L'objectivité est subjectif, tout le monde de son côté se croit plus logique de l'autre.
Dans le dossier communautaire belge, il n'est nulle part question de logique, hélas, mais d'esprits bornés de part et d'autre.
D'accord, mais la discussion sur l'éclatement ou non de la Belgique, faudra la faire dans un autre fuseau, sinon l'ex-otage des FARC et actuelle otage des medias va débarquer pour nous sauver la mise !
Et on ne laissera parler que les non-Belges, nous...
Et on ne laissera parler que les non-Belges, nous...
Saule, tu voudrais qu'on parle de nos affaires communautaires ?
Alors, engage un modo à temps plein, et prépare tes ciseaux à censurer...
J'attends impatiemment qu'on en finisse. Le scénario idéal : la wallonie à la France, les flamands entre eux ou avec les hollandais, et Bruxelles soit avec les flamands mais un statut bilingue soit une sorte de district européen. Et après on passe à autre chose !
voila ! j'ai lancé le sujet : Querelles communautaires en Belgique.
avec au moins l'espoir que ça va faire revenir Mieke...
avec au moins l'espoir que ça va faire revenir Mieke...
J'espère ne pas être mal compris de mes amis français. Mais quand je dis "Youpiiie !", c'est parce que, en aucun cas, le roi Nicolas ne risque de revenir à la "présidence de l'Europe", ni dans 13 ans, ni jamais. A moins, bien sûr, qu'il n'arrive à faire voter ce fameux traité. Et je suis sûr que cette idée va vous éclairer sur la politique européenne du bonhomme.
Il parait qu'en 2009 il se fait naturaliser Belge ! Il est capable de régler vos problèmes, y sait tout faire, même qu'il l'a dit !
Il sait tout faire ? ça ne m'étonnerait pas ! ;-)) S'il le dit...
Enfin, non, Dbz, tout réfléchi, gardez le pour vous !
Et pourtant, les Français ont souvent trouvé de bonnes solutions pour la Belgique :
Napoléon avait donné six semaines à tous les Belges pour qu'ils parlent français...
(c'était avant Waterloo)
Enfin, non, Dbz, tout réfléchi, gardez le pour vous !
Et pourtant, les Français ont souvent trouvé de bonnes solutions pour la Belgique :
Napoléon avait donné six semaines à tous les Belges pour qu'ils parlent français...
(c'était avant Waterloo)
Il faut dire qu'il était persuadé que tous les Wallons parlaient français. Il a été un peu étonné quand ses officiers de reconnaissance sont venu lui dire, le 15 juin 1815, qu'ils ne pigeaient rien à ce que les paysans leur racontaient. J'aurais voulu être une mouche (extra-temporelle) pour assister au dialogue entre un de ces officiers et un villageois ordinaire de Walhain ou de Wagnelée...
Il faut dire qu'il était persuadé que tous les Wallons parlaient français. Il a été un peu étonné quand ses officiers de reconnaissance sont venu lui dire, le 15 juin 1815, qu'ils ne pigeaient rien à ce que les paysans leur racontaient. J'aurais voulu être une mouche (extra-temporelle) pour assister au dialogue entre un de ces officiers et un villageois ordinaire de Walhain ou de Wagnelée...
Pas très original, moi non plus je ne comprenais pas ce que disait mon grand père. Au début de l'autre siècle, le Français était parlé chez nous mais la langue vernaculaire était une espèce de patois, mélange de vieux français, de restes de germanisme ou d'autres séquelles du latin et peut-être de langues plus anciennes.
- Dites donc, mon brave, avez-vous vu passer les Prussiens ?
- Rastreins, valè ! Dji n'comprins nin en'broke de c'que vos dites ! Djôzez wallon !
- Pardon ?
- Dj'a di què dji n'sézi nin. Dji n'y veu rin !
- Heu...
- Vos prindez on bouf pô n'vatche...
- Les Prussiens ! (Ici, il essaye de mimer un Prussien, mais comme ils n'avaient pas encore de casque à pointe, c'est un peu difficile)
- Ah ! Les Preuchins ! N'fô nin monter come ine sôpe à lécè, savez-vous, binamé... C'é les kézerlicks dont vous djôzer ?
- Non, les Prussiens !...
- Ben oui, les kézerlicks, c'est todi l'même, hein m'fi.
- Vous les avez vu ?
- Véyou ! Véyou ! Faut ni djôzer assoleyemint ! Tot au plus, aparçu...
- Et vers où allaient-ils ?
- Y gripaient la gritchète vè Djimbloû.
Et le tout à l'avenant...
- Rastreins, valè ! Dji n'comprins nin en'broke de c'que vos dites ! Djôzez wallon !
- Pardon ?
- Dj'a di què dji n'sézi nin. Dji n'y veu rin !
- Heu...
- Vos prindez on bouf pô n'vatche...
- Les Prussiens ! (Ici, il essaye de mimer un Prussien, mais comme ils n'avaient pas encore de casque à pointe, c'est un peu difficile)
- Ah ! Les Preuchins ! N'fô nin monter come ine sôpe à lécè, savez-vous, binamé... C'é les kézerlicks dont vous djôzer ?
- Non, les Prussiens !...
- Ben oui, les kézerlicks, c'est todi l'même, hein m'fi.
- Vous les avez vu ?
- Véyou ! Véyou ! Faut ni djôzer assoleyemint ! Tot au plus, aparçu...
- Et vers où allaient-ils ?
- Y gripaient la gritchète vè Djimbloû.
Et le tout à l'avenant...
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