Page 1 de 1
Elle savait. Et ne soufflait pas mot. Ou plutôt, elle ne lui disait rien. Marmonnait le plus souvent : sorte de charablabla, un langage codé bien à elle. Très rarement, elle osait bouder. Parfois, de timides allusions... au seuil de l'explicite. Juste pour lui faire sentir que loin d'elle toute illusion et surtout qu'elle n'était pas dupe. Elle était au courant mais pas écoeurée. D'ailleurs, lui-même se cachait à peine et elle?...Elle finissait toujours par terrer son doigt accusateur au bord de ses lèvres.
Lui s'en foutait ou presque. Il était un peu fou. Fou des femmes, fou de toutes les femmes, fou de La Femme. Personne d'autre ne pouvait mieux le savoir que sa compagne. Depuis que sa semence avait épaissi, sa fascination quasi-mystique pour les "enfanteuses" ne cessait de modeler sa pensée et de la raffiner au gré des aventures. Une forme d'obsession artistique, une intrusion dans une autre dimension inscrite quelque part entre le divin et l'animal. Il avait trouvé en son épouse un brin de divinement animal ou d'animalement divin. Il n'en savait trop rien. Elle était un peu son île, même s'il s'amusait à fouler fréquemment le continent.
Une paire de seins, même enterrée sous un pelage épais, le faisait bramer. Il imaginait la douceur tiède et satinée des mamelles scellées aux regards fouineurs. Il dessinait mentalement l'érection reptile des tétons à l'instant zénithal du désir. Il se plaçait, dans le sens opposé au vent, juste pour renifler une odeur d'aisselle au passage d'une femme et ça donnait une allure bizarre à ses promenades en centre-ville à l'heure où les pas se pressent.
Un imaginaire foutrement animal!
Le lieu lui importait peu tant que ses épaules pouvaient s'offrir le chaud toucher d'une paire de mollets. Il s'y fourrait frénétique, rageur et fougueux. Suant et ahanant, la tête pendulaire, le corps perpendiculaire, il conjuguait les verbes aller et venir à tous les temps jusqu'à l'extase.
Il aimait pourtant sa femme. Son désir sexuel dégoulinait outre. À aucun moment, pourtant, ne lui vint l'idée de la quitter. Se séparer de lui? elle ne pouvait même pas y penser tellement elle était sous l'emprise totale de ces pillules orgasmiques qu'elle se délectait à avaler goulûment chaque soir, à l'heure où tout s'éteint et où tous ou presque s'étendent. Lui seul prescrivait, de manière très docte, la posologie. Nul autre que lui ne savait calmer sa fièvre. Cette envie diffuse et tue qui s'emparait de tous ses pores et faisait d'elle une braise ardente que le moindre vent métamorphosait en torche. Lui était maître dans ce ça, dans cet innommé rapport que l'on tait en présence de descendants d'un certain âge. Oui, il baisait bien...trop bien même! dirait sa femme. Il savait prendre les devants et parfois le derrière, puis surtout comment s'y prendre parce que tout simplement l'examen clinique, il l'avait à l'oeil. Un clin suffisait. Et sans blouse blanche. Sa pine était stéto. Son épouse jouissait fabuleusement de ses inlassables coups de rein que ne freinaient ni ses cris, ni ses râles, ni même les toc toc presque tocsins des voisins.
Trop heureuse, elle était suffisamment aujourd'hui pour sacrifier son demain. Elle s'aveuglait ou fermait brutalement ses paupières, devenait malentendante ou s'écriait interrogative et faussement surprise : "En es-tu sûre? As-tu bien vu?", s'armait de silence jusqu'aux dents ou se cloîtrait dans les zébrures apaisantes de la pénombre. Elle comprenait que le bonheur n'était qu'instants que l'on doit instamment boire. Des gorgées...pas un ru, un ruisseau ou un fleuve. Le bonheur est peut-être une denrée très périssable.
Ils se prenaient ainsi partageant en secret leurs vices et leurs viscères. Le coût d'un plaisir extatique et d'une queue zyeutant souvent ailleurs...c'était ce maudit regard des autres; agaçant et harassant comme si le cocuage était une tare.
Lui s'en foutait ou presque. Il était un peu fou. Fou des femmes, fou de toutes les femmes, fou de La Femme. Personne d'autre ne pouvait mieux le savoir que sa compagne. Depuis que sa semence avait épaissi, sa fascination quasi-mystique pour les "enfanteuses" ne cessait de modeler sa pensée et de la raffiner au gré des aventures. Une forme d'obsession artistique, une intrusion dans une autre dimension inscrite quelque part entre le divin et l'animal. Il avait trouvé en son épouse un brin de divinement animal ou d'animalement divin. Il n'en savait trop rien. Elle était un peu son île, même s'il s'amusait à fouler fréquemment le continent.
Une paire de seins, même enterrée sous un pelage épais, le faisait bramer. Il imaginait la douceur tiède et satinée des mamelles scellées aux regards fouineurs. Il dessinait mentalement l'érection reptile des tétons à l'instant zénithal du désir. Il se plaçait, dans le sens opposé au vent, juste pour renifler une odeur d'aisselle au passage d'une femme et ça donnait une allure bizarre à ses promenades en centre-ville à l'heure où les pas se pressent.
Un imaginaire foutrement animal!
Le lieu lui importait peu tant que ses épaules pouvaient s'offrir le chaud toucher d'une paire de mollets. Il s'y fourrait frénétique, rageur et fougueux. Suant et ahanant, la tête pendulaire, le corps perpendiculaire, il conjuguait les verbes aller et venir à tous les temps jusqu'à l'extase.
Il aimait pourtant sa femme. Son désir sexuel dégoulinait outre. À aucun moment, pourtant, ne lui vint l'idée de la quitter. Se séparer de lui? elle ne pouvait même pas y penser tellement elle était sous l'emprise totale de ces pillules orgasmiques qu'elle se délectait à avaler goulûment chaque soir, à l'heure où tout s'éteint et où tous ou presque s'étendent. Lui seul prescrivait, de manière très docte, la posologie. Nul autre que lui ne savait calmer sa fièvre. Cette envie diffuse et tue qui s'emparait de tous ses pores et faisait d'elle une braise ardente que le moindre vent métamorphosait en torche. Lui était maître dans ce ça, dans cet innommé rapport que l'on tait en présence de descendants d'un certain âge. Oui, il baisait bien...trop bien même! dirait sa femme. Il savait prendre les devants et parfois le derrière, puis surtout comment s'y prendre parce que tout simplement l'examen clinique, il l'avait à l'oeil. Un clin suffisait. Et sans blouse blanche. Sa pine était stéto. Son épouse jouissait fabuleusement de ses inlassables coups de rein que ne freinaient ni ses cris, ni ses râles, ni même les toc toc presque tocsins des voisins.
Trop heureuse, elle était suffisamment aujourd'hui pour sacrifier son demain. Elle s'aveuglait ou fermait brutalement ses paupières, devenait malentendante ou s'écriait interrogative et faussement surprise : "En es-tu sûre? As-tu bien vu?", s'armait de silence jusqu'aux dents ou se cloîtrait dans les zébrures apaisantes de la pénombre. Elle comprenait que le bonheur n'était qu'instants que l'on doit instamment boire. Des gorgées...pas un ru, un ruisseau ou un fleuve. Le bonheur est peut-être une denrée très périssable.
Ils se prenaient ainsi partageant en secret leurs vices et leurs viscères. Le coût d'un plaisir extatique et d'une queue zyeutant souvent ailleurs...c'était ce maudit regard des autres; agaçant et harassant comme si le cocuage était une tare.
Ce texte date ... Je l'ai écrit en pensant à une femme. Elle l'a lu.
Je le reproduis tel quel sans ajout ni modifications.
Bonne lecture.
Et pas de commentaires, s'il vous plaît.
Je le reproduis tel quel sans ajout ni modifications.
Bonne lecture.
Et pas de commentaires, s'il vous plaît.
À Tistou le tocard et aux autres également,
Lis ce texte.
Que s'étalent enfin tes viscères et pâlisse ton ignoble gueule de jalousie.
C'est bel et bien un berbère qui l'a écrit. Bougnoule, tu dirais tout bas, raciste va!!!
Lis ce texte.
Que s'étalent enfin tes viscères et pâlisse ton ignoble gueule de jalousie.
C'est bel et bien un berbère qui l'a écrit. Bougnoule, tu dirais tout bas, raciste va!!!
Désolé, pas envie de lire ce qui vient de toi.
Quant aux qualificatifs que tu emploies,moi au moins je n'ai pas honte d'avoir vécu au Maroc parmi les marocains et je ne renie rien.
Et il ne me semble pas avoir eu honte à aucun moment de mon comportement.
Je ne pense pas que tu puisses en dire autant !
Quant aux qualificatifs que tu emploies,moi au moins je n'ai pas honte d'avoir vécu au Maroc parmi les marocains et je ne renie rien.
Et il ne me semble pas avoir eu honte à aucun moment de mon comportement.
Je ne pense pas que tu puisses en dire autant !
Désolé, pas envie de lire ce qui vient de toi.
Quant aux qualificatifs que tu emploies,moi au moins je n'ai pas honte d'avoir vécu au Maroc parmi les marocains et je ne renie rien.
Et il ne me semble pas avoir eu honte à aucun moment de mon comportement.
Je ne pense pas que tu puisses en dire autant !
Seul un raciste peut parler de honte à vivre avec des marocains comme si ces derniers étaient une race inférieure.
Tes propos ont un soubassement fondamentalement raciste et le problème est que tu n'en es même pas conscient.
Relis-toi bien!
La démocratie et ses profiteurs est un thème récurrent du Front National.
Personne, ici, n'osera relire ton discours et en dire franchement ce qu'il en pense.
Et je dis bien personne!!! esprit de clan régnant en maître.
Si l'administrateur avait le temps de bien te lire, il te bannirait pour propos racistes.
c'est mauvais ;-)
c'est mauvais ;-)
Oui, c'est très mauvais, mais je n'osais pas le dire pour ne pas encore ramasser des insultes de l'abruti. C'est pornographique plat, et vulgaire, ce qui serait acceptable s'il y avait une once de talent. N'est pas Gainsbourg ou Bukovski qui veut.
c'est mauvais ;-)
"Droit comme un i" a dit Anton Ottero ...
La rectitude n'est pas un but chez le rebut qui ...
Il finira dans la poubelle du site le second "Monique". Tôt ou tard.
Je continue mes recherches.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre