Quant aux violences de la gauche-extrême, c'est 100 millions de morts.
Je vais me répéter puisqu'apparemment vous n'avez toujours pas compris et que vous répétez inlassablement les mêmes âneries. Je n'emploie pas ce terme pour vous insulter, mais parce que je n'en trouve pas d'autre plus adapté. Les 100 millions de morts c'est une exagération extraite du livre noir du communisme ne reposant sur aucun chiffre sérieux, mais visant à relativiser les crimes nazis. Ceux qui les brandissent en arrivent à dire que six millions de victimes du nazisme c'est peu par rapport à ceux du bloc d'en face. Et dans le même temps on diminue le nombre de victimes du nazisme en doutant de l'existence des chambres à gaz. Je ne nie pas que Staline était un assassin, mais je m'insurge contre votre maniuère de relativiser les camps de la mort nazis en mettant sur la table les goulags.
Stauffenber et la CSU, c"est l'extrême-droite.
Le fascisme, c'est la gauche:
Mussolini : ex-anarchiste et ex-socialiste révolutionnaire.
Goebbels : ex-communiste
Doriot : ex-communiste
Déat : ex-socialiste
Quisling : ex-social-démocrate
Mosley : ex-travailliste
...
D'accord, donc tu es contre le communisme, contre le socialisme (sauf pour le socialisme de la préference nationale), contre les étrangers, pour la sécurité des blousons noirs. D'autres choses pour terminer ton portrait? Vas-y balance et vas jusqu'au bout, assume quoi.
Mesdames et Messieurs de la gauche, je comprends que les victoires du nationalisme vous décoivent, mais que voulez-vous, les ouvriers ont compris que les socialistes les arnaquaient. Les ouvriers ont quitté les terres du socialisme pour rejoindre les terres du patriotisme.
L'Europe de la puissance, c'est pour demain.
Ding, ding, deuxième service !
Laissons ce brave homme s'égosiller. On va le laisser hurler tout seul. Comme cela, il croira avoir raison et le dernier mot et nous, on aura la paix. On sait tout ce qu'on doit savoir et après cela, hop ! on tire l'échelle.
Les ouvriers ont quitté les terres du socialisme pour rejoindre les terres du patriotisme.
.
Ton discours est illogique au possible, hier les ouvriers devenaient des nationalistes aujourd'hui des patriotes? Non parce que patriotes c'est bien, ils détestent les autres eux...Et puis prends pas les ouvriers comme exemple, j'aimerais bien savoir ce que tu sais de la condition ouvrière toi qui vante les mérite de la Bavière, t'as pas du en connaître beaucoup des cités ouvrières...
et en Wallonie, le PS, c'est pas la mafia? Ils n'ont pas des hommes de mains? il ne bastonnent pas leurs adversaires politiques?
C'est vraiment n'importe quoi !!! Je vous ai montré deux photos, l'une représentant Filip De Winter frappant un homme à terre et l'autre Le Pen violentant une jeune femme en public. Montrez m'en une de Di Rupo faisant la même chose, et je n'interviendrai plus sur ce forum.
J'ai croisé renédelatour tout à l'heure, et bien il est bien blanc, assez âgé et ah oui j'oubliais, il est borgne...
Malheureusement, Smokey, je crois qu'il y erreur sur la personne. La gars que tu as croisé tout à l'heure est quand même capable d'aligner trois phrases sans faire de faute de français. Mais sur le fond, d'accord, cela ressemble...
Réponse au rat des champs :
Di Rupo ne frappe pas les gens. C'est un homme de culture.
Par contre, certains colleurs d'affiches du PS...
Quant aux 100 millions de morts du communisme, on peut discuter du chiffre.
Di Rupo ne frappe pas les gens. C'est un homme de culture.
Par contre, certains colleurs d'affiches du PS...
Quant aux 100 millions de morts du communisme, on peut discuter du chiffre.
Vous procédez par insinuations et jamais vous n'apportez d'éléments concrets et vérifiables, comme par exemple, tel jour, le colleur d'affiches du PS Jules Labiloute de Jandrain Jandrenouille a marché sur le pied de Jef Kazak colleur pour le Vlaams Blok. Non des vagues insinuations, c'est tout, ce qui est vraiment nul.
Ce qui fait ma force face à vous c'est que moi je ne suis pas communiste et que je reconnais sans problèmes les crimes de Staline. Je ne souhaite pas compter les cadavres de chaque camp et surtout pas en votre compagnie, alors nous en resterons là. Je crois que la malhonnêteté et la puérilité de vos arguments a été largement démontrée, c'était le but de mes interventions et je crois en toute modestie que les membres du site l'ont atteint. C'était d'ailleurs très facile, vous faites comme la grenouille de la fable, il suffit de vous titiller pour que vous gonfliez jusqu'à éclater. C'était prévisible, les fachos lambdas sont ainsi. On aurait eu plus de difficultés avec un Le Pen parce qu'il est intelligent et cultivé, lui.
Et pour répondre une fois de plus à votre leitmotiv je préfère vivre dans le Hainaut que dans un pays gouverné par l'extrême droite, même si je sais faire la différence entre la démocratie sociale et l'extrême droite, qui vous échappe un peu on dirait. Et puis vous devriez visiter le Hainaut, il y a des coins magnifiques. Mons par exemple, dont le maire est Di Rupo est une veille magnifique. Je crois qu'on doit rigoler plus le jour du Doudou à Mons que les jours de l'Oberbayern en Carinthie.
Ce qui fait ma force face à vous c'est que moi je ne suis pas communiste et que je reconnais sans problèmes les crimes de Staline. Je ne souhaite pas compter les cadavres de chaque camp et surtout pas en votre compagnie, alors nous en resterons là. Je crois que la malhonnêteté et la puérilité de vos arguments a été largement démontrée, c'était le but de mes interventions et je crois en toute modestie que les membres du site l'ont atteint. C'était d'ailleurs très facile, vous faites comme la grenouille de la fable, il suffit de vous titiller pour que vous gonfliez jusqu'à éclater. C'était prévisible, les fachos lambdas sont ainsi. On aurait eu plus de difficultés avec un Le Pen parce qu'il est intelligent et cultivé, lui.
Et pour répondre une fois de plus à votre leitmotiv je préfère vivre dans le Hainaut que dans un pays gouverné par l'extrême droite, même si je sais faire la différence entre la démocratie sociale et l'extrême droite, qui vous échappe un peu on dirait. Et puis vous devriez visiter le Hainaut, il y a des coins magnifiques. Mons par exemple, dont le maire est Di Rupo est une veille magnifique. Je crois qu'on doit rigoler plus le jour du Doudou à Mons que les jours de l'Oberbayern en Carinthie.
Pardon, à me lire, je vois que j'ai fait une erreur, c'est dur de taper sans lunettes. Prière de remplacer les mots démocratie sociale par démocratie chrétienne, merci.
Tiens encore une petite photo : http://membres.lycos.fr/antifasciste/presse/…
Que de surprises pour mon retour en ces lieux !
Renédelatour, vous avez les idées que vous voulez bien. Je n'ai pas du tout les vôtres, mes camarades non plus. Mais serait-il possible de garder le calme et la sérénité de ces lieux, en évitant provocations et raccourcis faciles ? Merci d'avance.
Renédelatour, vous avez les idées que vous voulez bien. Je n'ai pas du tout les vôtres, mes camarades non plus. Mais serait-il possible de garder le calme et la sérénité de ces lieux, en évitant provocations et raccourcis faciles ? Merci d'avance.
Tiens encore une petite photo : http://membres.lycos.fr/antifasciste/presse/…La légende est géniale! "quand il sera retapé...", à mon avis, retapé, il y passe.
Oui, humour à 2 euros, je sors
Voilà une excellente conclusion. Dieu me damne si j'ai jamais aimé Charleroi.
Dans mon souvenir, c'était une ville sinistre, noire, embuée de fumées nauséabondes. L'horreur à la Zola, revue au noir par Claude Berry... Bref, à éviter à tout prix ! Or, récemment, dans le cadre de mes recherches sur Waterloo, j'ai été amené à me rendre à Charleroi et, pour ce faire, j'ai pris l'autobus, histoire de mieux voir le paysage. J'en suis resté sur le... flanc. Le Charleroi que j'avais sous les yeux n'avait plus rien à voir avec mon souvenir.
La ville est propre, la place Charles II est sympathique avec ses terrasses de bistrots colorées et sa belle église décanale. La rue de la Montagne est remplie de commerces sympathiques et le boulevard Tirou est presque luxueux. Naturellement, si l'on remonte jusqu'au Manège, la vue sur la zone industrielle de Thy et de Marchienne rappelle encore les tableaux de Pierre Paulus, mais n'importe quelle zone industrielle présente le même aspect.
Si l'on descend jusqu'à la gare, en passant sur le très beau pont de la Sambre, et que l'on prend un train pour Thuin, la surprise est encore plus grande : à peine sorti de la zone industrielle de Charleroi, le train traverse des paysages verdoyants pour passer le long de la magnifique abbaye d'Aulne et arriver à Thuin qui est une petite ville superbe au milieu d'une splendide forêt. Naturellement, cela n'a pas grand-chose à avoir avec la majesté des Alpes bavaroises mais, selon moi, les socialistes n'ont pas beaucoup de responsabilités dans cet état de fait.
Aussi quand vous parlez du Hainaut misérable, vous passez un peu à côté de la cible. Et je ne vous parle que de Charleroi... Il y a Chimay, Marienbourg, la région de Walcourt et la Thiérache ; il y a Mons et Binche et je ne vous parle pas de Tournai. Et si cela ne suffisait pas, on pourrait encore faire un petit tour du côté d'Ath - où l'on sait ce qu'est la fête - d'Enghien ou de Soignies. Et le grand Franco Dragone n'a pas eu peur de s'installer à La Louvière.
Je ne suis pas Hennuyer, Monsieur, mais, en tant que Belge, je suis fier du Hainaut comme je suis fier de Liège, d'Anvers ou de Gand. Oui, Monsieur, je suis fier de mon pays et je supporte sans aucun ombrage la qualification de "patriote".
Or ce pays que j'aime tant, je le dois à la coalition de l'ensemble de ses forces pendant plus de 1800 ans. Je le dois à l'Eglise qui a multiplié les cathédrales et les riches abbayes, je le dois aux drapiers flamand et hennuyers, je le dois aux brodeurs et tapissiers brabançons et anversois, je le dois aux peintres "primitifs", je le dois aux industriels, je le dois aux ouvriers et aux mineurs, je le dois aux syndicats et aux partis qui ont mené le juste combat pour la dignité humaine, quelle que soit leur couleur.
Je le dois aux gens qui, à deux reprises, se sont fait écraser par l'ennemi venus de l'Est mais qui ont montré au monde entier que la Belgique n'était pas une fiction. Je le dois aux gens qui, dans l'ombre, quelles que soient leurs idées politiques, se sont levé pour dire "Non" à l'oppression, alors que d'autres, hypnotisés par les discours enflammés d'un histrion, revêtaient l'uniforme de l'ennemi et se faisaient les agents de cette oppression.
Mais je sais aussi que ce pays ne doit rien aux Degrelle, aux Staf De Clercq, aux nazis ou aux rigolos du Dr Féret ni aux fantoches du Vlaams Belang, le sinistre Filip De Winter en tête et le bras levé...
Alors, Monsieur, une fois pour toutes, je vous dénie le droit de m'insulter en confondant patriotes et nationalistes.
Je vous dénie le droit de torturer l'histoire ou la géographie - à défaut d'autres victimes - pour leur faire dire ce qu'elles ne veulent pas dire.
Je vous dénie même le droit de critiquer les hommes politiques démocrates. N'importe qui mais pas vous et vos "partis" qui louez une cabine téléphonique pour tenir vos "congrès".
Oui, Monsieur, vous êtes un danger pour le bien public. Oui, Monsieur vous me trouverez toujours sur votre chemin pour vous repousser dans la fosse d'aisance où l'histoire vous a plongé et que vous n'auriez jamais dû quitter.
Oui, Monsieur, s'il faut, pour le faire, je n'hésiterais même pas - quoique avec la plus grande répugnance - à en venir à utiliser le seul langage que vous sembliez comprendre : celui qu'a utilisé Camille Joset, Walthère Dewé, Renée De Jonghe, Marguerite Bervoets, Maurice Lévy, Arthur Haulotte et bien d'autres. Oui, Monsieur, modestement, avec mes faibles moyens, s'il le faut, je relèverai le drapeau qu'ils avaient levé pour notre liberté et notre fierté.
Et je vous garantis que je ne serai pas le seul...
Si j'ai un conseil à vous donner, c'est de ne jamais arriver au pouvoir. Vous en auriez d'amers regrets...
Dans mon souvenir, c'était une ville sinistre, noire, embuée de fumées nauséabondes. L'horreur à la Zola, revue au noir par Claude Berry... Bref, à éviter à tout prix ! Or, récemment, dans le cadre de mes recherches sur Waterloo, j'ai été amené à me rendre à Charleroi et, pour ce faire, j'ai pris l'autobus, histoire de mieux voir le paysage. J'en suis resté sur le... flanc. Le Charleroi que j'avais sous les yeux n'avait plus rien à voir avec mon souvenir.
La ville est propre, la place Charles II est sympathique avec ses terrasses de bistrots colorées et sa belle église décanale. La rue de la Montagne est remplie de commerces sympathiques et le boulevard Tirou est presque luxueux. Naturellement, si l'on remonte jusqu'au Manège, la vue sur la zone industrielle de Thy et de Marchienne rappelle encore les tableaux de Pierre Paulus, mais n'importe quelle zone industrielle présente le même aspect.
Si l'on descend jusqu'à la gare, en passant sur le très beau pont de la Sambre, et que l'on prend un train pour Thuin, la surprise est encore plus grande : à peine sorti de la zone industrielle de Charleroi, le train traverse des paysages verdoyants pour passer le long de la magnifique abbaye d'Aulne et arriver à Thuin qui est une petite ville superbe au milieu d'une splendide forêt. Naturellement, cela n'a pas grand-chose à avoir avec la majesté des Alpes bavaroises mais, selon moi, les socialistes n'ont pas beaucoup de responsabilités dans cet état de fait.
Aussi quand vous parlez du Hainaut misérable, vous passez un peu à côté de la cible. Et je ne vous parle que de Charleroi... Il y a Chimay, Marienbourg, la région de Walcourt et la Thiérache ; il y a Mons et Binche et je ne vous parle pas de Tournai. Et si cela ne suffisait pas, on pourrait encore faire un petit tour du côté d'Ath - où l'on sait ce qu'est la fête - d'Enghien ou de Soignies. Et le grand Franco Dragone n'a pas eu peur de s'installer à La Louvière.
Je ne suis pas Hennuyer, Monsieur, mais, en tant que Belge, je suis fier du Hainaut comme je suis fier de Liège, d'Anvers ou de Gand. Oui, Monsieur, je suis fier de mon pays et je supporte sans aucun ombrage la qualification de "patriote".
Or ce pays que j'aime tant, je le dois à la coalition de l'ensemble de ses forces pendant plus de 1800 ans. Je le dois à l'Eglise qui a multiplié les cathédrales et les riches abbayes, je le dois aux drapiers flamand et hennuyers, je le dois aux brodeurs et tapissiers brabançons et anversois, je le dois aux peintres "primitifs", je le dois aux industriels, je le dois aux ouvriers et aux mineurs, je le dois aux syndicats et aux partis qui ont mené le juste combat pour la dignité humaine, quelle que soit leur couleur.
Je le dois aux gens qui, à deux reprises, se sont fait écraser par l'ennemi venus de l'Est mais qui ont montré au monde entier que la Belgique n'était pas une fiction. Je le dois aux gens qui, dans l'ombre, quelles que soient leurs idées politiques, se sont levé pour dire "Non" à l'oppression, alors que d'autres, hypnotisés par les discours enflammés d'un histrion, revêtaient l'uniforme de l'ennemi et se faisaient les agents de cette oppression.
Mais je sais aussi que ce pays ne doit rien aux Degrelle, aux Staf De Clercq, aux nazis ou aux rigolos du Dr Féret ni aux fantoches du Vlaams Belang, le sinistre Filip De Winter en tête et le bras levé...
Alors, Monsieur, une fois pour toutes, je vous dénie le droit de m'insulter en confondant patriotes et nationalistes.
Je vous dénie le droit de torturer l'histoire ou la géographie - à défaut d'autres victimes - pour leur faire dire ce qu'elles ne veulent pas dire.
Je vous dénie même le droit de critiquer les hommes politiques démocrates. N'importe qui mais pas vous et vos "partis" qui louez une cabine téléphonique pour tenir vos "congrès".
Oui, Monsieur, vous êtes un danger pour le bien public. Oui, Monsieur vous me trouverez toujours sur votre chemin pour vous repousser dans la fosse d'aisance où l'histoire vous a plongé et que vous n'auriez jamais dû quitter.
Oui, Monsieur, s'il faut, pour le faire, je n'hésiterais même pas - quoique avec la plus grande répugnance - à en venir à utiliser le seul langage que vous sembliez comprendre : celui qu'a utilisé Camille Joset, Walthère Dewé, Renée De Jonghe, Marguerite Bervoets, Maurice Lévy, Arthur Haulotte et bien d'autres. Oui, Monsieur, modestement, avec mes faibles moyens, s'il le faut, je relèverai le drapeau qu'ils avaient levé pour notre liberté et notre fierté.
Et je vous garantis que je ne serai pas le seul...
Si j'ai un conseil à vous donner, c'est de ne jamais arriver au pouvoir. Vous en auriez d'amers regrets...
Bravo, Mich'. Voilà une mise au point claire, précise et sans bavures. J'applaudis. Le jour où ces gens prendraient le pouvoir, nous serons nombreux à suivre les traces de nos aînés et à nous battre pour que plus jamais les horreurs du passé ne reviennent.
Comme toi, dans la mesure de mes faibles moyens, je me battrai quelles qu'en soient les conséquences, pour l'avenir de mes enfants. Ton intervention peut clôturer le débat, et il n'était peut-être pas nécessaire d'en rajouter, mais je tenais à saluer ton texte, digne d'un grand écrivain.
Comme toi, dans la mesure de mes faibles moyens, je me battrai quelles qu'en soient les conséquences, pour l'avenir de mes enfants. Ton intervention peut clôturer le débat, et il n'était peut-être pas nécessaire d'en rajouter, mais je tenais à saluer ton texte, digne d'un grand écrivain.
Renédelatour, où vivez-vous? Dans quelle région je veux dire, la ville ne m'intéresse pas.
Félicitations, Micharlemagne.
« Et je vous garantis que je ne serai pas seul...» (dixit Mich)
Non, Micharlemagne, tu ne seras pas seul ! Je sortirai de ma tranchée et je marcherai sur tes pas...!
Magnifique ! Une magnifique diatribe comme on les aime sur CL...
(Qui donc se plaindra encore des propos "aseptisés" du site ?)
C'est, de plus, une belle page d'écriture qu'on pourrait copier-coller sur "vos écrits"
et mettre au catalogue de nos "morceaux choisis" – Tistou ?
Je trouve que ça en vaut la peine.
Non, Micharlemagne, tu ne seras pas seul ! Je sortirai de ma tranchée et je marcherai sur tes pas...!
Magnifique ! Une magnifique diatribe comme on les aime sur CL...
(Qui donc se plaindra encore des propos "aseptisés" du site ?)
C'est, de plus, une belle page d'écriture qu'on pourrait copier-coller sur "vos écrits"
et mettre au catalogue de nos "morceaux choisis" – Tistou ?
Je trouve que ça en vaut la peine.
Sublime diatribe Mich'
Moi je l'aime bien ce renedelatour...
Et j'aimerais bien aussi visiter la Bavière...
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