Heyrike
avatar 15/12/2003 @ 21:30:08
James Welch est décédé, au mois d'août dernier, d'un cancer à l'age de 63 ans.
C'est non seulement un grand nom de la littérature Amérindienne qui disparaît, mais aussi une figure emblématique du renouveau de l'Indianité. A travers ces romans il a si bien dépeint la condition des Indiens de nos jours et a tenté de reconstruire l'identité Indienne en se réappropriant l'histoire de la conquête de l'ouest, tellement formatée par l'homme blanc. Offrant une lecture plus réaliste de cette histoire faite de larmes et du sang des Indiens.

Folfaerie 16/12/2003 @ 12:33:09
Hé oui, nous perdons non seulement un écrivain de talent mais aussi un homme intelligent et bon, et je remarque avec tristesse que son décès est passé quasiment inaperçu en France, tout comme celui de Louis Owens il y a un an.
Voici un petit hommage qui lui a été rendu sur le net :
«James Welch a su forcer le respect de l'intelligentsia américaine à une époque où la reconnaissance n'allait pas de soi pour les Indiens», rappelle son ami et éditeur français, Francis Geffard, fondateur de la collection Terre indienne chez Albin Michel. «Il a ouvert des pistes, il a su se définir non seulement comme indien mais comme écrivain américain. C'est une figure emblématique, quasi paternelle pour les jeunes comme Sherman Alexie ou David Treuer.»




James Welch est décédé, au mois d'août dernier, d'un cancer à l'age de 63 ans.
C'est non seulement un grand nom de la littérature Amérindienne qui disparaît, mais aussi une figure emblématique du renouveau de l'Indianité. A travers ces romans il a si bien dépeint la condition des Indiens de nos jours et a tenté de reconstruire l'identité Indienne en se réappropriant l'histoire de la conquête de l'ouest, tellement formatée par l'homme blanc. Offrant une lecture plus réaliste de cette histoire faite de larmes et du sang des Indiens.

Jules
16/12/2003 @ 18:21:27
Je l'ignorais également et cette nouvelle me fait dire que voilà un homme bon et humain de moins sur cette planète.




Hé oui, nous perdons non seulement un écrivain de talent mais aussi un homme intelligent et bon, et je remarque avec tristesse que son décès est passé quasiment inaperçu en France, tout comme celui de Louis Owens il y a un an.
Voici un petit hommage qui lui a été rendu sur le net :
«James Welch a su forcer le respect de l'intelligentsia américaine à une époque où la reconnaissance n'allait pas de soi pour les Indiens», rappelle son ami et éditeur français, Francis Geffard, fondateur de la collection Terre indienne chez Albin Michel. «Il a ouvert des pistes, il a su se définir non seulement comme indien mais comme écrivain américain. C'est une figure emblématique, quasi paternelle pour les jeunes comme Sherman Alexie ou David Treuer.»




James Welch est décédé, au mois d'août dernier, d'un cancer à l'age de 63 ans.
C'est non seulement un grand nom de la littérature Amérindienne qui disparaît, mais aussi une figure emblématique du renouveau de l'Indianité. A travers ces romans il a si bien dépeint la condition des Indiens de nos jours et a tenté de reconstruire l'identité Indienne en se réappropriant l'histoire de la conquête de l'ouest, tellement formatée par l'homme blanc. Offrant une lecture plus réaliste de cette histoire faite de larmes et du sang des Indiens.

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