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Quelqu'un connaît-il l'écrivain australien Peter Carey ?
Et encore mieux, quelqu'un a-t-il lu "Haut vol : histoire d'amour" ?
J'ai mis au moins une semaine à lire 214 pages, je m'accroche, mais il y a des passages entiers auxquels je ne comprends rien, je veux dire qu'ils n'ont pas de signification ni en eux-mêmes, ni par rapport à ce qui figure avant ou après.
C'est une histoire à deux voix, celle de deux frères dont l'un est handicapé mental. Mais il n'est pas si handicapé que ça, car il raconte très bien sa partie de l'histoire. Toutefois Peter Carey a choisi de mettre dans sa bouche de temps en temps un paragraphe incompréhensible.
Bon, je vous donne un exemple. Si vous comprenez, dites-le moi !
"Avant d'entendre le fax, je n'avais jamais compris l'expression MOULINS DE DIEU mais quand ce cauchemar rugissait à l'intérieur de mon cerveau, je voyais ma mère broder SI LES MOULINS DE DIEU ECRASENT LENTEMENT, ILS ECRASENT POURTANT TRES PETIT; S'IL ATTEND PATIEMMENT, AVEC RIGUEUR IL ECRASE TOUT. Pauvre Maman, elle ne respirait jamais sans penser à son dernier jour."
Bon, la dernière phrase, ça va :), mais avant...
Les majuscules ne sont pas de moi, bien sûr. Elles émaillent la partie racontée par Hugh, le frère handicapé.
Le problème c'est que ce genre de paragraphe, auquel je tente de trouver un sens, il y en a des dizaines...
Bidoulet, dans la critique ci-jointe (Ma vie d'imposteur) a eu l'air d'avoir beaucoup de problèmes aussi et sa lecture en a été gâchée.
J'étais contente de découvrir un écrivain que je connaissais pas, alors qu'il est très connu dans le monde anglo-saxon depuis longtemps (ça, je l'ai découvert sur internet !).
La 4ème de couv. citait les éloges de Jonathan Franzen et John Updike, mais mon outil intellectuel, de toute évidence, ne me permet pas de suivre P. Carey...
A votre bon coeur ! ;o)
Et encore mieux, quelqu'un a-t-il lu "Haut vol : histoire d'amour" ?
J'ai mis au moins une semaine à lire 214 pages, je m'accroche, mais il y a des passages entiers auxquels je ne comprends rien, je veux dire qu'ils n'ont pas de signification ni en eux-mêmes, ni par rapport à ce qui figure avant ou après.
C'est une histoire à deux voix, celle de deux frères dont l'un est handicapé mental. Mais il n'est pas si handicapé que ça, car il raconte très bien sa partie de l'histoire. Toutefois Peter Carey a choisi de mettre dans sa bouche de temps en temps un paragraphe incompréhensible.
Bon, je vous donne un exemple. Si vous comprenez, dites-le moi !
"Avant d'entendre le fax, je n'avais jamais compris l'expression MOULINS DE DIEU mais quand ce cauchemar rugissait à l'intérieur de mon cerveau, je voyais ma mère broder SI LES MOULINS DE DIEU ECRASENT LENTEMENT, ILS ECRASENT POURTANT TRES PETIT; S'IL ATTEND PATIEMMENT, AVEC RIGUEUR IL ECRASE TOUT. Pauvre Maman, elle ne respirait jamais sans penser à son dernier jour."
Bon, la dernière phrase, ça va :), mais avant...
Les majuscules ne sont pas de moi, bien sûr. Elles émaillent la partie racontée par Hugh, le frère handicapé.
Le problème c'est que ce genre de paragraphe, auquel je tente de trouver un sens, il y en a des dizaines...
Bidoulet, dans la critique ci-jointe (Ma vie d'imposteur) a eu l'air d'avoir beaucoup de problèmes aussi et sa lecture en a été gâchée.
J'étais contente de découvrir un écrivain que je connaissais pas, alors qu'il est très connu dans le monde anglo-saxon depuis longtemps (ça, je l'ai découvert sur internet !).
La 4ème de couv. citait les éloges de Jonathan Franzen et John Updike, mais mon outil intellectuel, de toute évidence, ne me permet pas de suivre P. Carey...
A votre bon coeur ! ;o)
Non je ne connais pas, et en effet ça a l'air particulier. Mais après plus de 200 pages n'abandonne pas ! La phrase en majuscule, du frère handicapé, est bizarre : elle semble incohérente mais vraie en même temps, suffisament que pour intriguer et mettre notre intelligence à l'épreuve, j'aime plutôt bien.
Oui, Saule, j'essaie de poursuivre, entre autres pour une raison très triviale : quand tu as mis 25€ dans le commerce, ça fait mal au coeur ;o)
Le problème est que j'ai lu autre chose parallèlement pour m'aérer de P. Carey et j'ai perdu certains détails de l'histoire. J'ai perdu la concentration et l'intérêt. Il faut dire que ça fait plutôt 15 jours que j'ai commencé !
Morale de l'histoire : pour faire des découvertes, il vaut mieux emprunter en bibliothèque !
Le problème est que j'ai lu autre chose parallèlement pour m'aérer de P. Carey et j'ai perdu certains détails de l'histoire. J'ai perdu la concentration et l'intérêt. Il faut dire que ça fait plutôt 15 jours que j'ai commencé !
Morale de l'histoire : pour faire des découvertes, il vaut mieux emprunter en bibliothèque !
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