de solutions optimales qui rentrent dans le cadre des quelques explications que j’ai cherché à vous instiller.Ben oui, exactement. Et donc ils n'ont pas (encore) pu résoudre le problème et on doit se contenter d'approximations :-(. J'ai d'ailleurs très bien remarqué que mon TomTom ne me donne pas toujours le chemin le plus court!
Bien à vous.
Admets quand même que tu Tamtam au TomTom, il y a eu un vrai progrès.. :o)
Benny Hill sors de ce corps!:)
(moi j'avais pensé à Nana, question de génération:) )...
Pour la plaque, je mets ma main à couper. C'set à Paris. Je te dirai que c'est à Montmartre puisque c'était le gros village à l'époque. Peut être que cette plaque a été ôtée. Crois moi, dès que j'en sais plus, tu seras le premier averti. Il faudrait peut-être demandé aux Cliens qui y résident s'ils ont déjà vu cette plaque ou s'ils ont eu l'occasion d'en entendre parler.Ça, en revanche, c’est une excellente idée, de demander à quelqu’un d’aller voir sur place, et même de prendre une photo de la fameuse plaque (photo dont je serais ravi qu’on me l’envoie, et qui ferait une magnifique illustration de la légende du cosaque)..
Y a-t-il un parisien dans l'avion ?? (forte récompense.. :o)..)
(je suppose qu’on n’en est plus à discuter du fait que la dite plaque démontrerait quoi que ce soit sur la réalité de l’histoire du cosaque assoiffé : il est bien clair que cette plaque ne pourrait qu’illustrer, par exemple, le désir d’un bistrotier à augmenter son chiffre d’affaire à l’aide d’une histoire dont il se contrefout de savoir si elle est vraie ou si elle est fausse)
Admets quand même que tu Tamtam au TomTom, il y a eu un vrai progrès.. :o)
Benny Hill sors de ce corps!:)
(moi j'avais pensé à Nana, question de génération:) )...
Dis, Nana, tu es allée faire ta bonne action, là-bas, de l'autre côté (sur le versant obscur de la Force..) ??
Dis, Nana, tu es allée faire ta bonne action, là-bas, de l'autre côté (sur le versant obscur de la Force..) ??
Bien sûr, même torquemada devra se remettre de mon cours d'ancien français...Tellement il est bien!
"Il fait un vent à écorner les boeufs".
Jadis, lorsque les éleveurs devaient écorner leurs boeufs, ils choisissaient un jour de grand vent. En effet, la cicatrisation était facilitée parce que les mouches qui se seraient collées aux blessures ne volent pas par grand vent...
Jadis, lorsque les éleveurs devaient écorner leurs boeufs, ils choisissaient un jour de grand vent. En effet, la cicatrisation était facilitée parce que les mouches qui se seraient collées aux blessures ne volent pas par grand vent...
Beaucoup plus aléatoire. Le mot "Golf" serait né en Ecosse parce qu'on affichait à l'entrée du premier club de golf (St-Andrew) : "Gentlemen Only, Ladies Forbidden". A vérifier.
"Il fait un vent à écorner les boeufs".
Jadis, lorsque les éleveurs devaient écorner leurs boeufs, ils choisissaient un jour de grand vent. En effet, la cicatrisation était facilitée parce que les mouches qui se seraient collées aux blessures ne volent pas par grand vent...
Ah ! Je connais bien l'expression, mais avec "décorner", pas avec "écorner"... ??
Le TLFi donne l'expression avec "décorner", en illustrant de quelques beaux exemples : "Il fait un vent à décorner les maris à quatre lieues à la ronde (MALLARMÉ, Corresp., 1863, p. 97)".. :o)
Ça, en revanche, c’est une excellente idée, de demander à quelqu’un d’aller voir sur place, et même de prendre une photo de la fameuse plaque (photo dont je serais ravi qu’on me l’envoie, et qui ferait une magnifique illustration de la légende du cosaque)..
Y a-t-il un parisien dans l'avion ?? (forte récompense.. :o)..)
Le parigot et la parigote ne se précipitent pas au portillon.. :o((
Aria, qu'est-ce que tu fais demain ?? :o))
"Il fait un vent à écorner les boeufs".
Jadis, lorsque les éleveurs devaient écorner leurs boeufs, ils choisissaient un jour de grand vent. En effet, la cicatrisation était facilitée parce que les mouches qui se seraient collées aux blessures ne volent pas par grand vent...
Ah ! Je connais bien l'expression, mais avec "décorner", pas avec "écorner"... ??
Le TLFi donne l'expression avec "décorner", en illustrant de quelques beaux exemples : "Il fait un vent à décorner les maris à quatre lieues à la ronde (MALLARMÉ, Corresp., 1863, p. 97)".. :o)
La question serait de savoir si l'on se contentait de couper un morceau de corne aux boeufs et à quel niveau... Si c'était à ras de la tête, on peut comprendre "décorner".
Il faudrait déjà admettre que l'expression vient du fait que les éleveurs coupent les cornes des boeufs. Pour moi, a priori, un vent "à décorner les boeufs", c'est simplement un vent tellement fort qu'il est capable d'ARRACHER les cornes des boeufs."Il fait un vent à écorner les boeufs".
Jadis, lorsque les éleveurs devaient écorner leurs boeufs, ils choisissaient un jour de grand vent. En effet, la cicatrisation était facilitée parce que les mouches qui se seraient collées aux blessures ne volent pas par grand vent...
Ah ! Je connais bien l'expression, mais avec "décorner", pas avec "écorner"... ??
Le TLFi donne l'expression avec "décorner", en illustrant de quelques beaux exemples : "Il fait un vent à décorner les maris à quatre lieues à la ronde (MALLARMÉ, Corresp., 1863, p. 97)".. :o)
La question serait de savoir si l'on se contentait de couper un morceau de corne aux boeufs et à quel niveau... Si c'était à ras de la tête, on peut comprendre "décorner".
Le TLFi donne l'expression avec "décorner", en illustrant de quelques beaux exemples : "Il fait un vent à décorner les maris à quatre lieues à la ronde (MALLARMÉ, Corresp., 1863, p. 97)".. :o)
J'ai plus usé de celle-ci avec une terminologie moins élégante toutefois ... j'avoue !
Il faudrait déjà admettre que l'expression vient du fait que les éleveurs coupent les cornes des boeufs. Pour moi, a priori, un vent "à décorner les boeufs", c'est simplement un vent tellement fort qu'il est capable d'ARRACHER les cornes des boeufs.
La question serait de savoir si l'on se contentait de couper un morceau de corne aux boeufs et à quel niveau... Si c'était à ras de la tête, on peut comprendre "décorner".
Mich' fournit une explication de citatin, nous nous connaissons la version vraie de la campagne !
de "citadin" bien sûr !
Il faudrait déjà admettre que l'expression vient du fait que les éleveurs coupent les cornes des boeufs. Pour moi, a priori, un vent "à décorner les boeufs", c'est simplement un vent tellement fort qu'il est capable d'ARRACHER les cornes des boeufs.
La question serait de savoir si l'on se contentait de couper un morceau de corne aux boeufs et à quel niveau... Si c'était à ras de la tête, on peut comprendre "décorner".
Mich' fournit une explication de citatin, nous nous connaissons la version vraie de la campagne !
Z'êtes bien gentils tous les deux... Mais je ne vois pas pourquoi on n'écornerait pas les boeufs, pour qu'ils ne se blessent pas entre eux. Enfin, s'il y a quelqu'un qui est au courant des moeurs vachères au XVIIe ou XVIIIe siècle...
Z'êtes bien gentils tous les deux... Mais je ne vois pas pourquoi on n'écornerait pas les boeufs, pour qu'ils ne se blessent pas entre eux. Enfin, s'il y a quelqu'un qui est au courant des moeurs vachères au XVIIe ou XVIIIe siècle...Oui, bien sûr, on peut écorner les boeufs pour qu'ils ne se blessent pas entre eux, et les vaches, qui souvent sont encore plus vaches que les boeufs, et les contrats de mariage, et les maris, .. mais la question pour nous reste de savoir si cette écornage (écornerie ? :o)..) de prudence est à l'origine de la susdite expression.. ??
Note, je ne l'avais pas vu au premier passage, mais le TLFi donne aussi :
Proverbe. Il fait un vent à écorner les bœufs (Ac. 1835-1932).
avec néanmoins la remarque :
Rem. Le verbe décorner est habituellement utilisé dans cette locution.
Il faudrait déjà admettre que l'expression vient du fait que les éleveurs coupent les cornes des boeufs. Pour moi, a priori, un vent "à décorner les boeufs", c'est simplement un vent tellement fort qu'il est capable d'ARRACHER les cornes des boeufs.
La question serait de savoir si l'on se contentait de couper un morceau de corne aux boeufs et à quel niveau... Si c'était à ras de la tête, on peut comprendre "décorner".
Mich' fournit une explication de citatin, nous nous connaissons la version vraie de la campagne !
Z'êtes bien gentils tous les deux... Mais je ne vois pas pourquoi on n'écornerait pas les boeufs, pour qu'ils ne se blessent pas entre eux. Enfin, s'il y a quelqu'un qui est au courant des moeurs vachères au XVIIe ou XVIIIe siècle...
Les moeurs bovins n'ont pas beaucoup évolué en le XVII° et le XX°, tu peux me croire, moi qui ai retrouvé des us de mes campagnes dans coutumes médiévales. Il faut de toutes façons se fier aux praticiens, chez moi, l'écornement, des vaches, ne se pratiquent que depuis deux ou trois décennies.
Z'êtes bien gentils tous les deux... Mais je ne vois pas pourquoi on n'écornerait pas les boeufs, pour qu'ils ne se blessent pas entre eux. Enfin, s'il y a quelqu'un qui est au courant des moeurs vachères au XVIIe ou XVIIIe siècle...Oui, bien sûr, on peut écorner les boeufs pour qu'ils ne se blessent pas entre eux, et les vaches, qui souvent sont encore plus vaches que les boeufs, et les contrats de mariage, et les maris, .. mais la question pour nous reste de savoir si cette écornage (écornerie ? :o)..) de prudence est à l'origine de la susdite expression.. ??
Note, je ne l'avais pas vu au premier passage, mais le TLFi donne aussi :
Proverbe. Il fait un vent à écorner les bœufs (Ac. 1835-1932).
avec néanmoins la remarque :
Rem. Le verbe décorner est habituellement utilisé dans cette locution.
Ca dépend aussi de la force du vent, il en faut peut-être plus pour décorner des boeufs que des cocus !
Les moeurs bovins n'ont pas beaucoup évolué en le XVII° et le XX°, tu peux me croire, moi qui ai retrouvé des us de mes campagnes dans coutumes médiévales. Il faut de toutes façons se fier aux praticiens, chez moi, l'écornement, des vaches, ne se pratiquent que depuis deux ou trois décennies.Il faudrait qu'on demande à Torquemada, cette sacrée vache qui a exercé au XVème..
Chers tous,
Puisque l’on me sollicite et bien que je n’aie aucune compétence dans le domaine des bestiaires du Moyen-Âge ou ultérieurs, je vous livre un lien permettant de vous familiariser avec les mœurs* bovines au XVIIIe siècle (attention, fichier pdf de 6 Mo)
http://quentouf.perso.neuf.fr/betes_cornes.pdf
S’agissant d’un extrait de l’encyclopédie de MM. Diderot et d’Alembert écrit par l’Abbé Tessier en 1791 sur le thème de l’Agriculture, je vous ai sélectionné les pages réservées aux « bêtes à cornes ». Vous pourrez vous apercevoir que cela est très exhaustif et qu’il est rarement fait état des cornes et de leurs « traitements » (juste quelques mots entourés en rouge). Cela me laisse effectivement à penser que l’écornage est une pratique récente, probablement mise en place au XIXe siècle.
Si vous lisez attentivement l’extrait, il y est reporté une pratique permettant de multiplier les cornes sur un animal en réalisant des incisions précises sur celles d’origine. À méditer pour les « cocus » multirécidivistes.
Votre dévoué serviteur
(*) : Substantif féminin ! Merci d’en tenir compte chers tous…
Puisque l’on me sollicite et bien que je n’aie aucune compétence dans le domaine des bestiaires du Moyen-Âge ou ultérieurs, je vous livre un lien permettant de vous familiariser avec les mœurs* bovines au XVIIIe siècle (attention, fichier pdf de 6 Mo)
http://quentouf.perso.neuf.fr/betes_cornes.pdf
S’agissant d’un extrait de l’encyclopédie de MM. Diderot et d’Alembert écrit par l’Abbé Tessier en 1791 sur le thème de l’Agriculture, je vous ai sélectionné les pages réservées aux « bêtes à cornes ». Vous pourrez vous apercevoir que cela est très exhaustif et qu’il est rarement fait état des cornes et de leurs « traitements » (juste quelques mots entourés en rouge). Cela me laisse effectivement à penser que l’écornage est une pratique récente, probablement mise en place au XIXe siècle.
Si vous lisez attentivement l’extrait, il y est reporté une pratique permettant de multiplier les cornes sur un animal en réalisant des incisions précises sur celles d’origine. À méditer pour les « cocus » multirécidivistes.
Votre dévoué serviteur
(*) : Substantif féminin ! Merci d’en tenir compte chers tous…
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