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Je viens de passer un long moment à recopier un chapitre "Prélude" de mon livre "CONFESSIONS D'UN INTERMITTENT DU SPECTACLE"-"Chroniques d'un acteur indépendant- en signalant aux personnes désireuses d'en faire une critique sur cet échantillon ou après lecture complète du livre. En précisant que ça n'était évidemment pas une auto-promotion et m'attribuant une note de 2,5.
Au moment de l'enregistrement, on m'a signalé qu'il y avait eu un dysfonctionnement et que cela n'avait pas été enregistré.
Alors, j'ai fait autrement, j'ai essayé de copier/coller ce chapitre à partir de "Mes documents", mais impossible de coller (word Micodoft 2003). Que dois-je faire. Tout recommencer;ne risque-t-on pas de me signaler qu'une critique a déjà été faite...
D'avance merci.
Cordialement.
Henri CACHIA
Au moment de l'enregistrement, on m'a signalé qu'il y avait eu un dysfonctionnement et que cela n'avait pas été enregistré.
Alors, j'ai fait autrement, j'ai essayé de copier/coller ce chapitre à partir de "Mes documents", mais impossible de coller (word Micodoft 2003). Que dois-je faire. Tout recommencer;ne risque-t-on pas de me signaler qu'une critique a déjà été faite...
D'avance merci.
Cordialement.
Henri CACHIA
Tu peux modifier ta critique, via ton compte.
Quelqu'un a déjà rencontré un un tel problème, il l'avait dit sur le forum. Je pense que c'est lié à la taille de la critique. Il y aurait une taille maximale. Il faut que je regarde ça de plus près.
Est-ce que tu peux essayer de modifier la critique via ton compte ? Tu peux aussi relever la note, à partir du moment ou tu annonces que tu es l'auteur et que tu ne te crées pas des autres 'toi' pour te critiquer, il n'y a pas de problèmes.
Quelqu'un a déjà rencontré un un tel problème, il l'avait dit sur le forum. Je pense que c'est lié à la taille de la critique. Il y aurait une taille maximale. Il faut que je regarde ça de plus près.
Est-ce que tu peux essayer de modifier la critique via ton compte ? Tu peux aussi relever la note, à partir du moment ou tu annonces que tu es l'auteur et que tu ne te crées pas des autres 'toi' pour te critiquer, il n'y a pas de problèmes.
Au moment de l'enregistrement, on m'a signalé qu'il y avait eu un dysfonctionnement et que cela n'avait pas été enregistré.
Tu n'as pas le message exact par hasard ? Ça m'aiderait.
Merci Saule, je crois que c'est réglé. J'ai tout retapé, c'était long. Mais il faut quand même vérifier quelque chose qui ne me paraît pas net. Tout en bas est écrit en rouge que j'ai déjà envoyé une critique sur ce livre? Je ne sais donc pas où est passé ce texte. J'espère qu'il n'y aura pas de quiproquo.
Je me suis mis la moyenne 2,5. Je n'allais tout de même pas me saborder. Mais je trouve qu'il n'est pas nécessaire de la remonter. Si certains décident de le faire, ce serait très bien. J'espère avoir quelques critiques.
A bientôt,
Bonne soirée et merci.
Je me suis mis la moyenne 2,5. Je n'allais tout de même pas me saborder. Mais je trouve qu'il n'est pas nécessaire de la remonter. Si certains décident de le faire, ce serait très bien. J'espère avoir quelques critiques.
A bientôt,
Bonne soirée et merci.
Tu n'as pas le message exact par hasard ? Ça m'aiderait.
Tu ne pourrais donner aussi le lien qui emmène au livre en question, avec sa critique principale ?
Qu'on jette un coup d'oeil pour voir si on parle bien du même problème.. :o)
...cet ouvrage est en commande a la bibliotheque municipale de lyon.... Cela peut etre un bon moyen de toucher les publics en se faisant connaitre dans les bibliothèques ! ;)
Merci Norway pour cette information. Je suis flatté. Je sais déjà où tu travailles... Espérons que ce livre trouvera beaucoup de lecteurs à lyon... Et gratuitement. Il ne faudrait tout de même pas que cela fasse trop baisser les ventes...(sourire). C'est vrai que les bibliothèques sont des relais intéressants.
Cordialement.
Cordialement.
...La quatrième de couverture ne figure pas sur Amazon.fr(mystère), mais au moins sur Chapitre.com et Fnac.com....
Bonjour à toutes et à tous. On va encore dire que les acteurs sont des cabots... que ne feraient-ils pas pour remonter tout en haut de l'affiche!
Plus sérieusement, il est vrai que c'est difficile pour vous de vous faire une idée d'un bouquin, où vous n'avez quasiment pas de texte, le "Prélude", en effet, est plutôt une introduction...
Je vous offre donc, avec plaisir, un autre extrait du chapitre 8 intitulé: AU-NOM-DU-PERE : une(des) séparation(s) annoncée(s).
16 janvier 91 : début des répétitions d’ « Au nom du père », pièce du très controversé auteur belge : Jean Louvet. Dérangeant parce que ne caressant jamais le spectateur dans le sens du poil. N’hésitant pas à utiliser le fer rouge sous forme d’affirmation-question : « Jamais, la classe ouvrière ne sera révolutionnaire ? »
Il est, comme moi, et Jonathan le personnage que j’aurai à défendre, issu de la classe ouvrière. Il n’a jamais connu son père, mineur de fond, mais l’a seulement côtoyé. Il se considère comme un individu anomique. Bien qu’appartenant aujourd’hui à la petite bourgeoisie intellectuelle, il n’adhère pas à toutes les valeurs classiques de celle-ci : « Si je refuse d’être un petit-bourgeois, je ne suis pas non plus un ouvrier. Je suis devenu, par destination, un intellectuel organique pour m’allier à la classe ouvrière, dans laquelle je suis né, afin de la défendre, mais pour me défendre aussi, pas par paternalisme. En faisant ce choix, il était inévitable que j’aille du malaise au déséquilibre. C’est pour cela, sans doute, que j’ai écrit. Chacune de mes pièces est un point que je fais sur un moment de ma vie, pour l’éclairer. »
Louvet sait aussi être cassant pour mieux affirmer ses convictions. Il dit sa haine de la classe ouvrière dont les seuls rêves sont petits bourgeois, et pointe l’illusion du combat syndical dans un monde ouvrier piégé par les multinationales.
Durant son enfance, il a peu entendu parler de politique. Ses parents ont connu la guerre, la peur, la faim, l’horreur. Il considère son milieu familial fortement anxiogène. Ses parents ne s’aiment pas. Lui, sans doute par pudeur, préfère dire qu’ils « ne s’entendent pas ». Il assiste à de fréquentes scènes de ménage : « Mon goût pour l’espace public, par répulsion pour la vie privée, doit venir de là. »
La correspondance entre la vie de Jean Louvet l’auteur, de Johnatan le personnage, et de ma personne, est frappante. Si elle n’est pas la cause directe des bouleversements importants qui surviendront dans ma vie peu de temps après la fin des représentations, elle m’a au moins suffisamment perturbé pour me permettre d’affirmer qu’elle y a contribué.
Voilà, j'espère qu'après ce petit morceau, vous souhaiterez peut-être me renvoyer une phrase, une réflexion, une question. Justement, à propos de questions, n'hésitez surtout pas à m'en poser au sujet des intermittents. Beaucoup d'intermittents débutants ne savent pas bien et ne connaissent pas vraiment leurs statuts. Sujet épineux très complexe. Et si moi-même je ne sais répondre à l'une de vos questions, je suppose que parmi les 13000 adhérents de Critiqueslibres, il y aura bien quelques autres intermittents qui sauront le faire.
Cordialement.
Plus sérieusement, il est vrai que c'est difficile pour vous de vous faire une idée d'un bouquin, où vous n'avez quasiment pas de texte, le "Prélude", en effet, est plutôt une introduction...
Je vous offre donc, avec plaisir, un autre extrait du chapitre 8 intitulé: AU-NOM-DU-PERE : une(des) séparation(s) annoncée(s).
16 janvier 91 : début des répétitions d’ « Au nom du père », pièce du très controversé auteur belge : Jean Louvet. Dérangeant parce que ne caressant jamais le spectateur dans le sens du poil. N’hésitant pas à utiliser le fer rouge sous forme d’affirmation-question : « Jamais, la classe ouvrière ne sera révolutionnaire ? »
Il est, comme moi, et Jonathan le personnage que j’aurai à défendre, issu de la classe ouvrière. Il n’a jamais connu son père, mineur de fond, mais l’a seulement côtoyé. Il se considère comme un individu anomique. Bien qu’appartenant aujourd’hui à la petite bourgeoisie intellectuelle, il n’adhère pas à toutes les valeurs classiques de celle-ci : « Si je refuse d’être un petit-bourgeois, je ne suis pas non plus un ouvrier. Je suis devenu, par destination, un intellectuel organique pour m’allier à la classe ouvrière, dans laquelle je suis né, afin de la défendre, mais pour me défendre aussi, pas par paternalisme. En faisant ce choix, il était inévitable que j’aille du malaise au déséquilibre. C’est pour cela, sans doute, que j’ai écrit. Chacune de mes pièces est un point que je fais sur un moment de ma vie, pour l’éclairer. »
Louvet sait aussi être cassant pour mieux affirmer ses convictions. Il dit sa haine de la classe ouvrière dont les seuls rêves sont petits bourgeois, et pointe l’illusion du combat syndical dans un monde ouvrier piégé par les multinationales.
Durant son enfance, il a peu entendu parler de politique. Ses parents ont connu la guerre, la peur, la faim, l’horreur. Il considère son milieu familial fortement anxiogène. Ses parents ne s’aiment pas. Lui, sans doute par pudeur, préfère dire qu’ils « ne s’entendent pas ». Il assiste à de fréquentes scènes de ménage : « Mon goût pour l’espace public, par répulsion pour la vie privée, doit venir de là. »
La correspondance entre la vie de Jean Louvet l’auteur, de Johnatan le personnage, et de ma personne, est frappante. Si elle n’est pas la cause directe des bouleversements importants qui surviendront dans ma vie peu de temps après la fin des représentations, elle m’a au moins suffisamment perturbé pour me permettre d’affirmer qu’elle y a contribué.
Voilà, j'espère qu'après ce petit morceau, vous souhaiterez peut-être me renvoyer une phrase, une réflexion, une question. Justement, à propos de questions, n'hésitez surtout pas à m'en poser au sujet des intermittents. Beaucoup d'intermittents débutants ne savent pas bien et ne connaissent pas vraiment leurs statuts. Sujet épineux très complexe. Et si moi-même je ne sais répondre à l'une de vos questions, je suppose que parmi les 13000 adhérents de Critiqueslibres, il y aura bien quelques autres intermittents qui sauront le faire.
Cordialement.
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