Bienvenue sur C.L. Amoin et bienvenue au club des amoureux de James Lee Burke ! Il y en avait 2 ou 3 qui intervenaient régulièrement et qui ont disparu du site. N'empêche, James Lee Burke est toujours là, essaie de les lire dans l'ordre, surtout pour ce qui concerne le héros récurrent Dave Robicheaux.
Un qui ne concerne pas cette série et qui est magnifique, c'est "Le boogie des rêves perdus". Il ne concerne pas la Louisiane non plus mais James Lee Burke conserve cette faculté naturelle de nous immerger dans la nature profonde qu'il décrit. Là je crois me souvenir que c'est le Montana.
Tu as de la chance d'avoir tous les James Lee Burke à découvrir !
Dans un cadre un peu similaire : amour de ses personnages, psychologie fine et forte capacité à nous imprégner du décor, il y a Tony Hillerman et ses policiers navajos. Ca gagne à être connu aussi.
Bonne lecture.
Un qui ne concerne pas cette série et qui est magnifique, c'est "Le boogie des rêves perdus". Il ne concerne pas la Louisiane non plus mais James Lee Burke conserve cette faculté naturelle de nous immerger dans la nature profonde qu'il décrit. Là je crois me souvenir que c'est le Montana.
Tu as de la chance d'avoir tous les James Lee Burke à découvrir !
Dans un cadre un peu similaire : amour de ses personnages, psychologie fine et forte capacité à nous imprégner du décor, il y a Tony Hillerman et ses policiers navajos. Ca gagne à être connu aussi.
Bonne lecture.
Tistou, quel est le premier de la série des Robicheaux? Ca m'intéresse aussi : je n'ai jamais rien lu de cet auteur mais ce que toi et d'autres en ont dit m'a mis l'eau à la bouche...
Le premier vrai de vrai est "La pluie de néon", même si je considère (ayant lu la suite) comme premier légitime "Prisonniers du ciel". C'est là que se fondent les bases des co-héros qu'on suivra ensuite.
J'attends avec impatience tes critiques alors SGDP ?
Et comment ça va avec la rentrée ?
J'attends avec impatience tes critiques alors SGDP ?
Et comment ça va avec la rentrée ?
Merci! Je vais commander les deux ouvrages que tu me renseignes.
La rentrée se passe bien! Je suis vraiment contente de retrouver les élèves et les collègues. Le revers de la médaille, c'est que j'ai moins de temps à moi, c'est-à-dire moins de temps pour lire. La priorité, c'est Quentin bien sûr. Puis l'école (deuxième famille pour moi). Et en troisième lieu, mon temps libre... Je viens toujours aussi souvent sur le site, je suis vos discussions de loin mais je n'ai pas vraiment le temps d'y participer. Je poste une ou deux critiques, sporadiquement...
Heureuse, vraiment très très heureuse, mais crevée ;-)))
Bises à toi, et aux autres, vous qui, même de loin, restez importants pour moi...
La rentrée se passe bien! Je suis vraiment contente de retrouver les élèves et les collègues. Le revers de la médaille, c'est que j'ai moins de temps à moi, c'est-à-dire moins de temps pour lire. La priorité, c'est Quentin bien sûr. Puis l'école (deuxième famille pour moi). Et en troisième lieu, mon temps libre... Je viens toujours aussi souvent sur le site, je suis vos discussions de loin mais je n'ai pas vraiment le temps d'y participer. Je poste une ou deux critiques, sporadiquement...
Heureuse, vraiment très très heureuse, mais crevée ;-)))
Bises à toi, et aux autres, vous qui, même de loin, restez importants pour moi...
Vous me tentez terriblement avec votre James Lee Burke !
Serait-ce un peu comparable à un Michael Collins (que j'ai critiqué sur ce site) même si celui-ci n'utilise pas de héros récurrent ?
Serait-ce un peu comparable à un Michael Collins (que j'ai critiqué sur ce site) même si celui-ci n'utilise pas de héros récurrent ?
Attention !... "Le taré" n'a absolument pas été écrit par le Michael Collins qui a écrit les autres livres que j'ai critiqué. Là, nous sommes dans un simple (très simple) roman policier et avec un détective récurrent. Rien à voir avec le "très bon" Michaël Collins, celui des "Profanateurs" et autres livres...
J'avais oublié de le signaler !...
J'avais oublié de le signaler !...
Saint-Germain, ce "très très heureuse" fait du bien à tout tes "fans" mais j'ai aussi le plaisir de connaître ton "Pendragon" aussi cela ne m'étonne pas !... L'humour doit faire partie de votre maison et cela ne peut qu'aider au tout.
Vous me tentez terriblement avec votre James Lee Burke !
Serait-ce un peu comparable à un Michael Collins (que j'ai critiqué sur ce site) même si celui-ci n'utilise pas de héros récurrent ?
Désolé Jules, tu ne connais James Lee Burke, je ne connais Michael Collins ! 1 partout balle au centre.
Je serai heureux de connaître vos opinions si vous faites connaissance du monsieur. Pour ma part, je mets Michael Collins, et notamment ses profanateurs sur ma play list.
Saint-Germain, ce "très très heureuse" fait du bien à tout tes "fans" mais j'ai aussi le plaisir de connaître ton "Pendragon" aussi cela ne m'étonne pas !... L'humour doit faire partie de votre maison et cela ne peut qu'aider au tout.
Et Quentin a vite pris le pli! A 8 mois, il se marre, le petit bonhomme, rit aux éclats de nos facéties, nous joue aussi quelques bons tours. Il a bon caractère, est sociable, de bonne composition, toujours content (sauf si malade, fatigué ou affamé, of course). Quelle chance nous avons!
Merci Tistou.
Depuis 2000 j'ai évidemment dévoré ou plutot dégusté tout Lee Burke.
Depuis Jolie Blon's Bounce , mon impatience ne fait que s'accroitre.A mon grand étonnement ce livre sorti en juin 2002 a mis presque 4 ans pour être traduit , depuis 5 livres sont sortis !!!!!! dont White Doves at Morning qui apparemment parle de la Guerre de Secession à travers un ancetre de James Lee Burke lui même.
Mais surtout 3 livres avec Robicheaux et un avec Billy Bob Holland.
Que fait RIVAGES pour avoir tant de retard , je ne pense pas que Lee Burke soit un auteur mineur et surtout pas un mauvais coup éditorial.
Depuis 2000 j'ai évidemment dévoré ou plutot dégusté tout Lee Burke.
Depuis Jolie Blon's Bounce , mon impatience ne fait que s'accroitre.A mon grand étonnement ce livre sorti en juin 2002 a mis presque 4 ans pour être traduit , depuis 5 livres sont sortis !!!!!! dont White Doves at Morning qui apparemment parle de la Guerre de Secession à travers un ancetre de James Lee Burke lui même.
Mais surtout 3 livres avec Robicheaux et un avec Billy Bob Holland.
Que fait RIVAGES pour avoir tant de retard , je ne pense pas que Lee Burke soit un auteur mineur et surtout pas un mauvais coup éditorial.
Certainement Bertrand Tavernier va contribuer à donner un peu d'éclairage sur ce bonheur d'auteur qu'est James Lee Burke.
Même si, comme signalé dans la fiche lecture, "Dans la brume électrique ..." est un peu atypique du standard "Burkien", c'est très réussi (et qu'est-ce que le titre est beau !).
N'empêche, ça peut faire râler que ce soit de Bertrand Tavernier dont on parle à propos de "Dans la brume électrique ..." et non point du vrai papa ; James Lee Burke dans sa majesté !
Allez, je vais aller me faire une idée de la chose demain ...
(et lisez James Lee Burke !!!)
Même si, comme signalé dans la fiche lecture, "Dans la brume électrique ..." est un peu atypique du standard "Burkien", c'est très réussi (et qu'est-ce que le titre est beau !).
N'empêche, ça peut faire râler que ce soit de Bertrand Tavernier dont on parle à propos de "Dans la brume électrique ..." et non point du vrai papa ; James Lee Burke dans sa majesté !
Allez, je vais aller me faire une idée de la chose demain ...
(et lisez James Lee Burke !!!)
Tistou, j'avais dans l'idée de lire du James Lee Burke et bien sûr l'actualité m'y a fait repenser.
Par lequel faut-il commencer ?
Par lequel faut-il commencer ?
Tistou, j'avais dans l'idée de lire du James Lee Burke et bien sûr l'actualité m'y a fait repenser.
Par lequel faut-il commencer ?
La réponse était plus haut : "La Pluie de néon".
C'est ça ?
True.
Et bonsoir Aria.
Et bonsoir Aria.
Là je vais m'y mettre aussi! Le choix de Bertrand Tavernier est ,pour moi, un critère de qualité en raison de sa filmograhie que j'admire.
Je vais tenter sur les conseils des collègues CLiens de commencer par les premières oeuvres significatives et en savoir un peu plus sur l'écrivain James Lee Burke.
Le choix devient difficile parce qu'il y a tellement de Cliens passionnés qui défendent magnifiquement leurs auteurs préférés que les listes de Lal s'allongent dramatiquement.
Surtout, qu'ils n'arrêtent pas de nous mettre l'eau à la bouche!
A+
Je vais tenter sur les conseils des collègues CLiens de commencer par les premières oeuvres significatives et en savoir un peu plus sur l'écrivain James Lee Burke.
Le choix devient difficile parce qu'il y a tellement de Cliens passionnés qui défendent magnifiquement leurs auteurs préférés que les listes de Lal s'allongent dramatiquement.
Surtout, qu'ils n'arrêtent pas de nous mettre l'eau à la bouche!
A+
Dans ceux que j'ai lus, mon préféré reste "Le boogie des rêves perdus". Il ne fait pas partie de la série des Robicheaux, le héros récurrent de Burke.
Bon alors ... comment dire après avoir vu le film hier ?
D'abord que Bertrand Tavernier a profondément assimilé le monde et les figures de James Lee Burke, cela c'est indéniable. Et qu'il ait de l'empathie pour ce monde et ses personnages, ça l'est tout autant autant.
Respect du roman et de la psychologie des intervenants ; rien à dire, il a juste incorporé un élément supplémentaire, à savoir les ravages de l'ouragan Katrina, assez habilement je dois dire et ça ne modifie l'histoire.
Tommy Lee Jones qui incarne Dave Robicheaux ? Bof, je ne voyais pas trop qui était Tommy Lee Jones et ça ne m'émeut pas plus que cela. Ca me laisserait plutôt dubitatif ?
Non, ce qui peut freiner mon enthousiasme, c'est encore et toujours la même chose : transposer un roman à l'écran, c'est forcément le réduire, c'est forcément imposer une vision des choses, un aspect des gens et c'est un recul par rapport au roman. D'autant qu'on se rend compte qu'en l'occurrence, un des éléments qui font la force des romans de Burke : la subtilité, toujours les nuanes, l'absence de dichotomie et sa grande faculté à magnifier la nature louisianaise passe difficilement dans un film. Et peut-être c'est ce liant là qui manque, et qui fait que j'ai ressenti la marche du film comme "électrique" cahotique et sporadique ?
Ca vaut le coup mais ... lisez Burke. Mieux vaut l'original !
D'abord que Bertrand Tavernier a profondément assimilé le monde et les figures de James Lee Burke, cela c'est indéniable. Et qu'il ait de l'empathie pour ce monde et ses personnages, ça l'est tout autant autant.
Respect du roman et de la psychologie des intervenants ; rien à dire, il a juste incorporé un élément supplémentaire, à savoir les ravages de l'ouragan Katrina, assez habilement je dois dire et ça ne modifie l'histoire.
Tommy Lee Jones qui incarne Dave Robicheaux ? Bof, je ne voyais pas trop qui était Tommy Lee Jones et ça ne m'émeut pas plus que cela. Ca me laisserait plutôt dubitatif ?
Non, ce qui peut freiner mon enthousiasme, c'est encore et toujours la même chose : transposer un roman à l'écran, c'est forcément le réduire, c'est forcément imposer une vision des choses, un aspect des gens et c'est un recul par rapport au roman. D'autant qu'on se rend compte qu'en l'occurrence, un des éléments qui font la force des romans de Burke : la subtilité, toujours les nuanes, l'absence de dichotomie et sa grande faculté à magnifier la nature louisianaise passe difficilement dans un film. Et peut-être c'est ce liant là qui manque, et qui fait que j'ai ressenti la marche du film comme "électrique" cahotique et sporadique ?
Ca vaut le coup mais ... lisez Burke. Mieux vaut l'original !
Dans ceux que j'ai lus, mon préféré reste "Le boogie des rêves perdus". Il ne fait pas partie de la série des Robicheaux, le héros récurrent de Burke.
Pareil, très chère, et du coup je te recommande "Bitterroot", avec Dave Holland au lieu de Robicheaux, et ça m'a terriblement fait penser au "Boogie ..."
Bien noté... Mais est-il traduit?
Yes (cf ma critique de ce jour)
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