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( suite de la critique ) :
Encore de nos jours, la campagne anglaise est assez surprenante pour un citadin, comprenez qu'on en a vite fait le tour. Sauf si vous êtes un grand amoureux de la nature, ce qui n'est pas le cas de notre homme.
Voulant rendre visite à des amis, Wooster ( nous l'appelerons Bertie, si vous le voulez bien ) Wooster donc se trompe de chemin et tombe nez à nez sur Mister Cook et son chat. Or , ce chat est le grand ami de Pommefrite, un cheval qui doit, sous peu, courir dans une course de la plus haute importance.
Et tout part de là, car papa Cook prétend que Bertie a voulu dérober le chat et ainsi perturber gravement Pommefrite.
Surgissent alors des personnages peu recommandables. Du genre de ceux que vous rencontrez parfois dans vos pires cauchemars . Comme Vanessa Cook, le major Plank, l'escroc Orlo Porter, la tante Dahlia ( que Bertie appelle " la vénérable ancètre consanguine " )
Le vocabulaire y est riche, les insultes sonnantes et trébuchantes, les qualificatifs hauts en couleurs qui feraient rougir les meilleurs humoristes français... ( censured ! )
Bertie se démèlera t'il de toutes ces embuches qui lui tombe sur le crâne ?
Pour votre gouverne, sachez que notre homme considère Tolstoï, Dostoïevski, Tchekhov comme de très dangereux communistes purs et durs et vous aurez cerné le personnage.
Par la Sainte Russie !
Heureusement et pour sa défense, il cite, ça et là, de jolis mots latins. L'honneur sera donc sauf !
En quatrième de couverture :
" Si vous cherchez une définition de l'humour anglais, vous risquez de vous casser les dents. Mais si vous cherchez un roman plein de cet humour, prenez celui de Wodehouse. "
Encore de nos jours, la campagne anglaise est assez surprenante pour un citadin, comprenez qu'on en a vite fait le tour. Sauf si vous êtes un grand amoureux de la nature, ce qui n'est pas le cas de notre homme.
Voulant rendre visite à des amis, Wooster ( nous l'appelerons Bertie, si vous le voulez bien ) Wooster donc se trompe de chemin et tombe nez à nez sur Mister Cook et son chat. Or , ce chat est le grand ami de Pommefrite, un cheval qui doit, sous peu, courir dans une course de la plus haute importance.
Et tout part de là, car papa Cook prétend que Bertie a voulu dérober le chat et ainsi perturber gravement Pommefrite.
Surgissent alors des personnages peu recommandables. Du genre de ceux que vous rencontrez parfois dans vos pires cauchemars . Comme Vanessa Cook, le major Plank, l'escroc Orlo Porter, la tante Dahlia ( que Bertie appelle " la vénérable ancètre consanguine " )
Le vocabulaire y est riche, les insultes sonnantes et trébuchantes, les qualificatifs hauts en couleurs qui feraient rougir les meilleurs humoristes français... ( censured ! )
Bertie se démèlera t'il de toutes ces embuches qui lui tombe sur le crâne ?
Pour votre gouverne, sachez que notre homme considère Tolstoï, Dostoïevski, Tchekhov comme de très dangereux communistes purs et durs et vous aurez cerné le personnage.
Par la Sainte Russie !
Heureusement et pour sa défense, il cite, ça et là, de jolis mots latins. L'honneur sera donc sauf !
En quatrième de couverture :
" Si vous cherchez une définition de l'humour anglais, vous risquez de vous casser les dents. Mais si vous cherchez un roman plein de cet humour, prenez celui de Wodehouse. "
Pour Eva, un lien vers P. G. Wodehouse....
Les livres drôles qui me viennent à l'esprit sont souvent signés par des Britanniques.
Les livres drôles qui me viennent à l'esprit sont souvent signés par des Britanniques.
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