Hier soir, j'ai revu Le Prénom, de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patelière (2012). Cette comédie burlesque qui tourne au vinaigre reste drôle, et agréable à revoir.
Je viens de revoir Eyes Wide Shit, de Stanley Kibrick. C’est intriguant, inquiétant et bien fait !
J'ai vu Vanilila Sky de Cameron Crowe (2001). C'est bizarre et plutot mauvais...Penelope Cruz a un accent ridicule dans la version francaise et en fait des tonnes.
Bref, pas terrible....
Bref, pas terrible....
Je viens de revoir Intolérable cruauté (Intolérable Cruelty ; 2003), de d'Ethan et Joel Coen. Cette comédie satirique sur les contrats de mariage et détournements des procédures de divorce s'avère burlesque et sarcastique. Elle fait passer un bon moment.
Vu Tenet.
J'ai trouvé ça excellent même si la façon qu'a Nolan de traiter ses personnages ne plait pas : ce sont des robots qui disent les paroles écrites par le scénario.
Chez Nolan tout est au service du scénario donc il faut le voir pour cela. Les scènes d'action sont appréciables si elles sont comprises comme une conséquence logique du scénario.
L'intrigue en elle-même est super mais le réalisateur complique inutilement la compréhension du spectateur en l'obligeant à réfléchir très vite. Or cela se fait donc au détriment de la compréhension profonde des mécanismes en jeu. C'est vrai que la gestion du rythme pourrait être meilleure : prendre le temps d'expliquer pourquoi et comment et que font les personnages à tel endroit à tel moment, etc.
Mais les fanatiques de Nolan prendront grand plaisir à raccorder tous les noeuds du scénario.
Pour le reste, je ne remets pas en question le virtuose du film, sa construction scénaristique et son esthétique, qui sont à peu près irréprochables.
J'ai trouvé ça excellent même si la façon qu'a Nolan de traiter ses personnages ne plait pas : ce sont des robots qui disent les paroles écrites par le scénario.
Chez Nolan tout est au service du scénario donc il faut le voir pour cela. Les scènes d'action sont appréciables si elles sont comprises comme une conséquence logique du scénario.
L'intrigue en elle-même est super mais le réalisateur complique inutilement la compréhension du spectateur en l'obligeant à réfléchir très vite. Or cela se fait donc au détriment de la compréhension profonde des mécanismes en jeu. C'est vrai que la gestion du rythme pourrait être meilleure : prendre le temps d'expliquer pourquoi et comment et que font les personnages à tel endroit à tel moment, etc.
Mais les fanatiques de Nolan prendront grand plaisir à raccorder tous les noeuds du scénario.
Pour le reste, je ne remets pas en question le virtuose du film, sa construction scénaristique et son esthétique, qui sont à peu près irréprochables.
Hier soir, j’ai revu C’est quoi, cette mamie.
Ça ne casse pas quatre pas à un canard, mais c’est rigolo.
Ça ne casse pas quatre pas à un canard, mais c’est rigolo.
Aujourd'hui, j'ai découvert La Controverse de Valladolid, de Jean-Daniel Verhaeghe, très bon film mettant en scène une joute théologique, avec un trio génial, composé de Jean Carmet, Jean-Louis Trintignant et Jean-Pierre Marielle ; et j'ai revu Matador, très bon film de Pedro Almodovar, violent, érotique et fait.
Vu "Les choses qu'on dit, les choses qu'on tait", comédie dramatique sur les jeux du désir et du sentiment, ou l'inconstance en acte. Un peu bavard, mais une construction très efficace, des personnages bien typés, et superbement bien joué.
Évidemment j'aurais mieux apprécié, sans l(imposition (obligatoire) du masque, qui est en train de pousser les cinémas français vers la faillite...
Évidemment j'aurais mieux apprécié, sans l(imposition (obligatoire) du masque, qui est en train de pousser les cinémas français vers la faillite...
Hier soir, j’ai revu Vicky Cristina Barcelona, par ces amours croisées et plurielles, Woody Alken s’est fait plaisir. Le résultat est invraisemblable et assez drôle.
Je viens de revoir Sous le sable, de François Ozon. C'est dur psychologiquement, mais intéressant.
Je viens de revoir Profession : reporter, de Michelangelo Antonioni. Ce film mystérieux à connotation policière intrigue et multiplie les plans esthétisants.
Hier soir, j'ai revu Mademoiselle de Joncquières, d'Emmanuel Mouret. Ce film est assez fin et cruel, dans l'esprit du XVIIIe.
Je viens de découvrir "Meurtre mystérieux à Manhattan" de Woody Allen (1993), une comédie policière avec un super duo Diane Keaton/Woody Allen, du suspense (l'intrigue policière rappelle vaguement "Fenêtre sur cour" d'Hitchcock), une réflexion sur le couple et les relations homme/femme, et des répliques drôlissimes ("quand j'écoute trop Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne, etc.).
Très bon, je conseille.
Très bon, je conseille.
Je viens de découvrir "Meurtre mystérieux à Manhattan" de Woody Allen (1993), une comédie policière avec un super duo Diane Keaton/Woody Allen, du suspense (l'intrigue policière rappelle vaguement "Fenêtre sur cour" d'Hitchcock), une réflexion sur le couple et les relations homme/femme, et des répliques drôlissimes ("quand j'écoute trop Wagner, j'ai envie d'envahir la Pologne, etc.).
Très bon, je conseille.
Ce film est très sympathique : je l'avais beaucoup apprécié également.
Aujourd’hui, j’ai revu Il Divo, de Sorrentino, et la Chartreuse de Parme, de Christian-Jaque, deux très bons films.
J'ai vu Blue Steel (1990) de Katheryn Bigelow diffuse sur ARTE lundi soir. C'est franchement bizarre, l'intrigue est tiree par les cheveux, seule l'ambiance new-yorkaise bien filmee au debut du film est remarquable.
Je viens de revoir Swimming Pool, de François Ozon. Ce film met en scène un quasi-polar tout en tension psychologique, sur les faux-semblants et simulations. C'est assez bien fait.
Je viens de revoir Gatsby le magnifique, de 1974, adapté du roman éponyme, et son statut de classique me paraît mérité. La tension sentimentale, les conflits sociaux diffus vont croissants.
Aujourd'hui, j'ai découvert La Controverse de Valladolid, de Jean-Daniel Verhaeghe, très bon film mettant en scène une joute théologique, avec un trio génial, composé de Jean Carmet, Jean-Louis Trintignant et Jean-Pierre Marielle
Il faut remarquer que c'est un téléfilm et non pas un film, ce qui l'enlève rien à son mérite, au contraire. Cette sorte de "huis-clos" (si je me souviens bien) m'a beaucoup marqué à l'époque de sa diffusion sur les écrans. Et je vois avec surprise que c'est d'abord un roman de Jean-Claude Carrière, je l'ignorais (le tout fondé sur des faits historiques)
J'ai vu quant à moi l'autre jour "le maître d'escrime" sur Arte, un film estonien pas mal fichu du tout.
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