Une fois n'est pas coutume, sans aller jusqu'au malaise, je suis plutôt d'accord avec Dirlandaise.
Pour la pré-selection, le choix doit plutôt être consensuel que basé sur un vote. Par exemple, en ce qui me concerne, il y a un livre que j'ai envie de lire (celui de Testud) mais pour le reste je n'ai que peu de préférences, c'est pourquoi je n'ai soumis que trois livres. Mais l'année passée j'avais ralé, car il y avait un roman thailandais que je voulais dire et tout le monde citait les nouvelles de Boyd alors que ça ne m'intéressait pas du tout. Enfin that's life !
Ici on a besoin de Aria pour départager deux ex-aequo si j'ai bien compris, ça n'a rien de politique. Aria, pas besoin de te creuser la tête, dis juste les livres que tu as envie de lire.
Par contre, ou se trouve la liste pour la catégorie étranger ?
A chacun d'exposer ses choix, quelque subjectifs qu'ils soient et à la fin, on fait les comptes. Enfin, je voyais ça comme ça. S'il y a bien un truc que je déteste, c'est le calcul. Rassure-toi, Aria, ça ne me rend pas malade! :))
Oh la la, je quitte pour le lunch et c’est l’hécatombe! Va-t-il falloir voter en secret maintenant? S.v.p. essayez d’être raisonnable.
Bon, la situation est simple. Il y’a égalité pour la dernière place dans le top 8 entre 3 romans:
Le grand soir – François Dupeyron (France)
Actes Sud, 269p / Babel, 269p
Genre : historique – biographie romancée
En nous la vie des morts – Lorette Nobécourt (France)
Grasset, 390p / Le Livre de poche, 307p
Genre : confessions – deuil
Seul ce qui brûle – Christiane Singer (France)
Albin Michel, 152p / Points, 128p
Genre : amour - historique
Allez Aria, brise l’égalité et on va clore cette première sélection.
Bon, la situation est simple. Il y’a égalité pour la dernière place dans le top 8 entre 3 romans:
Le grand soir – François Dupeyron (France)
Actes Sud, 269p / Babel, 269p
Genre : historique – biographie romancée
En nous la vie des morts – Lorette Nobécourt (France)
Grasset, 390p / Le Livre de poche, 307p
Genre : confessions – deuil
Seul ce qui brûle – Christiane Singer (France)
Albin Michel, 152p / Points, 128p
Genre : amour - historique
Allez Aria, brise l’égalité et on va clore cette première sélection.
J'ai déjà voté, Benjamin !
Voir page précédente.
Voir page précédente.
Bon, je vois qu’Aria a fait sa liste et choisi un des 3 heureusement. Donc, la première sélection dans la Catégorie Francophonie est :
Je vous souhaite la pluie – Elizabeth Tchoungui (Cameroun)
Gamines - Sylvie Testud (France)
L’imprévisible – Metin Arditi (Suisse)
Les sirènes de Bagdad – Yasmina Khadra (Algérie)
Dévorations – Richard Millet (France)
Villa Amalia – Pascal Quignard (France)
Noir dehors - Valérie Tong Cuong (France)
En nous la vie des morts – Lorette Nobécourt (France)
Je vous souhaite la pluie – Elizabeth Tchoungui (Cameroun)
Gamines - Sylvie Testud (France)
L’imprévisible – Metin Arditi (Suisse)
Les sirènes de Bagdad – Yasmina Khadra (Algérie)
Dévorations – Richard Millet (France)
Villa Amalia – Pascal Quignard (France)
Noir dehors - Valérie Tong Cuong (France)
En nous la vie des morts – Lorette Nobécourt (France)
Oh, 4 finalistes parmi cette liste seront élus durant le vote de décembre.
Présélection Découvrir:
Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa (1960- ) (Angola-Portugal)
Métailié, 131p
Après la guerre révolutionnaire menée dans le dernier quart du XXe siècle, l'Angola se reconstruit tant bien que mal. Félix Ventura est marchand de passés, et son métier se rapproche assez de celui d'écrivain : il fait commerce de son imagination et vend des souvenirs qu'il crée de toutes pièces. Satire féroce et pleine d'humour de la société angolaise, ce « Marchand de passés » est surtout une réflexion sur la construction de la mémoire et ses ambiguïtés.
Une très vieille petite fille - Michel Arrivé (France)
Champ Vallon, 245p
Bien qu'âgée de quatre-vingt-onze ans, Geneviève Briand Lemercier est une toute petite fille qui ne résiste à aucune tentation de consommation. Et elle suit toujours la consigne paternelle d'écrire chaque jour son journal. Pourtant, Madame Bertrand, la prestigieuse professeure dont elle paie à prix d'or les leçons de graphologie et d'astrologie transcendantale, lui donne la consigne de "désécrire" ce qu'elle a précédemment écrit.
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo (1957- ) (Espagne)
Flammarion, 127p
Un célèbre bijoutier new-yorkais revient dans le village qu'il a quitté à l'adolescence, avec l'espoir et la crainte de revoir l'amie de sa mère qui fut sa maîtresse et l'initia à l'amour à 19 ans. Entre désir et réalité, cette histoire est celle d'un rendez-vous manqué. Docteur en littérature hispanique, Elia Barcelo enseigne en Autriche. Elle est connue comme un auteur de science-fiction, genre pour lequel elle a reçu de nombreux prix littéraires
Un long long chemin – Sebastian Barry (1955- ) (Irlande)
Joëlle Losfeld, 317p
Willie Dunne est le fils d'un policier dublinois, il s'engage comme volontaire pour combattre dans les tranchées, malgré l'amour infini qui le lie à une jeune fille avec laquelle il désire plus que tout se marier. De la bataille de la Somme jusqu'à la fin de la guerre, ou presque, il assiste à d'horribles combats. La guerre, dès lors, le façonne. Mais elle lui réserve également une surprise.
Une très belle écriture d'un réalisme profond, n'hésitant pas à décrire l'horreur des combats et les réactions des hommes, qui n'étaient que cela, des hommes. – Finaliste du prix Booker
Il y a de - Gabriel Bergounioux (1954- ) (France)
Champ Vallon, 246p
À la désorganisation sociale enrayée par la déclaration de la guerre et à une enfance dans un pays engagé dans un interminable conflit que mettait en scène « II y a un », succède « II y a de », le terrible huis clos d'un vaisseau solitaire participant à distance au blocus d'une citadelle mystérieuse. Un équipage affecté à une mission de surveillance d'autant moins convaincante que l'objectif n'est pas en vue et qu'il n'y a jamais de confrontation avec l'ennemi, une totale et incompréhensible absence des officiers, des caïds qui prennent le commandement, déclenchant en retour une résistance des matelots qui annonce une mutinerie...
Cinq matins de trop – Kenneth Cook (1929-1987) (Australie)
Autrement, 155p
Publié à l'âge de 32 ans, en 1961, « Wake in Fright », qui fait figure de classique contemporain en Australie, où il est constamment réimprimé. Ce roman, traduit en plusieurs langues, adapté avec succès au cinéma en 1971 (sous le titre « Outback »), a atteint une forme d'universalité. Thriller atypique, à la fois initiatique et nihiliste, « Cinq matins de trop » nous transporte dans le cauchemar éveillé d'un homme ordinaire, autant acteur que spectateur, petit à petit enchaîné à l'alcool, au jeu, au sexe, à la violence, à l'autodestruction.
Le testament de Vénus - Enzo Cormann (1953- ) (France)
Gallimard, 220p
Félix Fayard, dit Vénus, retrace le récit de sa vie sur trois cahiers sauvés de la poubelle. Dans cet almanach buissonnier se croisent et se bousculent les figures de sa mère Lucie, fille de meunier, et de Driss Ben Shaab, ce Père Non Connu. Enzo Cormann se définit comme un ‘artisan chaosmique’ de théâtre. « Le testament de Vénus » est son premier roman.
La plieuse de parachutes – Mercedes Deambrosis (1955- ) (France)
Buchet-Chastel, 125p
C'est l'histoire d'une non-rencontre. Celle d'un père et d'un fils qui se sont ratés. Entre eux, comme un écran insurmontable, une femme, l'épouse du père, sorte de monstre domestique. Elle était plieuse de parachutes en Indochine durant la guerre... « La Plieuse de parachutes » est une sonate d'automne aux accents d'inachèvement ; l'esquisse en demi-teinte des loupés d'une existence. L'écriture pointue de Mercedes Deambrosis dit la solitude, l'incompréhension, la distance. « La Plieuse de parachutes » est le roman du silence et de la lucidité, une chronique familiale de l'inaccompli.
Une complicité - Manuel de Lope (1949- ) (Espagne)
Gallimard, 295p
Dans une Espagne en guerre, déchirée par les combats entre franquistes et républicains, Manuel de Lope met en scène, avec une finesse remarquable, les vies parallèles d'Isabel et de María Antonia, réunies par ce pacte inavouable dont nous découvrons progressivement l'ampleur et les conséquences. On peut l'interpréter comme une terrible vengeance contre leur sort et contre le monde des hommes. Mais il témoigne aussi de toute la force d'une solidarité féminine capable de transformer le drame le plus inhumain en une histoire scandaleusement humaine.
L'emprise - Michèle Desbordes (1940-2006) (France)
Verdier, 182p
Livre des commencements et du temps qui s'achève, « L'Emprise » est une confidence poignante, doucement consentie, des éblouissements et des déchirements premiers qui vont rythmer toute une vie. Prose lente et dense, méditative, enveloppante et impérieuse, « L’Emprise » fait monter la splendeur du temps, dans une pensée ralentie qui s’accorde à la nature changeante.
Jeunes turcs – Moris Farhi (1935- ) (Turquie)
Buchet-Chastel, 406p
En treize histoires autour de héros juifs, musulmans, arméniens, poméraniens et turcs, à l'image de la diversité ethnique du pays, racontées par treize narrateurs différents, l'auteur dresse un portrait de la Turquie, 20 ans après la création de la république moderne, du début de la Seconde Guerre mondiale à la fin des années 1950. Toutes les étapes du passage à l’âge adulte sont traversées, ponctuées de découvertes amoureuses, d’amitiés indéfectibles, de poésie et de mythes ancestraux. Le style de Moris Farhi est voluptueux, léger et caressant, comme la brise qui souffle du Bosphore. – Lauréat prix Alberto Benveniste
Prise de territoire - Christoph Hein (1944- ) (Allemagne)
Métailié, 315p
Christoph Hein laisse à cinq personnages, à cinq voix, le soin de raconter cinquante années de la vie de Bernhard Haber, des années 50 jusqu'à la fin du XXe siècle. Chacun des narrateurs l'a connu à un moment ou à un autre de sa vie, chacun d'entre eux porte sur lui un regard différent. Comme dans l'ensemble de son œuvre narrative, Christoph Hein se veut dans ce roman un chroniqueur attentif de son époque et des conflits qui l'agitent et la perturbent. – Finaliste du prix Fémina étranger
La chambre noire de Damoclès – Willem-Frederik Hermans (1921-1995) (Hollande)
Gallimard, 484p
Interdit de traduction, l'œuvre de Hermans est aujourd'hui redécouverte. Henri Osewoudt est-il un héros de la Résistance ou un collaborateur ? « La chambre noire de Damoclès » s'empare de la question du bien et du mal de façon totalement inédite. Construit à la manière d'un thriller psychologique, le roman brouille les pistes, se joue du moindre a priori moral, et met en doute la fiabilité de toute perception et de tout jugement pour mieux nous plonger dans le récit haletant d'un destin hors normes.
Tandis que meurent les jours – Peter Hobbs (1973- ) (UK)
Christian Bourgois, 286p
Il s'agit d'un itinéraire spirituel et psychique, du récit d'un moment de crise dans la vie d'un homme amené à se poser les grandes questions de l'existence, à s'interroger sur le sens de sa vocation. Ce tournant critique se déroule à une période difficile de l'histoire de la Cornouailles anglaise, à la fin du XIXe siècle. Peter Hobbs nous offre ainsi en parallèle une vision historique et sociale fidèle et émouvante de cette région confrontée aux premières étapes d'un déclin économique inéluctable. – Finaliste des prix Costa, JL Rhys, Betty Trask et IMPAC
Antibiographie - Wojciech Kuczok (1972- ) (Pologne)
De l’Olivier, 212p
Ce roman déballe tout : les histoires de famille, souvent rocambolesques, les scènes entre les parents, l'oncle mutique, la tante hystérique, les humiliations, les coups, les crachats, les maladies soignées à l'eau salée. Tour à tour réaliste et satirique, poétique et grotesque, « Antibiographie » est un récit jubilatoire qui se joue de tous les genres, à la manière d'un Gombrowicz. – Lauréat du prix du jury et du public NIKE
La mémoire vaine – Isaac Rosa (1974- ) (Espagne)
Christian Bourgois, 331p
Comment évoquer trente-cinq années de franquisme dans un roman sans tomber dans les clichés ? Comment faire bon usage de la mémoire et donner du sens à son récit? Ce sont là les principales questions que se pose l'auteur et narrateur tout-puissant de La Mémoire vaine, en un work-in-progress qui examine sur un mode tour à tour sérieux ou comique, dramatique ou ironique, les choix auxquels est confronté tout romancier actuel. – Lauréat prix Romulo Gallegos
Haut le cœur – Jun Takami (1907-1965) (Japon)
Philippe Picquier, 731p
Salué par Mishima et Kawabata dès sa parution, « Haut le cœur » est le chef d'oeuvre de Takami Jun, son testament littéraire. Roman du Japon dans les années 1922-1937 a l'époque de l'aventure militaire contre la Chine, des complots intérieurs, des assassinats et des purges, c'est aussi celui de Kashiha, le narrateur, dans les bas-fonds de Tôkyô, Séoul ou Shanghai, où s'activent aventuriers, prostituées et lanceurs de bombes. Une étourdissante descente aux enfers, faite de révolte, d'érotisme, de meurtres, qui est aussi un poème épique sur une des plus sombres heures de l'histoire japonaise.
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre (1959- ) (France)
Grasset, 275p
Le ton est celui de l'humour noir, que l'auteur manie en virtuose. Sur son lit d'agonie, la mère de Jérôme a griffonné un message demandant que ses cendres soient dispersées dans l'Atlantique Sud. Il s’agit d’une enquête biographique et psychanalytique qui conduit progressivement aux secrets intimes de la vie d'une mère « amoureuse de la mer et des marins » et aux origines occultées de la famille... – Lauréat du Prix des lecteurs du Télégramme
Le trou dans le mur – Michel Tremblay (1942- ) (Canada)
Actes Sud, 239p
À la manière d'Alice dans le terrier du Lapin blanc, François Laplante fils est entraîné malgré lui dans une étrange aventure quand cinq acteurs de la faune la plus bizarre du redlight de Montréal vont lui confesser leurs secrets inavouables. Le roman de l'auteur montréalais, qui traite de la mort, est un mélange inattendu de fantastique et de réalisme. – Lauréat du Prix du grand public du Salon du livre de Montréal
Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki (1954- ) (Espagne)
Plon, 280p
Pedro Zarraluki imagine un microcosme dans lequel deux femmes vont démontrer que dans les pires conditions possibles on peut concevoir de refaire sa vie. Parce que tout ce qui fait notre bonheur tient moins aux lois qui nous gouvernent qu'à l'intégrité de certaines personnes. – Lauréat du prix Nadal
Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa (1960- ) (Angola-Portugal)
Métailié, 131p
Après la guerre révolutionnaire menée dans le dernier quart du XXe siècle, l'Angola se reconstruit tant bien que mal. Félix Ventura est marchand de passés, et son métier se rapproche assez de celui d'écrivain : il fait commerce de son imagination et vend des souvenirs qu'il crée de toutes pièces. Satire féroce et pleine d'humour de la société angolaise, ce « Marchand de passés » est surtout une réflexion sur la construction de la mémoire et ses ambiguïtés.
Une très vieille petite fille - Michel Arrivé (France)
Champ Vallon, 245p
Bien qu'âgée de quatre-vingt-onze ans, Geneviève Briand Lemercier est une toute petite fille qui ne résiste à aucune tentation de consommation. Et elle suit toujours la consigne paternelle d'écrire chaque jour son journal. Pourtant, Madame Bertrand, la prestigieuse professeure dont elle paie à prix d'or les leçons de graphologie et d'astrologie transcendantale, lui donne la consigne de "désécrire" ce qu'elle a précédemment écrit.
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo (1957- ) (Espagne)
Flammarion, 127p
Un célèbre bijoutier new-yorkais revient dans le village qu'il a quitté à l'adolescence, avec l'espoir et la crainte de revoir l'amie de sa mère qui fut sa maîtresse et l'initia à l'amour à 19 ans. Entre désir et réalité, cette histoire est celle d'un rendez-vous manqué. Docteur en littérature hispanique, Elia Barcelo enseigne en Autriche. Elle est connue comme un auteur de science-fiction, genre pour lequel elle a reçu de nombreux prix littéraires
Un long long chemin – Sebastian Barry (1955- ) (Irlande)
Joëlle Losfeld, 317p
Willie Dunne est le fils d'un policier dublinois, il s'engage comme volontaire pour combattre dans les tranchées, malgré l'amour infini qui le lie à une jeune fille avec laquelle il désire plus que tout se marier. De la bataille de la Somme jusqu'à la fin de la guerre, ou presque, il assiste à d'horribles combats. La guerre, dès lors, le façonne. Mais elle lui réserve également une surprise.
Une très belle écriture d'un réalisme profond, n'hésitant pas à décrire l'horreur des combats et les réactions des hommes, qui n'étaient que cela, des hommes. – Finaliste du prix Booker
Il y a de - Gabriel Bergounioux (1954- ) (France)
Champ Vallon, 246p
À la désorganisation sociale enrayée par la déclaration de la guerre et à une enfance dans un pays engagé dans un interminable conflit que mettait en scène « II y a un », succède « II y a de », le terrible huis clos d'un vaisseau solitaire participant à distance au blocus d'une citadelle mystérieuse. Un équipage affecté à une mission de surveillance d'autant moins convaincante que l'objectif n'est pas en vue et qu'il n'y a jamais de confrontation avec l'ennemi, une totale et incompréhensible absence des officiers, des caïds qui prennent le commandement, déclenchant en retour une résistance des matelots qui annonce une mutinerie...
Cinq matins de trop – Kenneth Cook (1929-1987) (Australie)
Autrement, 155p
Publié à l'âge de 32 ans, en 1961, « Wake in Fright », qui fait figure de classique contemporain en Australie, où il est constamment réimprimé. Ce roman, traduit en plusieurs langues, adapté avec succès au cinéma en 1971 (sous le titre « Outback »), a atteint une forme d'universalité. Thriller atypique, à la fois initiatique et nihiliste, « Cinq matins de trop » nous transporte dans le cauchemar éveillé d'un homme ordinaire, autant acteur que spectateur, petit à petit enchaîné à l'alcool, au jeu, au sexe, à la violence, à l'autodestruction.
Le testament de Vénus - Enzo Cormann (1953- ) (France)
Gallimard, 220p
Félix Fayard, dit Vénus, retrace le récit de sa vie sur trois cahiers sauvés de la poubelle. Dans cet almanach buissonnier se croisent et se bousculent les figures de sa mère Lucie, fille de meunier, et de Driss Ben Shaab, ce Père Non Connu. Enzo Cormann se définit comme un ‘artisan chaosmique’ de théâtre. « Le testament de Vénus » est son premier roman.
La plieuse de parachutes – Mercedes Deambrosis (1955- ) (France)
Buchet-Chastel, 125p
C'est l'histoire d'une non-rencontre. Celle d'un père et d'un fils qui se sont ratés. Entre eux, comme un écran insurmontable, une femme, l'épouse du père, sorte de monstre domestique. Elle était plieuse de parachutes en Indochine durant la guerre... « La Plieuse de parachutes » est une sonate d'automne aux accents d'inachèvement ; l'esquisse en demi-teinte des loupés d'une existence. L'écriture pointue de Mercedes Deambrosis dit la solitude, l'incompréhension, la distance. « La Plieuse de parachutes » est le roman du silence et de la lucidité, une chronique familiale de l'inaccompli.
Une complicité - Manuel de Lope (1949- ) (Espagne)
Gallimard, 295p
Dans une Espagne en guerre, déchirée par les combats entre franquistes et républicains, Manuel de Lope met en scène, avec une finesse remarquable, les vies parallèles d'Isabel et de María Antonia, réunies par ce pacte inavouable dont nous découvrons progressivement l'ampleur et les conséquences. On peut l'interpréter comme une terrible vengeance contre leur sort et contre le monde des hommes. Mais il témoigne aussi de toute la force d'une solidarité féminine capable de transformer le drame le plus inhumain en une histoire scandaleusement humaine.
L'emprise - Michèle Desbordes (1940-2006) (France)
Verdier, 182p
Livre des commencements et du temps qui s'achève, « L'Emprise » est une confidence poignante, doucement consentie, des éblouissements et des déchirements premiers qui vont rythmer toute une vie. Prose lente et dense, méditative, enveloppante et impérieuse, « L’Emprise » fait monter la splendeur du temps, dans une pensée ralentie qui s’accorde à la nature changeante.
Jeunes turcs – Moris Farhi (1935- ) (Turquie)
Buchet-Chastel, 406p
En treize histoires autour de héros juifs, musulmans, arméniens, poméraniens et turcs, à l'image de la diversité ethnique du pays, racontées par treize narrateurs différents, l'auteur dresse un portrait de la Turquie, 20 ans après la création de la république moderne, du début de la Seconde Guerre mondiale à la fin des années 1950. Toutes les étapes du passage à l’âge adulte sont traversées, ponctuées de découvertes amoureuses, d’amitiés indéfectibles, de poésie et de mythes ancestraux. Le style de Moris Farhi est voluptueux, léger et caressant, comme la brise qui souffle du Bosphore. – Lauréat prix Alberto Benveniste
Prise de territoire - Christoph Hein (1944- ) (Allemagne)
Métailié, 315p
Christoph Hein laisse à cinq personnages, à cinq voix, le soin de raconter cinquante années de la vie de Bernhard Haber, des années 50 jusqu'à la fin du XXe siècle. Chacun des narrateurs l'a connu à un moment ou à un autre de sa vie, chacun d'entre eux porte sur lui un regard différent. Comme dans l'ensemble de son œuvre narrative, Christoph Hein se veut dans ce roman un chroniqueur attentif de son époque et des conflits qui l'agitent et la perturbent. – Finaliste du prix Fémina étranger
La chambre noire de Damoclès – Willem-Frederik Hermans (1921-1995) (Hollande)
Gallimard, 484p
Interdit de traduction, l'œuvre de Hermans est aujourd'hui redécouverte. Henri Osewoudt est-il un héros de la Résistance ou un collaborateur ? « La chambre noire de Damoclès » s'empare de la question du bien et du mal de façon totalement inédite. Construit à la manière d'un thriller psychologique, le roman brouille les pistes, se joue du moindre a priori moral, et met en doute la fiabilité de toute perception et de tout jugement pour mieux nous plonger dans le récit haletant d'un destin hors normes.
Tandis que meurent les jours – Peter Hobbs (1973- ) (UK)
Christian Bourgois, 286p
Il s'agit d'un itinéraire spirituel et psychique, du récit d'un moment de crise dans la vie d'un homme amené à se poser les grandes questions de l'existence, à s'interroger sur le sens de sa vocation. Ce tournant critique se déroule à une période difficile de l'histoire de la Cornouailles anglaise, à la fin du XIXe siècle. Peter Hobbs nous offre ainsi en parallèle une vision historique et sociale fidèle et émouvante de cette région confrontée aux premières étapes d'un déclin économique inéluctable. – Finaliste des prix Costa, JL Rhys, Betty Trask et IMPAC
Antibiographie - Wojciech Kuczok (1972- ) (Pologne)
De l’Olivier, 212p
Ce roman déballe tout : les histoires de famille, souvent rocambolesques, les scènes entre les parents, l'oncle mutique, la tante hystérique, les humiliations, les coups, les crachats, les maladies soignées à l'eau salée. Tour à tour réaliste et satirique, poétique et grotesque, « Antibiographie » est un récit jubilatoire qui se joue de tous les genres, à la manière d'un Gombrowicz. – Lauréat du prix du jury et du public NIKE
La mémoire vaine – Isaac Rosa (1974- ) (Espagne)
Christian Bourgois, 331p
Comment évoquer trente-cinq années de franquisme dans un roman sans tomber dans les clichés ? Comment faire bon usage de la mémoire et donner du sens à son récit? Ce sont là les principales questions que se pose l'auteur et narrateur tout-puissant de La Mémoire vaine, en un work-in-progress qui examine sur un mode tour à tour sérieux ou comique, dramatique ou ironique, les choix auxquels est confronté tout romancier actuel. – Lauréat prix Romulo Gallegos
Haut le cœur – Jun Takami (1907-1965) (Japon)
Philippe Picquier, 731p
Salué par Mishima et Kawabata dès sa parution, « Haut le cœur » est le chef d'oeuvre de Takami Jun, son testament littéraire. Roman du Japon dans les années 1922-1937 a l'époque de l'aventure militaire contre la Chine, des complots intérieurs, des assassinats et des purges, c'est aussi celui de Kashiha, le narrateur, dans les bas-fonds de Tôkyô, Séoul ou Shanghai, où s'activent aventuriers, prostituées et lanceurs de bombes. Une étourdissante descente aux enfers, faite de révolte, d'érotisme, de meurtres, qui est aussi un poème épique sur une des plus sombres heures de l'histoire japonaise.
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre (1959- ) (France)
Grasset, 275p
Le ton est celui de l'humour noir, que l'auteur manie en virtuose. Sur son lit d'agonie, la mère de Jérôme a griffonné un message demandant que ses cendres soient dispersées dans l'Atlantique Sud. Il s’agit d’une enquête biographique et psychanalytique qui conduit progressivement aux secrets intimes de la vie d'une mère « amoureuse de la mer et des marins » et aux origines occultées de la famille... – Lauréat du Prix des lecteurs du Télégramme
Le trou dans le mur – Michel Tremblay (1942- ) (Canada)
Actes Sud, 239p
À la manière d'Alice dans le terrier du Lapin blanc, François Laplante fils est entraîné malgré lui dans une étrange aventure quand cinq acteurs de la faune la plus bizarre du redlight de Montréal vont lui confesser leurs secrets inavouables. Le roman de l'auteur montréalais, qui traite de la mort, est un mélange inattendu de fantastique et de réalisme. – Lauréat du Prix du grand public du Salon du livre de Montréal
Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki (1954- ) (Espagne)
Plon, 280p
Pedro Zarraluki imagine un microcosme dans lequel deux femmes vont démontrer que dans les pires conditions possibles on peut concevoir de refaire sa vie. Parce que tout ce qui fait notre bonheur tient moins aux lois qui nous gouvernent qu'à l'intégrité de certaines personnes. – Lauréat du prix Nadal
Bon, on recommence, les 5 prochains jours sont consacrés à la catégorie « découvrir ». Vous pouvez sélectionner jusqu’à 10 romans qui selon vous doivent être qualifiés en première ronde. Aucun ordre requis.
Ceux qui désirent faire leur sélection hors site, peuvent le faire à l’adresse :
prixcl (arobas) critiqueslibres.org
Voici la liste de DBZ (reçue avant son absence) :
Le marchand de passé - José Eduardo Agualusa
Le secret de l'orfèvre - Elia Barcelo
Cinq matins de trop - Kenneth Cook
Une complicité - Manuel de Lope
Jeunes Turcs - Moris Farhi
Prise de territoire - Christoph Hein
La chambre noire de Damoclès - Willem-Frederik Hermans
La mémoire veine - Isaac Rosa
Haut le coeur - Jun Takami
Un été à Cabrera - Pedro Zarraluki
Et la mienne :
Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa
Un long long chemin – Sebastian Barry
Le testament de Vénus - Enzo Cormann
La plieuse de parachutes – Mercedes Deambrosis
Jeunes turcs – Moris Farhi
Prise de territoire - Christoph Hein
La chambre noire de Damoclès – Willem-Frederik Hermans
Haut le cœur – Jun Takami
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre
Le trou dans le mur – Michel Tremblay
Ceux qui désirent faire leur sélection hors site, peuvent le faire à l’adresse :
prixcl (arobas) critiqueslibres.org
Voici la liste de DBZ (reçue avant son absence) :
Le marchand de passé - José Eduardo Agualusa
Le secret de l'orfèvre - Elia Barcelo
Cinq matins de trop - Kenneth Cook
Une complicité - Manuel de Lope
Jeunes Turcs - Moris Farhi
Prise de territoire - Christoph Hein
La chambre noire de Damoclès - Willem-Frederik Hermans
La mémoire veine - Isaac Rosa
Haut le coeur - Jun Takami
Un été à Cabrera - Pedro Zarraluki
Et la mienne :
Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa
Un long long chemin – Sebastian Barry
Le testament de Vénus - Enzo Cormann
La plieuse de parachutes – Mercedes Deambrosis
Jeunes turcs – Moris Farhi
Prise de territoire - Christoph Hein
La chambre noire de Damoclès – Willem-Frederik Hermans
Haut le cœur – Jun Takami
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre
Le trou dans le mur – Michel Tremblay
Ceux qui désirent faire leur sélection hors site, peuvent le faire à l’adresse :
prixcl (arobas) critiqueslibres.org
Merci Aaro.
Haut le coeur - Jun Takami
Une complicité - Manuel de Lope
Ce sera tout pour aujourd'hui. Mais je ne suis pas sur de participer à la catégorie, même si je lirai certains livres.
Une complicité - Manuel de Lope
Ce sera tout pour aujourd'hui. Mais je ne suis pas sur de participer à la catégorie, même si je lirai certains livres.
Hello
Apres lecture des résumés, je garde ceux-ci....
Merci pour ces synthèses....
Une très vieille petite fille - Michel Arrivé (France)
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo (1957- ) (Espagne)
La plieuse de parachutes – Mercedes Deambrosis (1955- ) (France)
Une complicité - Manuel de Lope (1949- ) (Espagne)
Tandis que meurent les jours – Peter Hobbs (1973- ) (UK)
Le trou dans le mur – Michel Tremblay (1942- ) (Canada)
Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki (1954- ) (Espagne)
Apres lecture des résumés, je garde ceux-ci....
Merci pour ces synthèses....
Une très vieille petite fille - Michel Arrivé (France)
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo (1957- ) (Espagne)
La plieuse de parachutes – Mercedes Deambrosis (1955- ) (France)
Une complicité - Manuel de Lope (1949- ) (Espagne)
Tandis que meurent les jours – Peter Hobbs (1973- ) (UK)
Le trou dans le mur – Michel Tremblay (1942- ) (Canada)
Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki (1954- ) (Espagne)
"Découvrir", c'est pour un premier roman? Je n'ai pas l'impression, j'ai le souvenir d'avoir lu un livre de Elia Barceló il y a quelques années ("El vuelo del hipógrifo", si je me souviens bien...) Donc, si quelqu'un pouvait me rappeler la philosophie de cette catégorie, je suis preneuse (en tous cas, elle a l'air super-intéressante :)
Je dis donc:
- Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa
- Une très vieille petite fille - Michel Arrivé
- Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo
- Cinq matins de trop – Kenneth Cook
- Une complicité - Manuel de Lope
- Antibiographie - Wojciech Kuczok
- La chambre noire de Damoclès – Willem-Frederik Hermans
- Le trou dans le mur – Michel Tremblay
- Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki
Benjamin, la date-limite exacte, ce serait le 12 novembre, à minuit (donc presque le 13, si on voit comme ça)? Pour être sûrs d'avoir tous les votes à temps sans surprise...
(et si je peux mettre mon tout petit grain de sel, je ne pense pas qu'il y ait mort d'homme à ce que certains préfèrent donner un vote après avoir eu les idées des votes des autres... de toutes façons, il y aura toujours des personnes qui préfèreront donner un avis indépendamment de tout le reste, donc je dirais qu'il y en a pour tous les goûts, on ne pourrait pas s'aimer un peu, pour voir ? :)
Je dis donc:
- Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa
- Une très vieille petite fille - Michel Arrivé
- Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo
- Cinq matins de trop – Kenneth Cook
- Une complicité - Manuel de Lope
- Antibiographie - Wojciech Kuczok
- La chambre noire de Damoclès – Willem-Frederik Hermans
- Le trou dans le mur – Michel Tremblay
- Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki
Benjamin, la date-limite exacte, ce serait le 12 novembre, à minuit (donc presque le 13, si on voit comme ça)? Pour être sûrs d'avoir tous les votes à temps sans surprise...
(et si je peux mettre mon tout petit grain de sel, je ne pense pas qu'il y ait mort d'homme à ce que certains préfèrent donner un vote après avoir eu les idées des votes des autres... de toutes façons, il y aura toujours des personnes qui préfèreront donner un avis indépendamment de tout le reste, donc je dirais qu'il y en a pour tous les goûts, on ne pourrait pas s'aimer un peu, pour voir ? :)
"Découvrir", c'est pour un premier roman? Je n'ai pas l'impression, j'ai le souvenir d'avoir lu un livre de Elia Barceló il y a quelques années ("El vuelo del hipógrifo", si je me souviens bien...) Donc, si quelqu'un pouvait me rappeler la philosophie de cette catégorie, je suis preneuse (en tous cas, elle a l'air super-intéressante :)
Ce n’est pas juste des premiers romans. Il y’a aussi des romans seulement disponibles en grand format, généralement dans des collections spécialisées ou des bouquins publiés par de petites maisons.
Benjamin, je ne participerai pas à ce Prix.
Bon week-end. :)
Bon week-end. :)
Le trou dans le mur – Michel Tremblay (1942- ) (Canada)
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre (1959- ) (France)
Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki (1954- ) (Espagne)
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo (1957- ) (Espagne)
Jeunes turcs – Moris Farhi (1935- ) (Turquie)
Prise de territoire - Christoph Hein (1944- ) (Allemagne)
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre (1959- ) (France)
Un été à Cabrera – Pedro Zarraluki (1954- ) (Espagne)
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo (1957- ) (Espagne)
Jeunes turcs – Moris Farhi (1935- ) (Turquie)
Prise de territoire - Christoph Hein (1944- ) (Allemagne)
Mon choix est donc :
Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo
Un long long chemin – Sebastian Barry
L'emprise - Michèle Desbordes
Prise de territoire - Christoph Hein
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre
Le trou dans le mur – Michel Tremblay
Le marchand de passés – José-Éduardo Agualusa
Le secret de l’orfèvre – Elia Barcelo
Un long long chemin – Sebastian Barry
L'emprise - Michèle Desbordes
Prise de territoire - Christoph Hein
L'Atlantique sud – Jérôme Tonnerre
Le trou dans le mur – Michel Tremblay
(et si je peux mettre mon tout petit grain de sel, je ne pense pas qu'il y ait mort d'homme à ce que certains préfèrent donner un vote après avoir eu les idées des votes des autres... de toutes façons, il y aura toujours des personnes qui préfèreront donner un avis indépendamment de tout le reste, donc je dirais qu'il y en a pour tous les goûts, on ne pourrait pas s'aimer un peu, pour voir ? :)
Y a pas mort d'homme, c'est vite dit! Il en va de l'intégrité de ce prix tout de même! :))
Je suis un peu embêté pour le vote. Ce sont des auteurs que je ne connais pas pour la plupart, je ne juge jamais d'après la quatrième de couverture, je n'ai pas (encore?) de maître à penser sur ce site... Je ne vois donc pas trop comment choisir.
Je suis un peu embêté pour le vote. Ce sont des auteurs que je ne connais pas pour la plupart, je ne juge jamais d'après la quatrième de couverture, je n'ai pas (encore?) de maître à penser sur ce site... Je ne vois donc pas trop comment choisir.
Quelques-uns sont commentés sur CL - et sûrement ailleurs aussi.
Je suis un peu embêté pour le vote. Ce sont des auteurs que je ne connais pas pour la plupart, je ne juge jamais d'après la quatrième de couverture, je n'ai pas (encore?) de maître à penser sur ce site... Je ne vois donc pas trop comment choisir.
Quelques-uns sont commentés sur CL - et sûrement ailleurs aussi.
Je vais donc tâcher de jeter un œil ici et ailleurs.
Je viens de débarquer sur ce site , j'aimerai bien être aiguillée .C'est une liste de livres proposés à la lecture .Aprés les lecteurs vont voter.Chaque lecteur pourrait proposer sa liste ,c'est bien ce que j'ai compris .Est ce que seuls les nouveaux livres peuvent être proposés? Mais le choix de la liste finale , comment cela se passe ?par vote ?...elle devrait être arrêtée? Sinon on se perd .J'aimerais bien savoir s'il y'a une rubrique ou un post-it où le mode d'emploi est expliqué , je serais preneuse.J'avoue être perdue !Excusez la naiveté et la curiosité d'une nouvelle!
Je vais essayer d'être clair (ce qui est rare :P).
Prix (symbolique) CL 2009 est des livres publiés en 2006 qu'on lira, pour qu’à la fin de l’année, on puisse désigner un gagnant dans chaque catégorie. Les critères sont expliqués à la première page:
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Tous les membres peuvent y participer. Ils peuvent participer à une ou plusieurs catégories (Francophonie, Découvrir, BD, Étranger, Polar). Pour voter le gagnant, il faut que la personne lise, d’ici la fin de l’année, les 4 livres de la catégorie. Tu n’es pas obligé de voter pour choisir les livres pour participer au Prix CL.
Pour la présélection, le fonctionnement général : 1) On propose des livres dans chaque catégorie, ils seront dans la grande liste. 2) Les gens peuvent voter les 10 livres de chaque catégorie qu’ils veulent lire de la grande liste, 8 seront retenus. 3) De la liste des 8 retenus, les membres devront choisir les 4 qui veulent pour la liste des 4 retenus (c’est ça?)
On est à la 2e étape, où on doit retenir 8 livres de chaque catégorie sur la grande liste. Les 8 livres pour la catégorie Francophonie sont déjà retenus, mais il reste les catégories Découvrir, BD, Étranger, Polar. Nous sommes rendus à Découvrir.
3 novembre – Coupures catégorie Francophonie pour en arriver à 8 en première sélection 8 novembre – Coupures catégorie Découvrir pour en arriver à 8 en première sélection
13 novembre – Coupures catégorie BD pour en arriver à 8 en première sélection
18 novembre – Coupures catégorie Étranger pour en arriver à 8 en première sélection
23 novembre – Coupures catégorie Polar ou Thriller pour en arriver à 8 en première sélection
1er Décembre au 19 Décembre – Élection des 4 finalistes par catégorie
C'est la deuxième année que l'on fait ça, la forme est loin d'être officielle, on utlise la méthode essai-erreur. Pour les discussion de 2008:
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Si il y a d'autres questions, fait signe.
Prix (symbolique) CL 2009 est des livres publiés en 2006 qu'on lira, pour qu’à la fin de l’année, on puisse désigner un gagnant dans chaque catégorie. Les critères sont expliqués à la première page:
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Tous les membres peuvent y participer. Ils peuvent participer à une ou plusieurs catégories (Francophonie, Découvrir, BD, Étranger, Polar). Pour voter le gagnant, il faut que la personne lise, d’ici la fin de l’année, les 4 livres de la catégorie. Tu n’es pas obligé de voter pour choisir les livres pour participer au Prix CL.
Pour la présélection, le fonctionnement général : 1) On propose des livres dans chaque catégorie, ils seront dans la grande liste. 2) Les gens peuvent voter les 10 livres de chaque catégorie qu’ils veulent lire de la grande liste, 8 seront retenus. 3) De la liste des 8 retenus, les membres devront choisir les 4 qui veulent pour la liste des 4 retenus (c’est ça?)
On est à la 2e étape, où on doit retenir 8 livres de chaque catégorie sur la grande liste. Les 8 livres pour la catégorie Francophonie sont déjà retenus, mais il reste les catégories Découvrir, BD, Étranger, Polar. Nous sommes rendus à Découvrir.
3 novembre – Coupures catégorie Francophonie pour en arriver à 8 en première sélection 8 novembre – Coupures catégorie Découvrir pour en arriver à 8 en première sélection
13 novembre – Coupures catégorie BD pour en arriver à 8 en première sélection
18 novembre – Coupures catégorie Étranger pour en arriver à 8 en première sélection
23 novembre – Coupures catégorie Polar ou Thriller pour en arriver à 8 en première sélection
1er Décembre au 19 Décembre – Élection des 4 finalistes par catégorie
C'est la deuxième année que l'on fait ça, la forme est loin d'être officielle, on utlise la méthode essai-erreur. Pour les discussion de 2008:
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