Le ciel était nu. Pas un nuage n'y flottait.
Tout son bleu était là, resplendissant, éclatant et net sans taches. Rien ne le ciselait, pas même le vol en corolle d'un aigle noir ou d'un rebelle faucon.
À l'horizon se déroulait, à vive allure, un immense tapis de sable. Les dunes, zébrées par un feuilleté faisceau d'ombres, se ruaient, ocres vagues, à mes pieds.
Les rayons du soleil, las d'avoir trop brillé, accouraient, à l'oblique, se courber sur ma peau. Un lézard égaré ou peut-être aux aguets me pointait du regard alternant prestes clins de paupières et balancements de queue.
Juché sur un rocher, accroupi, bras ballants, je sentais brusquement une crue de beauté inonder un instant mon regard dévidé.
Une oasis de vie narguant hautainement, le temps d'un vif coup d'aile d'un joyeux colibri, un tumultueux linceul de sable fin.
Mon visage muait. Sur ses rides, coulait ru. Pas même un cil n'y battait.
Tout son bleu était là, resplendissant, éclatant et net sans taches. Rien ne le ciselait, pas même le vol en corolle d'un aigle noir ou d'un rebelle faucon.
À l'horizon se déroulait, à vive allure, un immense tapis de sable. Les dunes, zébrées par un feuilleté faisceau d'ombres, se ruaient, ocres vagues, à mes pieds.
Les rayons du soleil, las d'avoir trop brillé, accouraient, à l'oblique, se courber sur ma peau. Un lézard égaré ou peut-être aux aguets me pointait du regard alternant prestes clins de paupières et balancements de queue.
Juché sur un rocher, accroupi, bras ballants, je sentais brusquement une crue de beauté inonder un instant mon regard dévidé.
Une oasis de vie narguant hautainement, le temps d'un vif coup d'aile d'un joyeux colibri, un tumultueux linceul de sable fin.
Mon visage muait. Sur ses rides, coulait ru. Pas même un cil n'y battait.
Le ciel était nu. Pas un nuage n'y flottait.
Tout son bleu était là, resplendissant, éclatant et net sans taches. Rien ne le ciselait, pas même le vol en corolle d'un aigle noir ou d'un rebelle faucon.
À l'horizon se déroulait, à vive allure, un immense tapis de sable. Les dunes, zébrées par un feuilleté faisceau d'ombres, se ruaient, ocres vagues, à mes pieds.
Les rayons du soleil, las d'avoir trop brillé, accouraient, à l'oblique, se courber sur ma peau. Un lézard égaré ou peut-être aux aguets me pointait du regard alternant prestes clins de paupières et balancements de queue.
Juché sur un rocher, accroupi, bras ballants, je sentais brusquement une crue de beauté inonder un instant mon regard dévidé.
Une oasis de vie narguant hautainement, le temps d'un vif coup d'aile d'un joyeux colibri, un tumultueux linceul de sable fin.
Mon visage muait. Sur ses rides, coulait ru. Pas même un cil n'y battait.
Une véritable oasis dans ce désert....
Auto-promotion? non.
Provocation suprême.
ha ha ha
Le ciel était nu. Pas un nuage n'y flottait.Moche redondance
(Tout son bleu était là, resplendissant, éclatant et) net sans tachesEncore une redondance.
Ca commence très mal. J'arrrête, ça va être trop dur pour toi.
De plus, je n'y connais rien en poésie.
:-(
Le ciel était nu. Pas un nuage n'y flottait.Moche redondance(Tout son bleu était là, resplendissant, éclatant et) net sans tachesEncore une redondance.
Ca commence très mal. J'arrrête, ça va être trop dur pour toi.
De plus, je n'y connais rien en poésie.
:-(
Vas-y jeune homme.
Continue ta critique, un mouton ce n'est pas un loup voyons. Ça ne risque pas de te dévorer.
De quoi as-tu peur?
Lech rameur, il me semblait que tu m'avais traité de pas mal de noms d'oiseaux et tout à coup tu parles correctement et sollicite quasi poliment une critique de ma part?! J'ai du mal à y croire. Eh ben j'ai plus envie, voilà! Mais t'auras eu un début, peu glorieux pour ton ego. Vaut donc bien mieux couper court, non? Si.
:-(
:-(
Lech rameur, il me semblait que tu m'avais traité de pas mal de noms d'oiseaux et tout à coup tu parles correctement et sollicite quasi poliment une critique de ma part?! J'ai du mal à y croire. Eh ben j'ai plus envie, voilà! Mais t'auras eu un début, peu glorieux pour ton ego. Vaut donc bien mieux couper court, non? Si.
:-(
Je vais te faire un aveu.
Contrairement à ce que beaucoup pensent (à tort, je tiens à le préciser), je ne suis pas méchant. Je suis exigeant, autant vis-à-vis de moi-même qu'à l'égard des autres.
Critiquer la poésie n'est pas chose facile.
Il faut être suffisamment armé pour le faire.
La poésie n'est pas la prose et n'obéit aucunement aux règles de syntaxe, de grammaire etc... à moins de s'inscrire d'emblée dans un genre poétique particulier où les règles sont précises et déterminées à l'avance.
Je peux tordre un mot pour lui donner un sens.
Je peux enfreindre une règle pour signifier une chose.
Partant de là, j'attends les critiques ou mieux les impressions.
Ps : ces deux textes ne visent qu'une chose. Prouver que l'esprit de clan est mauvais pour le forum et je me fiche totalement de ce que vous pouvez en penser. Le jour où vous critiquerez un texte, indépendamment de celui qui l'a écrit, je serais heureux.
Vous ne semblez pas être ici pour la littérature. Vous venez sur le site parce que votre ego souffre. Il souffre cruellement de ce besoin d'être admiré et adulé. Un borgne au royaume des aveugles.
Ludico s'amuse et rien de plus.
Que tu penses ce que tu pense de ce site et des gens qui y sont c'est ton droit, mais pourquoi vient tu? que tu te sentes mal ici, que tu ne nous aimes pas, nous trouves tous les défaults et les bassesses de ce monde ,ok mais alors ne vient pas....Tu sais très bien que tu ne changeras rien ici a moins que nous ne voulions ensemble et d'un commun accord changer les choses(s'ils y a des choses a changer). Alors ne vient pas
Le monde n'est pas parfait, ici comme ailleurs et il existe des causes bien plus importantes que celle de venir ici mettre la zone. Alors vas ailleurs!
Le monde n'est pas parfait, ici comme ailleurs et il existe des causes bien plus importantes que celle de venir ici mettre la zone. Alors vas ailleurs!
Le jour où vous critiquerez un texte, [...], je serais heureux. Vous ne semblez pas être ici pour la littérature.La "littérature" demande qu'on écrive serai et non "serais". Juste pour dire, hein? ne le prends pas mal, je t'en conjure grand pourfendeur de l'impartialité.
:-(
Le jour où vous critiquerez un texte, [...], je serais heureux. Vous ne semblez pas être ici pour la littérature.La "littérature" demande qu'on écrive serai et non "serais". Juste pour dire, hein? ne le prends pas mal, je t'en conjure grand pourfendeur de l'impartialité.
:-(
c'est bel et bien serais.
Retourne à l'école! Je ne suis pas là pour te donner des cours.
Pour une fois tu ne prendras pas la peine de nous sortir une règle précise du fin fond d'un vieux tiroir de google puisque tu sais avoir tort!!! Ah cette mauvaise foi... Faut-il faire appel à un linguiste? Pas la peine parce que là c'est d'une évidence fatale pour toi.c'est bel et bien serais. Retourne à l'école! Je ne suis pas là pour te donner des cours.Le jour où vous critiquerez un texte, [...], je serais heureux. Vous ne semblez pas être ici pour la littérature.La "littérature" demande qu'on écrive serai et non "serais". Juste pour dire, hein? ne le prends pas mal, je t'en conjure grand pourfendeur de l'impartialité.
:-(
LE JOUR OU VOUS CRITIQUEREZ UN TEXTE... JE SERAI HEUREUX n'a même pas à se discuter.
C'est bien pour ça que tu fuis.
Je ne connais pas la règle car moi, je fonctionne souvent à l'intuition. Alors essaie un truc: remplace JE par TU et VOUS par NOUS:
"Le jour où nous critiquerons un texte, tu seras heureux" et non tu serais heureux.
Ca tombe sous le sens.
:-)))
Pour une fois tu ne prendras pas la peine de nous sortir une règle précise du fin fond d'un vieux tiroir de google puisque tu sais avoir tort!!! Ah cette mauvaise foi... Faut-il faire appel à un linguiste? Pas la peine parce que là c'est d'une évidence fatale pour toi.c'est bel et bien serais. Retourne à l'école! Je ne suis pas là pour te donner des cours.Le jour où vous critiquerez un texte, [...], je serais heureux. Vous ne semblez pas être ici pour la littérature.La "littérature" demande qu'on écrive serai et non "serais". Juste pour dire, hein? ne le prends pas mal, je t'en conjure grand pourfendeur de l'impartialité.
:-(
LE JOUR OU VOUS CRITIQUEREZ UN TEXTE... JE SERAI HEUREUX n'a même pas à se discuter.
C'est bien pour ça que tu fuis.
Je ne connais pas la règle car moi, je fonctionne souvent à l'intuition. Alors essaie un truc: remplace JE par TU et VOUS par NOUS:
"Le jour où nous critiquerons un texte, tu seras heureux" et non tu serais heureux.
Ca tombe sous le sens.
:-)))
Il n'y a pas certitude!!! espèce d'imbécile!!!!
On emploie le conditionnel!!!
Il n'y a pas certitude!!! espèce d'imbécile!!!! On emploie le conditionnel!!!Ah, ça fait plaisir de retrouver ton langage châtié et ton naturel qui reviennent au galop de tes petits sabots de mouton noir, vraiment plaisir. Tu comptes passer la soirée avec nous? Sympa, si si.
:-))))))))))
Il n'y a pas certitude!!! espèce d'imbécile!!!! On emploie le conditionnel!!!Ah, ça fait plaisir de retrouver ton langage châtié et ton naturel qui reviennent au galop de tes petits sabots de mouton noir, vraiment plaisir. Tu comptes passer la soirée avec nous? Sympa, si si.
:-))))))))))
Écoute, petit.
Je ne suis pas Yalibobard, Monique, Singeant Batârd, Luciole ou Bol chaud d'ocre pâté.
Je suis Ludico et je n'hésite pas à reconnaître mes erreurs au cas où.
Alors, informe-toi avant de dire n'importe quoi.
Bon appétit.
Moi, la table m'attend.
Écoute, petit. Je ne suis pas Yalibobard, Monique, Singeant Batârd, Luciole ou Bol chaud d'ocre pâté. Je suis Ludico et je n'hésite pas à reconnaître mes erreurs au cas où. Alors, informe-toi avant de dire n'importe quoi. Bon appétit. Moi, la table m'attend.La fuite vers les nourritures terrestres... Ecoute vieux, "au cas où", tu as fait une assez grossière erreur de langue, mais jamais tu ne le reconnaîtras. La preuve est là. D'habitude tu te jettes sur des références précises pour nous en mettre plein la vue, alors que là, tu affirmes péremptoirement en m'accusant d'avoir des certitudes. Je n'en ai pas, je l'ai dit, c'est l'intuition et un exemple en changeant les sujets. Prouve-moi que tu as raison Ludico, au moins j'aurai (sans s) appris quelque chose, merci d'avance.
Ne t'étouffe pas de honte en mangeant ton herbe verte, ça me peinerait de ne pas te retrouver ici.
Écoute, petit. Je ne suis pas Yalibobard, Monique, Singeant Batârd, Luciole ou Bol chaud d'ocre pâté. Je suis Ludico et je n'hésite pas à reconnaître mes erreurs au cas où. Alors, informe-toi avant de dire n'importe quoi. Bon appétit. Moi, la table m'attend.La fuite vers les nourritures terrestres... Ecoute vieux, "au cas où", tu as fait une assez grossière erreur de langue, mais jamais tu ne le reconnaîtras. La preuve est là. D'habitude tu te jettes sur des références précises pour nous en mettre plein la vue, alors que là, tu affirmes péremptoirement en m'accusant d'avoir des certitudes. Je n'en ai pas, je l'ai dit, c'est l'intuition et un exemple en changeant les sujets. Prouve-moi que tu as raison Ludico, au moins j'aurai (sans s) appris quelque chose, merci d'avance.
Ne t'étouffe pas de honte en mangeant ton herbe verte, ça me peinerait de ne pas te retrouver ici.
Et tu laisses bâtard passer???
Tu es vraiment nul comme réviseur.
ha ha ha
Ma bouteille de vin m'attend.
J'ai eu, moi, la correction de laisser passer une évidente faute de frappe (petite frappe...) due sans doute à ta nervosité et ton mal-être confusionnel... (P... qu'est-ce que c'est beau!).
Tu bois du vin mouton noir? Ben, j'aurais (avec s) pas cru. Un bon cru? Y a des vignes vers Toronto?
:-))
Tu bois du vin mouton noir? Ben, j'aurais (avec s) pas cru. Un bon cru? Y a des vignes vers Toronto?
:-))
J'ai eu, moi, la correction de laisser passer une évidente faute de frappe (petite frappe...) due sans doute à ta nervosité et ton mal-être confusionnel... (P... qu'est-ce que c'est beau!).
Tu bois du vin mouton noir? Ben, j'aurais (avec s) pas cru. Un bon cru? Y a des vignes vers Toronto?
:-))
Correction?
ha ha ha
Quand je botte le cul à quelqu'un, le "bis" ne m'amuse plus.
Je t'ai suffisamment corrigé, une bonne fessée qui te restera comme une arête de requin dans la gorge.
Bonne journée
Tu bois du vin mouton noir?
C'est vrai. Pas très orthodoxe ça !
C'est vrai. Pas très orthodoxe ça !
une arête de requin dans la gorge.
:))))))) de plus en plus fort, la truffe
ben?!... là t'es plus marrant du tout mouton noir! je suis très déçu, très.Non seulement tu fuis, mais en ricanant jaune, en tirant une langue rose après avoir bu du vin rouge, pour un mouton noir ça fait bizarre.
On s'en tient là alors??? J'ai tout bon???
:-(((((
On s'en tient là alors??? J'ai tout bon???
:-(((((
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