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Quand on trouve un livre long, pompeux, jargonneux, tout ce que vious voulez, voir même "chiant", vous êtes il arrivé de vouloir sauter des pages... Mais de ne pas y arriver? Quel cruel dilemne tout de même... L'envie de continuer le livre en question, mais de néamoins en sacrifier une partie en sautant quelques pages... Ou alors se forcer à continuer uniquement pour ne pas avoir à subir un sentiment d'inachevé... Ou alors, sans scrupule aucun, vous faites défiler les pages jusqu'a un point ou l'histoire redémarre? C'est incroyable le genre de questions stupides qui peuvent me torturer quelques fois, et le pire c'est que j'en fais profiter les autres!
Bien sur, le titre est à prendre un minimum au second degré... Il n'est pas question de se demander si l'on a le "droit" ou pas... Quoique,
moi personnellement, c'est très difficile, voir impossible que j'en saute ne serait-ce qu'une seule! Mon Dieu ce que je peux hair ce genre de situations! Je m'ennuie, l'écriture est nulle, mais d'un coté je tiens tellement a finir mon bouquin, que je continue... Comme une loi morale en moi qui m'obligerait à continuer... Suis je profondément idiot? Fou? Ou vous aussi vous voyez de quoi je parle?
Enfin sur ce, je vous souhaite à tous une excellente soirée!
Bien sur, le titre est à prendre un minimum au second degré... Il n'est pas question de se demander si l'on a le "droit" ou pas... Quoique,
moi personnellement, c'est très difficile, voir impossible que j'en saute ne serait-ce qu'une seule! Mon Dieu ce que je peux hair ce genre de situations! Je m'ennuie, l'écriture est nulle, mais d'un coté je tiens tellement a finir mon bouquin, que je continue... Comme une loi morale en moi qui m'obligerait à continuer... Suis je profondément idiot? Fou? Ou vous aussi vous voyez de quoi je parle?
Enfin sur ce, je vous souhaite à tous une excellente soirée!
Sauter des pages, je ne le fais que dans les cas extrèmes. Ca et abandonner un livre, c'est contre mes principes, il y a quelque chose en moi qui s'y oppose, ça doit être ma bonne conscience de lecteur. Quand je m'embête vraiment et que c'est très long, j'accélère : je lis en diagonale, c'est à dire le début et la fin de chaque paragraphe. Je parviens à déterminer automatiquement le minimum de mots qui me permette de suivre plus ou moins le fil de l'histoire. Parfois ça rate, je me rends compte que je ne comprends plus rien et je suis obligé de revenir en arrière.
je ne sais pas s'il est ou non permis de sauter des pages. Ce que je peux dire, en tout qu'à c'est que j'ai l'habitude de lire les premières pages d'un livre avant d'en lire les toutes dernières et que cela ne m'a jamais empéchée de lire l'intégralité du livre.
ce n'est peut-être pas le résultat en lui-même qui compte, mais bien plutôt la façon dont l'auteur s'y rend et nous y amène avec lui.
sauter des pages, pourquoi pas, mais quand on a fait l'effort de choisir un livre pour sa couverture ou le nom de son auteur, ou le thème qu'il traite, en ce temps de pénurie d'auteurs et de livres éligibles, ce serait dommage de sauter des passages.
honni soit qui mal y pense, pour un livre dont j'ai présenté la fiche de lecture au lycée, j'ai "omis" une centaine de pages sur la guerre. Pardonne-moi Mika Waltari et pardonne-moi toi aussi Sinouhé l'Egyptien, je ne me repends pas de ma faute.
ce n'est peut-être pas le résultat en lui-même qui compte, mais bien plutôt la façon dont l'auteur s'y rend et nous y amène avec lui.
sauter des pages, pourquoi pas, mais quand on a fait l'effort de choisir un livre pour sa couverture ou le nom de son auteur, ou le thème qu'il traite, en ce temps de pénurie d'auteurs et de livres éligibles, ce serait dommage de sauter des passages.
honni soit qui mal y pense, pour un livre dont j'ai présenté la fiche de lecture au lycée, j'ai "omis" une centaine de pages sur la guerre. Pardonne-moi Mika Waltari et pardonne-moi toi aussi Sinouhé l'Egyptien, je ne me repends pas de ma faute.
Ce doit être une question d'éducation comme lorque j'étais enfant "finis ton pain", "achèves ce que tu as commencé", etc!
Ou alors un trop grand respect pour le métier d'écrivain.
Je ne sais pas sauter des pages et j'ai énormément de difficulté à arrêter un livre en cours de lecture.
Alors que faire? Bien choisir ce que je vais lire, l'adapter à l'humeur du moment ou les circonstances, décider au bout de 10 pages si je continue ou pas et me rappeler que je suis libre, enfin presque.
Je reconnais que depuis un an ou deux je ne pense pas avoir lu de mauvais livres même si j'aurais pu me dispenser d'en ouvrir et d'en finir quelques uns assez moyens.
Et enfin il y a les divines surprises: on n'arrive pas à rentrer dans l'histoire, c'est long, parfois ennuyeux et tout à coup la magie opère et c'est un bonheur magique, d'autant plus fort qu'il est inattendu.
Ou alors un trop grand respect pour le métier d'écrivain.
Je ne sais pas sauter des pages et j'ai énormément de difficulté à arrêter un livre en cours de lecture.
Alors que faire? Bien choisir ce que je vais lire, l'adapter à l'humeur du moment ou les circonstances, décider au bout de 10 pages si je continue ou pas et me rappeler que je suis libre, enfin presque.
Je reconnais que depuis un an ou deux je ne pense pas avoir lu de mauvais livres même si j'aurais pu me dispenser d'en ouvrir et d'en finir quelques uns assez moyens.
Et enfin il y a les divines surprises: on n'arrive pas à rentrer dans l'histoire, c'est long, parfois ennuyeux et tout à coup la magie opère et c'est un bonheur magique, d'autant plus fort qu'il est inattendu.
Il m'est déjà arrivé de sauter des chapitres entiers ! Je m'explique : c'était un livre de Nancy Huston (je ne me souviens plus du titre) qui est écrit en deux histoires distinctes, un chapitre raconte une histoire et le suivant l'autre et ainsi de suite. Je n'en pouvais plus de ces coupures et j'ai lu chacune des deux histoires séparément. J'ai sauté des pages dans les misérables (si je me souviens bien), vous savez quand Hugo se met à discourir sur l'histoire et la politique...
;-)
;-)
Je me résouds à ne pas sauter de pages et à reprendre les livres que j'ai éventuellement laissés en plan.
En principe, pour avoir un avis sur un livre, il vaut autant mieux tenter d'aller jusqu'au bout.
Mais, si c'est pour s'infliger un calvaire, finalement pourquoi pas : l'objet que tu as entre les mains est ta propriété, et tu en fais ce que tu veux ; si ça n'est pas le cas, tu le rendras d'autant plus vite à la personne qui te l'a prêté.
En principe, pour avoir un avis sur un livre, il vaut autant mieux tenter d'aller jusqu'au bout.
Mais, si c'est pour s'infliger un calvaire, finalement pourquoi pas : l'objet que tu as entre les mains est ta propriété, et tu en fais ce que tu veux ; si ça n'est pas le cas, tu le rendras d'autant plus vite à la personne qui te l'a prêté.
Non, non, tu n'es point fou Neithan...
J'ai déjà eu l'occasion de sauter des pages ou de lire dans les grandes lignes des ouvrages lorsque j'étais à la fac de lettres... je n'avais pas trop le choix, faute de temps... Mais c'était des essais. Les fameuses lectures obligatoires, je les lisais de A à Z même lorsque je ne comprenais rien, hstoire de me donner bonne conscience.
Lorsque j'éprouve quelques difficultés à me plonger dans un livre, je m'efforce à m'accrocher car j'ai peur de rater un moment clé de l'histoire. Et puis lorsque l'on commence quelque chose, j'aime bien finir.
Mais lorsque je m'aperçois que mes efforts ne portent pas leurs fruits, je range le livre dans ma bibliothèque et je m'attaque à un autre ouvrage. Je me dis que ce n'est pas le bon moment pour apprécier ou non l'ouvrage en question. Bref, je donne une seconde chance au fameux livre et à son auteur. Et des fois, cela marche. On ressort le bouquin plus tard (avec une petite appréhension et en faisant un soupir malgré la bonne volonté que l'on met). Et là, c'est un véritable bonheur... ça coule de source
Mes lectures reflètent assez souvent mon état d'esprit du moment.
Mais je dois t'avouer qu'il y a un livre que je n'ai jamais réussi à lire de A à Z... si mes souvenirs sont bons, j'ai lu 6 pages et encore, cela m'a énervé !!! C'est la princesse de Clèves de Madame de La Fayette. Impossible et je n'ai pas eu le courage de sauter des pages.
Voilà... je te souhaite tout de même une bonne lecture.
J'ai déjà eu l'occasion de sauter des pages ou de lire dans les grandes lignes des ouvrages lorsque j'étais à la fac de lettres... je n'avais pas trop le choix, faute de temps... Mais c'était des essais. Les fameuses lectures obligatoires, je les lisais de A à Z même lorsque je ne comprenais rien, hstoire de me donner bonne conscience.
Lorsque j'éprouve quelques difficultés à me plonger dans un livre, je m'efforce à m'accrocher car j'ai peur de rater un moment clé de l'histoire. Et puis lorsque l'on commence quelque chose, j'aime bien finir.
Mais lorsque je m'aperçois que mes efforts ne portent pas leurs fruits, je range le livre dans ma bibliothèque et je m'attaque à un autre ouvrage. Je me dis que ce n'est pas le bon moment pour apprécier ou non l'ouvrage en question. Bref, je donne une seconde chance au fameux livre et à son auteur. Et des fois, cela marche. On ressort le bouquin plus tard (avec une petite appréhension et en faisant un soupir malgré la bonne volonté que l'on met). Et là, c'est un véritable bonheur... ça coule de source
Mes lectures reflètent assez souvent mon état d'esprit du moment.
Mais je dois t'avouer qu'il y a un livre que je n'ai jamais réussi à lire de A à Z... si mes souvenirs sont bons, j'ai lu 6 pages et encore, cela m'a énervé !!! C'est la princesse de Clèves de Madame de La Fayette. Impossible et je n'ai pas eu le courage de sauter des pages.
Voilà... je te souhaite tout de même une bonne lecture.
Et enfin il y a les divines surprises: on n'arrive pas à rentrer dans l'histoire, c'est long, parfois ennuyeux et tout à coup la magie opère et c'est un bonheur magique, d'autant plus fort qu'il est inattendu.
Quel délectable situation!
Je me souviens d'un livre... L'Idiot de Dostoievski... Dès les premières pages, la magie n'opérait pas... Allez savoir pourquoi, surement tout juste enivré par Les Frères karamazov, je m'attendais à quelque chose de quasiment identique... J'ai été décu et j'ai donc arreté ma lecture... Allez savoir ce qui avait pu se produire dans ma tête à ce moment-là... Quelque semaines après, je reprend ma lecture au même endroit, et là, le même bonheur magique dont tu parles m'envahit! Comme quoi..
Ah je me souviens aussi de La Nausée de Sartre... Je l'ai lu à 14 ans, je l'ai trouvé ennuyeux, je me suis péniblement résigné à sauter des pages et au final, j'ai stopé ma lecture au milieu du livre... Je l'ai relu a 18 ans, et je l'ai jeté par dessus la fenêtre de ma chambre tellement il me décrivait ce que je ressentais... Terrifiant... Mais quel grand livre tout de même!
Pour moi, on a tous les droits !
Quand on doit lire un livre pour ses études, bien sûr, mieux vaut sauter le moins de pages ou de paragraphes possibles...
Mais la lecture doit être un plaisir, donc chacun fait comme il veut.
Comme presque tout le monde l'a dit, certains livres ne nous correspondent pas à certains moments de notre vie; donc autant les mettre de côté et peut-être un jour aurons-nous le plaisir de la re-découverte. ;-)
Quand on doit lire un livre pour ses études, bien sûr, mieux vaut sauter le moins de pages ou de paragraphes possibles...
Mais la lecture doit être un plaisir, donc chacun fait comme il veut.
Comme presque tout le monde l'a dit, certains livres ne nous correspondent pas à certains moments de notre vie; donc autant les mettre de côté et peut-être un jour aurons-nous le plaisir de la re-découverte. ;-)
Il m'arrive de sauter des pages puis de revenir en arrière si je vois que la suite m'intéresse. Si ce n'est pas le cas, j'abandonne le livre sans aucun scrupule car beaucoup d'autres attendent leur tour et une vie ne suffit déjà pas à tous les lire.
Quant à la Princesse de Clèves, j'ai été obligée de le lire entièrement il y a quelques années car je le présentais au bac. Ce fut un vrai calvaire malgré le fait que ce livre soit court. Même, après avoir trituré ce texte dans tous les sens, je n'en voyais toujours pas l'intérêt.
Quant à la Princesse de Clèves, j'ai été obligée de le lire entièrement il y a quelques années car je le présentais au bac. Ce fut un vrai calvaire malgré le fait que ce livre soit court. Même, après avoir trituré ce texte dans tous les sens, je n'en voyais toujours pas l'intérêt.
A propos de la princesse de clève, bien moins ennuyeux que le bouquin peut l'être, j'en profite pour conseiller l'adaptation cinéma "la lettre" de Manoel de Oliveira...
Quant à la question sur le droit de "sauter ou de ne pas sauter", j'avoue qu'elle me laisse totalement perplexe !
Quoi en dire, si ce n'est que d'un roman dont on a un jour sauté certaines pages ou que l'on a abandonné en cours de route, l'on puisse quelques années plus tard en sauter d'autres. Même si le roman est le plus souvent fabriqué pour être lu en séquence, il peut aussi être picoré, survolé, relu par passages, brûlé, déchiré, froissé, descendu à la cave, monté au grenier, égaré sous le lit, et patati et patata.
Et que dire de Proust ? Si ce n'est qu'il est illisible en séquence (sauf à vivre sur une ile déserte bien entendu ;-)).
Quant à la question sur le droit de "sauter ou de ne pas sauter", j'avoue qu'elle me laisse totalement perplexe !
Quoi en dire, si ce n'est que d'un roman dont on a un jour sauté certaines pages ou que l'on a abandonné en cours de route, l'on puisse quelques années plus tard en sauter d'autres. Même si le roman est le plus souvent fabriqué pour être lu en séquence, il peut aussi être picoré, survolé, relu par passages, brûlé, déchiré, froissé, descendu à la cave, monté au grenier, égaré sous le lit, et patati et patata.
Et que dire de Proust ? Si ce n'est qu'il est illisible en séquence (sauf à vivre sur une ile déserte bien entendu ;-)).
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