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Waouw, je découvre que la critique du livre "Qui fait peur à maman" vient de sortir dans le Nouvel Observateur, je vous fais un copier/coller d'une partie de l'article paru cette semaine du 04 avril 2007 :
Tibet, c'est le dalaï-lama de la BD : un chef spirituel, une légende vivante. De son vrai nom Gilbert Gascard, il est le créateur de Chick Bill (60 albums) et de Ric Hochet. Si tout le monde a récemment célébré le jubilé de ses héros, personne n'a cru bon de fêter, comme il le méritait, son premier et très émouvant texte littéraire : « Qui fait peur à maman ? » (l'Esprit des Péninsules, 16 euros).
Ce merveilleux autoportrait paraît à l'Esprit des Péninsules, qui vient de déposer le bilan. Avec un catalogue de 180 titres, traduits de 21 langues, la maison d'édition d'Eric Naulleau avait un seul défaut : l'exigence de qualité, la passion de la découverte (notamment pour l'Europe de l'Est) et le refus de la complaisance. J'ose espérer qu'il se trouvera, de Gallimard à Flammarion, d'Editis à La Martinière, un groupe solide pour accueillir, en son sein, cette maison fragile où souffle l'Esprit ; pour sauver ce catalogue où brillent les noms de Wolfgang Büscher, de Hanif Kureishi, de Galsan Tschinag, de Pierre Jourde... et de Tibet, qui a le regret de Marseille comme nous avons déjà celui des Péninsules.
Tibet, c'est le dalaï-lama de la BD : un chef spirituel, une légende vivante. De son vrai nom Gilbert Gascard, il est le créateur de Chick Bill (60 albums) et de Ric Hochet. Si tout le monde a récemment célébré le jubilé de ses héros, personne n'a cru bon de fêter, comme il le méritait, son premier et très émouvant texte littéraire : « Qui fait peur à maman ? » (l'Esprit des Péninsules, 16 euros).
Ce merveilleux autoportrait paraît à l'Esprit des Péninsules, qui vient de déposer le bilan. Avec un catalogue de 180 titres, traduits de 21 langues, la maison d'édition d'Eric Naulleau avait un seul défaut : l'exigence de qualité, la passion de la découverte (notamment pour l'Europe de l'Est) et le refus de la complaisance. J'ose espérer qu'il se trouvera, de Gallimard à Flammarion, d'Editis à La Martinière, un groupe solide pour accueillir, en son sein, cette maison fragile où souffle l'Esprit ; pour sauver ce catalogue où brillent les noms de Wolfgang Büscher, de Hanif Kureishi, de Galsan Tschinag, de Pierre Jourde... et de Tibet, qui a le regret de Marseille comme nous avons déjà celui des Péninsules.
Il y a un peu plus d'un an, j'avais rencontré Tibet à Angoulême et j'en avais donné l'essentiel :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vinterview/75
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vinterview/75
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