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Provis

avatar 29/01/2008 @ 18:50:43
Très bien, SJB, ton panégyrique de saint Thomas d’Aquin !!
Mais tout de même, on eût apprécié que Bolcho s’y collât ! .. :o)


SJB, Prince Jean, je ne serais pas étonné que Saint Thomas d’Aquin ait parlé du temps.. Savez-vous ce qu’il en a dit ? (résumé en quelques lignes ! :o)..)

Provis

avatar 29/01/2008 @ 19:00:48
chauffe Marcel, chauffe...

Pour ceux qui n'auraient pas compris
http://fr.youtube.com/watch?v=krF3y_S0gi0
2m08, 2m46,
Je vous laisse deviner qui est Marcel...
Saule, sur un autre fil je pense, toi et Prince Jean vous avez beaucoup parlé de musique liturgique..

Je te recommande tout particulièrement la Messe du Pape Marcel, de Palestrina.

C'est vieux et (mais ? .. :o)..) c’est extraordinaire de recueillement, de beauté et d’authenticité..
J’ai failli en dire un mot à l’occasion du panégyrique du pape Marcel (voir Le Saint du Jour), dont certains se demandaient à quoi il avait bien pu servir, mais j’ai laissé passer l’occasion.
Tempus fugit.. :o)

Saule

avatar 29/01/2008 @ 19:12:20
Très bien, SJB, ton panégyrique de saint Thomas d’Aquin !!
Mais tout de même, on eût apprécié que Bolcho s’y collât ! .. :o)


SJB, Prince Jean, je ne serais pas étonné que Saint Thomas d’Aquin ait parlé du temps.. Savez-vous ce qu’il en a dit ? (résumé en quelques lignes ! :o)..)

Je pense que c'est Saint Augustin, en tout cas le livre 10 de ses confessions traite de la mémoire, et le 11 du temps. J'avais fait une critique à l'époque de ces deux livres qui sont édités en mille et une nuits. Mais c'est de haute tenue philosophique, ça m'était un peu passé au-dessus de la tête.

Saule

avatar 29/01/2008 @ 21:01:52
Ave Marcellis !


Je te recommande tout particulièrement la Messe du Pape Marcel, de Palestrina.

Tempus fugit.. :o)

Je ne connais pas Palestrina. Je viens d'écouter un stabat mater sur youtube, et c'est beau en effet
http://fr.youtube.com/watch/…

Il y a aussi le Kyrie de la missa Papae Marcellis, mais la qualité est mauvaise.

Quand tu parles latin je comprends tout, ça me donne l'impression de le connaitre :-)

Prince jean 30/01/2008 @ 03:47:49
non, je ne connais pas, je connais la messe de Saint Marcel , qui date du 7e et 8e siecle, elle est donc antégregorienne, c 'est magnifique.
les polyphonies de Palestrina sont de toutes beautés.
le pape ne pouvait pas entendre de musique autre que vocale, il n'y a eu d'orgue à la basilique saint pierre qu'au XIXeme siecle.
de nos jours, l'orgue est encore interdit le vendredi saint. les chants se font ce jour là, a cappela.

je vous invite à découvrir la musique sacrée de Marc antoine Charpentier, par exemple, les litanies à la vierge, "ad beatam virginem mariam" par Jordi Savall, c est ... divin.

evidement, ce n'est plus disponible à la vente !!!
(comme m'a dit un vendeur de la fnac : bientot on ne vendra plus que les 4 saisons, bartoli et le requiem de mozart)

Saint Jean-Baptiste 30/01/2008 @ 09:51:19
Bah ! il y en aura d'autres pour Bolcho... ;-))
Et avec tout ça, les jours passent et il faut bien continer...

Saint Jean-Baptiste 30/01/2008 @ 09:53:42
Sainte Bathilde portait un joli prénom mais sa vie ne fut jamais un conte de fées.

D'abord, elle était Anglo-Saxonne, ce qui au VIIème siècle, n'était pas vraiment une chance. L'Angleterre de ce temps là était bien plus sauvage qu'aujourd'hui !
Ensuite, elle avait été capturée par des corsaires et, comme elle était jeune et belle, elle avait été vendue à bon prix à Erkinoald, le Maire du palais de Clovis II.

Clovis II était, comme chacun sait, le fils puîné du Roi Dagobert. En 639 il avait reçu en héritage la Neustrie. Quand il fut en âge de prendre femme, Erkinoald lui refila la belle Bathilde.

En ce temps là, les Anglo-Saxons n'étaient pas très civilisés mais alors, les Francs étaient de vrais barbares. Ils ne se lavaient jamais ! Même pas les pieds !
Ce n'est pas pour rien que l'Histoire les a appelés les Rois Fainéants : ils ne prenaient soin ni d'eux-mêmes, ni de leurs chevaux, ni de leurs bœufs ni de leurs femmes. Et ils sentaient mauvais... Bathilde était très malheureuse mais elle gagnait son paradis.

Un beau jour de l'an 657, peut-être par la grâce de Dieu, Clovis II mourut. Bathilde avait vingt deux ans !

Elle assura la régence de son royaume et devint la grande amie du grand Saint Éloi.
Ensemble ils ne firent que des bonnes choses : ils supprimèrent l'esclavage. Ils allégèrent les impôts. Ils rétablirent les moines dans leurs monastères en leur rendant leurs terres et leurs biens, et ils construisirent des hospices pour les pauvres.

La paix dura pendant douze ans. Arrivés en âge de régner, un des fils de Bathilde, Clotaire III devint Roi de Neustrie et l'autre, Childéric II, devint Roi d'Austrasie.
Mais hélas ! avec le nouveau Maire de palais, Ebroïn, les guerres, les crimes, les assassinats reprirent de plus belle. La pauvre Bathilde dut se retirer à l'abbaye de Chelles, en Seine-et-Marne, où elle se mit au service des pauvres, jusqu'à sa mort le 30 janvier 680.

Bonne fête aux Bathilde !

Saint Jean-Baptiste 31/01/2008 @ 10:20:25
Don Bosco l'ami des jeunes ! C'est sous cette appellation que tout le monde connaît Saint Jean Bosco.

C'était un garçon de la campagne, jovial, avenant, et toujours souriant.
Il était l'ami des jeunes parce que, quand le matin il allait à la messe du village, il voyait les paysans qui rossaient leurs fistons parce qu'ils faisaient des bêtises. Mais c'était bien normal : ces petits garnements n'avaient rien d'autre à faire.

Il comprit que la seule issue pour ces enfants était de leur donner une école.

Mais Jean Bosco était le pauvre fils d'un pauvre paysan. Il était du Piémont, cette belle région du nord de l'Italie, qui en ce début du XIXème siècle était très désolée.

Il commença par conduire les enfants au catéchisme de la paroisse. Mais il en venait tant, qu'il fallut bientôt aménager une grange. Et bientôt la grange devint trop petite. Alors, avec les jeunes, Jean Bosco restaura une grande maison et il en fit une école.

Il était de ceux qui disent : ce n'est pas parce que c'est impossible, qu'il ne faut pas entreprendre ; et son histoire est l'histoire d'une réussite.

C'était un précurseur : cette école était gratuite et les enseignants étaient des artisans qui venaient bénévolement apprendre aux jeunes un métier.
Il répéta l'expérience dans le village voisin, et puis encore dans d'autres villages et puis à Turin, où il construisit une grande école professionnelle gratuite.

Son mouvement était lancé, il ne s'arrêterait plus. Aujourd'hui les écoles Don Bosco sont partout : en Italie, France, Belgique, Autriche, Pays-Bas... et jusqu'en Amérique du Sud. Elles ont été placées par Jean Bosco, sous le patronage de deux congrégations qui comptent des dizaines de milliers de membres : les Salésiens (en l'honneur de Saint François de Sales), et les Sœurs Auxiliatrices.

On nous dit aujourd'hui qu'il ne faut plus croire aux miracles ...et pourtant : Don Bosco commençait la construction de ses écoles sans un sou ; il disait, en regardant le ciel :
- Vous verrez, l'argent suivra... Et l'argent suivait !

Cet homme d'action, toujours de bon humeur, toujours souriant, mourut le 31 janvier 1888 à Turin, cette belle ville d'Italie, dont il est le Saint Patron.

Bonne fête aux Turinois, aux Turinoises, et bonne fête aux Jean !

Saint Jean-Baptiste 01/02/2008 @ 09:21:10
S'il était né à notre époque, Saint André de Segni aurait été célèbre et célébré.
Car on sait combien aujourd'hui sont appréciés les diseurs de bon aventure, les charlatans, les cartomanciennes et les voyantes extra-lucides, à qui il arrive même parfois de devenir des conseillers de la République.

Ce n'est pas qu'André de Segni ait été un charlatan, pas le moins du monde ; au contraire, il était très intelligent et très fin psychologue. Mais il savait lire dans les pensées et sa perspicacité lui permettait de prévoir ce qui allait arriver.

Ses amis le prenaient pour un prophète et ses ennemis pour un suppôt de satan.

Sa famille comptait parmi les plus nobles et les plus riches des environs de Rome. Il était né en 1230 et son père avait prévu pour lui quelque chose de grand : la Papauté, par exemple. Ce n'était pas pour rien qu'il était le filleul du Pape Alexandre IV...

Mais, en réalité, lui c'était un homme discret et réservé. En bon franciscain, il était joyeux, il aimait la vie simple et il se contentait de peu ; son seul plaisir était de partager.

Quand André eut 24 ans, son père se dit qu'il était temps de passer aux choses sérieuses et son parrain, le Pape, lui apporta sur un plateau le chapeau de Cardinal ; mais le brave franciscain refusa tout simplement - au grand dam de sa famille.
Il avait choisi de vivre, pauvre parmi les pauvres, dans un petit village perdu des Abruzzes et c'est là qu'il était bien.

Quelques 25 ans plus tard, il était devenu célèbre malgré lui : il devait sa célébrité à la qualité de ses écrits et de ses prédications qui se répétaient jusqu'à Rome et jusqu'au Vatican.
Son neveux le Pape Boniface VIII voulut, lui aussi, lui confier une place des plus honorifiques parmi les grands prêcheurs romains, mais il essuya le même refus.

André avait besoin de calme et de solitude : c'était un contemplatif.

Lui-même se disait persécuté par le diable. Il entendait les voix des morts qui venaient le tourmenter dans ses prières et pourtant, selon ses contemporains, après des heures et des heures de contemplation il tombait en extase et voyait Dieu.

Saint André de Segni mourut le 1 février 1302.

Bonne fête aux André !

Saint Jean-Baptiste 02/02/2008 @ 01:24:35
Aujourd'hui c'est un grand jour pour les Jeanne et Dieu sait qu'elles sont nombreuses.
C'est un grand jour aussi – évidemment - pour les Jeannette.
Ce sont de beaux prénoms. Surtout Jeannette pour les jeunes. Parce que à partir d'un certain âge, disons, au-delà de nonante ans, je pense que Jeanne, ça convient mieux.
Mais, au fond, peu importe ! ce qui compte, c'est que les Jeanne et les Jeannette ont une très bonne Sainte Patronne, puisque c'est la très Sainte Jeanne de Lestonnac.

Elle était née à Bordeaux en 1556 dans une famille qui cultivait les belles lettres, et pour cause, sa mère n'étant rien d'autre que la sœur de Montaigne. Oui, notre grand Montaigne, le grand écrivain humaniste, peu, mais dignement célébré sur notre site.

Montaigne et Jeanne s'estimaient beaucoup. Le grand homme prenait soin de l'éducation de sa nièce et lui vouait une grande admiration : «la nature, écrivait-il, en a fait un chef-d'œuvre, alliant une si belle âme à un si beau corps, et logeant une princesse en un magnifique palais».

Mais hélas ! sa mère était huguenote ! Et, au XVIème siècle, on ne se gaussait pas des religions comme aujourd'hui. «Ma fille sera huguenote, ou je la f... dehors, disait sa mère, la sœur du grand Montaigne».
Mais, en ces temps bénits, les paternels avaient leur mot à dire !
- Ma fille vous serez catholique, déclara le père de Jeanne, et Jeanne fut catholique.

À 17 ans elle convola en justes noces avec son amoureux, le baron de Monferrat-Laudiras et sept enfants naquirent de cette heureuse union.
Mais on sait que la Grande Faucheuse frappe aveuglément les gens heureux comme tous les autres : son cher mari mourut quand elle avait à peine 40 ans !

Jeanne décida alors, d'entrer chez les religieuses Feuillantines de Toulouse. C'était en 1603 et, d'après ce qu'on raconte, en ce temps là, les Feuillantines étaient très grincheuses. Elles rouspétaient toujours et contre tout ! Et puis elles se tenaient très mal à table ; elles mangeaient avec leurs doigts et elles faisaient des bruits indécents... Après six mois, Jeanne n'en pouvait plus ! elle jeta le voile aux orties et retrouva sa liberté.

C'est alors qu'en 1607, elle fit des retrouvailles avec ses vieux copains Jean et Raymond de Bordes, qui étaient devenus Jésuites.
Avec eux, elle fonda l'équivalent des Jésuites pour les filles : la compagnie de Marie-Notre-Dame, dont elle fut la Prieure, jusqu'à sa mort à Bordeaux, le 2 février de sa quatre-vingt cinquième année.

Bonne fête aux Jeanne et aux Jeannette !

Shelton
avatar 02/02/2008 @ 07:40:57
Aujourd'hui, c'est aussi la Chandeleur (bonne fête à toutes les chandelles) et nous allons en profiter pour manger des crêpes... C'est bon, parfois, les traditions !

Saint Jean-Baptiste 03/02/2008 @ 10:25:06
«À la Saint Blaise l'hiver s'apaise, mais s'il reprend c'est pour longtemps»

Saint Blaise a vécu en Arménie au IVème siècle.

Je crois que ça n'a jamais été facile de vivre en Arménie, mais en ce temps là, et surtout si on était chrétien, c'était vraiment difficile, ça j'en suis sûr. Et Blaise était un bon chrétien, c'était même l'évêque de Sébaste, la capitale du pays.

L'Arménie en ce temps là, vivait sous le joug du Gouverneur Agricola, qui faisait la chasse aux chrétiens. Blaise avait dû se cacher dans une grotte du mont Argée pour échapper aux persécutions.

Il était médecin, vétérinaire, et thaumaturge ; si bien que sa grotte était très fréquentée. Les malades faisaient la queue dans une cavité aménagée en salle d'attente et les animaux attendaient dehors.

Or un jour, les soldats d'Agricola faisaient la chasse aux bêtes sauvages pour les produire dans les jeux du cirque avec les malheureux chrétiens. En passant devant la grotte et en voyant tout cet attroupement d'ours, de tigres et de lions, ils comprirent que c'était là, le repaire de Blaise. Ils capturèrent Blaise et les bêtes féroces. Mais évidemment dans l'arène, tout ce petit monde faisait bon ménage. Il fallut trouver autre chose. On mit Blaise dans un cachot, en attendant.

Mais voilà que le fils d'Agricola, en mangeant un poisson, avala de travers une arête et faillit s'étouffer. On se souvint que Blaise savait faire des miracles, on le fit venir au palais, et Blaise fit un miracle : il retira l'arête du gosier du petit.

C'était un grand miracle ! ...et tiens ! tout à coup, ça me rappelle qu'un jour, quand j'étais petit, mon père m'avait retiré du gosier... mais non ! ça deviendrait trop anecdotique, retournons, si vous le voulez bien, à notre pauvre Blaise.

On n'arrivait pas à le tuer ! On voulait le laisser mourir de faim, mais des anges lui apportaient sa nourriture. On voulut le noyer, mais il savait marcher sur les eaux. On voulut lui couper la tête, mais l'épée se pliait au lieu d'entrer dans son cou. On essaya des glaives, des sabres, des haches... rien n'y fit !

Alors on utilisa un stratagème abominable ! On alla chercher sept jeunes chrétiennes et on menaça de leur couper la tête si Blaise continuait à faire des miracles.

Alors Saint Blaise, en chantant des cantiques, accepta le martyre de la décapitation !

Bonne fête aux Blaise !

Benoit
avatar 03/02/2008 @ 18:12:54
Passionante, cette biographie de Saint-Blaise! Merci, SJB!

Saint Jean-Baptiste 04/02/2008 @ 00:06:50
Ahhh ! merci, Benoit, alors je continue... ;-))

Saint Jean-Baptiste 04/02/2008 @ 00:08:17
Aujourd'hui, nous avons le double plaisir de fêter les Véronique et les Bérénice.

Sainte Véronique, vous la connaissez bien, c'est cette gentille fille qui, à la quatrième station du Chemin de Croix, prit son voile pour essuyer le visage de Jésus.
En réalité elle s'appelait Bérénice. Mais comme sur son voile s'est imprimée la vraie image de Jésus, on l'a appelée Véronique de "vérum-icon" : vraie image.

Cette jeune fille compatissante s'est ensuite mariée avec quelqu'un de très bien. Elle s'est mariée avec Zachée, le collecteur d'impôts, celui qui était monté dans un arbre pour mieux voir Jésus, et dont saint Luc nous a parlé dans son évangile (Luc 19).

Les jeunes mariés avaient décidé de faire leur voyage de noces à Rome. Et leur ami Abgar, qui était venu de Edesse pour leur mariage, écrivit à l'Empereur Trajan pour qu'il les reçoive convenablement ; dans sa lettre, il lui avait raconté cet épisode du voile. Trajan demanda à voir ce voile mais hélas ! il resta insensible à cette image sublime.

Saint Pierre était déjà à Rome ; Véronique lui confia le voile. Et puis avec son mari Zachée, elle partit pour évangéliser la Gaule. On les vit dans le Lot, en Gironde, et puis aussi à Bourges, à Laon, à Reins, un peu partout...

Cette histoire du voile de Véronique n'est pas dans les évangiles mais elle fait partie de la Tradition. Elle est racontée sur tous les Chemins de Croix, dans toutes les églises d'Occident.
Et elle est tellement belle ...qu'elle ne peut qu'être vraie !

Bonne fête aux Bérénice et aux Véronique !

Saint Jean-Baptiste 04/02/2008 @ 00:10:38
C'est Reims, pas Reins. Mes très cultivés lecteurs auront corrigé d'eux-mêmes... ;-))

Saint Jean-Baptiste 04/02/2008 @ 00:14:22
Angoulême est fini, Shelton ! À ta plume ! ;-))

Le lundi 11 c'est un Pape : Saint Pascal.
Et le mardi12, c'est un autre : Saint Félix IV.

OK ?

Shelton
avatar 04/02/2008 @ 06:37:42
Nous allons faire en sorte que nos deux amis arrivent à l'heure...

Saule

avatar 04/02/2008 @ 20:23:48
Bonne fête aux Véronique !

Oh ! c'est la fête de ma soeur, faut que je lui envoie un SMS

Saint Jean-Baptiste 04/02/2008 @ 23:00:27
Tu lui diras bonne fête de ma part, tant que tu y es. ;-))

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